• chapitre 26

    Pendant que Pierre alla chercher une bière dans la cuisine, son fils fouilla dans la dizaine de vêtements sur le canapé. Il y avait des robes, des jupes, des petits hauts et même un imperméable. Au premier coup d'oeil, il semblait à Maryline que certains de ces vêtements étaient un peu petits. Elle entendit soudain son téléphone sonner et alla le chercher dans son sac. Ce n'était qu'un message. Michaël demanda de quoi il s'agissait et la jeune fille répondit que c'était Jérémy qui demandait ce qu'elle faisait le lendemain. Il avait discuté avec Omar et ils avaient quelque chose d'important à lui dire. Maryline renvoya un message pour dire qu'elle partait pour le week-end, mettant fin à la discussion. « OK on en reparlera » fut le dernier message de Jérémy.

    • T'inquiète, je les appellerai plus tard pour voir ce qu'ils veulent, dit Michaël. Tiens, essaie ça !

    Il lui tendit une robe noire. Pierre s'était installé assis à la table du salon pour profiter du spectacle. La robe était ouverte complètement et à boutonner sur le devant. La jeune fille l'enfila, et dès le début elle sentit que ce n'était pas sa taille. Alice était plus fine qu'elle, certes, mais elle n'avait pas dû mettre ces vêtements depuis longtemps. Les manches courtes étaient serrées, et la robe serait bien cintrée sur les hanches voluptueuses de la petite black. Elle put malgré tout fermer les boutons sans problème. La robe lui tombait bien au-dessus des genoux mais restait sage de ce point de vue. Par contre en haut les boutons s'arrêtaient très bas, laissant un profond décolleté en V jusquà la moitié de ses seins. C'était osé, surtout sans soutien-gorge. Maryline comprit qu'il était normalement prévu de porter un top ou un autre vêtement sous ce genre de robe. Elle montra le résultat à Michaël.

    • Normalement il faudrait un top là-dessous, lui dit-elle. Je crois que c'en est un là, tu veux bien me le donner ?

    • Pas question, répondit son copain. Tu connais mes règles : rien en-dessous. Ce décolleté est magnifique, je vois pas pourquoi tu voudrais le cacher.

    Elle savait très bien ce qu'il allait répondre, mais qui ne tente rien n'a rien, n'est-ce pas ? L'essayage suivant fut une autre robe, très différente. Celle-là était plutôt une sorte de chemise bleu marine à laquelle on pouvait adjoindre une ceinture pour faire comme une tunique. Au final cela donnait une robe au tissu épais, avec des manches longues à l'extrémité retroussée. Le décollété était plutôt sage, mais surtout, avec sa taille trop petite la robe était très courte. Le bas de la chemise dépassait à peine le bas des fesses de la petite black. Et ça c'était sans la ceinture ; avec c'était encore plus court. Les hommes apprécièrent, donnant peu de commentaires mais se jetant des regards explicites. Maryline continua ensuite d'essayer les robes, il en restait une. Le tissu était très léger, le vêtement tenait à peine dans les deux mains. Cétait une petite robe d'été orangée à bretelles. Elle n'était pas décolletée ni trop courte à l'origine, mais elle était prévue pour une ado de quatorze ans au mieux. Elle serrait un peu trop les formes pulpeuses de Maryline, bien dessinées sous le tissu très fin. L'absence de soutien-gorge était évidente, et les tétons biens visibles. La taille trop petite et les fesses rebondies de la jeune fille faisaient que la robe, courte mais sage à l'origine, devenait aventureuse. Une dizaine de centimètres seulement du haut de ses cuisses étaient couvertes. Il faudrait attendre l'été, au mieux, pour tenter de porter cette minirobe, se dit la jeune fille. Elle essaya par-dessus l'imperméable, de couleur violette. Lui aussi était un peu petit, mais pouvait encore se porter et rester chic. Michaël lui demanda de le réessayer après avoir enlevé la robe. Il voulait voir cet imperméable sans rien en-dessous. Maryline obéit, et fit quelques poses coquines avec juste ce manteau sur elle. Elle se prenait au jeu, et se sentait séduisante sous le regard de Michaël et de son père. Le jeune homme en profita même pour faire quelques photos.

    Il restait quelques hauts et deux jupes que la jeune fille essaya à tour de rôle. Il y avait une jupe en jean noir qu'elle eut du mal à enfiler car trop serrée. « Dommage », se dit-elle, car cette jupe était plutôt sage, elle lui arrivait aux genoux. Ca changeait de ce que Michaël voulait qu'elle porte ces derniers temps. Elle se dit qu'elle aurait peut-être l'occasion de la porter quand même. Avec cette jupe elle essaya un t-shirt blanc à manches longues qu'il fallait fermer avec des boutons. Si elle avait eu la bonne taille toute cette tenue aurait été très sage, mais avec ses formes non adaptées le t-shirt la moulait sans rien cacher de son anatomie. Elle remplaça ensuite le t-shirt par un top d'été blanc. Large et décolleté, celui-ci devait initialement être porté par-dessus une brassière ou un haut de maillot de bain. Mais avec quelques tailles en moins et sans soutien-gorge, c'était indécent. Le top descendait à peine sous le nombril, mais surtout le décolleté était risqué. Si Maryline restait debout droite il n'y avait pas de,problème. Mais si elle prenait le risque de se pencher un peu en avant, le décollété s'ouvrait largement et le regard plongeait entre ses seins jusqu'au ventre. Ce top lui paraissait définitivement trop osé. Et pourtant ce n'était pas le pire de ces vêtements. Elle avait gardé pour la fin ce qui lui semblait le plus indécent et qu'elle espérait n'avoir jamais à porter en public. C'était d'abord une minijupe d'été, faite de coton jaune serrée aux hanches et plus évasée sur les cuisses. Trop petite, le tissu de la jupe était tendu à l'extrême sur les hanches pulpeuses de la jeune fille, rendant l'absence de culotte, assez évident, et le bas du vêtement n'arrivait qu'à mi-cuisses alors que cette jupe était plus sage à l'origine. Maryline n'osait pas enfiler les hauts.

