• chapitre 31

    Le match terminé les spectateurs quittaient les tribunes. Beaucoup partaient directement mais un certain nombre se rendaient à la buvette pour la troisième mi-temps. Ses amis partis, Maryline aperçut Alice et Laetitia vers les vestiaires et quitta la tribune pour les rejoindre. Lorsqu'elle les retrouva, les cheerleaders s'apprêtaient à se rendre du côté de la buvette. Mathias discutait avec elles, encore en tenue de match.

    • Mon père veut qu'on se mêle aux supporters à la buvette ou aux alentours, dit Alice. Il faut qu'on fasse bonne impression, qu'on soit avenantes, et qu'on ne refuse pas de faire des photos, par exemple. Alors je compte sur vous, les filles. On va sûrement tomber sur des relous mais on doit rester cools.

    Mathias retint Maryline par le bras alors que les deux autres filles partaient déjà.

    • Hé, ça fait plaisir de te voir, petite, lui dit-il en déposant un baiser sur ses lèvres. Paraît que vous avez fait un carton avec votre spectacle. Tu m'étonnes !

    Discrètement il glissa la main sous la jupe de la petite black et caressa directement les lèvres de son sexe.

    • Arrête, je dois rejoindre les autres, dit Maryline. T'as entendu Alice ?

    • Je sais, dit le grand jeune homme. Vous allez exciter les mecs pour qu'ils dépensent leur fric à la buvette ou à la boutique. Fais quand même attention à toi, ok ?

    • T'inquiète, qu'est-ce qui peut m'arriver ? Répondit-elle en rigolant.

    Elle le quitta et Mathias se retrouva avec les doigts humides. Il les porta à son nez pour en savourer l'odeur. La fragrance musquée fit apparaître un grand sourire sur son visage.

    Lorsque les pom pom girls firent leur apparition devant la buvette, les supporters commençaient à affluer. Le match se terminait sur un score nul de deux buts partout. Les tribunes allaient se vider, et la rumeur que les pom pom girls étaient là attira du monde. Alice, Laetitia et Maryline ne tardèrent pas à être sollicitées. On les félicita, on leur lança des sifflets et des mots plus crus, et bien sûr on leur demanda de poser pour des photos, toutes les trois ensemble au début. Puis certains supporters demandèrent des selfies, et les filles se séparèrent pour satisfaire tous ceux qui en demandaient. Elles ne se départaient pas de leurs grands sourires malgré le peu de courtoisie de certains. Maryline tomba aussi sur une fille qui lui posa des questions sur les cheerleaders et leur entraînement. Elle avait à peu près son âge, était pâle de peau aux cheveux châtains et était accompagnée de deux garçons plus vieux. Ceux-ci ne manquèrent pas de poser les mains sur la pom pom girl noire alors qu'elle parlait avec la fille. Ils lui tenaient les hanches et les épaules et prirent eux aussi leurs selfies. La fille semblait intéressée pour devenir pom pom girl elle aussi, et Maryline l'emmena alors voir Alice.

    • Super ! Comment tu t'appelles ? Demanda la sœur de Michaël.

    • Elsa, répondit la jeune fille.

    • Je vais t'expliquer ce qu'on fait, puis tu me donneras ton numéro.

    Maryline les laissa discuter entre elles, et les deux jeunes gens qui accompagnaient Elsa en profitèrent pour inviter la petite black à prendre une boisson avec eux. Elle sentait que ce n'était peut-être pas une bonne idée, mais elle ne pouvait pas dire non, elle était là pour ça : inciter les gens à consommer. Elle voulut prendre un soda mais les deux jeunes gens insistèrent pour lui offrir une bière. Elle accepta pour ne pas les contrarier. Mais leurs mains ne quittaient pas son corps. Elle les sentait dans le bas de son dos, sur ses hanches, sa nuque, ses cuisses. Les deux hommes lui parlaient du côté sexy du spectacle des pom pom girls, qu'ils avaient apprécié évidemment, et finirent par demander avec amusement ce que les jeunes filles portaient sous leur uniforme. Une main se posa alors sur les fesses de Maryline et elle se dégagea prestement afin d'éviter que ça n'aille plus loin.

    • Bas les pattes ! Ca ne vous regarde pas ce qu'on a en-dessous, dit-elle avec un air mutin qui leur parut plus excitant que dissuasif.

       

    La buvette était encore fréquentée, et rapidement à ses deux dragueurs d'autres s'ajoutèrent. La petite black se sentit oppressée par ces hommes qui la serraient de près et la draguaient sans vergogne, et elle but quelques gorgées de bière afin de déstresser. La discussion tournait à présent franchement autour du sexe, et Maryline ne parvenait plus à écarter les mains baladeuses. Elle sentait carrément le sexe tendu sous le pantalon de jogging d'un des mecs contre son flanc, et une main se glissa dans le bas de son dos sous l'élastique de la jupe pour lui caresser le haut des fesses. Si celui à qui appartenait la main avait eu jusque-là un doute sur le fait qu'elle ne portait pas de culotte, il n'en avait plus à présent. Mais il n'en dit rien, heureusement. Maryline, elle, cherchait des yeux un secours quelconque mais ne voyait plus ni Alice ni Laetitia. Les hommes cherchaient à l'emmener plus loin, à lui faire quitter la foule festive de la buvette afin de profiter d'elle plus facilement, mais elle refusa. C'est alors qu'une grande silhouette noire aux cheveux grisonnants apparut : Gilbert.

