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    Après avoir baisé Maryline dans les escaliers de l'immeuble, Michaël l'avait laissée pour rejoindre son père dans la voiture. La jeune fille était rentrée chez son cousin, qui l'avait laissée tranquille toute la soirée. Elle, elle l'avait quand même regardé un peu bizarrement, essayant de savoir si Michaël avait vu juste. Mais il lui fut impossible de conclure quoi que ce soit.

     

    Le réveil du lundi matin fut difficile. Le week end était passé si vite, et dans un tourbillon de sexe, que Maryline avait du mal à se dire qu'aujourd'hui était un jour de lycée. Elle attendit que François ait fait sa toilette pour prendre sa place dans la salle de bain. Sous la douche, elle réfléchit à tout ce que lui avait imposé Michaël afin de ne rien oublier. Elle avait bien compris que toute omission pouvait conduire à une humiliation. Et elle voulait que ce début de semaine se passe au mieux. Elle avait pensé à prendre sa pilule la veille avant de se coucher. Après la douche, elle prit soin de se raser le pubis. Au moment de s'habiller, dans le salon qui lui servait de chambre, elle réfléchit encore. Elle ne devait pas mettre de soutien-gorge, ça elle en était sure, mais rien ne lui interdisait de mettre une culotte. Elle fut contente de pouvoir enfiler une simple culotte blanche alors qu'elle avait passé presque tout le week end sans sous-vêtement. Son autre obligation était de porter une jupe ou une robe. La jeune fille regarda dans ses affaires. Dans ce domaine elle n'avait que les affaires que Michaël lui avait achetées: la robe gris-violet décolletée, la jupe noire qu'elle portait la veille, ou la jupe beige serrée et stretch qu'elle n'avait pas encore portée. Elle avait déjà la robe vendredi au lycée et ne voulait pas revenir le lundi dans la même tenue. Elle essaya la jupe beige et se regarda dans un miroir. Le tissu étiré devenait translucide et on voyait nettement sa culotte, c'était affreux. Maryline, par la force des choses, préféra donc remettre la jupe noire qui lui couvrait chastement les cuisses. De toute façon, celle-là elle ne l'avait pas encore portée au lycée. Au-dessus, elle enfila un simple t-shirt sur sa poitrine libre; en bas, des chaussettes et de simples chaussures de ville. Puis elle mit sa petite veste d'été qui ajoutait une touche fashion, prit son sac d'école, et partit.

     

    Devant le lycée, elle salua Fred, le garçon que Khedidja avait dragué vendredi, qui était accompagné d'un de ses copains, Christophe. Ils discutèrent quelques minutes avant que Maryline ne rentre dans l'enceinte de l'établissement. Devant la salle de cours, elle aperçut sa copine Khedidja et alla lui faire la bise. Maxime était avec elle et lui fit un sourire immense. Lui aussi fit la bise à Maryline, qui la lui rendit à contrecoeur, repensant à ce que les garçons lui avaient fait le vendredi. Maxime, à l'insu de Khedidja, en profita pour glisser une main dans l'échancrure de la veste de la petite black et lui pelotta un sein à travers son t-shirt. La lycéenne sursauta et ôta la main de l'importun, mais sans un mot pour éviter le scandale. Le garçon lui envoyait son sourire béat en retour. Il n'eut cependant pas le temps d'en faire plus car leurs camarades entraient en classe. Maryline s'assit à côté de sa copine. De l'autre côté s'assit Boubakar, un des meilleurs élèves de la classe, noir à lunettes. Au moins avec celui-là elle ne serait pas ennuyée. Le jeune homme essaya bien d'entamer la discussion deux ou trois fois à voix basse, mais Maryline ne l'y encouragea pas, plus occupée avec sa copine. Khedidja n'était plus fâchée comme elle semblait l'être vendredi à cause de Fred, mais elle revint sur l'incident en cours de sport où Maryline s'était retrouvée cul nu sur le terrain.

     

     

    • L'histoire a vite fait le tour de la classe, et même plus loin! Lui dit-elle. Ce genre de choses, ça se répand comme une traînée de poudre, et ça te fait tout de suite une réputation. Toutes les terminales seront vite au courant. Je comprends pas ce qui s'est passé. On dit que t'avais même pas de slip, ça veut dire quoi?

     

     

    Maryline essaya de noyer le poisson, sans trop en dire, et ses explications furent confuses. Khedidja comprit qu'elle n'en tirerait rien et n'insista pas. Maryline resta avec sa copine entre deux cours et put éviter les garçons. Mais au cours suivant, elle eut la mauvaise surprise de voir Maxime s'asseoir à côté d'elle, devançant Boubakar qui cherchait visiblement lui aussi la compagnie de la petite black. Heureusement Maxime ne l'importuna pas outre mesure, du moins la première moitié de l'heure de cours. Car à ce moment il se pencha vers sa voisine pour lui parler à l'oreille.

