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    Michaël emmena Maryline au bord du lac faire une promenade dans cet agréable coin de nature.

     

     

     

    • On a du temps avant qu'on aille au foot, lui dit Michaël. Tu n'as pas oublié qu'aujourd'hui c'est ton premier entraînement de pom pom girl?

     

     

     

    La jeune fille lui fit non de la tête. Ils marchaient sur le chemin qui faisait le tour de l'immense plan d'eau. Le garçon tenait la main de Maryline, et elle en était toute émue. On aurait dit un vrai petit couple. Mais en étaient-ils vraiment un?

     

     

     

    • Tu verras, ma soeur est sympa, ajouta-t-il. Peut-être un peu distante au début, donc ne te fâche pas si tu la trouves un peu sèche. Elle a du caractère, ça doit être de famille.

     

     

     

    Un sourire ironique apparut sur son visage.

     

     

     

    • Mais elle est très motivée pour diriger le groupe de pom pom girls. Elle rêve d'être mannequin et c'est déjà un premier pas. Ha oui, elle n'a que seize ans, je t'ai pas dit?... Elle a visionné des vidéos, cherché des enchaînements et des chorégraphies... enfin, je crois qu'elle compte faire quelque chose de bien. Est-ce que tu as déjà fait de la danse ou quelque chose dans le genre?

    • Non... répondit Maryline.

    • Du sport?

    • Ben... à part ce qu'on fait au collège et au lycée, non, dit-elle un peu honteuse.

    • Ha... fit Michaël d'un air ennuyé. Bon... de toute façon ça ne peut te faire que du bien. J'espère juste que cette garce ne te mettra pas sur les rotules!

    • Ben tu sais, dit la jeune fille, je viens de faire deux heures de sport. Je crois que je suis déjà sur les rotules. Je ne sais pas comment je vais faire. Je serai morte avant ce soir!

     

     

     

    Ils rirent tous les deux de bon coeur, puis Michaël attira Maryline sur le bord du chemin. Il s'assit sur un banc et sur un signe la lycéenne s'assit à côté de lui. Il fouilla dans son sac.

     

     

     

    • Je vais te donner les jupes qu'on a achetées hier, j'ai pensé à les prendre ce matin, dit-il. Comme ça tu pourras les remmener chez toi.

     

     

     

    Il les donna à Maryline, la jupe stretch beige et la jupe droite noire. Elle les mit dans son sac.

     

     

     

    • Bon, tu veux bien me raconter ce qui t'es arrivé aujourd'hui, qui te perturbe tant que ça? Demanda ensuite Michaël en posant sa main sur le genou de la petite black.

     

     

     

    Celle-ci commença doucement à s'épancher sur ses malheurs de la journée. Elle raconta comment Omar et Jérémy avaient usé de ce qu'ils avaient obtenu la veille, sa culotte et des photos, pour introduire Maxime puis Thomas dans le secret et l'obliger à leur dévoiler son corps, et même faire davantage. Michaël lui demanda de décrire exactement tout ce qui s'était passé, s'attardant sur les moindres détails. Maryline était gênée de parler de la manière dont elle avait laissé les garçons lui tripoter les seins, et Tom lui lécher la chatte. Revenir là-dessus, se remémorer les images et les sensations lui fit un effet pervers. Elle sentit le bas-ventre la démanger, et elle rêvait à la verge tendue du garçon qui était à côté d'elle. Lui se délectait de son histoire.

     

     

     

    • Et ben! Tes copains de classe sont plus dégourdis que je l'imaginais, dit-il à la fin du récit. Ce qu'ils ont vu hier leur a donné envie de profiter de toi, et toi, tu leur as donné ce qu'ils voulaient. Tu es une belle salope, Maryline!

     

     

     

    Malgré le terme cru, il avait dit ça sans rancoeur et avec le sourire. Mais la jeune fille le prit forcément mal et tenta de se défendre.

     

     

     

    • Non, non! Moi je n'ai rien fait! C'est eux, ils m'ont forcée!

    • Peu importe la manière dont ça s'est déroulé, dit calmement Michaël. Tu as été une vilaine fille, c'est tout.

    • Mais non, je te jure! Tu penses bien que j'aurais évité tout ça si j'avais pu!

    • Je pense que tu aurais pu l'éviter, c'est vrai, ajouta-t-il en lui tenant le menton pour la regarder dans les yeux. Mais tu ne l'as pas fait.

     

     

     

    Maryline resta bouche bée, ses yeux plantés dans le regard électrique du jeune homme.

     

     

     

    • Je pense que tu étais trop chaude pour avoir envie de résister, dit-il encore. Tu avais tellement envie de baiser que tu étais trop contente de te laisser faire.

    • C'est pas vrai! Fit la lycéenne d'une voix larmoyante.

