• chapitre 14

     

    Les garçons se disputèrent un peu pour savoir où Maryline allait s'asseoir, et finalement quand le professeur se fit entendre et demanda à tout le monde le silence, c'est entre Omar et Boubakar que la lycéenne se retrouva. Ils étaient au fond de la classe, et le professeur semblait ne rien avoir remarqué de la tenue osée de Maryline. Les autres élèves, par contre, tournaient régulièrement les yeux vers elle, ricanant, haussant les épaules, ou bien faisant des gestes obscènes. Les deux garçons qui l'entouraient la serraient de près, ce qui avait au moins le mérite de la protéger relativement du regard des autres. Le cours était long, car la classe devait passer deux heures avec le même professeur. Omar, à force d'insister, parvint à obliger sa voisine à enlever sa veste. Ensuite il s'amusa par moments en tirant sur les bords de son débardeur, mettant à nu une bonne partie de ses seins. La jeune fille résistait mollement, essayant tant bien que mal d'ignorer ses voisins et de suivre le cours. Mais quand un téton s'échappait, elle enlevait la main intruse et remettait en place son vêtement. Omar et Boubakar n'arrêtaient pas de ricaner, ce qui attirait évidemment l'attention des autres élèves. Et nombreux furent ceux qui aperçurent un bout de sein couleur chocolat. Boubakar se déhanchait souvent sur sa chaise, une bosse au creux du pantalon. Il avait l'air terriblement gêné. Le manège dura une éternité, mais Maryline fut finalement soulagée que ça n'aille pas plus loin.

     

    Le cours terminé, Boubakar s'éclipsa mais Omar ne lâcha pas la petite black. Elle n'eut que le temps de ramasser ses affaires et de remettre sa veste, et il l'emmena par la main, suivi de près par Etienne et Max qui trottinaient pour les rattraper. C'était l'heure de la pause. Le jeune beur aurait voulu avoir un moment seul avec la jeune fille, mais se rendit compte que ça ne serait pas possible.

     

     

    • Hé! Attendez!

     

     

    Etienne et Max rattrapèrent le couple près des salles de science. Omar entra dans une salle dont la porte était entrouverte et qui était vide, Maryline suivant docilement. Elle ne se sentait pas la force de lutter. Les deux autres garçons les suivirent dans la pièce.

     

     

    • Omar! Je t'ai dit de la laisser, putain! Lança Etienne, agitant ses longs cheveux comme pour l'intimider.

    • Quoi?! Répondit le jeune beur pas du tout effrayé. La laisser pour quoi? Elle est avec moi, je t'ai dit!

     

     

    Et comme pour bien illustrer ce qu'il affirmait, il embrassa sans ménagement la petite black. Celle-ci, sous la poussée, dut reculer et appuyer ses fesses contre le rebord d'une table. Omar lui fouilla la bouche de sa langue, et ce pendant de longues secondes. Lorsqu'il se retourna vers Etienne, celui-ci était devenu tout rouge. Sur le point d'éclater, Max posa une main sur son épaule.

     

     

    • Vous êtes complètement barrés les mecs! Dit-il. Vous pouvez pas dire que cette fille est à l'un ou à l'autre. Vous avez qu'à l'avoir tous les deux. Ben ouais, quoi! Tout le monde peut l'avoir. Tiens, moi...

     

     

    Il fit une pause théâtrale en montrant sa poitrine.

     

     

    • ... ben moi je l'ai baisée ce matin! Et j'étais pas le seul.

    • Quoi!? Firent en choeur les deux autres.

    • Bé oui! Confirma Max en haussant les épaules. Alors sautez-la tous les deux et faites pas chier!

     

     

    Le rouge se retirait des joues d'Etienne. Lui et Omar se regardèrent dubitatifs, puis leurs yeux se tournèrent vers Maryline. La jeune fille était aussi surprise qu'eux que Max ait pu leur dire ça. Puis elle comprit que la situation n'était pas en sa faveur. Elle n'avait aucune échappatoire. Et elle commençait à ressentir une drôle de sensation au creux de son ventre. Elle soupira en baissant la tête, puis se pencha en arrière jusqu'à poser le dos sur la table. Max s'approcha.

     

     

    • Ecarte les cuisses! Tu sais ce qui t'attend, dit-il calmement.