    • C'est ridicule, je ne mettrai jamais ça ! Fit-elle en implorant Michaël.

    Mais celui-ci insista et elle enfila donc l'un des vêtements pour lui faire plaisir. C'était un chemisier noir, un peu trop petit et donc plutôt serré, mais qui aurait pu être très convenable s'il n'était fait d'un tissu complètement transparent. Il était prévu évidemment de le porter avec un top ou au moins un soutien-gorge en-dessous, ce qui n'était évidemment pas le cas dans cette séance d'essayage. En l'état les seins de la petite black étaient complètement visibles, ses tétons fièrement dressés. Pierre et Michaël approuvèrent par des commentaires élogieux qui lui firent monter le rouge aux joues. Et pourtant ce n'était pas terminé. Il restait encore un haut à essayer. Celui-ci paraissait minuscule, et pourtant Michaël insista encore pour que sa copine l'essaie. Ce qu'elle fit, mais là encore elle se trouva complètement stupide de porter ça. Il ne s'agissait que d'un petit boléro noir, un petit haut de chemise destiné à couvrir seulement les bras et la poitrine, à porter généralement sur autre chose. Là, trop petit, sans rien dessous, la jeune fille n'avait que deux bouts de ficelle pour le nouer sur le devant entre ses seins. Ce vêtement ne couvrait que le minimum nécessaire, laissant tout son ventre, sa poitrine et le bas de son dos dénudés. Evidemment, Michaël et Pierre étaient ravis, lâchant quelques commentaires de satisfaction.

    • Arrêtez, ça va, fit Maryline. Je préfère encore les fringues que je porte aujourd'hui.

    Elle enleva le boléro et la jupette pour se retrouver complètement nue, car telle était la règle de Michaël dans l'appartement.

    • Les fringues que tu portais, tu veux dire, lui dit d'ailleurs le jeune homme. Tu vas pas remettre la même chose pour ce soir.

    • Ben pourquoi ? Demanda la lycéenne.

    • Attends, on est invités à dîner, répondit Michaël en roulant des yeux, tu vas pas garder ce que t'as porté toute la journée, non ? Un peu de classe, quand même !

    Maryline râla un peu pour montrer son désaccord, mais elle savait qu'elle n'avait pas le choix.

    • Et puis en plus, tes fringues pour ce soir, il va falloir les mériter, ajouta son copain avec un grand sourire. Tu vas te punir toi-même. Ta tenue de base pour ce soir c'est à poil. Et pour chaque vêtement que tu voudras porter, il faudra que tu t'infliges cinquante fessées.

    • Quoi ? S'exclama la jeune fille. Mais tu m'as déjà punie, c'est pas juste !

    • Mais j'ai pas dit que ta punition était finie, ma belle.

    • Non, c'est pas juste ! T'as pas le droit de faire ça ! Renchérit Maryline en sentant monter un sanglot.

    C'est alors qu'à sa grande surprise Pierre intervint en sa faveur, posant la canette de bière qu'il venait de terminer.

    • Là Michaël, je suis d'accord avec elle, dit-il. Tu l'as déjà punie avec la banane, et le coup de fil humiliant. Tu peux prolonger une punition qui a déjà commencé, mais là tu pars sur tout autre chose. C'est une nouvelle punition qui n'est pas justifiée.

    • Mais la banane c'est rien par rapport à la punition qu'elle mérite, c'était qu'un avant-goût, se justifia le jeune homme. Elle m'a giflé et ça, ça mérite une punition beaucoup plus dure. Il faut vraiment qu'elle regrette et que ça lui coupe définitivement l'envie de recommencer.

    • Je comprends, dit son père. Mais dans ce cas il fallait appliquer dès le début une punition adaptée. Tu ne peux pas décider comme ça que ta première punition n'était pas assez dissuasive puis recommencer comme ça te chante. Parce que sinon tes punitions perdent toute crédibilité. Donc laisse tomber, je te dis, elle a déjà été punie.

    Michaël trépigna sur place et maugréa des insultes incompréhensibles. Maryline comprit que son père avait véritablement l'autorité sur lui et que sa décision surpassait celle de son fils.

    • OK, fit celui-ci. Mais je vais décider de comment elle s'habille pour ce soir et elle a intérêt à être d'une obéissance exemplaire. Sinon elle méritera une autre punition, et cette fois elle sera extrêmement douloureuse.

    Il avait dit ça en posant la main sur la nuque de la petite black et en la fixant de son regard captivant. Elle opina du chef pour indiquer qu'elle avait compris et le jeune homme la lâcha pour s'occuper des vêtements.

    • Je vais faire un brin de toilette, dit-elle pendant que Michaël commençait à chercher ce qu'elle devrait porter pour le dîner.

    Comme personne ne s'y opposa la lycéenne entra dans la salle de bain. Elle se regarda dans le miroir. Elle n'avait pas vraiment besoin de se refaire une beauté mais ce prétexte lui permettait de s'isoler un peu des deux hommes. Peine perdue, la porte s'ouvrit aussitôt sur Pierre qui fit sursauter Maryline de surprise.

    • Excuse-moi, je t'ai fait peur ? Demanda le père de Michaël. Je ne voulais pas. Je venais juste vérifier quelque chose. Penche-toi en avant, tiens-toi au lavabo. C'est ça, écarte les cuisses, et lève encore les fesses.