    • Tu te serais laissée tripoter par n'importe qui, continua le garçon. Tu te serais laissée baiser par toute la classe si tu avais pu. Et je parie que tu as joui quand ce Tom t'a masturbé et t'a léché la chatte.

     

     

     

    Maryline cessa de répondre, voyant bien que c'était inutile. Les larmes lui montaient aux yeux et elle ne voulait pas éclater en sanglots.

     

     

     

    • Je t'avais pourtant interdit de te masturber, même si c'était par la main ou la langue d'un autre. Je me fous que tous les gars du bahut te prennent, une fille chaude comme toi est faite pour le sexe. Mais je n'accepte pas que tu me désobéisses. Et tu sais ce qui se passe quand tu me désobéis?

     

     

     

    Il tenait toujours le menton de la petite black et avait rapproché son visage du sien. Elle hocha la tête doucement, les yeux humides, tremblotante.

     

     

     

    • Il va donc falloir que je te punisse. Et je sais exactement quoi faire. Viens!

     

     

     

    Il se leva, récupéra son sac et celui de Maryline, et la prit par la main. Il l'entraîna à grand pas vers un chemin qui s'éloignait du lac et sinuait entre les arbres. La jeune fille avait du mal à suivre sa cadence et trébuchait parfois. Ils arrivèrent un peu plus loin à un petit terrain de jeux pour enfants, coincé dans le bois clairsemé.

     

     

     

    • Là, il n'y a jamais personne, ça sera parfait, fit Michaël.

     

     

     

    Il s'assit sur un banc en bordure du terrain de jeu, posant les sacs à côté de lui. Il tenait toujours la main de Maryline.

     

     

     

    • Maintenant tu vas prendre ta fessée, ma belle! Lui dit-il sèchement.

    • Quoi?

     

     

     

    Mais elle n'eut pas le temps de protester, car le grand gaillard pencha la jeune fille avec force en travers de ses genoux. Ses « non! » n'y changèrent rien, Michaël la tenait fermement, un bras sur son dos. Elle agita les bras et les jambes. Le garçon rabattit le bas de sa robe sur ses reins, dénudant son cul voluptueux. Puis il la frappa du plat de la main, rapidement, sur les deux fesses, avec une telle force que les claquements résonnaient dans le bois.

     

     

     

    • Aïïïïïïeeeeee! Cria Maryline alors qu'elle ne put retenir une effusion de larmes.

    • Tu ferais mieux de ne pas bouger, sinon ça sera plus dur encore, lui dit Michaël en faisant une pause. Laisse-toi faire, accepte sagement ta punition, et peut-être que je la ferai durer moins longtemps.

     

     

     

    Maryline ne s'était pas pris une fessée depuis de longues années, et la douleur des coups lui était insupportable. Ses fesses la brûlaient déjà. Elle voulait que ça se termine au plus vite, et cessa de bouger, sanglotante.

     

     

     

    • C'est bien, fit le jeune homme. Tu vas te faciliter la vie si tu obéis et si tu acceptes les punitions sans broncher. J'ai encore vingt coups à te donner si tu es sage. Si tu résistes, j'en rajouterai. Et c'est toi qui va compter, comme ça tu sauras que j'ai fait juste ce qu'il faut.

     

     

     

    La petite black capitula. Elle essaya de ravaler ses larmes, mais elles repartirent de plus belle dès que Michaël abattit sa main dans un claquement sec. Il la leva pour un nouveau coup, mais attendit.

     

     

     

    • Alors? Demanda-t-il.

    • Un... un ! Dit Maryline en reniflant, d'une si petite voix qu'on aurait dit qu'elle était redevenue une fillette.

     

     

     

    La main s'abattit de nouveau. Les fesses charnues tremblotèrent, et l'on voyait qu'elles rougeoyaient malgré la peau noire.

     

     

     

    • Aïïïe!... deeeeux...

     

     

     

    Michaël poursuivait sa correction, et la lycéenne comptait. Le calvaire lui parut interminable. Le garçon frappait alternativement chacune des fesses ou les deux d'un coup, parfois vers le haut, parfois plus bas à la limite des cuisses.

     

     

     

    • Dix-neuf! Agggh... Vingt...

     

     

     

    Maryline avait les yeux gonflés par les larmes qui avaient coulé jusque dans son cou. Elle sanglotait encore, les fesses d'une couleur brun rougeoyant exposées sur les genoux du jeune homme. Celui-ci massa un instant la paume de sa main, rouge elle aussi, puis il caressa doucement le postérieur qui s'offrait à lui. La petite black eut un petit sursaut, craignant de nouveaux coups, puis elle se laissa aller à la caresse. Ses fesses étaient ultra-sensibles. Le garçon passa sa main affectueusement sur toute la surface des globes charnus. Puis il glissa sa main entre les cuisses pour les écarter un peu, et posa ses doigts sur la chatte de la jeune fille. Il en explora toute la fente, et y posa la paume.