    • Maryline, dit-il de sa voix grondante en attrapant la jeune fille par l'épaule.

    Celle-ci fut plus que ravie que le vieil africain la tire du piège dans lequel elle s'embourbait. Les hommes qui l'entouraient la laissèrent partir à contrecoeur avec Gilbert, croyant que c'était son père. Les deux noirs s'éloignèrent de la foule en marchant tranquillement.

    • Merci de m'avoir tirée de là, lui dit la pom pom girl. Ils devenaient carrément trop collants, ceux-là.

    • Pas de quoi, répondit Gilbert. Je crois qu'ils avaient tous bien envie de te besogner dans un coin. Et je les comprends, ajouta-t-il avec un large sourire. Tu as fait un spectacle très réussi. Tu as bien chauffé tous les hommes.

    • Arrête, c'est pas ce que j'ai voulu faire, fit Maryline gênée.

    • Hé, fais pas la petite innocente. Tu mets ton joli cul sous notre nez, qu'est-ce que tu crois ? Nous sommes que des hommes. Moi aussi ça m'a chauffé.

    La petite black avala une large gorgée de bière pour finir son gobelet qu'elle jeta dans une poubelle en passant. Puis sur une impulsion elle posa la main à l'entrejambe du vieil africain. Elle sentit son sexe à demi-tendu. Elle prit une inspiration pour s'éclaircir la tête. Sa chatte réclamait une bite, elle en avait envie et elle envisagea un instant l'idée de faire plaisir à Gilbert, puis elle se ressaisit. Ce n'était ni l'endroit ni le moment et ni la bonne personne. Il était trop vieux ! Plus vieux même que Pierre. Soudain elle entendit qu'on l'appelait : « Maryline ! ». C'était justement Pierre qui lui faisait signe de loin. Il était avec Alice et Laetitia. Elle saisit avec plaisir l'occasion d'abandonner le vieil homme.

    • Je suis désolée, je dois rencontrer le président du club, c'est super important, dit-elle. Merci encore, et à une prochaine fois peut-être ?

    Elle ne voulait pas quitter Gilbert d'une manière aussi abrupte, et déposa juste un chaste baiser sur ses lèvres.

    • Attends ! Lui dit le vieil africain. Donne-moi au moins ton numéro pour que je te rappelle.

    • OK, soupira Maryline.

    Elle lui donna son numéro de téléphone que Gilbert enregistra dans son appareil, et il envoya tout de suite un texto à la jeune fille.

    • Comme ça tu as le mien aussi, fit Gilbert avec un large sourire.

    Maryline lui fit encore un signe de la main en rejoignant Pierre et les filles. Le béninois répondit en levant la main lui aussi, un peu tristement. Ce ne serait pas aujourd'hui qu'il profiterait de la fraîcheur du corps de la jeune fille. Il allait certainement de nouveau se reporter sur sa femme qui ne comprendrait pas ce qui lui arrivait.

    Pierre mena les pom pom girls à l'intérieur du stade, vers une grande salle de réception d'où une baie vitrée offrait une vue imprenable sur le terrain de football. Une quinzaine de personnes, principalement des hommes, étaient là à discuter en petits groupes en buvant du Champagne et en grignotant le peu de petits fours qu'il restait sur une grande table nappée de blanc. Un vieil homme corpulent au ventre qui tendait sa chemise sous sa cravate fit un signe à Pierre en le voyant arriver et leva sa coupe de Champagne.

    • Mesdames et messieurs, clama-t-il tout souriant à haute voix afin d'attirer l'attention de tout le monde, j'ai le plaisir de vous présenter la toute nouvelle attraction du club. Faites un triomphe à nos pom pom girls pour qui c'était la première aujourd'hui.

    Des applaudissements retentirent dans toute la salle. Pierre et les filles n'étaient pas arrivés jusqu'à l'homme qui avait parlé et ils se retrouvèrent au centre de l'attention.

    • Ces trois filles ont fait un boulot extraordinaire en très peu de temps, continua l'homme corpulent, puisque cela fait à peine deux semaines que le groupe a concrètement été mis en place. Et aujourd'hui elles ont été plus efficaces que nos joueurs ! Je plaisante, bien sûr. J'en profite pour mettre à l'honneur Pierre Correia notre directeur de la communication qui est à l'initiative de ce projet. Il a su nous convaincre, contre vents et marées, que ce serait un atout pour le club. Et jusque-là il n'a pas eu tort. La démonstration d'aujourd'hui lui a donné raison.

