• chapitre 13

     

    Après avoir baisé Maryline dans les escaliers de l'immeuble, Michaël l'avait laissée pour rejoindre son père dans la voiture. La jeune fille était rentrée chez son cousin, qui l'avait laissée tranquille toute la soirée. Elle, elle l'avait quand même regardé un peu bizarrement, essayant de savoir si Michaël avait vu juste. Mais il lui fut impossible de conclure quoi que ce soit.

     

    Le réveil du lundi matin fut difficile. Le week end était passé si vite, et dans un tourbillon de sexe, que Maryline avait du mal à se dire qu'aujourd'hui était un jour de lycée. Elle attendit que François ait fait sa toilette pour prendre sa place dans la salle de bain. Sous la douche, elle réfléchit à tout ce que lui avait imposé Michaël afin de ne rien oublier. Elle avait bien compris que toute omission pouvait conduire à une humiliation. Et elle voulait que ce début de semaine se passe au mieux. Elle avait pensé à prendre sa pilule la veille avant de se coucher. Après la douche, elle prit soin de se raser le pubis. Au moment de s'habiller, dans le salon qui lui servait de chambre, elle réfléchit encore. Elle ne devait pas mettre de soutien-gorge, ça elle en était sure, mais rien ne lui interdisait de mettre une culotte. Elle fut contente de pouvoir enfiler une simple culotte blanche alors qu'elle avait passé presque tout le week end sans sous-vêtement. Son autre obligation était de porter une jupe ou une robe. La jeune fille regarda dans ses affaires. Dans ce domaine elle n'avait que les affaires que Michaël lui avait achetées: la robe gris-violet décolletée, la jupe noire qu'elle portait la veille, ou la jupe beige serrée et stretch qu'elle n'avait pas encore portée. Elle avait déjà la robe vendredi au lycée et ne voulait pas revenir le lundi dans la même tenue. Elle essaya la jupe beige et se regarda dans un miroir. Le tissu étiré devenait translucide et on voyait nettement sa culotte, c'était affreux. Maryline, par la force des choses, préféra donc remettre la jupe noire qui lui couvrait chastement les cuisses. De toute façon, celle-là elle ne l'avait pas encore portée au lycée. Au-dessus, elle enfila un simple t-shirt sur sa poitrine libre; en bas, des chaussettes et de simples chaussures de ville. Puis elle mit sa petite veste d'été qui ajoutait une touche fashion, prit son sac d'école, et partit.

     

    Devant le lycée, elle salua Fred, le garçon que Khedidja avait dragué vendredi, qui était accompagné d'un de ses copains, Christophe. Ils discutèrent quelques minutes avant que Maryline ne rentre dans l'enceinte de l'établissement. Devant la salle de cours, elle aperçut sa copine Khedidja et alla lui faire la bise. Maxime était avec elle et lui fit un sourire immense. Lui aussi fit la bise à Maryline, qui la lui rendit à contrecoeur, repensant à ce que les garçons lui avaient fait le vendredi. Maxime, à l'insu de Khedidja, en profita pour glisser une main dans l'échancrure de la veste de la petite black et lui pelotta un sein à travers son t-shirt. La lycéenne sursauta et ôta la main de l'importun, mais sans un mot pour éviter le scandale. Le garçon lui envoyait son sourire béat en retour. Il n'eut cependant pas le temps d'en faire plus car leurs camarades entraient en classe. Maryline s'assit à côté de sa copine. De l'autre côté s'assit Boubakar, un des meilleurs élèves de la classe, noir à lunettes. Au moins avec celui-là elle ne serait pas ennuyée. Le jeune homme essaya bien d'entamer la discussion deux ou trois fois à voix basse, mais Maryline ne l'y encouragea pas, plus occupée avec sa copine. Khedidja n'était plus fâchée comme elle semblait l'être vendredi à cause de Fred, mais elle revint sur l'incident en cours de sport où Maryline s'était retrouvée cul nu sur le terrain.

     

     

    • L'histoire a vite fait le tour de la classe, et même plus loin! Lui dit-elle. Ce genre de choses, ça se répand comme une traînée de poudre, et ça te fait tout de suite une réputation. Toutes les terminales seront vite au courant. Je comprends pas ce qui s'est passé. On dit que t'avais même pas de slip, ça veut dire quoi?

     

     

    Maryline essaya de noyer le poisson, sans trop en dire, et ses explications furent confuses. Khedidja comprit qu'elle n'en tirerait rien et n'insista pas. Maryline resta avec sa copine entre deux cours et put éviter les garçons. Mais au cours suivant, elle eut la mauvaise surprise de voir Maxime s'asseoir à côté d'elle, devançant Boubakar qui cherchait visiblement lui aussi la compagnie de la petite black. Heureusement Maxime ne l'importuna pas outre mesure, du moins la première moitié de l'heure de cours. Car à ce moment il se pencha vers sa voisine pour lui parler à l'oreille.