    • S'il-vous-plaît, ne me baisez pas maintenant, fit la jeune fille suppliante. Plus tard si vous voulez, d'accord ?

    • Ne t'en fais pas, je ne vais pas te forcer. Pas maintenant, en tout cas. Ne bouge pas, je veux juste faire ça.

    Dans sa position, la petite black avait le cul offert, et la main de Pierre se posa entre ses fesses, les doigts sur sa vulve. Elle regarda par la porte qui était restée ouverte. Michaël était en train de parler au téléphone tout en triant distraitement les vêtements de sa sœur.

    • Tu es toute humide, dit Pierre simplement. Qu'est-ce qui te fait cet effet-là ? Ce sont les fringues sexy ? Ou la banane dans le cul ? Ou d'être à poil parmi nous ? Ou alors tout en même temps ?

    Maryline ne sut que répondre. Les évènements de l'après-midi l'avaient excitée mais elle n'avait pas pu jouir une seule fois, ni dans le gymnase, ni dans le bus où Michaël l'avait caressée. Et depuis ce temps, son sexe était resté humide, elle devait le reconnaître, même quand elle s'était retrouvée nue dans les escaliers de l'immeuble.

    • C'est Alban ! Les interrompit Michaël en approchant de la salle de bain, téléphone à l'oreille. Il demande si tu seras à l'entraînement demain, dit-il à sa copine sans que ce ne soit vraiment une question.

    D'ailleurs il retourna tout de suite s'occuper des vêtements. Alban, le copain de foot de Michaël ; s'il avait envie de voir Maryline le lendemain c'était sûrement qu'il avait envie d'elle. Depuis qu'il l'avait baisée et qu'elle l'avait sucé il en redemandait. Pierre caressait la vulve de la petite black et elle sentit qu'elle ne tiendrait pas longtemps comme ça. L'envie d'un orgasme revenait terriblement vite. Elle ne répondit ni à Michaël, ni à son père. Celui-ci laissait glisser ses doigts le long des lèvres de la chatte gluante. Lorsqu'il comprit que la jeune fille atteignait déjà le point critique, il cessa subitement. Maryline eut un mouvement de hanches incontrôlable, son corps cherchant à retrouver les doigts qui lui faisaient du bien. Cela fit sourire Pierre qui gloussa, et aussitôt la lycéenne se ressaisit. Son mental reprit le contrôle de sa chair, mais elle devait se rendre à l'évidence. Tant qu'elle n'aurait pas pu jouir elle resterait sous tension et son corps la trahirait.

    • Allez, je te laisse t'occuper de toi, dit Pierre. Mais attention, tu ne te masturbes pas, tu le sais. Et regarde, tu as une boîte de pilules ici, tu peux en prendre une si tu n'es pas sûre de prendre la tienne ce soir.

    Il leva l'index comme on le fait pour appuyer un ordre à un enfant, et sortit de la salle de bain en refermant la porte. Enfin seule, Maryline décida que prendre une pilule maintenant était une bonne idée. Puis elle prit une douche même si elle l'avait déjà fait au gymnase peu de temps auparavant. Elle sentait trop l'odeur de son sexe et prit le temps de bien se nettoyer. Sa main s'attarda parfois un peu trop sur ses parties intimes, mais elle sut se retenir de se donner le plaisir qu'elle attendait tant. Michaël entrouvrit même une fois la porte pour voir ce qu'elle faisait. Elle ne pouvait pas le tromper.

    Lorsqu'elle ressortit après avoir fait le minimum nécessaire, elle ne disposait pas ici des produits de beauté et maquillage qu'elle aurait souhaités, elle trouva Michaël assis dans le canapé à regarder la télé. Elle entendait Pierre à la cuisine. Elle s'assit avec son copain et se blottit contre son épaule. Pendant un moment ils regardèrent la télé comme un petit couple normal, mis à part le fait que seule Maryline était nue. Puis Michaël se leva pour se changer et se préparer lui aussi. Mais avant il montra à sa copine ce qu'il lui avait choisi comme vêtements.

    • Voilà ce que je t'ai préparé pour ce soir, dit-il en montrant deux petits tas de vêtements à côté du canapé. Comme je suis gentil, je t'ai laissé deux tenues. Tu vas pouvoir faire ton choix entre les deux pendant que je me prépare. Mais ne t'habille pas tout de suite. Attends que je te le dise.

    Pierre vint s'asseoir dans le canapé, il avait terminé son travail à la cuisine, et son fils s'affaira entre sa chambre et la salle de bain. Maryline examina les tenues qu'il avait sélectionnées. Il y avait la robe-tunique bleu marine avec une ceinture posée dessus. Michaël attendait donc que cette robe soit portée avec la ceinture, et la jeune fille savait que ce serait trop court pour qu'on ne voie pas son cul. Mais la deuxième tenue était encore pire. Elle comportait la jupette jaune et le chemisier transparent. La minijupe, ça passait encore, Maryline avait pris l'habitude de porter des jupes courtes sans sous-vêtements. Mais il n'était pas question qu'elle porte ce chemisier qui ne cachait rien de sa poitrine, surtout en présence de son cousin. Elle se mordit les lèvres. C'était choisir entre la peste et le choléra et Michaël le savait. Mais son choix était déjà fait. La robe-tunique était peut-être risquée, mais si elle faisait très attention ça restait plus sage que le chemisier. Et puis, elle y repensa avec honte, Cédric avait déjà vu sa chatte entre ses cuisses nues l'autre soir, quand elle portait son maillot de foot sans rien en dessous. Le mal était déjà fait. C'est surtout avec François qu'elle devrait être prudente afin de garder son image de sage lycéenne.