    L'homme prononça encore quelques phrases flatteuses agrémentées de traits d'humour, puis porta un toast à Pierre et aux pom pom girls. Un barman servit une coupe de Champagne à chacun et chacune, et Maryline et les filles participèrent donc au toast. Pierre les amena à la rencontre de l'homme qui avait prononcé le discours.

    • Jean-Marc Roux, le président du club, fit-il à l'attention des filles. Jean-Marc, je te présente Alice ma fille, Laetitia et Maryline.

    • Félicitations mesdemoiselles, vous nous avez offert un spectacle de qualité.

    Jean-Marc était un homme affable, bon vivant et au sourire communicatif. Pierre présenta un autre homme qui était à ses côtés, Jérôme. Maryline ne retint pas son nom ni sa fonction au sein du club. Il était tout aussi vieux que Jean-Marc, mais d'allure plus mince et plus réservé. Ils firent un peu la conversation aux filles, puis discutèrent ensuite plutôt avec Pierre. Un autre homme rejoignit le groupe peu après, que Pierre présenta sous le nom de Pascal, un autre membre du staff du club. La discussion prit une tournure professionnelle.

    • Vous pouvez y aller, les filles, dit Pierre. Allez vous changer et vous pouvez partir. Merci encore, vous avez assuré, fit-il avec un pouce levé.

    Les trois jeunes filles ne se firent pas prier et quittèrent le salon de réception pour rejoindre les vestiaires. Le Champagne les avait excitées et, après une bière et une coupe de Champagne Maryline sentait déjà la tête lui tourner. Michaël l'attendait à la porte des vestiaires. Il fit la bise à Laetitia et à sa sœur, puis embrassa sa copine.

    • Tu as été géniale à ce qu'on m'a dit, lui dit-il en la tenant encore dans ses bras alors que les deux autres pom pom girls entraient au vestiaire. Je suis déçu de pas t'avoir vue, mais P'pa m'a dit qu'il aura une belle vidéo.

    • Et ça doit me rassurer ? Fit Maryline d'un air sarcastique.

    • Fais pas ta tête, t'étais géniale, j'te dis. Mais au fait, on est tout seuls, là, ajouta-t-il en regardant de part et d'autre.

    • Ho naaaaan, s'il-te-plaît.

    • C'est la règle, tu sais bien, insista le grand gaillard en haussant les épaules.

    • Mais il y a encore du monde là-haut, je le sais, on y était, et à la buvette peut-être aussi. Et les filles ? Demanda la petite black avec un signe de tête vers le vestiaire.

    • T'inquiète, on est loin de tout le monde, personne ne viendra ici. Et les filles, elles t'ont déjà vue à poil, et au vestiaire y a rien de bizarre à ça.

    • Mais on n'est pas dans le vestiaire, là, c'est le couloir.

    • Tu tiens vraiment à continuer à discuter alors que t'as déjà une punition en réserve ? Fit le jeune homme avec un air condescendant. Alors file-moi ta tenue vite fait et tu entres au vestiaire. Mais ne t'habille pas tout de suite, attends-moi.

    • Quoi ? S'exclama la jeune fille.

    • T'as bien compris, ne me fais pas répéter.

    • Mais qu'est-ce que je vais leur dire, moi ?

    • La vérité, que c'est moi qui t'ai demandé de faire ça. Elles me prennent déjà pour un pervers, ça changera rien.

    • Fait chier, maugréa Maryline.

    Elle s'exécuta malgré tout et se déshabilla complètement, chaussures comprises, ce qui fut rapide. Elle frissonna, pieds nus sur le sol qui lui paraissait si froid. Michaël prit ses vêtements et chaussures et la laissa entrer au vestiaire. Elle le vit s'éloigner avec sa tenue de pom pom girl alors qu'elle franchissait la porte. Alice et Laetitia, qui étaient en train de se changer, poussèrent des cris de surprise.

    • Ne dites rien s'il-vous-plaît, c'est Michaël, fit la petite black tête baissée en traînant les pieds.

    Laetitia pouffa en se moquant ouvertement alors que Maryline s'asseyait sur le banc. Elle laissa les cuisses ouvertes mais posa les mains entre elles pour cacher un peu son sexe.

    • Finalement je suis contente de ne pas avoir dragué ton frère, Alice, dit la grande blonde. Il est trop chelou, moi je l'aurais jamais laissé me faire ça.

    • Tu crois ? Fit la petite brune d'un air exagérément interrogateur. Tu loupes peut-être quelque chose, c'est peut-être hyper excitant, va savoir ?

    • Pffff ! Laisse tomber, même pas en rêve ! s'exclama Laetitia.

    • Mary ? Tu t'habilles pas ? Demanda Alice.

    Elle et Laetitia étaient déjà en train d'enfiler leurs tenues de ville.

    • Non, soupira la petite black. Michaël m'a dit de l'attendre ici avant de me rhabiller.