     

     

     

    • Tu es toute humide, dis donc! Fit-il remarquer. Est-ce que ça t'aurait plu, par hasard?

    • Naaaaaan! Répondit immédiatement Maryline dans un sanglot rauque.

    • Pourtant, ta chatte me dit le contraire, dit Michaël d'un air réjoui. Elle m'appelle, elle est toute mouillée... Mais ce n'est pas d'elle dont j'ai envie maintenant: c'est de ta bouche. Allez, relève-toi, et accroupis-toi devant moi.

     

     

     

    La petite black obéit, ne prenant pas la peine de réajuster sa robe. Le jeune homme écarta les jambes et elle s'accroupit entre deux, les fesses à l'air et la chatte offerte à la vue de son partenaire.

     

     

     

    • Sors ma queue! Lui ordonna-t-il.

     

     

     

    Il avait une bosse évidente à son pantalon. Maryline regarda quand même derrière elle pour être sure qu'ils étaient toujours seuls. Puis elle ouvrit le bouton et la braguette du pantalon, et extirpa le pénis tendu du boxer où il était enfermé. Elle le regarda un moment, fascinée, en le prenant entre ses doigts. Il était très dur, et le bout du gland était humide. Elle y passa le pouce, et le garçon eut une inspiration pincée. Visiblement ça lui plaisait. La jeune fille approcha son visage en le regardant, et il hocha la tête pour l'encourager. Elle entrouvrit les lèvres et embrassa la hampe qu'elle tenait à présent plus fermement. Puis elle sortit la langue et la passa le long de la grosse veine qu'elle voyait gonflée de sang. Michaël savoura quelques instants, puis il prit la tête de la petite black à deux mains.

     

     

     

    • Ouvre la bouche! Commanda-t-il.

     

     

     

    La langue toujours sortie, elle ouvrit ses lèvres en grand, et le garçon y enfourna son gland. Il garda une main derrière sa tête, et l'autre se posa sur les doigts de la lycéenne autour de sa verge.

     

     

     

    • Voilà, suce-moi le bout, c'est bien, lui dit-il. Et là tu bouges tes doigts, comme ça, tu me masturbes en même temps, voilà.

     

     

     

    Il la guidait, lui montrait les mouvements qu'elle devait faire.

     

     

     

    • Mmmmm, ho oui, tu peux y mettre toute la main, oui. Serre un peu, même. Et suce toujours, aspire-moi la queue pour me montrer que tu veux mon sperme.

     

     

     

    La jeune fille faisait des va-et-vients de la tête, les lèvres serrées autour du sexe tendu, et des mouvements de plus en plus rapides de la main. Michaël ferma à moitié les yeux, gémissant doucement, et laissa faire sa partenaire, maintenant juste une main derrière sa tête. Voyant que ses efforts plaisaient au jeune homme, Maryline s'enhardit et accéléra la cadence. Elle le pompait avec gourmandise et le masturbait énergiquement. Il fallut quelques longues minutes rythmées par le halètement du garçon et les bruits de succion, avant qu'une première giclée de sperme ne jaillisse au fond de la bouche de la lycéenne. Surprise, elle recracha le sexe du garçon qui lui envoya une nouvelle giclée sur la pommette. Elle eut le réflexe de le reprendre immédiatement entre ses lèvres pour recevoir un troisième jet sur la langue. Elle garda alors le gland dans sa bouche, recueillant les dernières gouttes qui sortaient par intermittence.

     

     

     

    • Avale! Lui dit Michaël avec autorité.

     

     

     

    Elle déglutit pour tout avaler d'un coup, puis ressortit le pénis. Le garçon lui sourit et passa les doigts sur sa pommette pour recueillir le sperme qui s'y trouvait. Puis il enfourna ses doigts dans la bouche de la petite black.

     

     

     

    • Tiens, il faudrait pas que tu en perdes, ce serait gâché.

     

     

     

    Maryline eut un petit rire malgré les larmes qu'elle avait versées peu avant, et suça minutieusement les doigts du jeune homme. Il la releva ensuite pour qu'elle s'asseoit sur ses genoux; ce qu'elle fit après avoir rabaissé sa robe. Michaël l'embrassa dans le cou.

     

     

     

    • Je suis content de toi, ma belle! Lui susurra-t-il.

     

     

     

    Il déposa ses lèvres sur celles de la jeune fille, et celle-ci les entrouvrit. Le garçon y glissa alors sa langue, et y rencontra la sienne. Ils s'embrassèrent longuement, alternant entre baiser profond et bisou câlin. Maryline était conquise malgré le traitement que lui avait fait subir son partenaire. Ensuite ils parlèrent doucement de choses et d'autres, sur ce banc. La lycéenne était lovée contre la poitrine de Michaël, qui avait passé une main dans son décolleté pour lui dégager un sein et le caresser nonchalamment.