     

     

    Maryline écarta les pieds fermement campés à terre, et Max sourit du pouvoir qu'il avait sur elle. Etienne approcha à son tour, et les trois garçons admirèrent un instant la chatte rasée qui s'offrait à eux, la fente rose entrouverte et luisante. Omar écarta les pans de la veste et souleva le débardeur pour dévoiler les seins aplatis sur le torse de la jeune fille. Il se positionna à côté d'elle et commença de jouer avec les pointes, les tirant et les faisant rouler sous ses doigts. Etienne, qui avait le champ libre, s'avança vers l'entrejambe de la petite black et ouvrit son pantalon. Il poussa la jupe qui se froissa sur le ventre de la lycéenne et sortit son sexe à demi raide, puis en frotta le bout le long de la fente rosée. En même temps il se masturbait afin de donner à sa verge la raideur nécessaire. Lorsque son but fut atteint, il trouva l'orifice du vagin et s'y enfonça d'une traite. Maryline et lui poussèrent en choeur un soupir, puis il s'employa à la pistonner avec entrain. Max regardait en souriant, commençant à être tout excité lui aussi. Afin de se faciliter la tâche, Etienne prit la jambe droite de sa partenaire et la souleva à la verticale. Ainsi il parvint à pénétrer plus profondément dans les entrailles de la petite black et lui arracha des petits gémissements. Max jeta un oeil derrière lui et eut la présence d'esprit d'aller fermer complètement la porte qui était restée entrouverte. Il ne s'agissait pas de se faire prendre dans une situation pareille! Omar continuait de triturer les tétons de Maryline alors qu'Etienne accélérait le rythme et la faisait trembler de partout. Max vint se poster à côté de lui, la queue déjà sortie et droite, et tint la jambe levée pour l'aider. Leurs deux sexes n'étaient qu'à quelques centimètres de distance et Max avança le bassin jusqu'à presque toucher son camarade. Etienne, quelques gouttes de sueur perlant sur son front, lâcha alors un gémissement rauque et ralentit la cadence. Le gland de Max appuya alors à l'entrée de la chatte, contre le sexe d'Etienne. Il tentait de forcer le passage. Maryline sentait ce qui se passait et releva la tête.

     

     

    • Non! S'il-te-plaît! Pas les deux en même temps! Supplia-t-elle.

     

     

    Mais Max ne l'écoutait pas. Il continua de forcer alors qu'Etienne donnait encore de lents coups de piston. La jeune fille poussa un douloureux gémissement. Soudain le sexe d'Etienne fut éjecté de son vagin. Il s'était ramolli, et Max prit toute la place. Etienne s'écarta et se rhabilla. Son camarade commença de baiser énergiquement à son tour la petite black. Omar lui triturait toujours les seins, prenant même parfois un mamelon entre ses lèvres pour le sucer et le mordiller. Maryline ferma les yeux alors qu'un plaisir intense commençait à l'envahir. Max donnait des coups de boutoir qui faisaient claquer ses fesses. Il souffla en rythme comme s'il courait un sprint, s'accrochant fermement aux cuisses de sa partenaire. Omar remarqua que la jeune fille était proche de l'orgasme, et voulut la stimuler encore plus. Il tira vers le haut sur les pointes de ses seins. Maryline poussa un cri de douleur, qui se transforma une seconde plus tard en ululement orgasmique. Son corps s'arc-bouta raidement sur la table, puis elle retomba mollement. A son tour, Max sentit qu'il arrivait au point de non-retour. Il serra les dents et s'immobilisa, enfoncé jusqu'à la garde, et jouit en plusieurs jets continus. Il se retira avec précaution afin de ne pas se tâcher, et Omar se dépêcha de prendre sa place. C'est à ce moment que la sonnerie annonçant la fin de pause retentit.

     

     

    • Meeeeerde! Lâcha le jeune beur.

    • T'auras pas le temps, mec! Lui dit Etienne.

    • Toi, tu ne perds rien pour attendre! Fit Omar à l'intention de Maryline. Je te défoncerai la prochaine fois.

     

     

    La jeune fille ne répondit rien, le regard ailleurs. Elle se remit simplement debout, serra les fesses craignant que du sperme ne s'échappe de son sexe, et rajusta sa jupe découpée. Son débardeur retomba de lui-même sur sa poitrine. Les quatre lycéens partirent en courant afin de ne pas arriver en retard à leur cours, mais il était déjà trop tard. Ils entrèrent en classe alors que la prof, Mme Rodriguez, avait déjà commencé de rendre des copies.

     

     

    • Tiens! Omar, Maxime, Etienne... j'ai de mauvaises nouvelles pour vous, dit-elle à l'intention des garçons. Prenez ça et allez vous asseoir!

     

     

    Elle leur remit leurs copies.

     

     

    • Maryline, vous ne devriez pas vous laisser entraîner par ces garnements, dit-elle à la jeune fille en lui remettant sa copie. Asseyez-vous!