    • 'Tain ? Il veut te baiser ici ou quoi ? Demanda Laetitia. Je veux pas assister à ça, merci. Beurk ! Je vais vous laisser.

    Elle termina rapidement de s'habiller, ainsi qu'Alice qui fit un clin d'oeil à la petite black.

    • Amusez-vous bien, je m'attarde pas non plus, dit-elle.

    Elles firent juste un signe de la main et sortirent. Celle-ci les entendit échanger quelques mots avec quelqu'un dans le couloir. Ne sachant qui c'était Maryline eut un instant de panique, puis elle reconnut la voix de Michaël. Il entra dans le vestiaire juste après, et elle enleva immédiatement les mains de son entrejambe afin de ne pas l'énerver. Il avait un grand sac plastique à la main.

    • J'ai mis tes tenues de pom pom girl là-dedans avec les baskets, dit-il. Tu pourras les remmener chez toi.

    Il ramassa ensuite la petite robe sport de sa copine et la mit dans le sac à son tour.

    • Mais qu'est-ce que tu fais ? Demanda Maryline avec appréhension.

    • T'en auras pas besoin pour l'instant, répondit simplement le grand gaillard.

    Il prit aussi les chaussures à talons carrés et le petit sac à dos de la petite black. Ils rejoignèrent le reste dans le grand sac.

    • Mais comment je vais rentrer chez moi ? Demanda la jeune fille avec un sanglot dans la voix.

    • Tu rentres pas tout de suite, on a autre chose à faire pour l'instant.

    Il lui tendit la main.

    • On va jouer la troisième mi-temps avec des potes, viens.

    Maryline lui attrapa la main et se leva.

    • Mais on... on va où ? Je peux pas y aller comme ça quand même ? S'il-te-plaît...

    • Si si, je t'emmène à poil, répondit le jeune homme avec un sourire carnassier. Si tu avais été sage tu aurais pu te rhabiller, mais je te rappelle que tu as une punition. Et c'est celle-là. Pas de fringues jusqu'à ce que je t'y autorise.

    • Nan, tu peux pas me faire ça, j'sais même pas où on va ni avec qui ? Je les connais au moins ? Demanda la petite black avec un brin de panique.

    • Tu verras bien, c'est la surprise.

    • S'il-te-plaît, non ! Punis-moi autrement.

    Elle se dégagea de la main qui la tenait et se tourna vers le mur du vestiaire. Elle y posa les mains à plat et cambra son cul vers son copain. Elle écarta les cuisses puis remua les fesses. Les globes charnus tressautèrent d'un côté à l'autre, et la fente humide et rosée du sexe de la petite black s'offrit à la vue de Michaël.

    • Prends-moi ! Baise-moi si tu veux ! Fit-elle en tournant le visage vers lui d'un air aguicheur. J'en ai envie en plus. Tu peux pas savoir comme on m'a chauffée cet après-midi.

    Le grand gaillard avait prévu d'éviter de baiser sa copine à ce moment-là, il comptait le faire plus tard. Mais il n'était pas de marbre. Elle l'excitait au plus haut point. Il s'approcha de la petite black et posa une main ferme sur son cul.

    • C'est vrai ? On t'a chauffée ? Demanda-t-il en pétrissant une fesse sans douceur. Raconte-moi ça.

    Maryline savait que ça allait exciter son copain qu'elle lui raconte ses aventures de l'après-midi. Elle commença par lui dire combien sa prestation de cheerleader sans culotte l'avait embarrassée mais excitée en même temps, combien elle s'était sentie honteuse de voir que de nombreux téléphones captaient son image, combien elle s'était sentie salope. Michaël lui mit son majeur dans le vagin en écoutant ce qu'elle avait ressenti alors. Il ne pouvait que constater à quel point elle était chaude. Son doigt ressortit tout humide. Il le plaça alors sur l'anus de la jeune fille nue et elle interrompit un instant son récit, surprise. Le grand gaillard enfonça les deux premières phalanges dans le petit trou.

    • Continue, ne t'arrête pas, dit-il à la petite black.

    Maryline reprit le récit, parlant de Pierre et de la manière dont il l'avait prise dans son bureau. Michaël, lui, récolta encore de la mouille sur la chatte avec trois doigts, puis en badigeonna son sexe dressé qu'il venait de sortir de l'autre main. Cette fois c'est son gland qu'il posta à l'entrée du cul de la petite black. Il attrapa les hanches charnues des deux mains et força pour lui enfoncer sa queue dans le cul.

    • Hoooooo, gémit Maryline en fermant les yeux. Doucement !

    • Raconte encore, dit le jeune homme en lui ramonant lentement le derrière. Il s'est passé quoi après ?