     

    Mais c'est bien lui qui brisa la magie un peu plus tard.

     

     

     

    • Il faut partir maintenant, dit-il. Ca va être l'heure de ton entraînement. Ca serait dommage d'être en retard pour une première. Et je veux que tu soies une pom pom girl exemplaire... Tu seras la plus bandante des pom pom girls!

     

     

     

    Maryline était sceptique sur ce dernier point, mais son partenaire semblait y croire, lui.

     

     

     

    • Et toi? Tu vas t'entraîner aussi? Lui demanda-t-elle en se levant.

    • Normalement non, les entraînements officiels sont le mardi, jeudi, et samedi, répondit le garçon en lui prenant la main. Mais les autres jours, il y a toujours deux ou trois potes qui sont là et on peut taper la balle un petit peu si on veut.

     

     

     

    Ils quittèrent l'espace de verdure qui entourait le lac pour aller prendre le bus. Dans le véhicule, Michaël voulut reprendre ses caresses et posa de nouveau sa main dans le décolleté de la petite black. Il y avait encore bon nombre de voyageurs à cette heure de pointe, mais cette fois Maryline se trouvait sur un côté du bus et faisait face à la vitre. Personne n'était devant elle. Devant l'insistance de Michaël qui plongeait sa main plus profondément, elle décida de ne pas opposer de résistance. Il lui attrapa donc un sein tranquillement, repoussant le tissu de la robe dans le même mouvement. La jeune fille se rapprocha de la vitre, essayant de se positionner afin de dissimuler au maximum ce qui se passait. Mais pour ceux dont le champ de vision allait jusque-là, seule la main large du grand gaillard habillait le sein de la lycéenne. Et comme il la caressa, même le plus discrètement possible, le globe de chair se retrouvait parfois dénudé. Maryline était morte de honte. Elle respirait mal, se sentait oppressée, et surtout elle avait très chaud. Michaël ne pouvait-il pas s'empêcher de l'exhiber ainsi? Il aimait ça, c'était certain. C'était sans doute la raison pour laquelle il ne s'était pas fâché quand elle lui avait raconté la manière dont elle avait du s'exhiber pour les garçons de sa classe. Sa décision de la punir était juste venue du fait qu'elle s'était fait masturber malgré son interdiction. Cela ne le dérangeait-il pas que d'autres garçons la touchent? Ces questions la perturbaient, mais elle était trop fébrile à ce moment-là pour trouver des réponses valables. De plus, elle remarqua que certains automobilistes qui passaient à côté du bus la regardaient à deux fois quand ils se rendaient compte de ce qui se passait. Mais elle préférait que ce fut eux plutôt que ses voisins voyageurs, et elle ne bougea pas. Elle sut qu'ils étaient arrivés à destination quand Michaël enleva sa main. Elle dut rabattre son décolleté in extremis pour ne pas rester dénudée. Puis elle suivit le garçon hors du bus en direction du stade. En arrivant à sa hauteur, elle essaya de lui parler.

     

     

     

    • Ecoute Michaël, lui dit-elle en essayant de suivre la cadence de ses pas, tu ne devrais pas me caresser devant tout le monde comme ça, et tu pourrais au moins éviter de leur montrer mes seins. Je veux dire, on peut faire ça chez toi, tu ne crois pas? Et tu sais que tu pourras même me faire tout ce que tu veux, non?

     

     

     

    Michaël s'arrêta net, et se tourna face à la jeune fille. Ils étaient sur un petit trottoir bitumé qui menait à l'une des entrées du stade, et qui était peu emprunté. Autour c'était un espace vert, avec quelques bancs et quelques promeneurs.

     

     

     

    • Ecoute-moi toi! Fit-il les sourcils froncés en pointant un doigt vers la poitrine de Maryline. C'est moi qui décide de ce que je fais, et tu n'as aucun ordre à me donner, ni même aucune recommandation à me faire. Je t'ai déjà dit que je ne tolère aucune discussion à mes ordres, et je ne tolèrerai aucune discussion sur ce que je fais non plus... à moins que la fessée de tout à l'heure ne t'ait pas suffi. Peut-être que tu en veux encore, après tout?

    • Non! Non!... s'empressa de répondre la petite black, qui avait encore les fesses toutes endolories. Mais...

    • Y a pas de mais! Articula distinctement le jeune homme en appuyant le doigt entre les seins. Je ne veux aucune discussion, aucune objection, aucune résistance, et pas même une seconde d'hésitation quand je dis ou fais quoi que ce soit.

     

     

     

    Il la regarda au fond des yeux en silence un instant, puis ajouta:

     

     

     

    • Est-ce que c'est bien clair?