     

     

    Elle lui indiqua une place libre, et la petite black n'eut d'autre choix que de s'y installer. Elle se retrouva entre Karim, un black qui lui adressa à peine un regard, et Jérémy qui frétilla tout sourire d'avoir enfin la jeune fille près de lui. Celle-ci serra les pans de sa veste ainsi que les cuisses, sa crainte étant de tâcher sa jupe ou la chaise. Mais pendant le cours elle eut d'autres soucis, car les garçons qui l'entouraient ne la laissèrent pas tranquille. Jérémy commença à lui caresser la cuisse, à jouer avec le bas de sa jupe, ou à glisser sa main sous la veste pour atteindre un sein. Et alors qu'elle tentait de le repousser discrètement, une main se posa sur son autre cuisse. Karim, sans même la regarder, caressa la douce peau noire. Maryline eut des difficultés à repousser les assauts des deux garçons en même temps, mais elle parvint à conserver sa dignité. C'est alors qu'elle sentit une tape dans le dos. Khedidja était là derrière elle. Elle chercha à engager la conversation à voix basse.

     

     

    • Maryline, ça va? T'as des soucis?

     

     

    La petite black lui répondit vaguement en tournant la tête à demi. Et son amie insista. Maryline voulait la rassurer, mais lui répondre en s'occupant en même temps de garder les garçons à distance était mission impossible. Khedidja ne comprenait rien à ce que lui disait sa copine et continuait à discuter. La petite black essayait de lui faire comprendre que tout allait bien, alors que Jérémy était parvenu à lever suffisamment la jupe pour dévoiler son pubis. Karim lâcha un juron étouffé, et attrapa l'intérieur de la cuisse pour la tirer vers lui. Les jambes ainsi écartées, Jérémy put atteindre l'entrejambe de sa voisine et se mit à lui caresser directement la vulve de son majeur. Maryline continuait à répondre tout bas à Khedidja en tournant légèrement la tête, essayant de ne pas se faire remarquer par le prof. En même temps les caresses de Jérémy l'empêchaient de rester constante et cohérente dans sa conversation, d'autant plus que le garçon allait par moments jusqu'à enfoncer son majeur dans la grotte déjà humide.

     

     

    •  Ouah, c'est tout gluant! Fit-il dans un chuchotement.

     

     

    Karim en profitait pour insinuer sa main sous la veste et lui pelotter les seins, et parfois sans que la jeune fille ne s'en rende compte son doigt prenait la place de celui de Jérémy dans sa chatte. Khedidja se rendit bien compte que les garçons n'arrêtaient pas d'importuner sa copine, mais comme celle-ci lui soutenait que tout allait bien, elle finit par laisser tomber. Pouvant à présent reporter toute son attention sur les garçons, Maryline se rendit compte qu'ils avaient arrêté de la caresser. Elle poussa un petit cri de surprise en voyant qu'ils venaient tous deux de sortir leurs sexes en érection. Mme Rodriguez l'entendit.

     

     

    • Il y a un problème, mademoiselle Koné?

    • Non... non rien, madame!

     

     

    Alors qu'elle répondait et que la prof lui jetait un regard accusateur avant de se retourner vers le tableau, Karim et Jérémy prirent ses mains et les posèrent sur leurs verges dressées. Heureusement où ils étaient la prof ne pouvait rien voir sous les tables, car même Maryline avait encore la jupe relevée sur son ventre.

     

     

    • Laisse ta main où elle est où j'appelle la prof! Menaça Jérémy tout bas alors que la petite black voulut bouger.

     

     

    Elle regarda Karim qui avait les yeux fixés droits devant lui mais posa une main sur la sienne. Elle comprit qu'elle devait aussi garder la main sur son sexe. Les deux bites étaient bien en érection et elle ne pouvait les cacher d'une seule main.

     

     

    • Branle-moi doucement! Ordonna Jérémy toujours à voix basse.

     

     

    Prenant cet ordre pour les deux garçons, Maryline empoigna chacun des pénis. Ils étaient chauds et elle sentit leurs pulsations au creux de ses paumes. Elle commença de bouger les mains du bout vers la base des verges, en un ryhtme lent et sensuel. La jeune fille essayait de faire comme si de rien n'était, suivant le cours en regardant devant elle, les mains entre les jambes de ses voisins. Mais parfois, elle ne pouvait s'empêcher de baisser les yeux vers les bites raides qu'elle branlait doucement, imaginant qu'elle les prenait dans sa bouche ou dans son sexe. Immédiatement alors, elle redressait le regard, choquée de ses propres pensées.