    La jeune fille s'appuyait fermement au mur. Elle sentait avec douleur son copain lui envahir le ventre et se mordit les lèvres. Ses seins ballotaient en rythme. Elle savait que Michaël avait envie de tout entendre et que plus ce serait dépravé plus ça l'exciterait. Elle se décida alors à lui raconter comment elle en était venue à faire une pipe à son copain Amine, et comment elle avait étalé le sperme sur ses seins. L'effet fut immédiat. Le grand gaillard semblait apprécier et il l'encula plus énergiquement, s'enfonçant jusqu'à la garde. Il ponctuait ses efforts de « c'est pour ça que tu sens le sperme petite chienne », « ça t'a plu de le sucer ? », « tu as aimé te comporter comme une salope ? », et autres gentillesses. Maryline était secouée de plus en plus fort sous les coups de reins du footballeur. Malgré la douleur, elle sentait aussi une vague de plaisir la traverser à chaque fois que sa bite s'enfonçait en elle. Elle parla ensuite des supporters à la buvette, et comment Gilbert le vieil africain était venu la sortir de là.

    • Tu l'as remercié comme il faut, j'espère ? Demanda le jeune homme. Tu as laissé le vieux te prendre comme une chienne ?

    L'idée semblait galvaniser le grand gaillard qui s'activa plus énergiquement encore. Le bruit des chairs qui claquaient l'une contre l'autre résonnait dans le vestiaire. Michaël s'arc-bouta tout à coup en écrasant les hanches de sa partenaire.

    • Aïïïe ! Cria la petite black. Non ! Non je l'ai pas laissé me baiser.

    • Salope ! Cracha Michaël en éjaculant au fond d'elle. P'tite allumeuse ! Tu peux pas laisser comme ça un gars qui vient de te sauver la vie. T'aurais pu au moins le sucer comme l'autre.

    Il se tendit encore deux fois pour déverser en elle ce qui lui restait de sperme. Puis il se retira et donna une bonne claque sur les fesses de la petite black. Elle cria de surprise autant que de douleur. Il lui donna un autre aller-retour encore plus fort. Les claques résonnaient dans le vestiaire.

    • Pauv'gars, il pensait pouvoir se taper ce petit cul et tu l'as laissé en plan comme une merde. Tu mérites bien ta punition, tiens.

    Il lui donna encore une bonne claque sur les deux fesses, puis se rhabilla et ramassa le grand sac plastique. La jeune fille resta dans la même position, respirant par à-coups, essayant de reprendre le contrôle de son corps. Elle n'avait pas joui et se trouvait dans un état de tension sexuelle intense.

    • Allez suis-moi, on y va, fit-il en se dirigeant vers la porte.

    • Quoi ? Et mes fringues ? Demanda la jeune fille en se redressant avec peine. Tu m'as enculée comme tu voulais, c'est bon quoi !

    • Nan, c'est toi qui m'as demandé et qui en avait envie, répondit Michaël avec un sourire sardonique. C'était pour te faire plaisir, mais ça n'a pas effacé la punition.

    Maryline serra les bras autour de son corps. Elle eut soudain un frisson, par crainte de ce qui allait lui arriver. Elle se retrouva seule dans le vestiaire vide, et elle serra les fesses de peur de laisser couler le sperme de son copain. Elle n'avait pas le temps de se nettoyer et partit en trottinant rejoindre Michaël dans le couloir. Son cul lui faisait un peu mal. Le jeune homme était déjà à la porte et sortait sans regarder derrière lui. Paniquée, la petite black jeta un coup d'oeil à l'extérieur. D'ici elle ne voyait pas la buvette mais elle entendait encore le bruit lointain de conversations. A quelques mètres d'elle Michaël s'était retourné et l'attendait avec une expression d'impatience. Maryline prit une grande inspiration et se lança à l'extérieur, nue comme un ver, ses seins tressautant au rythme de ses pas, avec la délicate sensation du gazon sous ses pieds. Elle crut tout à coup qu'elle allait jouir. Son bas-ventre fut traversé de spasmes et elle sentit son jus couler le long de sa cuisse. Etait-ce le danger de la situation ou la sensation de liberté extrême qui provoquait cela ? Elle n'aurait su le dire. Elle s'accrocha au bras du grand gaillard, frissonnante, toute petite à côté de lui. Michaël tenait le grand sac de l'autre main, et il mena la jeune fille vers la sortie du stade. Le ciel se teintait déjà des couleurs du coucher de soleil. Maryline espérait que la lumière déclinante jouerait en sa faveur et que personne ne la verrait dans cet état, quel que soit l'endroit où l'emmenait son copain. Celui-ci regardait la petite silhouette aux formes généreuses de la petite black avec délectation. Le couple franchit la sortie du stade, laissant les bruits de la buvette au loin derrière eux. Les abords du stade, verdoyants de carrés de pelouse et d'arbres clairsemés, étaient peu fréquentés le dimanche après-midi en dehors des matchs. Maryline ne voyait personne aux alentours mais elle entendait les bruits de la rue plus loin : la circulation automobile, des pas, des voix. Elle s'accrocha plus fermement au bras de Michaël. Celui-ci eut soudain une idée.

    • Il faut immortaliser ce moment, fit-il. Je vais prendre des photos !

    • Quoi !? S'exclama la petite black.

