• chapitre 15

     

    Michaël guida sa copine et le jeune beur jusqu'au sous-sol où se trouvait le parking.

     

     

    • Mais où tu vas? On n'est pas en voiture? Demanda la petite black.

    • Je sais, répondit son copain. Mais ici au moins ce n'est pas aussi fréquenté que les toilettes.

     

     

    Il les emmena jusqu'au fond du parking, où il trouva un petit espace vide entre un mur et une voiture.

     

     

    • Allez Omar, sors ta bite! Fit le jeune homme. Maryline va te faire une pipe comme t'en as jamais eue!

     

     

    La jeune fille lui jeta un regard de reproche, mais ne protesta pas, se souvenant de ce qui pouvait lui arriver dans ce cas-là. Omar, lui, hésita un instant, regarda autour de lui, puis constatant que l'endroit était désert il ouvrit son pantalon, puis le baissa avec son slip. Son sexe se dressa, déjà raide. Maryline approcha et prit la verge dans sa main. Elle jeta encore un regard à son copain, qui l'encouragea d'un hochement de tête. Puis elle s'accroupit, mais n'eut pas le temps de finir son geste.

     

     

    • Non, attends! Lui ordonna Michaël. Reste debout. Penche-toi juste en avant comme ça, oui. Ne plie pas les genoux. Parfait!

     

     

    Dans cette position, la minijupe couvrait encore à peine le postérieur de la lycéenne. Omar avança le bassin, et son gland appuya sur la joue de la petite black. Derrière elle, Michaël releva complètement la jupe sur son dos, dévoilant son cul rebondi. Maryline ouvrit la bouche et le sexe du jeune beur s'y engagea. Le tenant d'une main, elle s'accrocha de l'autre à la hanche de son camarade, et commença de lui sucer la bite. Elle suçota d'abord le gland violacé, et Omar soupira d'aise en sentant la langue de la petite black s'affairer. Puis, enserrant bien la base de la verge de son pouce et de son index, elle commença des va-et-vients en prenant le sexe plus loin dans sa bouche. Derrière, Michaël avait ouvert son pantalon et sorti lui aussi sa queue tendue. Il posa une main sur chaque fesse et les écarta largement, forçant la chatte de sa copine à s'ouvrir. Il y introduisit alors son sexe, arrachant un gémissement à la lycéenne qui avait la queue d'Omar au fond de la bouche. Michaël commença de bouger son bassin en rythme d'arrière en avant, s'enfonçant jusqu'à la garde. Omar, qui fermait à demi les yeux, aux anges, bougeait lui aussi doucement, baisant nonchalamment la bouche de la petite black. Une lumière qui passait les fit réagir brusquement. Une voiture passa une allée plus loin, mais le conducteur ne sembla pas les avoir vus. Le trio continua son activité. Michaël s'activa de plus belle, se mordant la lèvre en pilonnant plus énergiquement le cul de sa copine. Il la tenait fermement par les hanches, et la faisait trembler de tout son corps, ce qui plaisait à Omar de l'autre côté, qui pouvait s'enfoncer plus loin dans la gorge de sa camarade. Celle-ci ne faisait plus grand chose, se laissait faire, et essayait simplement de respirer un peu quand la bite du jeune beur ne l'en empêchait pas. En peu de temps elle sentit son copain se tendre subitement en elle et éjaculer au fond de son vagin. Il resta un moment en place, pendant que la petite black reprenait les choses en main avec Omar. Elle lui prit les testicules dans la paume, les malaxant doucement tout en pompant sa queue. Elle aspirait, la trayait comme un pis de vache pour essayer d'en finir rapidement. Mais il fallut de longues minutes de labeur pour qu'enfin, dans un râle, Omar jouisse au fond de sa bouche. Elle reçut les jets de foutre directement dans la gorge, et les avala. Omar, les yeux fermés, lui attrapa la tête et la jeune fille comprit qu'il voulait profiter encore un instant du moment. Elle garda son gland en bouche, le suçotant doucement pendant qu'il perdait de la vigueur. Derrière, elle sentait que michaël se retirait. Il lui écartait les fesses des deux mains et passait ses pouces sur la vulve trempée. Puis il les passa sur son anus pour le lubrifier. Maryline poussa un petit gémissement de protestation, et quand elle sentit le bout d'un pouce s'introduire dans son petit trou, elle sursauta carrément. Elle se redressa subitement pour se dégager, laissa Omar la bite pendante entre ses cuisses et sa jupe retomba sur ses fesses.

     

     

    • Non, s'il-te-plaît, Michaël, pas ça! Fit-elle suppliante.

     

     

    Son copain haussa les épaules.

     

     

     

    • OK! On ne va pas faire d'histoire ici, répondit-il calmement. Mais on y viendra, crois-moi! Et de toute façon, tu sais ce qu'un refus signifie.

     

     

    La jeune fille soupira avec une moue de dépit. Michaël ne lui épargnerait donc rien?

     

     

    Les garçons se rhabillèrent, soulagés, et le trio quitta le sous-sol du centre commercial pour aller prendre le bus.

     

     

    • Je te raccompagne chez toi, fit Michaël à sa copine.

    • Tant qu'à faire, je vais avec vous, ajouta Omar. De toute façon, maintenant je suis à la bourre, mes parents vont déjà me tuer, alors...