     

     

     

    Maryline ne put même pas sortir un mot, et hocha simplement la tête. Elle se sentait si petite face au grand gaillard, et si vulnérable! Elle n'esquissa pas un mouvement lorsqu'il écarta d'un geste son décolleté pour dénuder ses deux seins. Il ne fit rien d'autre, restant devant elle à la regarder avec un air de défi. Il y avait quelques passants dans l'espace vert autour d'eux, pas tout près, mais apparemment certains pouvaient quand même voir ce qui se passait. La lycéenne n'osait pas bouger, consciente d'être seins nus dans la rue en plein jour, et morte de honte.

     

     

     

    • Tu dois comprendre que tu es à moi maintenant, continua Michaël. Je fais ce que je veux de toi. Tu es belle, tu as de beaux seins, et si je veux les montrer à la terre entière ou même te foutre complètement à poil dans la rue, je le ferai. Et toi tu n'as rien à dire.

     

     

     

    Il resta de nouveau silencieux un instant, et Maryline ne broncha pas. Elle entendit des gens discuter plus loin. L'avaient-ils vue? Parlaient-ils d'elle? Elle frissonna, envahie par l'angoisse. Puis Michaël referma son décolleté, et elle souffla.

     

     

     

    • C'est bien, dit le garçon. Tu commences à comprendre.

     

     

     

    Il la prit par la main et l'emmena dans le stade. Le terrain était quasiment vide. Seul un jeune homme noir tapait des ballons dans un but vide. Sur le bord du terrain, Pierre discutait avec deux jeunes fille, une grande blonde et une brune toute mince portant des tenues de pom pom girls, t-shirts à manches longues et ventre nu et minijupes droites. Elles tenaient des pom poms brillants bleus marine et ciel à la main. Michaël emmena Maryline directement vers eux.

     

     

     

    • Salut P'pa!... Ca va, Alice?

    • Salut fiston!

    • Ouais, ça va... et toi, frangin? Répondit la brunette.

    • Ca va, répondit Michaël. Alice, voilà Maryline. Maryline, c'est ma soeur.

     

     

     

    Les deux filles se firent la bise amicalement. Alice présenta alors sa copine blonde.

     

     

     

    • Elle c'est Laetitia, une copine qui veut essayer aussi le cheerleading.

     

     

     

    Laetitia fit aussi la bise à Michaël et Maryline.

     

     

     

    • Content de te voir, Maryline! Dit Pierre tout souriant. J'espère que ça va te plaire d'être pom pom girl... ou cheerleader comme dit Alice. Elle trouve que c'est plus cool de le dire à l'américaine. En tout cas, ça sera vraiment un plus pour le club. Essayez de nous faire un spectacle au top, les filles, il faut surtout que ça motive nos joueurs et que ça chauffe le stade!

     

    • Commence pas à nous mettre la pression, P'pa! Râla la brunette. On va faire ce qu'on peut, mais je te rappelle qu'on est débutantes.

     

     

     

    Elle fit une mimique d'agacement à l'intention de Maryline, et celle-ci sourit, amusée. Alice la prit alors par la main.

     

     

     

    • Bon, viens! Lui dit-elle. Tu vas te changer, comme ça on va commencer sans tarder. J'ai plein d'idées en tête, et on n'aura pas le temps de tout faire. Tu as tes tenues? Il faut que tu mettes la même que nous.

    • Heu, oui, je les ai, répondit Maryline. Mais... j'ai juste pas de chaussures de sport.

    • Pas de problème, je vais te chercher celles de la dernière fois, fit Michaël en partant au pas de course vers les vestiaires.

     

     

     

    Maryline avait omis de dire qu'elle n'avait pas non plus de sous-vêtements, n'osant pas en parler. Et pourtant... l'absence de soutien-gorge, ça pouvait passer, mais sans culotte... Elle commençait à angoisser en voyant comme la minijupe était courte sur les cuisses d'Alice et Laetitia. Michaël revint avec une paire de tennis blanches à la main, et les donna à Maryline. Il lui mit la main sur la joue.

     

     

     

    • Surtout tu écoutes Alice, et tu fais bien tout comme elle te dit, lui enjoigna-t-il comme s'il s'adressait à une petite fille. Tu lui obéis comme si c'était moi. Tu m'as bien compris?

     

     

     

    La petite black hocha la tête. Le message était très clair. Elle espérait juste qu'Alice ne profiterait pas exagérément de ce pouvoir que lui donnait son frère.

     

     

     

    • C'est bon! Le coupa justement Alice en prenant Maryline par la main. Ne t'inquiète pas pour elle, c'est pas une fillette, elle sait ce qu'elle a à faire.

     

     

     

    Elle fit un clin d'oeil à la petite black et l'emmena.

     

     

     

    • Allez, les filles! Au boulot! Maryline, je te montre le vestiaire, et tu nous rejoins quand tu es prête. On se mettra dans le coin du terrain, là-bas.