     

    Entièrement concentrée sur ses efforts, la lycéenne ne remarqua pas que juste de l'autre côté de Jérémy était assis Fred, le garçon sur lequel lorgnait Khedidja, et qu'il voyait tout ce qui se passait. Il tentait de rester discret lui aussi, faisant comme si de rien n'était, mais son regard ne quittait que très peu la double masturbation qui avait lieu à côté de lui. Il avait les yeux écarquillés, il n'y croyait pas. Maryline branla longuement les deux garçons, qui se dandinaient parfois, visiblement excités. Mais au rythme forcément très lent que la jeune fille adoptait, l'éjaculation était difficile à venir. C'est Karim qui la surprit en lâchant subitement plusieurs jets de sperme. Une partie tomba au sol devant lui, mais la petite black en reçut une bonne giclée sur la main. Le garçon rangea son sexe et Maryline ne sut que faire de sa main souillée. Elle continua de masturber Jérémy, mais celui-ci ne parvint pas à jouir avant que la sonnerie n'annonce la fin du cours. Il se rhabilla alors en une seconde. Maryline, elle, hésita un instant, gênée par les gouttes de sperme sur sa main. Elle vérifia d'un coup d'oeil que personne ne la regardait, et lécha rapidement ce qu'elle pouvait. Elle n'avait pas d'autre choix, ne voulant pas s'essuyer sur ses vêtements.

     

     

    Le cours suivant plusieurs garçons se disputèrent le droit de s'asseoir à côté d'elle, et ce fut un peu la pagaille jusqu'à ce que le professeur parvienne à obtenir le calme. Jérémy, frustré de ne pouvoir terminer ce qui avait été commencé précédemment, dut s'asseoir plus loin, et Maryline se retrouva avec Etienne et Omar à ses côtés. Ceux-ci furent moins entreprenants que ceux qui les avaient précédés, notamment à cause du prof qui regardait souvent de leur côté. Seul Omar profitait parfois d'un moment propice pour tirer sur le décolleté de sa voisine et apercevoir ainsi ses seins nus. Mais la fin du cours sonna sans plus d'outrages pour la jeune fille.

     

    Elle se dépêcha de quitter la salle de classe et ses camarades trop collants, et dans la cohue de fin de journée qu'il y avait dans les couloirs, elle parvint à les devancer. Malheureusement elle se retrouva coincée dans l'attroupement qui se formait à la porte alors que tout le monde se bousculait pour sortir.

     

     

    • Hé! T'es la copine de Fred, non? Fit une voix à côté d'elle. On s'est vus ce matin.

     

     

    Elle reconnut effectivement un garçon qu'elle avait croisé le matin même.

     

     

    • Heu, oui... Mais excuse-moi, je ne me souviens plus de ton prénom? Demanda-t-elle.

    • Christophe, répondit-il avec un sourire alors que les mouvements de foule le collaient à la lycéenne. Mais tu peux m'appeler Chris. Et toi c'est Maryline, c'est ça?

    • Oui.

    • Je suis avec mes potes Albéric, Steven, David et Paolo.

     

     

    Il les lui montra, et la jeune fille se rendit compte qu'elle était complètement entourée des amis de Christophe. Elle eut une brève inquiétude, puis se dit que jamais elle ne se souviendrait de ces nouveaux prénoms qu'elle n'avait écouté que distraitement. Elle sourit niaisement. Serrés comme ils l'étaient tous, certains des garçons avaient les mains baladeuses alors qu'ils essayaient d'entamer la conversation. Ils parlaient tous en même temps, et Maryline ne comprenait rien. Elle sentit une main se poser sur ses fesses mais ne put maneuvrer pour s'en détacher.

     

     

    • Aïe!

     

     

    Quelqu'un venait de lui pincer un téton! Heureusement elle arrivait à la sortie et put se glisser à l'extérieur. Elle échappa au petit groupe et s'éloigna de quelques pas du portail d'entrée. Mais deux des garçons la rattrapèrent, celui qui avait un prénom étrange en « ic » et qui était très blond, et Steven.

     

     

    • Attends! Fit le blond en la prenant par la taille. Tu prends le bus? On peut te raccompagner?

    • Heu non! Répondit-elle. Je reste un peu...

     

     

    Elle sentit que la main du blond descendit de sa taille vers ses fesses, et elle se dandina pour tenter de lui échapper.

     

     

    • J'attends quelqu'un! Fit-elle.

    • C'est moi qu'elle attend! Rétorqua une voix derrière elle.

     

     

    C'était la haute silhouette de Michaël. A sa vue, Maryline fut soulagée alors que le blond retira subitement la main de son postérieur. Michaël eut un sourire taquin et posa lui-même la main fermement sur les fesses de sa copine en s'adressant au garçon.

     

     

    • Maryline a un cul à mourir, non?

     

     

    Et il palpa vigoureusement le derrière de la petite black, ce qui remonta même la jupe jusqu'à dévoiler le bas de ses fesses. Steven et le blond ouvrirent des yeux comme des soucoupes.

     

     

    • Ho oui! Répondit enfin le blond.

    • Dis donc! On dirait que ta jupe s'est raccourcie, dit Michaël interloqué. Qu'est-ce qui s'est passé?