     

     

    Maryline n'eut pas son mot à dire et les deux garçons l'accompagnèrent dans le bus. Au milieu de la foule ils en profitèrent, Michaël derrière elle soulevant la jupe pour lui caresser les fesses, et Omar devant, la main sous le tissu qui lui tripotait la chatte. La minijupe plissée ne cachait plus grand chose du postérieur de la jeune fille, et certains voyageurs le remarquèrent, affichant tantôt une mine dégoûtée tantôt une mine plutôt intéressée. Lorsque le bus arriva à l'arrêt où Maryline devait descendre, son copain lui donna le sac contenant les achats, et les garçons la laissèrent partir à regret. Ils lui déposèrent tous deux un baiser passionné, et la jeune fille les abandonna.

     

     

    • Je vais m'occuper de ton téléphone et je te le filerai demain si tu es sage, lui glissa Michaël avant qu'elle ne le quitte.

     

     

    Son cousin François n'était pas à son appartement lorsque la petite black y entra. Elle n'en fut pas mécontente, heureuse d'avoir enfin un moment de solitude pour s'occuper d'elle. Elle se rendit avant toute chose dans la salle de bain afin de prendre une douche. Elle s'y nettoya complètement et se relaxa longuement sous l'eau chaude.

     

    Avant de sortir de la douche, elle entendit François rentrer. Il parlait fort et n'était pas seul, mais elle ne reconnut pas les autres voix. Elle pesta. Toutes les affaires de la jeune fille étaient dans le salon où elle dormait, et elle ne voulait pas sortir de la salle de bain enroulée dans sa serviette pour saluer François et ses amis. Tout ce qu'elle avait à portée de main, c'était le chemisier et la minijupe qu'elle portait en entrant. Elle se résigna à se rhabiller ainsi, fermant cette fois le chemisier jusqu'en haut. Au salon, François était accompagné de ses deux amis africains Moussa et Papus, que Maryline connaissait déjà. Ils étaient installés dans le canapé, parlant fort devant la télé. Lorsque la jeune fille sortit de la salle de bain, tous la dévorèrent du regard. De ses pieds nus ils remontèrent le long de ses jambes jusqu'à la lisière de la petite jupe plissée qui ondulait au rythme de ses pas, puis le regard était immanquablement attiré par la poitrine qui s'animait, visiblement libre de tout soutien-gorge sous le tissu léger du chemisier bouffant. Moussa et Papus prirent plaisir à faire la bise à Maryline en posant une main appuyée sur son épaule, sur sa taille ou sur sa hanche, et la poussèrent à s'asseoir sur le canapé, entre eux deux. Elle se sentait toute petite entre leurs deux grandes silhouettes, et fit attention que sa minijupe couvre encore l'essentiel en s'asseyant. Elle garda les cuisses bien serrées, mais sentit que le bas de ses fesses était en contact direct avec le canapé. Elle se sentait si nue, mais ne voyait pas comment elle pourrait sortir une culotte de ses affaires assez discrètement, et encore moins l'enfiler. La présence de la jeune fille anima encore plus les conversations, comme si les garçons voulaient se montrer chacun le plus bavard. François servit un apéritif et Maryline se retrouva à avaler un whisky coca qu'elle n'avait pas vraiment demandé. Elle remarqua que son cousin n'avait pas l'air aussi joyeux que ses camarades, et cela l'intrigua. L'attention que lui portaient Moussa et Papus semblait agacer François. Maryline repensa alors à ce que lui avait dit Michaël sur son éventuelle homosexualité. Elle observa donc plus attentivement son cousin, et il lui sembla qu'il cherchait à détourner l'attention de ses camarades de la jeune fille. Ceux-ci parlaient avec elle, lui proposaient des petits gâteaux que Moussa lui glissait lui-même dans la bouche, alors que Papus avait posé, comme si de rien n'était, une main sur la cuisse de sa voisine. François essayait de rester impliqué dans la conversation et touchait plus qu'il n'était nécessaire les bras de ses invités. Maryline n'aurait su dire si cela prouvait qu'il était gay, mais le doute s'installa sérieusement dans son esprit.

     

    En tout cas elle appréciait les attentions des deux noirs, et se détendit un peu lorsque le verre de whisky fit son effet. Les garçons se demandèrent soudain ce qu'ils allaient dîner ce soir, et l'un d'eux proposa de descendre au restaurant africain qu'ils avaient l'habitude de fréquenter. François ne sembla apprécier que moyennement la suggestion, mais céda aux désirs de ses camarades. Maryline, elle, chercha toutes sortes d'excuses afin de ne pas sortir dans cette tenue. Elle voulut d'abord refuser l'invitation, mais ce ne fut bien entendu pas accepté. Elle prétexta ensuite qu'elle devait se changer, mais les garçons n'entendirent pas cet argument non plus. Ils ne lui laissèrent pas un instant de répit pour qu'elle puisse au moins mettre une culotte discrètement. Elle put juste enfiler ses escarpins plats – elle évita les roses à hauts talons – et sa veste stylée afin de se protéger de la fraîcheur du soir. De toute façon les garçons la collèrent suffisamment pour qu'elle n'ait pas froid, et elle devait se démener pour éviter les mains baladeuses. Malgré cela, quand ils arrivèrent au resto, Moussa comme Papus avaient pu apprécier la fermeté des fesses de la petite black. L'établissement n'était pas grand. Il y faisait très chaud et c'était très bruyant. Les clients étaient nombreux et la promiscuité inévitable. Quelques regards lubriques se posèrent sur Maryline à l'arrivée du petit groupe. C'était un restaurant avec des rangées de tables où les clients s'asseyaient comme ils le voulaient. On se retrouvait souvent à côté de gens que l'on ne connaissait pas, mais la proximité facilitait les échanges et les rencontres. C'est ainsi que Maryline se retrouva à côté d'un noir moustachu à l'accent antillais qui ne tarda pas à lui parler. A sa droite était Papus, et en face François avait l'air très content de se trouver à côté de Moussa. L'on servit des bières en apéritif, et la lycéenne qui observa son cousin voyait bien qu'il essayait de créer une intimité avec son camarade, discutant tout près de son oreille. Michaël avait peut-être raison, après tout. En tout cas, l'antillais, qui s'appelait Eloi, fit ostensiblement la cour à la jeune fille. Et Papus faisait de même, une main posée sur sa cuisse nue.