    • Mais, c'est pas là, le vestiaire? Demanda Maryline en indiqua le couloir qui menait au vestiaire où elle avait du se changer avec les garçons la veille.

    • Mais non! Objecta Alice. Là-bas, c'est celui des garçons. Nous, on a un local pour nous.

    • Ha, fit la petite black en comprenant qu'elle s'était fait rouler. Contente de le savoir.

     

     

     

    La brunette l'emmena dans un autre couloir et lui indiqua une petite pièce qui n'était sans doute pas un vestiaire à l'origine, mais qu'on avait aménagé simplement avec des chaises et des patères où des vêtements étaient déjà suspendus. Alice y laissa Maryline, qui ne prit pas beaucoup de temps pour se changer. Elle sortit de son sac la même tenue que ses camarades, puis ôta ses escarpins et sa robe. Nue, elle enfila alors le t-shirt à manches longues, qui lui maintenait la poitrine et s'arrêtait un peu en-dessous. Elle passa ensuite la minijupe. Le contact du tissu qui frotta ses fesses la fit sursauter. C'était encore sensible. Elle regarda son ventre nu et en fut un peu gênée, car il n'était pas plat comme ceux de Laetitia et Alice. Elle négligeait l'exercice physique. Mais le pire c'était que la jupe ne lui arrivait même pas à mi-cuisses. Elle se sentait affreusement nue, mais ne voyait pas comment faire autrement. Elle tira sur le vêtement pour le descendre au maximum, puis enfila ses chaussures de sport. Elle rejoignit ensuite les deux autres filles. Elles étaient dans un coin du terrain, leurs pompoms à la main, avec une minichaîne portative qui diffusait de la musique.

     

     

     

    • Chouette, tu es là! Fit Alice. On va pouvoir commencer alors. J'ai déjà préparé des pas de danse, et des petites chorégraphies avec les musiques que j'ai sur ce CD. On pourra essayer aussi quelques mouvements de gym pour voir ce qu'on pourra travailler. Et si vous avez des idées, il faut en parler! Ce que j'ai préparé n'est qu'un début et il faut l'améliorer. En attendant, vous me suivez au doigt et à l'oeil, je vais vous montrer.

    • Au doigt et à l'oeil, je sais, dit Maryline sur un ton ironique. Michaël m'a brieffée.

    • Ouais, parce qu'il te kiffe grave! Lâcha la brunette.

    • Quoi?

    • Ben oui! La manière dont il est autoritaire avec toi, c'est qu'il est fou de toi, quoi!

    • Ha... Tu crois? Fit la petite black sur un ton dubitatif.

    • Nan je crois pas, j'en suis sure. Il est comme ça, mon frangin. Quand une nana lui plaît, il faut qu'il la dirige à la baguette. Sinon il te calculerait même pas, il prendrait même pas la peine de t'adresser la parole. Il te kiffe, je te dis!

    • C'est n'importe quoi ce que tu dis, Alice! fit Laetitia d'un ton goguenard. Un type qui te donne des ordres pour te montrer qu'il te kiffe?

    • Bah écoute, Laetitia, répondit Alice, je sais bien que t'aurais préféré que ça soit toi qui l'intéresse, mais c'est comme ça, et là je crois que Maryline a une longueur d'avance.

    • C'est ce que tu dis! Fit froidement la grande blonde. Mais ça c'est parce qu'il a pas encore vu qui est la meilleure!

     

     

     

    Maryline ne dit rien, préférant se faire discrète. Laetitia avait l'air très jalouse d'elle par rapport à Michaël, et elle ne voulait pas s'en faire une ennemie alors qu'elle la connaissait à peine.

     

    Alice coupa court à la conversation pour commencer l'entraînement. Elle donna deux pompoms à la petite black, un dans chaque main, puis tapota sur la minichaîne pour caler la musique où elle le voulait. Et en fait d'entraînement, il s'agissait plutôt de danse, ou du moins c'est ce que se dit Maryline. Les trois filles s'était mises en ligne, la brunette au milieu, quelques pas en avant pour que ses partenaires voient bien ce qu'elle faisait. Et effectivement elle commença par quelques combinaisons de petits pas au rythme de la musique, en agitant les pompoms de droite et de gauche et de haut en bas. Ces premiers mouvements rassurèrent Maryline. Il n'y avait aucune chance que l'on voie sous sa jupe avec des chorégraphies de ce style. Par contre ses seins bougeaient assez fortement, ce qui la gênait un peu. Et même quand elle dut lever les genoux alternativement à mi-hauteur, elle n'y mit pas beaucoup de zèle et se dit qu'on ne voyait surement rien. Alice, elle, était dans son trip et mettait beaucoup de rythme dans sa danse. Elle attendait de ses copines qu'elles en fassent autant, et les fit recommencer plusieurs fois en les critiquant.