     

     

    • Tu sais, tu ne m'as toujours pas donné une culotte, à moi! Lui chuchota-t-il.

    • Hein?!

     

     

    Maryline avait réagi un peu trop fort et la professeur lui fit signe de se taire.

     

     

    • Ben oui! Continua Maxime. La dernière fois t'as pas pu me la donner, t'en avais pas. Tu te rappelles?

    • Chut! Lui fit la jeune fille avec un doigt devant la bouche.

    • T'en as une aujourd'hui? Ajouta le garçon avec un sourire entendu. Je veux dire... t'en portes une sur toi ou tu es encore le cul à l'air?

     

     

    Il pouffa comme s'il venait de sortir la vanne de l'année. Maryline refusa de répondre, faisant comme si elle n'avait rien entendu et se concentrant sur le cours.

     

     

    • J'étais sur que t'en avais pas! Insista Maxime à son oreille. T'es vraiment une petite salope, hein?

    • Mais nan, arrête! Réagit la lycéenne piquée au vif par la remarque du garçon. Bien sur j'en ai une, qu'est-ce que tu crois?

    • Génial! Comme ça tu pourras me la donner alors!

    • C'est ça, va te faire foutre!

    • C'est pas gentil, ça! Fit Maxime avec un air faussement outré. Vendredi t'as été plus gentille que ça. Tu veux que je raconte à ta copine comment tu as été super gentille avec nous?

     

     

    La lycéenne eut un hoquet de surprise.

     

     

    • Noooon s'il-te-plaît ne fais pas ça! Lui dit-elle dans un murmure. Ca doit rester entre nous, jure-le moi!

    • Héééé! Qu'est-ce que tu racontes à ce bouffon? Fit soudain Khedidja tout bas de l'autre côté. Vous vous faites des mamours ou quoi? Envoie-le chier!

    • Nan c'est rien! Répondit Maryline.C'est fini, laisse tomber.

     

     

    Maxime la laissa tranquille jusqu'à la fin du cours. Mais il revint à la charge après, pendant la pause matinale. Maryline et Khedidja déambulaient dans la cour en discutant, lorsqu'il les rejoignit. Il était accompagné de Tom, et Maryline frissonna en voyant le jeune homme. Elle se souvint de la manière dont il lui avait léché la chatte aux abords du parking, et espéra qu'il n'y ferait aucune allusion devant sa copine.

     

     

    • Salut les filles! Vous allez bien? Fit Tom.

     

     

    Le jeune homme entama une conversation banale comme s'il avait l'habitude de discuter avec les deux lycéennes, ce qui bien sûr n'était pas le cas. Les deux garçons regardaient Maryline avec insistance, s'attardant sur son postérieur et sur ses jambes, ce qui finit par mettre mal à l'aise Khedidja.

     

     

    • Excuse-moi poupée, mais on va t'emprunter ta copine! Lui dit Tom.

    • OK, je vous laisse! Fit-elle.

     

     

    Maryline lui lança un regard implorant qui disait « tu me laisses avec eux? » mais Khedidja s'éloigna le regard baissé. Elle n'avait sans doute pas envie de défier le sulfureux Tom. Lui attrapa alors le poignet de la petite black, avec un regard beaucoup moins avenant.

     

     

    • T'as pas été très gentille avec mon copain, il paraît! Lui dit-il tout près de son visage.

    • Quoi? Je sais pas de quoi tu parles, et puis c'est entre lui et moi.

     

     

    Le garçon serra son étreinte sur le poignet de la jeune fille.

     

     

    • Faut pas me prendre pour un con! Continua-t-il. Quand tu t'adresses à nous, t'as intérêt à être correcte, ou ça va chier pour ta gueule!

     

     

    Il avait postillonné en crachant ses derniers mots, et Maryline comprit que celui-là ne rigolait pas.

     

     

    • Viens! On va régler ça ailleurs! Fit-il.

     

     

    Et il la tira par le poignet vers le côté du bâtiment où il n'y avait personne, sur la pelouse. Maryline se souvint que c'est à ce même endroit que Michaël l'avait forcée à lui montrer ses seins la première fois. Ca lui paraissait très loin, alors que c'était juste la semaine précédente. Tom l'envoya d'un mouvement du bras à quelques pas devant lui, et la jeune fille se retrouva complètement isolée face aux deux garçons.