    • Rien! C'est... c'est Omar qui a fait ça, répondit Maryline. Il ne la trouvait pas assez courte.

     

     

    Elle ne voulait pas raconter tous ses déboires devant des garçons qu'elle ne connaissait pas et n'en dit pas plus.

     

     

    • Omar, fit Michaël. C'est un de ceux avec qui on était allés au centre commercial, non?

    • Oui, oui, c'est lui.

    • Il aime prendre soin de toi, on dirait!

    • Mouais... Si on veut! Rétorqua la petite black.

     

     

    Elle eut envie de dire à son copain qu'Omar avait failli la baiser et que deux autres étaient même passés avant lui, mais elle se retint encore une fois.

     

     

    • En fait il a pas tort, c'est clair que c'est mieux comme ça! Ajouta Michaël en jouant avec le bord de la jupe à la limite des fesses rebondies. Il faudrait que tu mettes des jupes plus courtes, c'est sur.

    • Mais j'ai rien d'autre! Se justifia Maryline. Les jupes que j'ai, c'est celles que tu m'as achetées.

    • OK! Bon les gars, dit-il en s'adressant aux garçons. On vous laisse, il faut que je m'occupe de ma petite bombe sexuelle.

     

     

    Sur ce il emmena sa copine par la main en rigolant. Steven et le garçon blond restèrent un moment cloués sur place en les regardant s'éloigner.

     

     

    • Je t'emmène aux magasins, dit Michaël en souriant à la petite black. C'est clair qu'il te faut des fringues sexy, mais un peu plus classes que cette jupe coupée à l'arrache.

     

     

    Soudain des bruits de pas rapides firent se retourner les deux tourtereaux. C'était Omar qui les rattrapait en courant.

     

     

    • Attendez-moi! Cria le jeune beur. Vous allez où? Leur demanda-t-il essoufflé lorsqu'il arriva à côté d'eux.

    • Ca te regarde pas! S'exclama Maryline qui préférait rester seule avec son copain.

     

     

    Michaël lui envoya un regard noir, visiblement mécontent de l'intervention de la petite black. Puis il répondit en souriant à Omar.

     

     

    • On va faire les boutiques! Je dois rhabiller la miss. Bravo pour ton travail! On va essayer de trouver des choses dans le même genre. T'étais déjà venu avec nous la semaine dernière, non?

    • Ouais, ouais! C'était génial!

    • Ben viens, on remet ça! Continua Michaël.

    • Ha, je sais pas! Fit Omar l'air embêté. Normalement je dois rentrer tôt aujourd'hui.

    • Tant pis, alors!

     

     

    Le jeune beur réfléchit un instant en se mordant les lèvres, alors que Michaël et Maryline reprenaient leur chemin.

     

     

    • Et pis merde! Fit Omar.

     

     

    Et il emboita le pas au couple de lycéens. Les trois se retrouvèrent donc dans le bus en direction du centre commercial. Le trajet n'était pas long, mais les garçons en profitèrent. Serrés dans la foule, Michaël, derrière Maryline, avait une main sous sa jupe et lui caressa l'entrejambe, de sa chatte jusqu'à l'anus. Il constata qu'elle était poisseuse, et le lui fit remarquer avec un bruit de dégoût dans le creux de son oreille. La lycéenne sentit le rouge lui monter aux joues, honteuse. Elle se sentait sale. Devant elle, Omar n'était pas en reste, une main sous la veste il lui pelottait allègrement les seins. Ces caresses appuyées firent leur effet et la jeune fille sentait son sexe s'humidifier, ce qui aida Michaël à enfoncer parfois un doigt dans son vagin. La lycéenne se retrouva dans un état second lorsque le trio arriva au centre commercial. Mais au lieu d'aller vers les boutiques de vêtements, Michaël décida d'aller ailleurs.

     

     

    • J'ai une surprise pour toi! Dit-il à sa copine.

     

     

    Ils arrivèrent à une boutique de téléphonie.

     

     

    • Tu te rappelles qu'on avait parlé d'un portable, et que tu m'as dit que t'en avais plus?

    • Oui... répondit la jeune fille en se demandant s'il voulait en venir à ce qu'elle pensait.

    • Et ben voilà! Je t'en offre un.

    • C'est pas vrai?!

     

     

    Maryline exulta et se jeta dans les bras du grand gaillard, faisant se retourner les quelques clients de la boutique.

     

     

    • Mais je n'oublie pas que tu as mal parlé à Omar tout à l'heure, dit le garçon à son oreille en la serrant dans ses bras. Ca ne m'a pas plu, et ça mérite une punition.

     

     

    La jeune fille le regarda dans les yeux, implorante.

     

     

    • Après... ajouta Michaël avec un sourire ambigü. On va d'abord te choisir un phone.