     

     

    • Tu sais, tu ne m'as toujours pas donné une culotte, à moi! Lui chuchota-t-il.

    • Hein?!

     

     

    Maryline avait réagi un peu trop fort et la professeur lui fit signe de se taire.

     

     

    • Ben oui! Continua Maxime. La dernière fois t'as pas pu me la donner, t'en avais pas. Tu te rappelles?

    • Chut! Lui fit la jeune fille avec un doigt devant la bouche.

    • T'en as une aujourd'hui? Ajouta le garçon avec un sourire entendu. Je veux dire... t'en portes une sur toi ou tu es encore le cul à l'air?

     

     

    Il pouffa comme s'il venait de sortir la vanne de l'année. Maryline refusa de répondre, faisant comme si elle n'avait rien entendu et se concentrant sur le cours.

     

     

    • J'étais sur que t'en avais pas! Insista Maxime à son oreille. T'es vraiment une petite salope, hein?

    • Mais nan, arrête! Réagit la lycéenne piquée au vif par la remarque du garçon. Bien sur j'en ai une, qu'est-ce que tu crois?

    • Génial! Comme ça tu pourras me la donner alors!

    • C'est ça, va te faire foutre!

    • C'est pas gentil, ça! Fit Maxime avec un air faussement outré. Vendredi t'as été plus gentille que ça. Tu veux que je raconte à ta copine comment tu as été super gentille avec nous?

     

     

    La lycéenne eut un hoquet de surprise.

     

     

    • Noooon s'il-te-plaît ne fais pas ça! Lui dit-elle dans un murmure. Ca doit rester entre nous, jure-le moi!

    • Héééé! Qu'est-ce que tu racontes à ce bouffon? Fit soudain Khedidja tout bas de l'autre côté. Vous vous faites des mamours ou quoi? Envoie-le chier!

    • Nan c'est rien! Répondit Maryline.C'est fini, laisse tomber.

     

     

    Maxime la laissa tranquille jusqu'à la fin du cours. Mais il revint à la charge après, pendant la pause matinale. Maryline et Khedidja déambulaient dans la cour en discutant, lorsqu'il les rejoignit. Il était accompagné de Tom, et Maryline frissonna en voyant le jeune homme. Elle se souvint de la manière dont il lui avait léché la chatte aux abords du parking, et espéra qu'il n'y ferait aucune allusion devant sa copine.

     

     

    • Salut les filles! Vous allez bien? Fit Tom.

     

     

    Le jeune homme entama une conversation banale comme s'il avait l'habitude de discuter avec les deux lycéennes, ce qui bien sûr n'était pas le cas. Les deux garçons regardaient Maryline avec insistance, s'attardant sur son postérieur et sur ses jambes, ce qui finit par mettre mal à l'aise Khedidja.

     

     

    • Excuse-moi poupée, mais on va t'emprunter ta copine! Lui dit Tom.

    • OK, je vous laisse! Fit-elle.

     

     

    Maryline lui lança un regard implorant qui disait « tu me laisses avec eux? » mais Khedidja s'éloigna le regard baissé. Elle n'avait sans doute pas envie de défier le sulfureux Tom. Lui attrapa alors le poignet de la petite black, avec un regard beaucoup moins avenant.

     

     

    • T'as pas été très gentille avec mon copain, il paraît! Lui dit-il tout près de son visage.

    • Quoi? Je sais pas de quoi tu parles, et puis c'est entre lui et moi.

     

     

    Le garçon serra son étreinte sur le poignet de la jeune fille.

     

     

    • Faut pas me prendre pour un con! Continua-t-il. Quand tu t'adresses à nous, t'as intérêt à être correcte, ou ça va chier pour ta gueule!

     

     

    Il avait postillonné en crachant ses derniers mots, et Maryline comprit que celui-là ne rigolait pas.

     

     

    • Viens! On va régler ça ailleurs! Fit-il.

     

     

    Et il la tira par le poignet vers le côté du bâtiment où il n'y avait personne, sur la pelouse. Maryline se souvint que c'est à ce même endroit que Michaël l'avait forcée à lui montrer ses seins la première fois. Ca lui paraissait très loin, alors que c'était juste la semaine précédente. Tom l'envoya d'un mouvement du bras à quelques pas devant lui, et la jeune fille se retrouva complètement isolée face aux deux garçons.

     

     

    • Bon maintenant on arrête les frais! Dit Tom les sourcils froncés. Tu donnes à Max ce que tu lui as promis, et basta!

    • Mais!... Mais je lui ai rien promis du tout! Se défendit Maryline, penaude.

    • Si! intervint Maxime. Elle devait me donner sa culotte, c'est vrai! Mais vendredi elle en avait pas, t'as bien vu, Tom! C'est juste pour ça qu'elle a pas pu me la donner. Sinon elle devait m'en donner une, je te le jure!