    Quand Michaël sortit de sa chambre, prêt pour leur soirée, Maryline fut enchantée. Il avait mis un polo sur un jean noir, un bon compromis entre tenue cool et classe. Elle le trouva très beau. Quand il lui demanda quel était son choix pour sa propre tenue, elle lui indiqua la robe-tunique. Il fit juste « OK » et rangea les autres vêtements. Lui et Pierre se préparèrent à partir, le père ayant pris sous le bras une bouteille de vin « pour offrir », dit-il à son fils. Celui-ci enfila une veste avant de prendre la robe et la ceinture qui l'accompagnait, puis les chaussures de ville que la lycéenne avait portées toute la journée. Elle commençait à comprendre le scénario qui se dessinait.

    • Je peux m'habiller aussi ? Demanda-t-elle quand même par acquis de conscience.

    • Non, pas maintenant, répondit Michaël en ouvrant la porte de l'appartement.

    Pierre ne lui fut cette fois d'aucun secours, il se contenta de la regarder en haussant les épaules et sortit de l'appartement. Michaël fit signe que la voie était libre et Maryline sortit à son tour en retenant son souffle. Elle se retrouvait de nouveau dans les parties communes de l'immeuble dans son plus simple appareil. Ca commençait à devenir une habitude. Mais le risque de se faire prendre et la honte qu'elle en ressentait étaient encore bien présents. Elle s'accrocha au bras de Michaël comme à une bouée de sauvetage. L'ascenseur toujours en panne, ils durent descendre par les escaliers. Cela avait l'avantage d'éviter les rencontres inattendues plus facilement. Ils durent attendre sans bouger quelques longues secondes en entendant quelqu'un monter. La petite black crut que son cœur allait de nouveau exploser dans sa poitrine. Heureusement la personne qui montait s'arrêta un étage plus bas. Le trio put continuer de descendre sans encombre jusqu'au sous-sol où se trouvait le parking. Maryline frissonna en constatant la froideur du sol sous ses pieds. Elle ne lâcha pas le bras de Michaël jusqu'à ce qu'elle monte dans la voiture et se sente un peu en sécurité. Elle était à l'arrière et croisa les bras sur sa poitrine lorsqu'ils sortirent du parking. Il faisait encore jour, et les rues de la banlieue parisienne étaient très fréquentées.

    • Tu veux une punition, encore ? Lui dit Michaël alors qu'il était tourné vers elle.

    Il regardait les cuisses de la jeune fille et elle comprit. Elle les avait gardées serrées, machinalement, et se força à les ouvrir. On ne verrait certainement pas ses jambes de l'extérieur.

    • Voiiilà, fit le grand gaillard. Mais puisque t'as oublié, pose les mains à côté de toi.

    • Mmmmmm, gémit Maryline en faisant la moue, s'il-te-plaît !

    • Tu veux vraiment me faire répéter ? Pour la peine chaque fois qu'on sera en voiture tu te tiendras de cette façon:cuisses ouvertes et mains sur les côtés, quelles que soient les circonstances.

    La petite black baissa la tête, défaite. Il ne valait mieux pas aggraver la situation car son copain n'attendait qu'une occasion de la punir sévèrement. Sans oser regarder ce qu'il y avait dehors, elle écarta les bras et posa les mains sur le siège. Le regard baissé, elle voyait son sexe et savait qu'il était plus humide que jamais. Ce n'était pas la première fois qu'elle se retrouvait nue en voiture, mais ça lui faisait toujours un effet terrible.

    Michaël avait l'adresse où ils devaient se rendre et guidait son père. A un moment, alors qu'ils étaient à l'arrêt à un feu rouge, un scooter s'arrêta à côté de Maryline. Sans tourner la tête elle savait qu'il était là, tout près. Un mouvement brusque du pilote la fit tourner les yeux et elle cria de frayeur. Il l'avait vue ! C'était un jeune homme fin. Il fit des yeux comme des soucoupes et dit quelque chose que la jeune fille ne comprit pas, couvert par la vitre et le bruit de la circulation. Heureusement le feu passa au vert et le scooter reprit sa route, les dépassant. Ils arrivèrent dans un beau quartier de la capitale, un secteur assez différent des banlieues où habitaient Maryline et Michaël. « On arrive bientôt, tu peux t'habiller », dit le jeune homme en passant les vêtements à l'arrière du véhicule. La petite black ne se le fit pas dire deux fois. Elle enfila la robe en un instant et en ferma les boutons, soulagée. Puis elle mit ses chaussures, et enfin la ceinture alors qu'ils arrivaient en vue de leur destination. Pierre se gara en double file et rappela à son fils de l'appeler s'il devait venir les rechercher. Il lui donna la bouteille de vin.

    • T'inquiète, j'ai mon téléphone et j'ai pris aussi celui de Maryline, lui dit son fils.

    Lui et sa copine descendirent de voiture et traversèrent la rue au pas de course. Maryline sentit l'air frais sur ses fesses et Michaël la regarda avec un sourire coquin. Courir n'était clairement pas une bonne idée avec cette robe très courte. La porter sans rien en-dessous était de toute façon une très mauvaise idée, mais la petite black devait s'en accomoder. Sur le trottoir elle réajusta sa ceinture. Si elle voulait que le bas de la tunique couvre bien ses fesses, elle devait serrer la ceinture au minimum. Elle la desserra jusqu'à ce que la ceinture ne tienne qu'en reposant sur la largeur des hanches. Ainsi la robe restait à la limite de la décence. Le principal était couvert, au moins quand Maryline se tenait debout. Michaël l'avait regardée faire, amusé, puis la prit par la main et sonna à l'entrée de l'immeuble. Cédric leur ouvrit et leur indiqua l'étage. Ils étaient les premiers arrivés et il les accueillit à bras ouverts. Il portait une barbe d'une semaine bien taillée, et était habillé d'un jean et d'une chemise.