     

     

    Maryline ravala alors son angoisse de la punition, toute excitée qu'elle fut de se choisir un nouveau téléphone portable. Evidemment elle s'intéressa aux modèles les plus récents, les smartphones dernière génération. Omar, en féru de gadgets technologiques, la conseillait de manière très tactile, ses mains quittant rarement le corps de la petite black, la pelottant plus ou moins discrètement. Michaël, lui, calmait ses ardeurs. Il ne pourrait pas lui offrir le dernier cri, mais un téléphone très correct malgré tout, avec un rechargement à carte. Lorsque le choix fut fait, ce qui prit un temps certain, la jeune fille ayant pris beaucoup de plaisir à regarder et comparer, elle se jeta dans les bras de Michaël pour l'embrasser chaudement.

     

     

    • Merci! Merci! Merci!

    • Pas de quoi! Fit le jeune homme. On verra plus tard pour le charger et l'essayer. D'abord on va maintenant voir pour des fringues.

     

     

    La jeune fille glissa la boîte neuve du téléphone dans son sac d'école. Contrairement à la semaine passée, cette fois ce fut Michaël qui choisit la boutique de vêtements. Ils entrèrent donc dans un magasin populaire qui proposait des modes très variées. Michaël les guida dans les travées, regardant et faisant des commentaires sur des petites jupes, des robes, et même d'autres choses, tailleurs, bottines, etc...

     

     

    • Mais je croyais que tu voulais juste des jupes, dit Maryline innocemment.

     

    • Il te faut des jupes plus courtes, c'est clair, mais tant qu'à faire, autant rendre plus sexy le reste aussi, répondit son copain. Ta poitrine mérite aussi le détour, non?

     

     

    Omar rit de la plaisanterie. Michaël choisit donc divers vêtements, haut et bas sexy de divers styles et couleurs, et le trio se rendit aux cabines d'essayage. La boutique était populaire et plutôt fréquentée, et ils durent patienter quelques minutes pour en avoir une de libre. Maryline et son copain entrèrent dans le réduit fermé par un rideau, Omar patientant juste derrière.

     

     

    • Déshabille-toi! Ordonna Michaël en accrochant les cintres aux porte-manteaux.

     

     

    La jeune fille obtempéra et commença par ôter sa veste, puis ses chaussures et ses chaussettes. Elle enleva ensuite son débardeur, puis sa jupe, et se retrouva nue comme au premier jour. Puis son copain lui montra ses vêtements.

     

     

    • Ceux-là tu ne les remettras pas, dit-il. Déchire-les.

    • Quoi? Fit Maryline.

    • Tu m'as bien compris! Prends ce reste de t-shirt et cette jupe et déchire-les. Considère que ça fait partie de ta punition.

    • Bon... d'accord, acquiesça la lycéenne un peu perplexe.

     

     

    Elle prit d'abord le débardeur et hésita. Michaël opina du chef pour l'encourager. La jeune fille tendit alors les bras, et profita des coups de ciseaux d'Omar pour déchirer en deux le vêtement sans difficulté.

     

     

    • Bien! La jupe maintenant, lui dit Michaël.

     

     

    Maryline soupira, prit la jupe, et d'un coup sec la déchira de la même façon. Ses vêtements en lambeaux gisèrent à terre. Il était à présent impossible qu'elle les remette et elle était nue comme un ver dans une boutique fréquentée. Elle frissonna de manière incontrôlée.

     

     

    • Très bien! Fit le jeune homme satisfait. Maintenant tu peux essayer ça.

     

     

    Et il lui tendit une tenue de couleur noire. Il s'agissait d'un tailleur. Maryline n'avait jamais porté ce genre d'ensemble et elle ne s'y sentit pas à l'aise. La veste était plutôt large et courte, et portée à même la peau elle faisait à la jeune fille un décolleté plongeant. La jupe était plutôt sage, évasée et arrivant au-dessus des genoux. L'ensemble donnait à Maryline un air très sérieux, et c'est ce que lui dit Omar lorsque Michaël ouvrit le rideau afin qu'il donne son avis.

     

     

    • Pas si sérieux que ça, regarde! Fit le jeune homme en écartant un pan de la veste afin d'élargir le décolleté.

     

     

    Un mamelon apparut, et Omar sourit.

     

     

    • Ha oui, la secrétaire est une salope, on dirait! Crut-il bon d'ajouter.

     

     

    Maryline espéra que personne n'avait entendu cette remarque, et essaya ensuite une autre tenue, constituée d'un large débardeur à motifs fleuris et d'une jupe en jean qui arrivait aux genous. Omar sembla encore une fois dubitatif quand Michaël ouvrit le rideau. Mais celui-ci lui fit un signe d'attente de la main. La jupe était boutonnée de haut en bas sur le devant. Le jeune homme défit tous les boutons, sauf le premier qui tenait la jupe en place.