    • OK! On va pas y passer des heures, continua Thomas. Tu lui donnes ta culotte, et c'est tout. T'en as une au moins, cette fois?

     

     

    Et afin de vérifier, il s'approcha de la petite black et souleva sa jupe autoritairement. Maryline voulut se dérober, mais Tom lui asséna brusquement une gifle. Surprise, elle ne lutta plus, la main sur sa joue, et le garçon put lever la jupe pour dévoiler sa culotte blanche.

     

     

    • Et ben voilà! lâcha-t-il satisfait. Comme ça y aura pas d'embrouille. Allez, enlève-là et montre-nous ta petite chatte!

     

     

    Maryline avait encore les doigts sur la joue. Elle était certaine que Tom n'hésiterait pas à la frapper encore si elle refusait de lui obéir. Elle s'exécuta donc immédiatement, levant sa jupe et attrapant sa culotte pour la glisser à ses chevilles. Elle la retira en levant ses pieds l'un après l'autre. Tom tendit la main, et elle la lui remit. Le jeune homme la donna immédiatement à Maxime.

     

     

    • Merci! Fit celui-ci tout excité.

    • Soulève ta jupe! Ordonna Tom alors que le vêtement était retombé sur les cuisses de la jeune fille.

     

     

    Maryline obéit et leva la jupe sur son ventre. Tom posa la main sur son pubis rasé.

     

     

    • C'est tout doux, dis donc! Tu l'as rasée ce matin?

     

     

    La petite black acquiesça sans un mot. Le garçon retira la main, et Maxime y posa la sienne.

     

     

    • Ho ouais, tout doux! C'est bon, ça! Fit-il avec un trémolo dans la voix.

    • Tourne-toi! Je veux voir ton cul, ajouta Tom.

     

     

    Maryline se tourna, ses fesses rebondies totalement exposées à la vue des garçons. Ceux-ci prirent immédiatement d'assaut chacun une fesse, les malaxant avec ardeur.

     

     

    • Mets-toi à quatre pattes! Ordonna soudain Tom en aidant la jeune fille afin qu'elle s'exécute immédiatement.

     

     

    Celle-ci se retrouva donc dans l'herbe sur les mains et les genoux, le cul offert.

     

     

    • Qu'est-ce que vous allez faire? S'il-vous-plaît, laissez-moi! essaya-t-elle en vain.

     

     

    Clac! Thomas donna une tape bruyante sur ses fesses.

     

     

    • Tais-toi! Tonna-t-il. Si tu te rebelles, tu vas souffrir, crois-moi!

     

     

    Maryline était vraiment effrayée par le jeune homme, et elle se sentit fébrile, incapable de bouger, même quand elle le vit ouvrir son pantalon derrière elle. Il le baissa ainsi que son slip, et son sexe se dressa directement en direction du cul de sa camarade de classe. Il s'agenouilla derrière elle.

     

     

    • Ecarte les cuisses! ordonna-t-il.

     

     

    Elle obéit, offrant ainsi sur un plateau sa chatte au jeune homme.

     

     

    • Max! Approche! Fit Tom.

     

     

    Il prit le poignet de Max, celui de la main qui tenait la culotte, et l'approcha du sexe de la petite black.

     

     

    • Regarde ça, elle mouille, la salope! Dit Tom. Elle attend que ça, qu'on la baise comme une chienne! Essuie-là, Max!

     

     

    Maryline frémit en entendant les paroles du jeune homme. Elle avait bien sentie que son corps la trahissait et elle en était morte de honte. Comment pouvait-elle être sexuellement stimulée dans une situation pareille? Max ne se le fit pas dire deux foix, et frotta la culotte contre la vulve humide. Puis il la porta à ses narines.

     

     

    • Ho la vache! Lâcha-t-il. Ca sent fort, une chatte en rut, dis donc!

     

     

    Tom ne s'en préoccupa aucunement. Il guida sa bite de la main et ficha son gland à l'entrée du vagin de Maryline. Puis il la pénétra sans précaution, provoquant un gémissement incontrôlé.

     

     

    • Doucement si tu ne veux pas que toute la cour rapplique pour voir ce qu'on fait, lui dit Tom.

     

     

    Puis il s'activa en agrippant les hanches de la petite black, entamant des va-et-vients saccadés. Il respirait bruyamment, tel un sportif en action, visiblement pressé d'en arriver à la conclusion. Le corps de Maryline était secoué comme un prunier et ses seins libres dansaient sous son t-shirt. En moins d'une minute, Tom prit son pied et éjacula tout au fond de sa partenaire en serrant les dents.

     

     

    • Pends ça, salope! Se sentit-il obligé d'ajouter pour conclure.

     

     

    Puis il se retira sans traîner et remonta immédiatement son slip.