    • Ouais, quoi ! C'est pas tous les jours que tu vas t'aventurer dans les rues de Paris à poil. Il faut en garder un souvenir. Personne ne te croira, sinon.

    • T'es ouf ! Répondit Maryline complètement paniquée. Grouillons-nous plutôt, restons pas ici. Tu veux m'emmener où ?

    Cependant, l'idée de faire des photos nue en pleine rue lui provoquait une nouvelle bouffée de chaleur dans tout le corps. L'air se rafraîchissait à cette heure, mais la petite black sentait des gouttes de sueur perler sur son front. Et ce qui coulait entre ses cuisses n'était pas de la sueur.

    • Tiens, met-toi à côté de l'arbre, là, dit Michaël en la détachant de son bras.

    Il la mena d'une main ferme à côté d'un arbre planté dans un carré de pelouse. Puis il recula de quelques pas, posa le grand sac et sortit son smartphone.

    • Pose tes mains sur le tronc et prends une pose sensuelle, ma belle ! Intima le jeune homme.

    La jeune fille était pétrifiée, debout les bras le long du corps, les jambes flageolantes.

    • Dépêche-toi ! Prends la pose ou je me casse et je te laisse là, s'énerva Michaël.

    Maryline voulait que ce cauchemar se termine le plus vite possible, alors elle obéit. Elle posa les deux mains sur le tronc de l'arbre et cambra les reins en regardant vers le grand gaillard. Celui-ci mitrailla de photos en donnant ses consignes à la petite black.

    • Cache-toi derrière l'arbre, sors juste ton visage ! Ouais c'est ça... Sors une cuisse maintenant. Génial ! Reviens de ce côté, et mets-toi face à l'arbre, c'est ça. Le cul vers moi, parfait. Ecarte les cuisses ! J'adore... Face à moi maintenant, oui. Lève les bras, sors ta poitrine ! On dirait une actrice porno, t'es trop bonne ma belle.

    Maryline sentit une rougeur lui envahir le visage, mais elle suivait les directives de Michaël à la lettre, et à chaque pose il prenait une rafale de photos. Si elle n'avait pas été en pleine rue, la jeune fille aurait pu prendre un réel plaisir à ce shooting. Mais là, seul son corps semblait réagir à la situation, indépendamment de son cerveau. Elle était toujours aussi excitée. Elle serrait les fesses de peur d'avoir des pertes. Michaël s'agenouilla en continuant de mitrailler.

    • C'est ça, tiens-toi les seins. Rapproche-toi de l'arbre, voilà. Comme ça je vois bien le mec derrière toi...

    • Quoi ?!

    Maryline quitta l'arbre et courut se cacher derrière la grande silhouette de Michaël qui s'était relevé. Celui-ci partit d'un fou rire alors que la petite black voyait un jeune homme qui s'était posté à une vingtaine de mètres d'eux afin d'assister au spectacle. Surpris par la frayeur de la jeune fille, l'inconnu s'éloigna et poursuivit son chemin. Michaël prit sa copine par la main.

    • Allez, ça suffit pour les photos. Allons rejoindre les autres, dit-il.

    • Les autres ? Demanda Maryline.

    Le grand gaillard ramassa le sac et mena de nouveau la jeune fille en direction de la rue, là où elle entendait la circulation.

    • Oui, les autres, dit Michaël. Je t'ai pas dit que le père de mon pote Antoine tient un genre de resto tacos juste à côté et qu'on s'y retrouve quelquefois avec les copains ?

    La petite black répondit à peine. C'était là qu'il voulait l'emmener ? Si c'étaient ses copains qu'il voulait voir, peut-être les connaissait-elle déjà tous ? Au moins ça lui éviterait de se retrouver nue avec des inconnus. C'était déjà ça. Michaël et elle arrivaient en vue de la rue. Ce n'était pas une rue très fréquentée mais une voiture passait quand même de temps en temps. Des arbres masquaient encore en partie les deux jeunes gens. Maryline se cachait derrière Michaël sans lui lâcher la main. De l'autre côté de la route le jeune homme lui montra l'établissement où ils se rendaient, une étroite façade de fast-food.

    • Tu vas quand même pas m'y faire entrer comme ça ? Il doit y avoir du monde là-dedans, demanda Maryline.

    • Ca serait marrant mais non, la rassura Michaël. On va passer par derrière.

    • Par derrière ? Tu vas me faire passer dans les rues ? Mais t'es malade !