    •  Bonsoir ! Je suis content de vous voir, dit-il tout sourire en balayant d'un regard la petite black de bas en haut.

    Il serra la main de Michaël et fit la bise à Maryline.

    • Merci mais c'était vraiment pas la peine, dit-il lorsque Michaël lui offrit la bouteille de vin. Bon, on l'ouvrira tout à l'heure.

    Puis il fit faire au couple le tour du propriétaire. Son appartement n'était pas très grand mais aménagé comme un petit cocon, un vrai logement de parisien. Maryline remarqua évidemment les regards de Cédric sur ses jambes dénudées, et il détournait les yeux chaque fois qu'elle le prenait en flagrant délit. Il la faisait entrer en premier dans les pièces qu'il faisait visiter, et la jeune fille s'imaginait que derrière elle il cherchait à voir ce qu'elle avait sous sa courte robe-tunique. Elle crut même surprendre un échange à voix basse entre lui et Michaël, et des petits rires étouffés. Le tour fut rapide vue l'exigüité des lieux, et Cédric proposa de servir à boire en attendant François. Ils se mirent debout face au comptoir qui séparait le coin salon du petit coin cuisine. Alors qu'il ouvrait le frigo pour prendre une bière pour Michaël, celui-ci, discrètement, porta la main au décolleté de sa copine et ouvrit le premier bouton de la robe. Maryline fit un geste pour l'en empêcher mais il l'en défendit d'un regard appuyé. Elle protesta en articulant « non » silencieusement, mais le mal était fait et elle n'osa pas reboutonner sa robe. Les gros boutons qui fermaient son vêtement étaient espacés, et avec le premier d'entre eux déboutonné, son décolleté laissait visible tout le sillon entre ses seins, ce qui ne laissait aucun doute sur le fait qu'elle ne portait pas de soutien-gorge. La petite black se rassura en s'accrochant au bras de son copain et en posant la tête sur son épaule. Cédric servit la bière de Michaël, en prit une pour lui-même et donna à la lycéenne le soda qu'elle avait choisi. Son regard plongea évidemment un bref instant dans le décolleté qui lui était offert, et Maryline prit une longue gorgée de soda afin de masquer sa gêne. Puis la conversation démarra sur les occupations des uns et des autres. Cédric travaillait dans la même start-up que François, dans le domaine de l'internet, et il raconta quelques anecdotes rigolotes sur les aléas de son travail. Puis la conversation dériva sur le football et c'est Michaël qui parla de ses matchs. Quand Cédric posa la question à Maryline, celle-ci avoua que le foot ne l'intéressait que depuis peu, en fait depuis qu'elle avait rencontré Michaël il y avait à peine deux semaines. Son copain évoqua les pom pom girls et la jeune fille fut un peu blasée de devoir encore en parler, mais Cédric semblait très intéressé par le sujet. Maryline remarqua qu'il discutait davantage avec son décolleté qu'avec elle, et qu'une main dans la poche de son pantalon s'agitait plus qu'il n'était nécessaire. Il se caressait la bite, se dit-elle ! Cette constatation lui fit plus d'effet qu'elle ne l'aurait cru. Malgré elle l'image du sexe de Cédric se forma dans son esprit, et cette pensée lui redonna une bouffée de chaleur dans l'entrejambe. Elle écarta un peu les cuisses pour laisser respirer sa chatte. Et elle appuya sa poitrine contre le comptoir, ses seins se posèrent sur le faux marbre et, effet indésirable, les pans du décolleté s'écartèrent un peu plus. A côté Michaël n'en ratait pas une miette et s'amusait de voir les réactions de sa copine et de Cédric, dont les yeux s'étaient agrandis comme des soucoupes.

    Heureusement pour Maryline qui préférait éviter d'approfondir le sujet des pom pom girls, François arriva à ce moment-là. Cédric le fit entrer et ce furent les salutations. François s'excusa pour son retard à cause d'un problème dans le métro. Il fit la bise à sa cousine, avec un regard clairement désapprobateur à son décolleté.

    • Mais c'est quoi ça ? Fit-il d'un air faussement moqueur en rapprochant les pans de la robe. Tu veux nous mettre tes miches sous le nez ?

    Michaël et Cédric l'alpaguèrent tout de suite pour détourner son attention du sujet. Ils avaient la même intention : éviter qu'il n'oblige sa cousine à rendre sa tenue plus décente. Cédric montra à son collègue le nouvel aménagement du salon. François était déjà venu plusieurs fois, mais Cédric avait racheté un canapé et réorganisé le mobilier en vue de cette soirée. Pendant ce temps Michaël prit une bière dans le frigo, l'ouvrit et la donna d'office à François qui fit juste « merci » en continuant d'écouter ce que lui disait son collègue. Puis Cédric invita tout le monde à s'asseoir dans ce fameux nouveau canapé, et même à se mettre à l'aise en enlevant leurs chaussures s'ils le souhaitaient. Michaël enleva les siennes et invita fermement Maryline à faire de même. Elle se retrouva donc pieds nus, ce qui ne la dérangeait pas, au contraire, elle aimait ça. Mais cela lui donnait l'impression d'être encore davantage nue alors qu'elle ne portait plus en tout et pour tout qu'un seul vêtement. Michaël s'assit au milieu du canapé, laissant François d'un côté, et Maryline de l'autre. La jeune fille fut contente de ne pas se trouver juste à côté de son cousin dans cette tenue. La tunique était si courte qu'elle était assise sur ses fesses nues. Bien sûr elle devait garder les cuisses ouvertes, ce qu'elle n'oublia pas de faire, gardant le risque de punition en tête. En baissant simplement les yeux, elle pouvait voir son propre sexe. Elle sentit une bouffée de chaleur lui monter aux joues. Elle croisa le regard de Michaël qui lui sourit. Et bien entendu, Cédric, lui, prit un tabouret et s'assit face au canapé, après avoir posé leurs canettes et verres sur une table basse, ainsi que d'autres bouteilles pour l'apéritif. Il s'essuya le front quand son regard se posa sur l'entrejambe de la petite black. La fente rosée et luisante d'humidité était offerte à son regard. C'est Michaël qui relança la conversation, voyant que leur hôte restait bouche bée. Maryline participa aussi comme si de rien n'était afin d'éviter le malaise. Mais de malaise il n'y avait pas. Cédric croisa son regard et elle le soutint, puis il croisa celui de Michaël et les deux hommes échangèrent un sourire de connivence. Le collègue de François comprit clairement que le grand gaillard exhibait sa copine volontairement.