     

     

     

    • Allez, les filles! Il faut mettre plus de punch, là!... Allez! On ne faiblit pas!... Plus tonique, putain!... Allez, vous êtes molles, là!

     

     

     

    Maryline se dit qu'elle avait de qui tenir. Elle était aussi autoritaire que son frère. La noire et la blonde mirent donc un peu plus d'énergie dans leurs mouvements, et se prirent au jeu, même si pour la petite black la fatigue de la journée se faisait déjà ressentir. Plus loin sur le terrain, Michaël avait rejoint son coéquipier et ils jouaient au ballon ensemble. Pierre était debout juste devant l'entrée qui menait au vestiaire et regardait un peu ce qui se passait, les mains dans les poches. Mais ils étaient assez loin, et Maryline prit confiance, entraînée par la musique et l'entrain de ses partenaires. Puis Alice inclut dans sa danse un mouvement où, jambes écartées et tendues, les filles devaient se pencher en avant et écarter les bras pour agiter leurs pompoms. La petite black suivit le mouvement sans réfléchir, et sentit sa jupe se relever et un courant d'air frais lui caresser l'entrejambe. Et elle vit l'effet produit devant elle: la jupe d'Alice était remontée à la moitié de ses fesses, et dévoilait une culotte de sport blanche. Sans le sous-vêtement, c'est son sexe qui aurait été directement offert aux regards. Maryline souffla. Heureusement qu'il n'y avait personne derrière elle!

     

    Alice leur fit encore répéter longuement des séries de pas, incluant de temps en temps cette pose risquée, jusqu'à ce qu'elle soit satisfaite du résultat. Les filles purent alors faire une courte pause et aller se désaltérer aux toilettes, puis elle reprirent. La brunette leur proposa alors de travailler un autre aspect d'une performance de cheerleaders.

     

     

     

    • Parce que normalement les cheerleaders ne font pas que de la danse, expliqua-t-elle. Elles font une performance vraiment sportive, qui tient autant de la gymnastique que de la danse. Et c'est justement ce qui, je pense, fait la différence entre les « vraies » cheerleaders et les simples pom pom girls. Mon père n'a pas encore compris ça. Mais je crois que si on arrive à inclure ce côté plus spectaculaire dans notre show, on écrasera la concurrence. Seulement, c'est forcément plus difficile, et il va falloir travailler dur. Alors est-ce que vous êtes prêtes à essayer ça?

     

     

     

    Laetitia et Maryline se regardèrent un peu dubitatives, mais acquiescèrent.

     

     

     

    • Oui... On va essayer.

    • Bon! Fit Alice satisfaite. Alors je vais vous montrer un peu ce à quoi je veux qu'on arrive. Et ce n'est que le début, la base. Regardez!

     

     

     

    Elle recula de quelques pas afin d'avoir l'espace nécessaire, et fit une démonstration de quelques mouvements. Dès le début ses deux copines ouvrirent la bouche de stupeur, les yeux écarquillés. Légère comme une plume, Alice fit des roues, des roulades, des pirouettes, avec l'agilité et la grâce d'une gymnaste. Elle regarda ensuite la blonde et la noire en souriant, sure d'avoir fait son impression.

     

     

     

    • Alors? Fit-elle.

    • Tu... tu fais déjà de la gym ou quelque chose comme ça, toi? Demanda Maryline.

    • Oui, je fais de la GRS (*Gymnastique Rythmique et Sportive), confirma la brunette. Donc j'ai déjà pas mal d'entraînement. Mais ça s'apprend vite, faut pas vous inquiéter. Il faut juste être motivée. Vous verrez, vous y arriverez.

    • Je sais pas pourquoi, je suis pas sure que ça soit aussi facile, fit Laetitia en faisant la moue.

    • Mais si! Faut pas être défaitiste, dit Alice. Allez! Je vais voir si déjà vous pouvez faire quelque chose de simple: la roue. Vous savez faire la roue, non?

     

     

     

    Elle en fit une en démonstration, prenant un pas d'élan, posant ses deux mains avec leurs pom poms par terre en suivant une ligne devant elle, puis levant ses jambes pour décrire une roue la tête en bas avant de retomber debout de l'autre côté de ses mains. Evidemment sa jupe suivit le mouvement et glissa un peu quand elle était à l'envers, dévoilant sa culotte blanche, avant de retomber en place naturellement à la fin de la roue. Maryline resta bouche bée. Il était impensable qu'elle fasse ça!

     

     

     

    • Allez! A vous! Fit Alice en leur montrant le chemin de la main.

    • Je t'en prie Laetitia, toi d'abord, dit la petite black.

    • Merci! Dit la blonde ironiquement. De toute façon il va falloir y passer. Alors allez-y, moquez-vous bien. J'y vais!