     

    Le repas fut servi, odorant et épicé. Moussa, à son grand regret, n'arrivait pas à parler avec Maryline, accaparé par François. Eloi ne s'occupait plus vraiment du groupe avec qui il était initialement, draguant la jeune fille en lui touchant l'épaule ou la cuisse. Il était sympathique et la faisait rire, mais elle ne voulait pas l'encourager et repoussait sa main quand elle le pouvait. Mais elle avait déjà fort à faire avec Papus qui ne lui lâchait pas la cuisse et remontait sa main de plus en plus haut, cherchant à se glisser sous la jupe. L'alcool aidant, elle ne se sentait plus aussi gênée par sa tenue minimaliste, cependant elle gardait encore suffisamment de jugement pour ne pas laisser la situation déraper. Mais cela ne dura pas. Le vin servi à table acheva de la désinhiber, et avant la fin du repas Papus obtint ce qu'il voulait. Il avait la main entre les cuisses de sa voisine et lui fouillait la chatte avec une discrétion toute relative. D'ailleurs Eloi n'en ratait pas une miette, tout sourire, et profitait du spectacle. Maryline ne put résister aux caresses de son voisin, et se laissa envahir par le plaisir. Elle écarta les cuisses malgré elle, et Eloi regardait Papus la baiser par va-et-vient rapides avec deux doigts. François semblait ignorer ce qui se passait, toute son attention tournée vers Moussa. Il n'entendit même pas sa cousine jouir dans le brouhaha du restaurant. Elle resta le jouet des hommes qui l'entouraient jusqu'à la fin du repas, et leurs mains ne quittèrent pas son corps. Eloi voulait profiter d'elle et lui proposa de l'accompagner chez lui. Mais Papus coupa court immédiatement, et décréta qu'il était l'heure de rentrer. François acquiesça, et les quatre quittèrent l'établissement.

     

    Papus tenait Maryline par la main et pensait déjà à la manière dont il allait la baiser à l'appartement, mais ses espoirs furent vite brisés. Une dispute éclata entre François et Moussa. L'esprit embrumé, Maryline ne comprenait pas ce qui l'avait provoquée, mais Moussa semblait reprocher à son ami d'être trop entreprenant, et le traita de pédé. Les insultes fusèrent alors de part et d'autre, et François décida de ne plus rester avec ses deux camarades. Il emmena Maryline de force, obligeant Papus à lui lâcher la main. Celui-ci n'essaya pas de la retenir, et laissa son cousin l'emmener.

     

     

    François déversa sa colère sur la jeune fille, lui reprochant sa tenue et son attitude, allant jusqu'à la traiter de salope. Il lui hurlait encore dessus quand ils rentrèrent chez lui. Maryline gardait la tête basse, et ne lui répondait que très mollement, consciente qu'il n'y avait pas grand chose à dire pour le calmer. Elle était qui plus est fatiguée et ne voulait que se coucher.

     

    C'est ainsi qu'après avoir pris sa douche, François la trouva allongée sur le canapé, sur le ventre, sa couette ne couvrant que la partie supérieure de son corps nu. Ses fesses étaient offertes au regard de son cousin, ainsi que son sexe entre les cuisses entrouvertes.

     

    Maryline ne dormait pas encore. Elle était plutôt dans un demi-sommeil. Et en entrouvrant les yeux, elle aperçut dans la pénombre derrière elle son cousin en train de se masturber en la regardant. Et elle s'endormit sur cette pensée: « Il n'est pas si pédé que ça, finalement... ». Elle ne se souviendrait pas de cette image à son réveil.

     

     

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    C'est une vigoureuse claque sur les fesses qui força Maryline à se réveiller.

     

     

    • Aïe ! Fit-elle en s'asseyant brusquement.

    • Il est presque huit heures, lui dit François debout devant elle. Dépêche-toi si tu ne veux pas être en retard!

     

     

    La jeune fille remonta immédiatement la couverture sur elle afin de cacher sa nudité.

     

     

    • Peuh! Tu te caches pour quoi? Cracha son cousin visiblement fâché. Ca t'inquiète qu'on voie ton cul aujourd'hui?