    Le grand gaillard ne répondit pas et lui agrippa la main plus fermement. Il attendit le moment propice où les passants s'étaient éloignés et leur tournaient le dos, puis il fonça en tirant la jeune fille derrière lui. Maryline courut aussi vite qu'elle le put pour suivre le rythme de son copain, paniquée. Ses pieds nus claquaient sur l'asphalte et ses seins dansaient dans tous les sens. Ils traversèrent la route dans un sprint effréné alors qu'une voiture arrivait plus loin. Le conducteur les avait vus, forcément. Michaël continua de courir jusqu'à emprunter une petite rue perpendiculaire afin de faire le tour du pâté de maisons. Il ralentit alors dans cette petite rue, se sentant plus en sécurité. Derrière, la voiture les dépassa. Cette voie était déserte ; enfin, presque. Maryline reprenait son souffle, et elle aperçut soudain des gens qui venaient vers eux au bout de la rue. Elle tira sur la main de son copain vers l'arrière en retenant un cri. Michaël, lui, l'entraîna de force vers l'avant en marchant d'un pas ferme et rapide. La petite black essayait de le retenir car ils allaient droit vers les gens, en vain. Elle crut que son cœur allait exploser. Soudain, le jeune homme bifurqua dans une ruelle sur le côté. Un peu plus loin, ils se postèrent dans un renfoncement qui les dissimulait en partie. Michaël toqua à la porte qu'il y avait derrière eux. Maryline s'accrochait à lui comme à une bouée de sauvetage, terrifiée à l'idée que les passants qu'ils avaient aperçus ne viennent jusqu'à eux. Soudain la porte s'ouvrit et Michaël la tira à l'intérieur avant de refermer derrière eux. Sauvée ! Là, elle se trouva dans un étroit couloir, nez à nez avec un des copains de foot de Michaël, un noir aux courtes dreadlocks, celui qui s'appelait Djibril. Le premier réflexe de la petite black fut de se dissimuler derrière la carrure de son copain, même si elle ne pouvait pas dissimuler complètement sa nudité.

    • Franchement Micka, je croyais que tu déconnais, dit Djibril en rigolant. Jamais de la vie j'croyais qu'elle le ferait ! Vous êtes complètement ouf, tous les deux.

    Maryline se souvenait que Djibril l'avait déjà vue se changer dans le vestiaire au moins une fois. Il avait l'air sympa et ce n'était pas comme s'il n'avait jamais vu la jeune fille nue. Les circonstances étaient différentes, malgré tout elle se sentit un peu rassurée. Elle osa quitter la protection du corps de son copain et se mit à ses côtés le regard baissé, un peu honteuse, dévoilant son corps nu dans toute sa splendeur. Elle ressentait intensément l'excitation de s'exhiber ainsi. Djibril la détailla de haut en bas, visiblement content de ce qu'il voyait. Il s'avança et lui fit la bise.

    • Venez, tout le monde vous attend, fit-il en leur montrant le chemin.

    Michaël poussa la petite black devant lui en posant la main sur ses fesses. Les deux garçons suivirent le couloir et menèrent la jeune fille nue à une porte sur le côté, à peine plus loin. Ils entrèrent les premiers et annoncèrent Maryline. La petite black les suivit timidement, jetant d'abord un coup d'oeil pour voir qui était là. Il s'agissait d'une petite arrière-salle de restaurant, visiblement. Des « haaaaaa » de satisfaction l'accueillirent chaleureusement. Il y avait deux tables rapprochées l'une contre l'autre et six garçons autour. Maryline reconnut trois des rappeurs acoompagnés de Romain le cousin de Mathias. Deux footballeurs étaient présents aussi : Antoine dont elle se souvenait car il l'avait vue nue dans le vestiaire, et Alban le noir qui l'avait déjà baisée sous la douche. Elle se sentait un peu plus à l'aise de ne voir que des têtes connues, et s'avança plus assurément dans la petite salle. Le petit groupe avait commencé à boire, ils avaient quelques sodas et bières sur les tables accompagnés d'amuse-gueules.

    • J'ai rencontré tes amis rappeurs au stade, expliqua Michaël à sa copine. Ils ont assisté à ton show. Antoine est là car c'est le resto de son père, c'est lui qui nous invite. Et Alban et Djibril ont marqué les deux buts de notre équipe aujourd'hui, ils méritent bien une récompense, non ? Mathias aurait voulu être là aussi mais il ne pouvait pas.

    Le petit MasterAz fut le premier à se lever pour saluer et embrasser la petite black, directement sur la bouche. Sa langue s'enfonça entre les lèvres charnues et sa main se posa sur les fesses nues de la jeune fille. Celle-ci, perplexe face à la situation, ne réagit pas et se laissa faire.

    • Content de te revoir, bébé ! Fit-il.

    Ce fut le signal pour les autres qui se succèdèrent pour embrasser Maryline à leur tour. Elle fit le tour des tables pour se laisser déposer un baiser sur les lèvres par chacun des garçons. Ceux-ci ne se gênèrent pour la caresser en même temps, sur les hanches, les fesses, les seins.

    • Et les autres pom pom girls ? Elles viennent pas non plus ? Demanda Gengis en pelottant le cul de la petite black. Je ferais bien son affaire à la blonde, moi.

    • Nan, les autres ne sont pas aussi ouvertes que Maryline, dit Michaël. Tu peux tenter ta chance avec la blonde si t'en as l'occasion, mais elle est pas aussi cool que ma beauté. Et par contre pas touche à la brune, c'est ma sœur.