     

     

    • Tiens! A toi, Max! Fit-il à son copain.

    • A moi? Répéta celui-ci incrédule.

     

     

    Ses yeux étaient exorbités. Il ne s'attendait certainement pas à baiser une fille aujourd'hui, d'autant plus que pour lui c'était la première fois. Il s'agenouilla en tremblant entre les cuisses de Maryline, et baissa son pantalon et son boxer d'un geste. Il masturba son sexe plusieurs fois pour lui donner la raideur nécessaire, puis le posta contre la chatte ouverte. Il s'y enfonça doucement, alors qu'il voulait profiter au mieux de la douce sensation. Cela glissait comme un gant dans l'antre déjà toute mouillée. Il ressortit presqu'entièrement puis s'y enfonça de nouveau, et recommença. Doucement il baisa la petite black, et il avait les yeux presque révulsés, au septième ciel. Il ne dura pas longtemps et éjacula soudainement au moment où il sortait sa bite de son fourreau. Une traînée blanchâtre s'étala entre les fesses charnues, coulant sur l'anus puis jusque sur la vulve luisante. C'est à ce moment que retentit la sonnerie indiquant la fin de la pause matinale. Max se dépêcha et s'essuya le sexe avec la culotte qu'il fourra ensuite dans sa poche avant de se rhabiller.

     

     

    • Attendez-moi! Fit Maryline alors que les garçons tournaient déjà les talons.

     

     

    Elle se releva, cherchant comment nettoyer le sperme qui lui coulait entre les fesses, mais ne trouva pas de solution. Tom lui prit la main et l'entraîna avec lui.

     

     

    • Dépêche-toi si tu veux pas être en retard et expliquer au prof que c'est parce que t'étais en train de te faire baiser par deux de tes petits camarades!

     

     

    Les garçons éclatèrent de rire, alors que la jeune fille, paniquée, rabaissa sa jupe d'une main tout en tenant son sac d'école pour au moins ne pas arriver cul nu dans la cour. Ils se dépêchèrent afin d'arriver à l'heure en cours, et Thomas ne lâcha pas la main de Maryline, si bien qu'elle se retrouva malgré elle à côté de lui dans la salle de classe. Elle craignit au moment de s'asseoir que le sperme qu'elle avait entre les fesses ne laisse une trace sur sa jupe, mais elle ne put rien y faire. En s'asseyant le tissu lui colla à la peau. Elle chercha de tous côtés sa copine Khedidja, mais celle-ci arriva juste avant que le prof ne ferme la porte et s'installa au fond de la classe. Les deux copines échangèrent un regard que Maryline jugea étrange, mais il lui était impossible de parler avec Khedidja.

     

    Pendant le cours, Tom n'arrêta pas de dire des obscénités tout bas à la petite black. Il posait aussi la main sur sa cuisse et remontait vers sa hanche, entraînant le tissu de la jupe dans ce mouvement. Maryline essayait bien de l'empêcher de faire ça, mais si elle résistait trop elle risquait d'attirer l'attention, et le garçon finit donc par l'emporter. La jupe remonta à la limite de son pubis, et Tom put ainsi glisser la main vers l'intérieur de ses cuisses pour atteindre son sexe. La jeune fille voulut serrer les cuisses mais le garçon l'en dissuada d'un geste et d'un regard qui la fit frémir. Elle jeta un coup d'oeil de son autre côté, et vit que leur petit manège ne passait pas inaperçu. Le garçon qui était là, Etienne, un brun aux cheveux longs, ne suivait rien du cours et au contraire avait les yeux rivés sur les cuisses de sa voisine et la main de Tom qui s'activait entre elles. Maryline sentit les doigts s'immiscer entre les lèvres de son sexe et lui caresser la fente. Etienne, bouche ouverte et yeux écarquillés, leva son regard pour croiser celui de la petite black, interrogatif, mais celle-ci resta pétrifiée, incapable de répondre à cette situation. Le jeune homme reporta alors ses yeux vers l'entrejambe de sa voisine. Tom, sans la regarder, la caressait doucement, massant les chairs de sa chatte et la pénétrant par moments d'un ou deux doigts. Cette stimulation constante laissait Maryline dans un vague état d'excitation, et elle se mordillait les lèvres sans plus oser regarder Etienne. Lui ne ratait rien de ce qui se passait, remuant légèrement sur sa chaise alors qu'une érection le mettait mal à l'aise.Lorsque sonna la fin du cours, Maryline se dépêcha de quitter la salle pour s'éloigner de Tom, et elle réussit à éviter qu'il ne la suive en prenant un chemin détourné vers des couloirs peu fréquentés. Mais Etienne, lui, ne l'avait pas quittée des yeux et il la rattrapa dans un couloir désert.

     

     

    • Hé! Maryline! L'appela-t-il.