     

     

    Sans attendre de réponse, il abandonna Maryline, pressé d'aller au travail. Il la laissa seule dans l'appartement. Celle-ci soupira, penaude, et essayant de rassembler ses esprits afin de se remémorer sa soirée. Elle se souvenait de tout même si elle avait été éméchée, et eut alors honte de sa conduite. Elle secoua la tête, voulant évacuer ainsi ces pensées néfastes, et se leva prestement. Son cousin avait raison, elle allait être en retard si elle ne se dépêchait pas. Elle devait être au lycée une demi-heure plus tard. Tout en faisant un brin de toilette rapide elle essaya de récapituler les règles auxquelles elle devait se soumettre le matin, mais ne parvint pas à faire le point. Elle n'oublia cependant pas de passer un rapide coup de rasoir sur son pubis. Elle fouilla rapidement dans ses affaires pour voir quels vêtements elle pouvait porter. Elle savait qu'elle devait mettre une jupe ou une robe, mais cela lui laissait peu de choix. Quelques vêtements étaient restés chez Michaël. Elle ne voulait pas remettre maintenant la robe serrée gris-violet qu'elle avait déjà bien portée la semaine précédente, et les jupes qui lui restaient se valaient. Après une courte réflexion elle se décida pour mettre la tenue tailleur. C'était vraiment la dernière chose qu'elle aurait portée habituellement pour aller en cours, mais là elle ne se voyait pas mettre une autre tenue. Cela lui permit d'enfiler le fin chemisier bouffant, celui qu'elle portait la veille au soir, et la veste de tailleur noir par-dessus. La veste était large elle aussi et ne dénotait pas sur le chemisier. En bas elle enfila la jupe évasée qui s'arrêtait au-dessus des genoux. Elle mit ses escarpins plats qui heureusement étaient noirs et s'accordaient parfaitement avec sa tenue. La lycéenne se regarda dans un miroir. Elle pouffa, se moquant d'elle-même. Elle ressemblait à une hôtesse d'accueil ou une secrétaire. Elle se sentait comme déguisée. Mais ça ferait l'affaire pour la journée.

     

    Au dernier moment, avant de partir, elle pensa à la pilule qu'elle avait oublié de prendre la veille au soir. Elle espérait que cela n'aurait pas de conséquences si elle la prenait avec quelques heures de retard. Elle n'oublia pas non plus ses tenues de pom pom girl et les fourra dans son sac. Michaël l'aurait tuée si elle allait à l'entraînement sans ça! En même temps elle eut une hésitation. Elle se souvenait de son premier entraînement de cheerleader la semaine passée avec Alice, la soeur de Michaël. Elle avait eu la honte de sa vie en faisant ses enchaînements sans culotte. Elle ne s'imaginait pas refaire la même exhibition ce soir. Mais Michaël avait instauré cette nouvelle règle lui interdisant la culotte. La jeune fille se mordit les lèvres. Elle savait ce qu'elle risquait si elle désobéissait aux règles. Elle prit quand même un petit slip rose et le mit dans le sac avec le reste. Elle déciderait plus tard de ce qu'elle ferait. Elle espéra que le temps n'était pas trop froid car elle n'avait aucun manteau à se mettre.

     

     

    Hélas la fraîcheur était bien là. Maryline ne traîna pas en route, trop pressée de retrouver la chaleur du lycée. En arrivant elle entendit quelques moqueries sur sa tenue, mais elle s'y attendait et les ignora. Elle fut contente de se retrouver à l'abri de la fraîcheur dans le hall de l'établissement.

     

     

    • Salut Maryline !

     

     

    C'était Boubakar, le black à lunettes, qui l'avait aperçue et venait à sa rencontre, tout sourire, comme si de rien n'était. Mais la jeune fille n'oubliait pas qu'il l'avait maltraitée avec ses copains Omar et Etienne.

     

     

    • Dégage! Lui lança-t-elle avec froideur.

     

     

    Elle s'éclipsa au milieu de la foule des élèves et lui échappa. A l'approche de sa salle de cours, elle fut plus qu'heureuse de trouver Khedidja, sa copine. Maryline eut cependant un instant d'hésitation, car les évènements de ces derniers jours avaient semble-t-il jeté un froid dans leur relation. Mais quand la petite black vint dire « bonjour » à sa copine, celle-ci lui répondit de bon coeur en lui faisant la bise.

     

     

    • C'est quoi cette tenue? T'es en mode secrétaire aujourd'hui?

    • Nan! Mais j'avais vraiment rien à me mettre! Répondit Maryline en riant.

    • Ca va vraiment pas mieux, toi! Fit sa copine sur le même ton humoristique.

     

     

    Ce bref échange avait réchauffé l'atmosphère, et les deux copines papotèrent alors de tout et de rien comme c'était leur habitude il n'y a pas si longtemps. Maryline fut contente que la beurette ne lui pose pas de questions sur son attitude des derniers jours. Elle avait simplement besoin de passer des moments sympas avec elle. Elles furent interrompues par Karim, le grand black qui avait fait des attouchements à Maryline en classe la veille. Il était bien copain avec Khedidja et fit la bise aux deux copines, avec un sourire en coin à l'attention de la petite black en lui caressant le bas du dos. Heureusement il fallut entrer en cours et cela n'alla pas plus loin. Maryline s'assit aux côtés de Khedidja et de Fred. Ils échangèrent quelques mots et Fred semblait vouloir dire quelque chose, mais le moment était mal choisi et il se retint.

     

    Au cours suivant les deux copines restèrent encore ensemble. Elles profitaient enfin d'une complicité qui se retrouvait. Placées dans un coin de la salle, Maryline était à l'abri des garçons.