    Maryline continua son tour de table. Alban fut plus audacieux que les précédents, glissant la main entre les cuisses charnues en lui mordant les lèvres. Son majeur pénétra dans le vagin de la petite black avec facilité. Elle laissa échapper un soupir gémissant.

    • T'es toute mouillée, petite, t'attendais que ça de nous voir, on dirait ! Lâcha-t-il en déclenchant un éclat de rire parmi l'assemblée.

    Il retira son doigt et le porta à la bouche de la jeune fille. Celle-ci comprit ce qu'il voulait et entrouvrit les lèvres pour sucer le doigt couvert de sa mouille. Antoine attira alors la jeune fille à lui et l'embrassa à son tour. Maryline fut un court instant gênée par ce geste de familiarité alors qu'elle le connaissait à peine. Mais Antoine, lui, encouragé par le geste d'Alban, ne se gêna pas et introduisit lui aussi un doigt dans la chatte de la petite black. Il lui caressa l'intérieur du vagin et elle s'assit sur ses genoux pour lui faciliter la tâche.

    • Tu as soif peut-être ? Lui demanda le garçon. Tiens, prends une bière.

    Il lui proposa un gobelet de bière et la jeune fille but avec envie. Toutes ces émotions lui avaient donné soif. Le doigt d'Antoine bougeait doucement en elle, attisant sa libido.

    • Excuse-moi, j'ai envie de faire pipi, dit-elle. Je peux aller aux toilettes ?

    • Bien sûr !

    • Viens, je vais te montrer où c'est, dit Djibril.

    • Heu... On va pas rencontrer quelqu'un ? Demanda Maryline. J'veux dire, y a d'autres clients dans le resto ?

    • Ha ha ! Rigola le jeune black. T'as peur qu'on te voie maintenant ? Allez suis-moi, c'est un peu tard pour faire ta trouillarde, non ?

    Il emmena la petite black par la main par la porte où ils étaient entrés. Il la mena au bout du couloir à une autre porte. Elle y entra. C'étaient des toilettes étroites mais propres, et elle put s'y soulager et évacuer le sperme qu'elle avait retenu dans son cul depuis tout ce temps. Elle prit ensuite le temps de se nettoyer, de se laver les mains et de se regarder dans le miroir. Elle se passa un peu d'eau sur le visage, et prit une grande inspiration. La soirée allait être agitée, elle n'osait pas imaginer ce que Michaël et tous ces garçons lui feraient. Lorsqu'elle ressortit dans l'étroit couloir, Djibril était en train de parler à un homme d'apparence assez jeune mais aux cheveux curieusement gris. Il portait un plateau et une serviette à la main. Maryline eut un réflexe de recul, mais Djibril la rassura tout de suite.

    • Pas de panique Maryline, c'est Fabrice, il est serveur ici. Il vient de prendre les commandes pour la bouffe.

    • En... Enchanté, mademoiselle, fit le serveur visiblement gêné en faisant la bise à la jeune fille nue.

    Maryline resta stoïque, répondant à sa bise, mais Djibril intervint.

    • Hola ! Pas de chichis, dit-il. Tout le monde ici embrasse la petite comme ça, Fabrice.

    Le footballeur joignit le geste à la parole, attrapa la tête de la petite black et l'embrassa à pleine bouche. Elle sentit sa langue explorer sa cavité buccale, puis il se retira.

    • Vas-y, à toi, fit Djibril tout sourire à Fabrice.

    Le serveur hésita un instant, puis approcha son visage de celui de la jeune fille. Voyant que celle-ci ne reculait pas, il prit confiance et déposa un baiser sur sa bouche. Il était moins fougueux que Djibril, et Maryline le laissa lui suçoter les lèvres un court instant. Puis il toussota pour s'éclaircir la voix.

    • Hum, je... je prenais les commandes pour la nourriture, dit-il enfin. Tu prendras un tacos ?

    Il présenta à la petite black les différentes options qu'elle avait et elle fit son choix. Djibril passa sa commande à son tour, puis Fabrice repartit vers les cuisines. Les deux jeunes noirs retournèrent alors vers l'arrière-salle. Maryline sentit les battements de son cœur s'accélérer. Michaël avait apparemment prévu que cette journée se termine en apothéose et c'est elle qui allait en être le divertissement principal. Cette soirée s'annonçait comme une des plus chaudes que son copain lui aurait fait vivre jusque-là, et à cette idée elle prit une grande inspiration pour calmer son cœur qui s'emballait.

     

    A suivre...

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  • Commentaires

    1
    Kpri
    Samedi 3 Février à 16:40

    L'histoire continue superbement bien.

    Félicitation et merci pour les suites régulières.

    Kpri

    2
    Startack
    Dimanche 18 Février à 11:03

    Bonjour,

    Superbe histoire. J'adore. On a toujours hate d'avoir la suite

    Quand sera publié le prochain chapitre

      • Jeudi 22 Février à 08:53

        Merci. La suite devrait arriver la semaine prochaine.

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