     

     

    La jeune fille se retourna et il arriva à ses côtés.

     

     

    • Vous êtes chauds, toi et Thomas, dis donc! Dit-il en secouant la main. Je savais pas que c'était ton mec.

    • C'est pas mon mec! Fit Maryline en reprenant son chemin.

    • Quoi?! S'étonna le garçon en la suivant. Tu veux dire qu'il te tripote comme ça et que c'est même pas ton copain?

     

     

    La lycéenne ne répondit pas, regardant droit devant elle.

     

     

    • Ho putaiiiiiin! J'y crois pas! Ajouta le jeune homme. Il t'a payée, ou quoi?

     

     

    Là, Maryline s'arrêta net, et se tourna vers son harceleur.

     

     

    • Qu'est-ce que tu insinues? Cracha-t-elle en lui posant un doigt accusateur sur le torse. J'suis pas une pute!

    • OK, te fâche pas!... Mais si c'est pas ton copain et que tu le laisses te doigter la chatte comme ça, c'est que tu dois être bien chaude, dis donc. Et pourquoi t'as pas de culotte? Tu cherches un mec?

    • J'ai pas besoin de mec!

    • Ha bon? T'es lesbienne alors? Ou bi plutôt?

    • Mais arrête! Fais pas chier! S'emporta la petite black exaspérée par l'interrogatoire de son camarade de classe. Pfff, t'es trop con!

     

     

    Elle tourna les talons, poursuivit son chemin de quelques pas, puis s'arrêta net lorsqu'Etienne parla de nouveau.

     

     

    • C'est ça! Dit-il comme s'il venait d'inventer la poudre. Je parie que t'es lesbienne avec Khedidja. Vous êtes trop souvent ensemble.

    • Mais putain, arrête! Fit Maryline en se retournant de nouveau.

    • Ouais, c'est ça! Putain je vais le dire à tout le monde!

     

     

    La lycéenne s'arrêta encore une fois, retenant un cri de colère, et vint se planter devant le garçon.

     

     

    • Maintenant tu arrêtes, connard! Pourquoi tu viens m'emmerder comme ça?

    • Bah écoute, c'est simple! Fit Etienne calmement. Si t'as pas de mec et que t'es pas lesbienne, fais-moi voir ta chatte alors.

     

     

    Maryline en resta bouche bée, et Etienne poursuivit afin de la persuader.

     

     

    • Ben ouais, de toute façon je l'ai déjà vue maintenant, alors... Allez, fais pas ta mijorée, soulève juste ta jupe et on n'en parle plus.

     

     

    Il joignit le geste à la parole et attrapa le bord de la jupe.

     

     

    • Attends! Fit Maryline en le retenant.

     

     

    S'il suffisait de ça pour qu'il la laisse tranquille... Elle avait l'esprit vidé, n'arrivant plus à penser correctement. Elle avait tellement été le jouet de plusieurs garçons ces derniers jours qu'elle vit cette demande comme quelque chose de presque banal finalement. Pire encore, elle ressentit soudain une vague envie de se montrer à lui, et cela commença à l'exciter. Elle vérifia qu'ils étaient bien seuls dans le couloir et souleva elle-même sa jupe, tout doucement, jusqu'à dévoiler son pubis presque glabre à part un fin filet de poils vertical. Le garçon écarta une mèche de cheveux devant ses yeux écarquillés. Maryline sentit une vague de chaleur l'envahir, incontrôlable. Elle écarta les pieds pour offrir une vision sans entrave sur sa fente, et avança un peu le bassin. Etienne ouvrit la bouche et sa lèvre inférieure fut attirée vers le sol. La jeune fille ressentit une certaine fierté d'être l'objet de tant de désir. Elle posa les doigts de sa main droite autour de sa vulve et en écarta les grandes lèvres, dévoilant sa fleur entrouverte. Elle y glissa son majeur, et fit plusieurs va-et-vients, laissant une phalange s'insinuer dans son vagin. C'était tout mouillé de sperme et de cyprine. Le garçon laissa échapper un soupir émotionné. Puis soudain, comme si elle reprenait conscience de l'endroit où elle se trouvait, Maryline rabaissa sa jupe.

     

     

    • C'est bon, tu as vu ce que tu voulais, dit-elle. Maintenant ça suffit! On retourne en cours.

     

     

    Elle fit volte-face et repartit d'un pas pressé. Le jeune homme, ébahi, ne dit rien et la suivit quelques mètres derrière. La jeune fille avait le doigt mouillé. Elle ne trouva pas où s'essuyer, et comme Etienne n'avait aucune chance de la voir de derrière, elle se résolut à le nettoyer en le mettant dans sa bouche. Elle sentit nettement le goût du sperme.