     

     

    A la récréation matinale, les filles furent rejointes par Fred, qui participa à leurs conversations, mais ne parvint pas à mettre sur le tapis le sujet qui lui occupait l'esprit. La petite black le surprit plusieurs fois à détourner le regard quand elle posait les yeux sur lui. Mais elle préféra ne pas l'interroger, de peur que ce qu'il aie à dire ne lui plaise pas.

     

    Lorsque la sonnerie retentit, Maryline entendit une voix appeler: « Hé! Petite black! ». Elle se retourna. C'était bien elle qu'on hélait ainsi. Il s'agissait du garçon aux cheveux très blond qui faisait partie du groupe dont elle avait fait connaissance à la sortie du lycée la veille. Elle laissa Khedidja et Fred partir devant.

     

     

    • C'est moi que tu appelles? Demanda-t-elle en pointant un doigt vers sa poitrine.

    • Ouais, je me rappelle plus ton nom! Répondit le garçon en passant une main dans ses cheveux.

    • Maryline, fit la jeune fille. Et toi? Je me souviens pas non plus.

    • Albéric. C'est un prénom qu'on n'oublie pas, pourtant, d'habitude!

     

     

    Il marcha aux côtés de la petite black pour entrer dans le bâtiment. Il papota afin de faire un peu connaissance, mais Maryline n'oubliait pas qu'il avait cherché à la tripoter la veille. Et d'ailleurs il reprit sa mauvaise attitude en la prenant par la hanche, bien serrée contre lui. Il n'était pas méchant et plutôt mignon. La jeune fille usa donc de diplomatie pour s'en débarrasser gentiment, prétextant qu'elle était pressée d'aller en cours.

     

    Malheureusement les autres élèves étaient déjà tous rentrés et elle n'eut pas le loisir de s'asseoir de nouveau à côté de sa copine. La seule place libre se trouvait à côté de Karim, qui afficha un immense sourire quand la petite black s'assit à côté de lui.

     

     

    • C'est mignon, ton look businesswoman! Lui glissa-t-il à l'oreille en posant immédiatement une main sur sa cuisse.

    • Pas touche! Fit Maryline en écartant la main baladeuse.

    • Arrête! Tu faisais pas ta mijorée comme ça, hier!

    • Hier c'est autre chose. Ca n'aurait jamais du arriver.

    • En fait t'as pas pu t'en empêcher parce que t'adores ma bite! Ajouta Karim à voix basse en attrapant avec force le genou de sa voisine.

     

     

    La jeune fille essaya de l'arrêter, mais le garçon avait une poigne de fer et elle ne voulait pas créer de scandale en classe. Elle tenta de serrer les cuisses, en vain, et il put glisser sa main entre elles en remontant la jupe.

     

     

    • Arrête! répéta-t-elle tout doucement sans conviction.

    • Ho, mais tu as une petite minette accueillante! Fit le grand black en atteignant le sexe rasé du bout des doigts.

     

     

    Il caressa les lèvres sur toute leur longueur, lentement, en insinuant son majeur entre elles. Ce massage de la vulve fit rapidement son effet, et la chatte de Maryline s'humidifia. La jeune fille essaya de rester stoïque, mais elle devait admettre intérieurement qu'elle aimait ça. Le garçon la caressa longuement, par intermittence car il devait parfois s'arrêter quand le regard de la prof passait sur eux. Cela ne faisait que prolonger le plaisir de Maryline. Celle-ci, excitée, aurait voulu atteindre un orgasme. Le lieu était franchement mal choisi, mais le grand black connaissait son affaire et ses caresses faisaient mouche. Cependant les interruptions empêchaient à chaque fois la jeune fille d'atteindre l'extase.

     

    Soudain Tom se retrouva à côté d'elle. Il avait profité d'un moment d'inattention de la prof pour changer de place en un éclair. La petite black se trouva morte de honte alors qu'il la regarda se faire pénétrer la chatte par les doigts de son voisin.

     

     

    • Ben vous perdez pas votre temps, ici! Fit-il tout bas avec un sourire en coin.

     

     

    Il avança la main et Karim se retira de l'entrejambe de sa voisine pour lui laisser la place. Tom ne faisait pas dans la dentelle et il lui fourra directement deux doigts en faisant quelques rapides va-et-vients. Maryline ne put s'empêcher de lâcher un bruit mi-soupir mi-gémissement qui attira le regard de quelques camarades. Elle n'aurait su dire ce qu'ils s'imaginaient qu'il se passait, Tom penché vers elle ainsi. Puis le garçon retira ses doigts et les lécha sous le regard médusé de la petite black. Il prit dans ses affaires un gros bâton de colle et l'insinua entre les cuisses de sa voisine.

     

     

    • Non, s'il-te-plaît ! Supplia-t-elle tout bas en serrant les cuisses.