     

     

    • Maintenant regarde quand elle bouge! Fit-il satisfait.

     

     

    Sur un signe de lui, la petite black commença de faire des allers-retours de quelques pas. Dès qu'elle bougea, une lueur d'intérêt apparut dans les yeux d'Omar. Les seins s'agitaient sous le débardeur qui ne les maintenait aucunement, et la jupe s'ouvrait à chaque pas, dévoilant une cuisse jusqu'à l'ombre de l'entrejambe.

     

     

    • Ouais c'est mieux, pas de doute! Fit le jeune beur en glissant sa main dans la fente de la jupe pour caresser la chatte nue.

     

     

    La tenue suivante comportait un léger chemisier bouffant et une minijupe plissée à carreaux gris et roses. Michaël défit bien entendu quelques boutons du chemisier pour ouvrir un large décolleté. Quand le rideau s'ouvrit, Omar sembla apprécier particulièrement la vision qu'offrait la jeune fille. Il poussa un sifflet d'admiration. Maryline sentit le rouge lui monter aux joues, d'abord de honte de se sentir si nue sous cette tenue qui n'était qu'un maigre rempart, puis de gêne de se sentir admirée par les garçons. Quelques clientes arpentaient le magasin. Il y avait heureusement peu d'hommes, mais elle remarqua tout de même certains regards dans sa direction.

     

     

    • Waow! Là tu déchires, ma petite! Fit Omar avec une moue expressive. Tu me donnes envie de te défoncer là tout de suite.

    • Omar! Arrête! Lui dit la petite black avec un regard inquiet vers les alentours.

     

     

    Le trio commençait à attirer l'attention, ce que Maryline préférait évidemment éviter.

     

     

    • Vas-y! Dit Michaël au jeune beur en haussant les épaules. Si tu veux la prendre ici, fais-le. Il paraît que vous en avez déjà bien profité aujourd'hui, toi et tes potes.

    • Hein? Heu, non, justement, pas moi! Répondit Omar. Mais ici? Heuuu, c'est chaud, non?

     

     

    Il regardait autour de lui, apparemment peu enclin à se donner en spectacle en public. Il glissa tout de même une main dans le décolleté du chemisier, prenant un sein dans la paume en le malaxant doucement.

     

     

    • Nan, sérieux, pas ici, c'est pas possible! Conclut finalement le garçon.

     

     

    Maryline poussa un soupir de soulagement. Elle préférait aussi éviter de faire quoi que ce soit de honteux en public.

     

     

    • C'est comme tu veux, fit Michaël. Pourtant la petite te doit bien ça, vue la manière dont elle t'a causé tout à l'heure. Mais c'est pas grave, elle aura le temps de se rattraper. Tiens, ma belle, remets tes chaussures, on va passer à la caisse.

    • Quoi? Fit la jeune fille. Je garde ces fringues? Mais comment?...

    • Ne discute pas où tu sais ce qui arrivera, rétorqua le jeune homme sans agressivité.

     

     

    Son regard était tout de même ferme et Maryline comprit qu'il valait mieux ne pas en rajouter. Elle remit ses chaussures, sans les chaussettes que Michaël avait gardées avec les autres vêtements. Le trio passa à la caisse, et Michaël remit à l'hôtesse les vêtements qu'il avait en main.

     

     

    • On prend aussi ceux que ma copine a gardé sur elle, précisa-t-il en montrant la petite black du doigt... le chemisier et la jupe.

     

     

    L'hôtesse acquiesça et demanda à Maryline de s'approcher afin qu'elle puisse scanner les codes-barres. Elle tira largement sur le col du chemisier pour sortir l'étiquette et passer son pistolet devant, élargissant ainsi le décolleté et mettant par mégarde au jour un téton.

     

     

    • Ho! Excusez-moi! Fit-elle. Je ne savais pas que vous n'aviez pas de... soutien!

     

     

    La lycéenne se rajusta immédiatement, et baissa les yeux, honteuse. L'hôtesse, avec précaution, glissa une main dans la taille de la jupe, chercha l'étiquette et constata forcément qu'il n'y avait aucune trace de sous-vêtement. Elle jeta un regard noir à Maryline, et celle-ci n'osa pas le soutenir. Les garçons retenaient leurs sourires. Quand l'hôtesse eut terminé sa tâche, Michaël paya, puis tous les trois sortirent sans demander leur reste.

     

     

    • Maintenant on va te chercher une paire de chaussures, dit Michaël. Tu ne peux pas garder tes chaussures de garçon avec ça, c'est pas possible!

    • Quoi? Des chaussures? S'exclama Maryline. Non, s'il-te-plaît! Pas habillée comme ça!