     

    En classe, Etienne parvint à s'asseoir de nouveau à côté d'elle. De l'autre côté s'assit Omar, que Maryline n'avait pas encore eu l'occasion de voir ce jour. Il semblait que les garçons qui avaient eu des relations avec elle ces derniers jours se disputaient les places à ses côtés. Omar fut content d'en obtenir une. Il fit la bise à sa camarade de classe.

     

     

    • C'est cool de te voir enfin aujourd'hui! Lui dit-il tout bas. Ca devient difficile, t'es toujours avec quelqu'un.

     

     

    Etienne se pencha sur la table pour pouvoir parler à Omar.

     

     

    • Ouais, elle était avec moi, là! Fit-il sur un ton rêche. Ca te pose un problème?

    • Ouais ça me pose un problème quand j'ai pas vu ma puce depuis ce matin! Répondit Omar sur le même ton.

    • Un peu de silence s'il-vous-plaît! Les calma le professeur afin de commencer son cours.

     

     

    Les garçons restèrent silencieux quelques petites minutes, puis reprirent leurs débats à voix basse. Maryline, entre eux deux, soupirait, blasée d'être l'enjeu de cette joute. Le prof resta attentif à ce qui se passait entre eux et rabroua plusieurs fois les garçons qui se disputaient trop fort. La jeune fille fut au moins relativement tranquille, les garçons ne pouvant s'amuser avec elle.

     

    La sonnerie de midi retentit et Maryline ne put échapper à ses poursuivants. Dès la sortie de la salle, elle eut plusieurs garçons autour d'elle. Jérémy, qui ne l'avait pas encore vue ce matin, lui fit la bise, au grand dam d'Etienne qui commença à l'engueuler lui aussi. Alors que la petite black se frayait un chemin vers le réfectoire afin d'aller déjeûner, le petit groupe la suivit, parlant tous en même temps. Maxime était là aussi, et tentait discrètement de glisser une main sous la jupe de la jeune fille. N'y parvenant pas à cause de la promiscuité avec les autres garçons, il se rabattit sur les seins qu'il caressa chaque fois qu'il put les attraper. Maryline aperçut Khedidja qui venait par là, mais sa copine ne s'approcha pas lorsqu'elle vit la troupe de fauves entourant la petite black. Heureusement une silhouette massive vint la tirer de ce mauvais pas. Elle s'imposa brutalement au milieu du groupe et posa une main ferme sur l'épaule de Maryline. C'était Michaël.

     

     

    • Elle est avec moi ce midi! Dit-il avec un sourire mais de manière autoritaire.

     

     

    Et il emmena sa copine par la main, loin des garçons qui la regardaient avec envie et en oublièrent de continuer de se la disputer. La lycéenne était soulagée de se retrouver avec Michaël. Alors qu'il la tirait par la main pour aller vers l'entrée du réfectoire, elle regardait son dos et son coeur s'accéléra. Lorsqu'il la prit par les épaules en faisant la queue et qu'il l'embrassa, elle se sentit fondre et eut envie de lui. Ils discutèrent de choses simples en se mettant au bout d'une table tous les deux face à face.

     

     

    • Comment s'est passée ta matinée? Demanda Michaël dans la conversation.

     

     

    C'était la question que Maryline voulait éviter. Elle n'avait pas eu envie de lui parler de ce que lui avait fait les garçons de sa classe, de peur de la réaction qu'il pourrait avoir. Elle ne craignait pas que son copain se fâche, non, cela aurait plutôt été une réaction normale. Ce qu'elle craignait plutôt, c'était le contraire, qu'il apprécie ce qui s'est passé et qu'il encourage même à ce que cela se produise de nouveau. Maintenant qu'elle le connaissait, elle savait un peu à quoi s'attendre.

     

     

    • Ben... ça s'est passé, quoi! Tenta-t-elle afin d'éluder la question.

    • C'est tout? Interrogea le garçon en levant un sourcil. Raconte-moi, quoi! Après ce qui s'est passé vendredi, ça m'étonnerait que tes petits copains de classe ne t'aient pas au moins remercié, non?

     

     

    La jeune fille soupira en posant sa tête au creux de sa main.

     

     

    • Non, t'as raison! Finit-elle par avouer. Ils n'en sont pas restés là...

     

     

    Elle avança le visage vers Michaël afin de lui parler plus bas.

     

     

    • Tom et Max, tu sais, je t'ai parlé d'eux vendredi ? Et ben, ils m'ont attirée dans un coin pour me forcer à... tu vois, quoi?

    • Non, je ne vois pas. Dis-moi?

    • ... ben à me baiser, quoi! Ajouta-t-elle dans un murmure.

    • C'est vrai? Raconte-moi ça en détail.

     

     

    Le jeune homme était tout sourire, apparemment ravi de ce que lui racontait sa copine. La jeune fille parlait le plus bas possible pour éviter d'être entendue malgré le brouhaha ambiant.