     

     

    Mais Tom n'avait que faire de son refus. Il la força à ouvrir les cuisses en tirant une jambe vers lui. De l'autre côté, Karim lui donna un coup de main en tenant l'autre jambe ouverte. Ecartelée ainsi, la jeune fille ne put empêcher Tom d'insérer le bâton de colle dans son vagin. L'objet entra presque entièrement, le garçon ne laissant dépasser que le bouchon par lequel il le tenait. Puis il le fit glisser comme un piston d'avant en arrière. Lubrifiée comme l'était la chatte de Maryline, cela glissait comme un gant. La jeune fille ferma à demi les yeux, essayant de se retenir de réagir trop bruyamment à cette pénétration en pleine classe, au milieu de ses camarades, en plein lycée. Au bout d'un moment, les garçons n'eurent plus besoin de la maintenir fermement, car elle était trop excitée pour refuser cette pénétration. Il pouvait lui apporter un orgasme qu'elle attendait avec impatience. Ce qui ne tarda pas à arriver. Tom accélérait le rythme de ses va-et-vients. Le bâton de colle était tout mouillé de jus du sexe de la petite black. Celle-ci cabra subitement le bassin en se mordant les lèvres, tendue comme un arc, et lâcha un bruit aigü, fruit de ses gémissements refoulés.

     

     

    • Mademoiselle Koné, vous avez un problème?

     

     

    C'était la prof, qui cette fois avait entendu quelque chose. Les garçons lâchèrent la jeune fille, faisant comme si de rien n'était. Maryline balbutia une réponse incompréhensible. Il y eut un brouhaha de rires dans toute la classe.

     

     

    • Puisque vous avez envie de vous faire remarquer, vous allez venir au tableau pour montrer comment vous résolvez ce problème.

     

     

    Ce professeur, Mme Soizic, était plutôt sèche et autoritaire, et Maryline n'avait pas envie de la contrarier. Elle se leva d'un pas mal assuré et rendit son bâton de colle à Tom. Ses jambes flageolaient à cause de l'orgasme qu'elle venait d'avoir. Alors qu'elle commençait à écrire au tableau, doucement, en essayant de comprendre ce que la prof lui demandait, elle sentit tous les regards tournés vers elle et eut l'impression que tout le monde savait ce qui venait de se passer. Quand elle jeta un coup d'oeil vers la classe, elle remarqua tout de suite que Thomas, tout au fond, jouait avec le bâton de colle en le humant et le léchouillant. Elle se retourna vers son exercice, toute honteuse. Evidemment elle ne parvint pas à le résoudre, n'ayant pas réussi à se concentrer sur le cours précédemment. La prof la laissa réfléchir longuement, gênée et humiliée, puis elle mit fin à sa torture alors que l'heure de cours touchait à sa fin. Mais elle la retint, laissant partir d'abord les autres éléves. Elle lui fit la morale, l'incitant à ne pas décrocher dans le travail et à ne pas se laisser influencer par les éléments perturbateurs de la classe. Maryline écouta sagement, tête baissée, acquiesça poliment, puis ne demanda pas son reste et sortit en récupérant son sac.

     

     

    L'heure suivante fut plus tranquille car la petite black parvint enfin à s'asseoir aux côtés de Khedidja, avec Fred de l'autre côté.

     

    A midi et demi, ils partirent ensemble vers le réfectoire, et Maryline espérait passer une pause méridienne tranquille. Mais c'était sans compter sur les garçons. Rapidement le petit Jérémy papillonna autour de la jeune fille, puis ce furent Albéric et Christophe qui l'aperçurent et s'approchèrent pour se l'accaparer également. Khedidja essaya de les faire déguerpir.

     

     

    • Mais foutez-lui la paix, putain ! Cria-t-elle en poussant brutalement Jérémy.

     

     

    Le garçon répondit vertement et les esprits commencèrent à s'échauffer, quand Maryline aperçut la grande silhouette de Michaël un peu plus loin. Il lui faisait signe de la main.

     

     

    • Calme-toi Khedidja, dit-elle à sa copine. De toute façon je vous laisse, allez manger tranquilles.

     

     

    Et elle laissa sur place pantois tout le petit groupe en courant se réfugier dans les bras de son copain.

     

     

    • Tu es très féminine aujourd'hui, ma belle, c'est bien ! Dit-il souriant en l'emmenant par les épaules.

     

     

    Il tira d'un doigt sur son décolleté pour jeter un oeil à sa poitrine.

     

     

    • Pas de soutif, c'est bien !

     

     

    Puis il la retourna face à lui et glissa une main sous sa jupe.

     

     

    • Le minou est rasé, c'est très très bien ! Ajouta-t-il avec un sourire qui fit fondre la jeune fille. Mais t'es déjà toute mouillée, dis donc. C'est moi qui te fait ça?

    • Oui... répondit-elle avec hésitation, ne voulant pas entrer dans les détails de ce qui lui était arrivé le matin.

    • Bon, il y a quand même quelque chose qui ne me convient pas, malgré tout, ajouta le jeune homme en faisant disparaître le sourire de son visage.

    • Quoi? Demanda Maryline avec un froncement de sourcils inquiet.

    • Le chemisier !... Hier quand tu as essayé cette tenue le chemisier n'était pas avec. Il va falloir l'enlever.

    • Hein? Mais pourquoi? Ca ne gêne pas. C'est pas dans tes règles?

     

     

    La jeune fille regarda autour d'elle. Ils étaient au milieu du hall, parmi les élèves qui se rendaient au réfectoire, et certains entendaient leur conversation. Maryline tira Michaël par la main afin qu'ils s'éloignent un peu.