    L'apéritif fut servi après les bières et soda, et l'alcool aidant l'atmosphère se détendit davantage. François semblait fatigué après sa journée de travail, mais il était de bonne humeur et ne s'occupait pas de sa cousine. Par contre la jeune fille remarqua que Cédric le servait copieusement en alcool, à son insu. Il buvait deux fois plus qu'eux. Et quand Cédric s'éclipsait de temps en temps vers le coin cuisine pour s'occuper de préparer le repas, c'est Michaël qui prenait la relève et resservait François. Chaque fois que Cédric se rasseyait devant elle, Maryline voyait les yeux du jeune homme se poser sur ses pieds nus et remonter le long de ses jambes brunes pour plonger entre ses cuisses. Elle craignait de laisser une tâche sur le canapé neuf tellement sa chatte était en feu. Et elle eut un sourire coquin quand elle vit la bosse que formait le pantalon du jeune homme à son entrejambe.

    Quand Cédric retourna au coin cuisine et annonça que le repas était prêt, Michaël suggéra à sa copine d'aller l'aider pour le service. Pendant ce temps le grand gaillard occupa François et ils allèrent s'asseoir à table côte à côte en discutant de séries télé. Cédric était ravi que Maryline lui donne un coup de main. Il lui remit les assiettes et couverts et elle les disposa à table. Elle revint le voir plusieurs fois pour les verres, les serviettes et le reste. Il lui souriait continuellement et la complimentait discrètement sur sa tenue, lui disant qu'elle était belle à croquer. Quand il lui mit le plat chaud avec le rôti dans les mains, il en profita et la petite black fut surprise de son audace. Elle tournait le dos à la table du salon, et le collègue de son cousin écarta un pan de son décolleté pour dévoiler complètement un de ses seins.

    • Arrête ! Mais qu'est-ce que tu fais ? Chuchota-t-elle en reculant d'un demi-pas alors qu'elle avait les mains occupées.

    • Ne lâche pas le plat, attention ! » lui dit-il tout bas avec un sourire amical.

    Il se délecta un instant de la vue du téton tendu, puis remit la robe en place. La jeune fille sentit le bout des doigts caresser son sein dans le mouvement. Elle alla poser le plat à table, le souffle court. Michaël évitait de la regarder, attentif à ce que lui disait François afin que le black reste concentré sur lui. Il lui servit un verre de vin avant tout le monde. Mais François, bien qu'émêché, se rendait compte qu'il avait déjà bu plus que de raison et ralentit la cadence.

    Maryline s'assit à table face à Michaël et Cédric prit la place restante à côté d'elle. La jeune fille garda les cuisses ouvertes, au cas où son copain vérifie d'une manière ou d'une autre sa position, et aussi parce que Cédric avait déjà tout vu et qu'il lui importait peu de se montrer à lui à présent. Le jeune homme l'avait bien remarqué et matait l'entrecuisse de sa voisine de temps en temps. Son sexe était tendu sous son pantalon et il se caressait parfois le membre, discrètement par rapport à ceux d'en face, mais ostensiblement pour la petite black qui ne pouvait s'empêcher de poser un œil occasionnel sur la forme que dessinait le phallus sous le tissu du pantalon. Le repas était bon et agréable, avec des discussions endiablées et des rires, de la nourriture et du vin à profusion. Maryline en accepta un verre, puis deux, puis en perdit le compte. A la fin du repas elle n'avait plus les idées très claires. Elle riait à tout va, d'un petit rire stupide. Les hommes étaient émêchés, sans plus, et même François avait réussi à garder le contrôle malgré l'insistance des autres à le faire boire. Après le repas Cédric proposa une cigarette à Michaël et ils fumèrent ensemble à la fenêtre ouverte. François en profita pour discuter avec Maryline de son programme du week-end. Puis il lui proposa, mais c'était davantage un ordre qu'une suggestion, qu'elle rentre avec lui à leur appartement en métro. Elle n'était pas contre, mais Michaël qui avait tout entendu intervint. Rentrer en métro n'était pas sûr et il était tard. Il pouvait appeler son père, et celui-ci les ramènerait tous en voiture. Et puis de cette manière il pourrait aussi ramener les affaires de Maryline puisque son sac d'école était resté chez lui. François réfléchit et avec un peu de persuasion il accepta la proposition. Michaël fit un clin d'oeil à Cédric, ce que ne remarqua pas Maryline qui était trop embuée par l'alcool. Le grand gaillard partit à l'écart pour passer un coup de fil à son père en toute discrétion puis il revint au salon où tout le monde s'était installé pour boire un digestif. Il vit que François et Cédric s'étaient engagés dans une discussion endiablée sur leur travail, et il en profita. Il prit sa copine par la main et l'emmena. Le cousin de Maryline ne sembla pas remarquer que le couple s'éloignait, et Michaël fit entrer la petite black dans la chambre de Cédric.