     

     

    • Et après ça, continua-t-elle, c'est Etienne, un autre gars de la classe qui avait calculé ce que faisait Tom, qui m'a pécho et obligée à lui montrer ma minette.

     

     

    Elle raconta à Michaël le détail de cette histoire, en la modifiant légèrement afin de montrer que le garçon était bien responsable de tout. A la fin, le jeune homme l'embrassa.

     

     

    • Je suis fier de toi quoi qu'il arrive, n'oublie jamais ça, dit-il.

     

     

    Maryline n'était plus étonnée à présent que son copain s'inquiète si peu que d'autres garçons la maltraitent ainsi. Elle soupira, agacée, et suivit le garçon qui quittait le réfectoire. Ils allèrent s'asseoir sur l'herbe dans un coin de la cour, et Maryline replia ses jambes sur le côté, ce qui lui permettait de garder sa jupe dans une position décente.

     

     

    • Donc si j'ai bien compris, fit soudain Michaël, tu as donné ta culotte à Tom?

    • Non, à Max.

    • Oui, à Max, corrigea-t-il avec un sourire. Tu te retrouves donc encore nue sous ta jupe.

    • Oui.

    • Fais-moi voir, au moins!

     

     

    Dans la position où elle était, la jeune fille put écarter les jambes de façon à ce que seul Michaël puisse voir sous sa jupe. Elle resta cependant vigilante à ce que personne d'autre ne s'approche.

     

     

    • Mmmm, c'est mignon! Fit le jeune homme. On dirait que ton abricot est encore humide, non?

    • Je... J'sais pas! Répondit Maryline déstabilisée.

     

     

    Elle savait bien qu'elle était effectivement humide, mais n'aurait su dire si c'était les restes des activités de la matinée ou l'effet que Michaël produisait sur elle.

     

     

    • Ca fait maintenant plusieurs jours que tu t'es habituée à ne pas porter de culotte, dit le jeune homme. Donc je crois que je vais te rajouter une règle, mais qui ne changera pas grand chose au fond: plus de culotte à partir d'aujourd'hui!

     

     

    La seule réaction de la petite black fut de le regarder un instant avec des yeux suppliants, mais elle savait bien qu'il était inutile d'argumenter. Elle n'était pas en position de discuter. Le jeune homme sortit son téléphone portable et prit plusieurs photos.

     

     

    • Fais-moi un petit sourire, allez! Lui enjoignit-il.

     

     

    Avec quelques mimiques il parvint à faire sourire la lycéenne, et à la faire garder les cuisses ouvertes alors qu'il prenait des clichés. Il la détendit ensuite en discutant amicalement et en la faisant rire. Malgré cela, elle s'inquiétait chaque fois que quelqu'un passait près d'eux, se demandant s'ils étaient capables de voir sous sa jupe.

     

     

    • Ha, le temps passe, c'est déjà bientôt les cours! Fit Michaël en regardant sa montre. Je vais te laisser, je dois voir quelqu'un avant. On essaiera de se voir à la sortie, hein? Tu m'attendras?

     

     

    La jeune fille acquiesça, visiblement déçue qu'ils se séparent maintenant. Le garçon l'embrassa langoureusement, puis ils se levèrent et il la quitta avec un geste de la main. Maryline prit lentement le chemin de sa salle de cours. Elle fut interceptée dans un couloir par un trio composé d'Omar et Etienne, tout sourires et qui semblaient s'être réconciliés, et de Boubakar, le bon élève, dont la jeune fille se demanda ce qu'il pouvait bien faire avec les deux autres. Le visage d'Omar s'illumina lorsqu'il aperçut la petite black.

     

     

    • Maryline! Appela-t-il.

     

     

    Elle n'eut pas le temps de se jeter dans un autre couloir qu'en quelques pas les garçons furent sur elle. Omar l'attrapa par la main.

     

     

    • On te cherchait justement! Ajouta-t-il. Viens, on a quelque chose à te demander!

    • Non, attendez!

     

     

    Les protestations de la jeune fille n'y firent rien et elle fut attirée de force dans un couloir désert de l'établissement. Etienne et Boubakar l'attrapèrent chacun par un bras et la tinrent fermement. Elle lâcha son sac qui tomba à ses pieds.

     

     

    • Mais ça veut dire quoi, ça? Mais lâchez-moi! Qu'est-ce que vous me voulez, enfin?

     

     

    Elle se débattait tant bien que mal mais son petit gabarit ne faisait pas le poids face aux deux garçons.

     

     

    • Tu ferais mieux de rester tranquille, lui dit Omar. Tu as oublié que j'ai des photos de toi à poil?

    • De.. de quoi tu parles? Fit la lycéenne soudainement inquiète.

    • Ho, pas la peine de faire semblant, continua le jeune beur. Ces deux-là viennent de les voir de toute façon. Tu n'as plus rien à cacher. Bouba m'a promis de faire mes devoirs si je lui montrais tout ça en vrai. Enfin, je crois que c'est surtout ton cul qui l'intéresse!