     

     

    • C'était pas dans les règles, tu as raison, dit le jeune homme. Mais si je te dis que ça ne me convient pas, c'est comme ça. Hier tu as essayé le tailleur seul, et tu dois le porter comme ça. Je n'aime pas que tu prennes des initiatives sur ta tenue. Et d'ailleurs puisque c'est de règles dont tu as besoin, je vais en rajouter une autre alors: tu ne dois porter qu'une couche de vêtements: un top, une chemise, une veste, ce que tu veux mais un seul à la fois. C'est tout!

    • Un seul?... fit la petite black en roulant des yeux. Mais s'il fait froid? Si je dois mettre un manteau? Continua-t-elle en baissant la voix afin de ne pas se faire remarquer.

    • D'accord pour le manteau, ça ne compte pas, convint Michaël. Mais tu n'en mets un que si c'est nécessaire à cause du temps. Pas d'abus de ce côté-là, ok?

    • Je te jure! S'empressa-t-elle de répondre.

    • OK! Donc la règle s'applique tout de suite. Tu dois enlever ce chemisier.

     

     

    Maryline hésita un instant, se souvenant ce que les essais de la veille avaient donné, et à quel point le décolleté de la veste était révélateur lorsqu'elle était portée sans rien dessous.

     

     

    • Heu... tu es sur? Se risqua-t-elle à demander.

    • Quoi? Tu veux discuter mes ordres? Fit le jeune homme tranquillement. Tu te rappelles ce qu'il en coûte, non?

    • Non non, je ne discute pas! S'empressa de répondre sa copine. Attends-moi là, je vais l'enlever.

    • Où tu vas? Fais-le ici.

    • Ici? S'exclama-t-elle en jetant un regard circulaire. Mais on est dans le hall!

    • Personne ne regarde, c'est la bousculade pour aller au réfectoire. On est à l'écart de la foule, et en plus il y a un pilier qui nous cache à moitié.

     

     

    Maryline soupira lourdement. Elle savait qu'il ne valait mieux pas continuer de discuter, ou elle pourrait le regretter plus tard. Alors elle se tourna vers le mur, dos au grand espace du hall, avec la silhouette imposante de Michaël qui faisait écran. Elle se tortilla afin de parvenir à ôter le chemisier sans enlever complètement sa veste. Elle dut s'occuper d'un bras, puis de l'autre, obligée de dénuder une épaule et une partie du dos à chaque fois avant de remettre sa veste. Son copain se délecta de la voir en dévoiler autant dans un lieu si fréquenté, d'autant qu'il aperçut deux fois la forme d'un sein par derrière. Heureusement pour la petite black, ses contorsions semblèrent passer inaperçues, et elle put refermer les boutons de sa veste et remettre le chemisier roulé en boule à son copain. Celui-ci souriait et fourra le vêtement dans son sac. Puis il écarta d'un doigt un pan de la veste, révélant instantanément un mamelon sombre.

     

     

    • Super! Fit-il satisfait. Tes copains de classe vont se rincer l'oeil si tu ne fais pas attention.

     

     

    Maryline voulut ajouter qu'ils n'avaient pas besoin de ça en ce moment pour s'intéresser à elle, mais elle se retint. Michaël l'emmena déjeûner en la tenant par la main. La jeune fille fit extrêmement attention à l'ouverture de son décolleté, surtout dans la cohue qu'il y avait à l'entrée du réfectoire. Elle crut bien apercevoir des regards furtifs vers sa poitrine, mais elle n'en était pas sure. Le repas se passa tranquillement, Michaël discutant avec elle naturellement. Et dès qu'ils furent sortis du réfectoire, le garçon l'emmena dans les couloirs du lycée, vers l'étage le plus haut où il ne devait se trouver personne à cette heure.

     

     

    • Où on va? Demanda Maryline. Qu'est-ce que tu fais?

    • D'après toi? J'ai quelque chose pour toi.

     

     

    Au fond d'un couloir, le jeune homme plaqua sa copine contre le mur et l'embrassa fougueusement. Sans ménagement, il souleva sa jupe et fouilla son sexe. La petite black gémit, excitée par ces brusques caresses de son copain. Leurs lèvres collées et leurs langues emmêlées, Mickaël la masturbait violemment avec plusieurs doigts. La chatte gonfla et mouillait abondamment. Soudain le garçon s'arrêta et prit quelque chose dans sa poche. Il recula d'un pas, et brandit le téléphone acheté la veille.

     

     

    • Ca y est, il est opérationnel ! Dit-il avec un sourire satisfait.

    • Super ! Merci beaucoup mon chéri ! Explosa la jeune fille.

     

     

    Elle voulut embrasser son copain mais il la retint.

     

     

    • Je veux plus qu'un baiser, dit-il. Si tu veux ce téléphone, déshabille-toi.

    • Ici? Demanda Maryline, le regard implorant.

    • Ici. Je vais te baiser et je veux que tu sois nue.

     

     

    La petite black soupira. Elle n'hésita qu'un instant, sachant que la situation pouvait devenir pire encore si elle s'opposait à Michaël. Elle déboutonna donc sa jupe et la fit tomber à ses pieds. Puis elle ouvrit sa veste, l'ôta de ses épaules, et la laissa tomber à terre. Le jeune homme écarta les vêtements du bout du pied et posa le téléphone dessus. Puis il ouvrit son pantalon, sortit son sexe, et prit sa copine par les fesses à pleines mains pour la baiser nue contre le mur. Leur coït fut brutal et rapide. Michaël jouit très vite dans le vagin de la lycéenne, et la pilonna encore tant qu'il le put, mais ne parvint pas à lui rendre la pareille. Maryline resta sur sa faim alors que la bite de son copain perdait de son volume. Il resta malgré tout en elle un moment, où ils se caressèrent et s'embrassèrent amoureusement.