     

     

    Omar s'exclaffa.

     

     

    • Ho si! Lâcha-t-il. C'est ça qui est drôle!

    • Non! Pourquoi vous me faites ça? Tenta de discuter la jeune fille. Je ferai ce que vous voudrez!

    • Bien sur que tu feras ce qu'on veut! Confirma Michaël. Tu dois déjà un petit quelque chose à Omar pour l'avoir traité comme une merde.

     

     

    Les yeux du jeune beur s'allumèrent, et Maryline n'osa pas répliquer. Michaël les emmena dans une boutique de chaussures. Il jeta un oeil alentour et sembla déçu.

     

     

    • Il n'y a pas de vendeur, c'est dommage! Tu aurais pu égayer sa fin de journée, fit-il avec un clin d'oeil à sa copine.

    • Très drôle! Répondit-elle avec cynisme.

    • Pas grave! On va te trouver de belles chaussures bien sexy, continua-t-il. Tiens! Assis-toi là!

     

     

    La petite black s'assit sur le petit tabouret qu'il désignait. Il était petit même pour elle. Un regard appuyé de Michaël lui rappela qu'elle devait garder les cuisses ouvertes. Or la boutique était fréquentée par quelques clients. Elle rechigna, une moue suppliante sur le visage. Mais le jeune homme était inflexible. Avec un soupir, Elle écarta alors un peu les genoux. Le tissu de la minijupe tombait entre ses cuisses, masquant le principal, mais pas de beaucoup. Michaël souleva un instant le vêtement, et sourit en admirant la petite fente rose qui s'offrait à son regard. Puis il alla chercher les chaussures qu'il avait en tête. Omar resta avec Maryline, tout sourire. Il vérifia qu'aucun client, des femmes principalement, ne regardait dans leur direction, puis il s'agenouilla devant sa camarade de classe et enfouit la main entre ses cuisses.

     

     

    • Arrête ! Chuchota celle-ci sans conviction.

     

     

    Le garçon fouilla directement sa chatte, malaxant la vulve, puis introduisant son majeur loin dans son vagin. Ils étaient masqués de la caisse et de la vendeuse qui s'y trouvait, mais une cliente remarqua qu'il se passait quelque chose d'incongru et préféra s'éloigner. Michaël revint avec une paire d'escarpins roses à hauts talons. Omar, surprit, retira sa main de la chatte redevenue humide, provoquant un petit bruit de succion.

     

     

    • Tu ne vas pas choisir celles-là? S'exclama Maryline. On dirait des chaussures de Barbie!

    • Ben pourquoi? Elles me plaisent, à moi! Répondit son copain.

    • T'as vraiment des goûts de chiotte! Fit-elle dépitée.

    • Peut-être, mais c'est comme ça. Allez, mets-les !

     

     

    Il fut difficile pour la jeune fille d'enfiler les chaussures en gardant les cuisses ouvertes sans s'exposer indécemment. Elle croyait que seuls ses deux camarades la regardaient, mais lorsqu'elle leva les yeux elle constata que deux hommes d'âge mur, à quelques pas d'eux, se rinçaient l'oeil également. Elle sursauta et les voyeurs s'éloignèrent apparemment gênés d'avoir été pris la main dans le sac. Elle se leva immédiatement et sa jupe la couvrit enfin. Les hauts talons des chaussures roses donnaient un galbe magnifique à ses jambes charnues. Michaël le lui fit d'ailleurs remarquer.

     

     

    • C'est superbe ! Ca te donne de la classe !

     

     

    Maryline fit quelques pas maladroits, encore peu habituée à marcher avec ce genre de chaussures.

     

     

    • J'ai l'air d'une bimbo, oui ! Fit-elle dépitée.

    • Ben justement ! Crut bon d'ajouter Omar. C'est classe, non ? T'as rien à envier aux pin-up de la télé ! Regarde ça, tu ferais bander un pédé !

    • Bon alors c'est cool, on prend celles-là, confirma Michaël. Garde-les aux pieds.

     

     

    Il prit les autres chaussures et les mit dans le sac de vêtements neufs. Puis ils passèrent à la caisse.

     

     

    • Bon, tu n'as pas perdu ton temps ma belle, hein? Fit le jeune homme alors que le trio quittait la boutique. Un phone, des sapes, des chaussures.... Tu as été gâtée! Maintenant, il va falloir nous rendre la pareille, surtout à Omar, t'as pas été sympa avec lui!

    • Qu'est-ce que je vais encore devoir faire? Demanda Maryline avec un regard apitoyant, alors qu'Omar souriait dans l'expectative.

    • Tu vas voir. On va trouver un coin tranquille, dit Michaël.

     

     

     

     

    A suivre...

     

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