    • Mais qu'est-ce que tu fais ? Lui demanda la jeune fille d'une voix embuée par l'alcool.

    • Je veux profiter de toi, qu'est-ce que tu crois ? Répondit le grand gaillard. Avec Cédric on a essayé de se débarrasser de ton cousin en le faisant boire, mais il est plus dur à cuire que je pensais. La soirée ne va pas comme prévu. Mais j'ai quand même envie de te baiser avant qu'on rentre.

    • Ici ? Mais... Et qu'est-ce que Cédric a à voir là-dedans ?

    • Il en a envie aussi, bien sûr ! Allez, désape-toi, fit Michaël. On n'a pas beaucoup de temps, il ne faut pas que François soupçonne quelque chose.

    • Sérieux ? Tu veux vraiment faire ça maintenant ? Ici ? S'te plaît, je veux rien faire devant mon cousin, plaida-t-elle.

    • C'est où je veux quand je veux, tu le sais. Alors maintenant déshabille-toi avant de gagner une punition. On n'est pas devant lui, mais ça pourrait se faire. Ce serait une punition sympa de te baiser au salon devant les autres.

    • Nan, nan ! Fit la petite black qui serra les paupières pour s'éclaircir les idées. Pas la peine, je me désape, voilà.

    En quelques secondes elle enleva sa robe et se retrouva complètement nue. Elle s'assit sur le bord du grand lit. Michaël ne perdit pas de temps, il ouvrit juste son pantalon et sortit sa queue qui était à demi-tendue. Il souleva les fesses de sa copine et l'allongea au bord du lit. Il ne voulait pas perdre de temps, peut-être pour que leur absence au salon ne soit pas trop longue et ne soit pas remarquée. Michaël souleva ensuite les cuisses de la petite black et les ramena contre sa poitrine. Il posa la main gauche sur le lit à côté de son visage, et de l'autre main il prit son pénis et en frotta le gland le long de la vulve rosée. Le résultat fut double : son sexe se durcit instantanément, et celui de Maryline envoya une onde de plaisir lui traverser le corps. Soudain elle sentit le jeune homme lui pénétrer le vagin de tout son long. Il posa sa main droite de l'autre côté de son visage. Ainsi positionné, son regard perçant se planta dans les yeux de la jeune fille, et il coinçait ses jambes relevées entre ses coudes. Il donna immédiatement de grands coups de bite et cogna au fond du vagin. Il glissa avec aisance tellement Maryline était déjà humidifiée. Les premières pénétrations puissantes arrachèrent des gémissements à la petite black. Michaël craignit qu'elle ne puisse se retenir de crier. Il posa la main droite sur la bouche de sa copine et appuya son coude sur le lit. La jambe de la jeune fille se retrouva coincée contre son épaule. Il reprit ses coups de boutoir en respirant bruyamment, et à chaque pénétration tout le petit corps de sa partenaire glissait sur le lit. Elle gémissait sous la main du grand gaillard, sa bite lui remplissait le ventre et elle était tellement excitée qu'elle sentit rapidement monter l'orgasme. Ce ne fut qu'une question de secondes avant qu'elle ne jouisse dans un gémissement suraigü. Michaël lui écrasait la bouche de sa main gigantesque et continuait de la pénétrer sauvagement, prolongeant son plaisir et son gémissement se changea en une sorte de sanglot de plaisir. Cet orgasme démonstratif sembla accélérer le plaisir du jeune homme qui accéléra ses va-et-vients avant de jouir à son tour. Il plongea avec force au plus profond du vagin de sa copine et y resta de longues secondes le temps d'y déverser son sperme. Puis il se laissa tomber sur elle le temps de reprendre des forces.

    • Humpf ! Tu m'écrases, chuchota-t-elle en riant entre ses jambes qui encadraient son visage.

    Elle essaya de bouger le grand gaillard mais en fut incapable. C'est lui qui décida de se relever un moment plus tard. Il remit en place son pantalon. Maryline déplia ses jambes et s'étira, et pendant ce temps le grand gaillard ramassa la robe et se tourna vers la porte.

    • Tu fais quoi ? Michaël ? Demanda la petite black à voix basse, n'osant pas attirer l'attention de ceux qui se trouvaient de l'autre côté, au salon.

    Elle sauta du lit quand Michaël ouvrit la porte et sortit de la chambre. Elle eut le temps d'entrevoir le salon, François de dos et Cédric qui lui parlait. Puis la porte se referma sur elle. Elle eut un instant de panique. Elle ne comprenait pas ce que faisait son copain. Elle colla son oreille à la porte. Elle entendait des échanges vocaux mais ne parvint pas à comprendre ce qui se disait. Après quelques instants, la poignée de la porte s'abaissa et Maryline eut à peine le temps de reculer jusqu'au bord du lit avant que la porte ne s'entrouvre. Cédric se glissa dans la chambre et referma derrière lui sans que la jeune fille n'aperçoive ce qui se passait au salon. Il avait sa robe à la main. Assise du bout des fesses sur le lit, surprise, elle replia les bras sur son ventre et serra la cuisses dans une futile tentative de se protéger du regard du jeune homme. Celui-ci ne dit pas un mot, il fit seulement « chuuuut » en pointant un doigt devant ses lèvres. Il posa la robe sur le lit, puis il ouvrit son pantalon et sortit un sexe fièrement dressé.

    • Qu'est-ce que ?... Qu'est-ce que tu veux ? Demanda la petite black alors que le jeune homme approchait sa bite à quelques centimètres d'elle.

    • Michaël a dit que tu étais prête. Que tu m'attendais que je vienne te... enfin tu comprends, quoi, répondit Cédric.