     

    Les deux tourtereaux entendirent soudain quelqu'un approcher, et ils n'eurent que le temps de ramasser les affaires de Maryline, sac et vêtements, avant de partir en courant main dans la main en pouffant de rire.

     

    Ils s'arrêtèrent quelques couloirs plus loin, hilares. La petite black était essoufflée, son copain un peu moins. Il lui tendit ses affaires, et elle voulut se rhabiller.

     

     

    • Attends ! Fit-elle sur un ton inquiet. Où est ma veste?

     

     

    Elle tenait sa jupe devant elle, seul vêtement que venait de lui remettre Michaël.

     

     

    • Oups! Elle a du rester là-bas, répondit celui-ci. Attends-moi là, je vais la chercher.

     

     

    Et sans attendre il courut en arrière chercher le vêtement de Maryline. Celle-ci enfila sa jupe, et glissa le téléphone dans son sac. Elle se retrouva donc en bien mauvaise posture, torse nu dans les couloirs de son lycée. Elle couvrit sa poitrine de ses bras, et regarda à droite et à gauche. Il n'y avait personne dans ce couloir à cette heure de la journée. Cependant elle ne se sentit pas rassurée.

     

    Elle attendit de longues minutes avant de voir revenir enfin Michaël. Mais il n'était pas seul. Un garçon au teint mat, presque aussi grand que Michaël, l'accompagnait.

     

     

    • Tu vois, je te l'avais dit! Dit Michaël tout sourire en montrant fièrement sa copine.

    • Michaël! Fit celle-ci, outrée. Qui c'est celui-là? Je suis à moitié nue !

     

     

    Le jeune inconnu ne disait rien, les yeux fixés sur ce que cachaient les mains de la lycéenne.

     

     

    • Tu devrais être plus respectueuse, ma chérie, dit Michaël. Il a trouvé ta veste et il vient te la rendre, c'est plutôt sympa, non? Mais tu as raison, on devrait faire les présentations. Comment tu t'appelles? Demanda-t-il au jeune homme.

    • Heu... Nassim.

    • Enchanté ! Moi c'est Michaël, et elle c'est Maryline.

    • Heu... enchanté! Fit à son tour Nassim avec un petit rire. Ha? Et tiens ! Ajouta-t-il en tendant la veste à la jeune fille.

     

     

    Celle-ci fut apaisée par l'apparente gentillesse du garçon, et se décida à baisser sa garde. Elle enleva les mains de sa poitrine pour prendre la veste. Nassim eut une expression de surprise en voyant les seins nus se dévoiler pour lui. Cela ne dura qu'un instant, car Maryline enfila rapidement son vêtement et le ferma. Le jeune homme, apparemment gêné, s'excusa en bredouillant et s'éclipsa sans demander son reste.

     

     

    • Et ben ! En rigola Michaël. Soit c'est un grand timide, soit tu l'as effrayé, ma belle!

    • Tu prends ton pied à me montrer comme ça, hein? Mais moi je l'ai pas pris, mon pied. J'ai pas joui quand on a baisé, se plaignit la petite black. J'ai encore très envie, là !

     

     

    Et pour affirmer ses dires, elle s'adossa au mur et leva sa jupe pour montrer sa chatte gluante.

     

     

    • Baise-moi encore, s'il-te-plaît ! Minauda-t-elle.

     

     

    Michaël s'approcha et la prit dans ses bras.

     

     

    • Si c'est demandé comme ça, ça ne se refuse pas, murmura-t-il.

     

     

    Malheureusement lui venait de jouir et il eut besoin de longues caresses et mots crus de sa copine pour se remettre au garde à vous. Lui-même triturait la chatte de la jeune fille, la malaxant et la pénétrant de ses doigts, qui se couvrirent de leurs sécrétions mélangées. Maryline priait afin que personne ne vienne les déranger. Quand il fut prêt, Michaël la pénétra de nouveau, le pantalon baissé sur les cuisses. La jeune fille tenait sur une jambe, l'autre enroulée autour de son amant. Elle poussa des soupirs gémissants sous les mouvements de va-et-vient du membre qui l'envahissait. Le jeune homme glissa une main mouillée entre ses fesses puis, sans prévenir, força l'entrée de l'anus de son majeur lubrifié. Maryline en fut contrariée un instant, puis elle sentit l'orgasme arriver et ne résista pas. Elle jouit en retenant un cri, ses deux orifices pénétrés par son copain.

     

    Celui-ci ne jouit pas de nouveau, mais il était satisfait d'avoir contenté sa partenaire. Il se retira, doigt et sexe.

     

     

    • Nettoie-moi la bite ! Ordonna-t-il.

     

     

    Sans rechigner, la petite black s'agenouilla et lui lécha la verge consciencieusement. Michaël lui caressa les cheveux et la remercia. La jeune fille était aux anges, malgré encore un vague sentiment d'humiliation. Puis elle remit de l'ordre dans sa tenue, ramassa son sac et admira son smartphone tout neuf, et ils repartirent main dans la main.

     

     

     

    A suivre...

     

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