     

     

     

    Elle se lança et fit une roue complète, mais le mouvement était moins gracieux que celui d'Alice. Elle portait une culotte rouge échancrée qui tranchait sur le bleu de la tenue de pom pom girl.

     

     

     

    • Hééé, c'est pas mal! Dit Alice en tapant des mains. Le mouvement est là. Il faudra juste affiner la technique, et surtout garder les jambes droites. Mais c'est bien! Allez, à toi Maryline!

    • Heuuuu, non ça va pas être possible, dit la petite black en secouant la tête. Je ferai ça une autre fois.

    • Mais tu rigoles! Fit la brunette. Allez, n'aie pas peur. On va pas se moquer, de toute façon on est là pour essayer et apprendre. Allez!

    • Nan vraiment, puis j'ai déjà fait du sport au bahut, j'ai mal partout, là.

    • Rho, l'excuse! Fit Laetitia. Je l'ai bien fait moi. Allez, fais pas ta chochotte!

     

     

     

    Maryline ne voyait pas comment esquiver ça, et décida qu'il valait mieux dire la vérité. Après tout, elles étaient entre filles.

     

     

     

    • Bon d'accord! Dit-elle finalement en soupirant. Je peux pas le faire, parce que... je... je n'ai pas de culotte.

    • Ha! On aura tout vu! Lâcha la blonde méchamment. Elle peut pas inventer autre chose?

     

     

     

    Alice soupira.

     

     

     

    • C'est bon Laetitia, arrête. Elle doit avoir la trouille, je sais pas pourquoi. Allez, Maryline! De toute façon, il faudra le faire, alors fais-le. Dois-je te rappeler que Michaël a dit que tu devais m'obéir? Ajouta-t-elle avec un sourire moqueur.

     

     

     

    Cet argument fit mouche. Maryline savait que si Michaël apprenait qu'elle avait refusé de faire ce que sa soeur demandait, ce serait une excuse pour qu'il la punisse à nouveau. Et ses fesses encore sensibles lui rappelèrent qu'il n'y allait pas de main morte.

     

     

     

    • OK, ok, mais je vous aurai prévenues, fit la petite black en soupirant.

     

     

     

    Elle se positionna sans oser regarder les filles, prit une inspiration, puis un pas d'élan. Elle posa les mains à terre et souleva ses jambes, droites et écartées, dans un mouvement tout à fait correct. Sa jupe glissa un peu laissant apparaître la fente de son entrejambe, puis elle retomba parfaitement sur ses pieds et la tenue reprit une position plus décente.

     

     

     

    • Ho la salope! C'est vrai! Lâcha spontanément Laetitia.

     

     

     

    Alice avait simplement mis une main sur sa bouche. Maryline, elle, lissait le tissu de sa jupe, ne sachant plus où se mettre. La brunette se mit alors à rire.

     

     

     

    • Ha ha! Je comprends mieux maintenant, dit-elle. Pas étonnant que Michaël ait flashé sur toi. Il adore les cochonnes dans ton genre! Tu vois, Laetitia, tu sais ce qu'il te reste à faire, maintenant. Cul nu, et Michaël s'intéressera peut-être à toi.

     

     

     

    Elle rit de sa bêtise, mais la grande blonde ne rit pas.

     

     

     

    • Pas question! Fit-elle. Je suis pas une perverse, moi! Elle a qu'à se le garder, son Michaël!

    • Ho, allez c'est bon, je plaisantais, dit Alice en la prenant par les épaules.

     

     

     

    Puis elle se planta devant Maryline en la jaugeant de la tête aux pieds.

     

     

     

    • Je crois que je vois aussi pourquoi mon père a insisté pour que tu fasses partie des cheerleaders. C'est un pervers dans son genre, lui aussi.

    • Nan mais... Faut pas croire, c'est la première fois que ça m'arrive, c'est pas ma faute, essaya la petite black pour se défendre.

    • Bien sur! Ta culotte est tombée toute seule! Ironisa Laetitia.

    • Bon, on s'en fout, de toute façon! Coupa Alice. Elle peut bien montrer son cul à qui elle veut, c'est pas notre problème. Nous, on a un numéro de cheerleaders à mettre au point. Ta roue était bonne, Maryline, ajouta-t-elle à l'attention de la petite black. Et de toute façon, je crois que même si techniquement tu étais en dessous, c'est toi qui remporterait la mise à l'applaudimètre!

     

     

     

    Elle rit de sa propre blague, mais elle fut bien la seule. Laetitia jetait à Maryline des regards qui montraient qu'elle l'appréciait de moins en moins, et la petite black se sentait profondément humiliée.

     

     

     

    • Allez les filles, on ne se déconcentre pas, on reprend! Fit la brunette en tapant des mains.

     

     

     

     

    A suivre...


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