     

     

    Il partit d'un éclat de rire.

     

     

    • Ouais vas-y, montre! Ajouta le black timidement.

    • Le cul oui, mais le reste aussi c'est intéressant! Fit Etienne en tirant le bas du t-shirt.

     

     

    Le garçon était gêné par la veste que portait la jeune fille, et avec l'aide de son camarade il la lui enleva. Maryline résista tant qu'elle le put, mais le vêtement tomba finalement à terre, et le garçon put remonter son t-shirt jusqu'au menton, dévoilant ses seins nus qui tressautèrent.

     

     

    • Arrêtez! Je m'en fous de tes photos, de toute façon tu les montres à tout le monde! Cria la petite black.

    • Ha nan c'est pas vrai! Rétorqua Omar. Je les ai même pas encore montrées aux profs.

    • Nan, pas les profs! Fit la jeune fille soudainement plus calme. Tu ferais quand même pas ça?

    • Ha?... Moi je sais pas, hein, tu sais bien que ça dépend de toi, fit le garçon.

     

     

    Maryline soupira et relâcha ses efforts. Les deux qui la tenaient en profitèrent. Etienne attrapa le devant de la jupe et Boubakar le derrière. Ils soulevèrent tous les deux en même temps, amenant le vêtement sur les hanches de leur prisonnière. Celle-ci se retrouva nue sous le nombril. Les garçons sourirent et lancèrent des commentaires scabreux.

     

     

    • Holala! Quelle paire de... Ho mon dieu! Que c'est beau! Fit Boubakar les yeux exorbités derrière ses lunettes. Je commence à avoir la trique, je crois que ça me fait trop envie.

    • Ouais, ben attends! Le calma Omar. On a autre chose à faire tout de suite.

     

     

    Il sortit de sa poche une paire de ciseaux et la fit claquer sous les yeux de Maryline.

     

     

    • Qu'est-ce que tu veux faire avec ça? Demanda-t-elle avec un trémolo angoissé dans la voix.

    • On s'est dit que tu pouvais être encore plus sexy que ça! Répondit Etienne à la place d'Omar. Alors on s'est mis d'accord pour t'aider un peu.

    • Quitte à être à moitié à poil, autant faire ça bien! Ajouta le jeune beur en rigolant.

     

     

     

    Il approcha les ciseaux de la jupe, tira sur le tissu et commença à découper.

     

     

    • Nooooooon!

     

     

    Maryline voulut l'en empêcher mais les deux autres la tenaient fermement. Lorsqu'il eut terminé avec la jupe, un grand pan de tissu noir était tombé par terre. Le beur s'attaqua alors au t-shirt, au grand dam de la petite black. Il enleva de grands morceaux de tissu blanc. Les deux autres garçons gloussaient bêtement.

     

    La sonnerie retentit soudain, annonçant la reprise des cours, mais Omar prit le temps de terminer son affaire. Il remit alors les vêtements en place et recula de deux pas afin d'admirer le résultat. Le t-shirt avait été transformé en débardeur. Les manches avaient disparu et de larges échancrures descendaient jusqu'au bas des côtes de la jeune fille. Il était clair qu'elle ne portait pas de soutien-gorge, et le décolleté en V qui descendait à présent jusqu'entre ses seins confirmait cet état de fait. En bas, la jupe était devenue mini, laissant nue plus de la moitié des cuisses de la petite black. Elle regarda ce qui restait de ses vêtements, et même si ça couvrait encore l'essentiel, ça ressemblait à présent davantage à une tenue de vacances sexy qu'à une tenue de tous les jours.

     

     

    • C'est super! Fit Omar. T'as la grande classe comme ça!

     

     

    Il n'oublia pas de sortir son téléphone portable pour prendre quelques photos de sa camarade en mode sexy. Les deux autres garçons rigolèrent, puis lâchèrent la lycéenne, qui se dandinait en ne sachant que faire.

     

     

    • Allez, dépêchez-vous, on va être en retard! Fit Boubakar.

     

     

    Les autres garçons acquiescèrent, et se précipitèrent vers leur salle de cours, tirant par la main Maryline qui n'eut que le temps d'attraper son sac et sa veste, et paniqua à l'idée d'entrer en classe habillée ainsi.

     

     

     

     

    A suivre...

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  • Commentaires

    1
    Roger
    Lundi 20 Décembre 2021 à 12:16
    Je suis sure que dans les prochains chapitre ca sera au tour des professeurs de s’y mettre !
      • Mardi 21 Décembre 2021 à 11:21

        Combien de temps avant qu'un prof ne se rende compte de ce qui se passe ? Ca va arriver, forcément... Comment réagira-t-il ? Vous le découvrirez.

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