    • Ho non, Cédric, s'il-te-plaît, non, supplia la jeune fille. Je sais pas ce que t'as dit Michaël ou si j'ai pu te faire croire que j'en avais envie, mais non. T'es gentil c'est vrai, je t'aime bien, mais non, pas maintenant.

    Cédric eut un mouvement de recul, décontenancé.

    • Mais tu t'es laissée faire tout à l'heure, quand je t'ai touchée le sein. Et ta tenue, tout ça, ça incite à penser que... Enfin, tu vois, quoi.

    • Je sais, c'est pas de ta faute, fit Maryline avec un petit sourire. C'est Michaël qui me fait faire tout ça, mais j'ai pas toujours envie de faire ce qu'il demande.

    • OK... Cédric fit une pause, semblant réfléchir à ce qu'il allait dire. Ecoute, j'ai pas envie de te forcer, c'est pas ma façon de faire avec les femmes. Je comprends pas bien votre manège avec ton copain, c'est vraiment chelou. Alors on oublie ça, OK ?

    Sur ce il fit mine de ranger son sexe dans son pantalon, mais la petite black attrapa la queue tendue avec sa petite main pour l'en empêcher.

    • Attends, fit-elle. C'est la première fois qu'un garçon ne veut pas profiter de moi. Enfin, depuis que Michaël me fait faire tout ça, je veux dire. J'ai l'impression que c'est la première fois qu'on me laisse le choix. Et je vois que tu as très envie...

    Elle le tira par sa queue tendue jusqu'à l'avoir juste devant elle.

    • Je veux bien te faire plaisir, ajouta-t-elle avec un sourire mutin. Je peux pas te laisser comme ça, quand même. Je vois pas pourquoi ce seraient toujours les mauvais garçons qui auraient droit à quelque chose. Un gentil comme toi mérite une récompense, je crois.

    Et elle commença à le masturber de sa petite main. Elle fit des va-et-vients sur le phallus dressé devant elle, appuyant parfois du pouce sur le gland rosé. Elle constata rapidement que les frottements allaient la gêner, et elle lécha alors la bite sur toute la longueur, passant la langue autour, avant de gober le gland dans sa bouche. Cédric émit un petit gémissement de bonheur mais ne bougea pas, trop heureux de ce que lui faisait la jeune beauté noire nue devant lui. Maryline prit son sexe plus loin dans sa bouche, le lubrifiant sur presque toute sa longueur. Puis elle le recracha et reprit sa masturbation à la main. Elle s'activa plus rapidement à présent que la bite luisante glissait bien entre ses doigts. Le jeune homme haletait de plaisir. Maryline occupa son autre main en sortant les testicules du boxer où elles étaient restées cachées, puis elle les caressa. Elle les malaxait doucement du bout des doigts tout en continuant ses va-et-vients vigoureux sur la bite qui tressautait entre ses doigts. Cédric n'allait pas tarder à jouir, elle en reconnaissait les signes annonciateurs. Aussi, elle ouvrit la bouche et sortit la langue juste devant le gland turgescent. Elle voulait éviter que le sperme ne coule sur elle, le lit ou à terre. La meilleure solution était de le recevoir dans sa bouche. Elle masturbait le jeune homme avec une vigueur renouvelée. Elle avait envie, mais elle osait à peine se l'avouer, de connaître le goût de son sperme. La vue de la petite black bouche ouverte et langue tendue devant sa bite donna le dernier stimulus qu'il fallait à Cédric pour jouir. Maryline sentit la contraction de son périnée et plaça le gland sur sa langue. Le premier jet de sperme gicla au fond de sa bouche. Puis il y en eut un deuxième, puis un troisième.

    • Hoooo, ça faisait si longtemps, murmura le jeune homme en fermant les yeux.

    Il sentit les lèvres se refermer sur son gland et la jeune fille aspirer les dernières gouttes. Lorsqu'il ouvrit les yeux, il la vit ouvrir la bouche et lui montrer la blanche semence salée sur sa langue. Puis elle l'avala et lui montra qu'il n'y avait plus rien. Il lui caressa la joue.

    • Tu ne diras rien à Michaël, d'accord ? Lui dit-elle. S'il te demande, dis-lui qu'on a baisé, OK ?

    • Tu es un trésor, répondit Cédric. D'accord, c'est ce que je lui dirai.

     

    A suivre...

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  • Commentaires

    1
    Ack'elma
    Mardi 18 Avril 2023 à 01:13
    J'aime beaucoup l'histoire. Jusqu'à présent je n'en ai pas trouvé d'autre aussi intéressante et aussi longue. Qi quelqu'un en connaissait d'autre, je suis intéressée
    2
    OzdeK
    Mardi 2 Mai 2023 à 08:52
    Effectivement c'est de très loin le meilleur texte que j'ai lue. Dans les très bon tu trouve "l'asservissement de Laure" mais il n'a jamais été terminé
      • Mardi 2 Mai 2023 à 22:11

        Que de louanges, merci ! Vos commentaires m'encouragent à continuer, ça fait plaisir.

    3
    Jean pierre
    Lundi 29 Mai 2023 à 17:25
    Ma question est de savoir si y’a eu d’autre filles avant Maryline qui se sont fait avoir par Michael et son père ou s’il y en aura d’autre ? De plus de quoi sera fait leur avenir
      • Lundi 19 Juin 2023 à 17:40

        Je ne me suis pas posé la question, ça peut donner un développement futur à l'histoire.

    4
    FanDeMaryline
    Lundi 19 Juin 2023 à 11:45
    Toujours fan de l histoire Attend avec impatience la suite des aventures de notre belle heroine
      • Lundi 19 Juin 2023 à 17:41

        Bientôt, certainement cette semaine :)

    5
    FanDeMaryline
    Mercredi 21 Juin 2023 à 14:03
    Très bonne nouvelle :D
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