     

     

    • Bon maintenant on arrête les frais! Dit Tom les sourcils froncés. Tu donnes à Max ce que tu lui as promis, et basta!

    • Mais!... Mais je lui ai rien promis du tout! Se défendit Maryline, penaude.

    • Si! intervint Maxime. Elle devait me donner sa culotte, c'est vrai! Mais vendredi elle en avait pas, t'as bien vu, Tom! C'est juste pour ça qu'elle a pas pu me la donner. Sinon elle devait m'en donner une, je te le jure!

    • OK! On va pas y passer des heures, continua Thomas. Tu lui donnes ta culotte, et c'est tout. T'en as une au moins, cette fois?

     

     

    Et afin de vérifier, il s'approcha de la petite black et souleva sa jupe autoritairement. Maryline voulut se dérober, mais Tom lui asséna brusquement une gifle. Surprise, elle ne lutta plus, la main sur sa joue, et le garçon put lever la jupe pour dévoiler sa culotte blanche.

     

     

    • Et ben voilà! lâcha-t-il satisfait. Comme ça y aura pas d'embrouille. Allez, enlève-là et montre-nous ta petite chatte!

     

     

    Maryline avait encore les doigts sur la joue. Elle était certaine que Tom n'hésiterait pas à la frapper encore si elle refusait de lui obéir. Elle s'exécuta donc immédiatement, levant sa jupe et attrapant sa culotte pour la glisser à ses chevilles. Elle la retira en levant ses pieds l'un après l'autre. Tom tendit la main, et elle la lui remit. Le jeune homme la donna immédiatement à Maxime.

     

     

    • Merci! Fit celui-ci tout excité.

    • Soulève ta jupe! Ordonna Tom alors que le vêtement était retombé sur les cuisses de la jeune fille.

     

     

    Maryline obéit et leva la jupe sur son ventre. Tom posa la main sur son pubis rasé.

     

     

    • C'est tout doux, dis donc! Tu l'as rasée ce matin?

     

     

    La petite black acquiesça sans un mot. Le garçon retira la main, et Maxime y posa la sienne.

     

     

    • Ho ouais, tout doux! C'est bon, ça! Fit-il avec un trémolo dans la voix.

    • Tourne-toi! Je veux voir ton cul, ajouta Tom.

     

     

    Maryline se tourna, ses fesses rebondies totalement exposées à la vue des garçons. Ceux-ci prirent immédiatement d'assaut chacun une fesse, les malaxant avec ardeur.

     

     

    • Mets-toi à quatre pattes! Ordonna soudain Tom en aidant la jeune fille afin qu'elle s'exécute immédiatement.

     

     

    Celle-ci se retrouva donc dans l'herbe sur les mains et les genoux, le cul offert.

     

     

    • Qu'est-ce que vous allez faire? S'il-vous-plaît, laissez-moi! essaya-t-elle en vain.

     

     

    Clac! Thomas donna une tape bruyante sur ses fesses.

     

     

    • Tais-toi! Tonna-t-il. Si tu te rebelles, tu vas souffrir, crois-moi!

     

     

    Maryline était vraiment effrayée par le jeune homme, et elle se sentit fébrile, incapable de bouger, même quand elle le vit ouvrir son pantalon derrière elle. Il le baissa ainsi que son slip, et son sexe se dressa directement en direction du cul de sa camarade de classe. Il s'agenouilla derrière elle.

     

     

    • Ecarte les cuisses! ordonna-t-il.

     

     

    Elle obéit, offrant ainsi sur un plateau sa chatte au jeune homme.

     

     

    • Max! Approche! Fit Tom.

     

     

    Il prit le poignet de Max, celui de la main qui tenait la culotte, et l'approcha du sexe de la petite black.

     

     

    • Regarde ça, elle mouille, la salope! Dit Tom. Elle attend que ça, qu'on la baise comme une chienne! Essuie-là, Max!

     

     

    Maryline frémit en entendant les paroles du jeune homme. Elle avait bien sentie que son corps la trahissait et elle en était morte de honte. Comment pouvait-elle être sexuellement stimulée dans une situation pareille? Max ne se le fit pas dire deux foix, et frotta la culotte contre la vulve humide. Puis il la porta à ses narines.

     

     

    • Ho la vache! Lâcha-t-il. Ca sent fort, une chatte en rut, dis donc!

     

     

    Tom ne s'en préoccupa aucunement. Il guida sa bite de la main et ficha son gland à l'entrée du vagin de Maryline. Puis il la pénétra sans précaution, provoquant un gémissement incontrôlé.

     

     

    • Doucement si tu ne veux pas que toute la cour rapplique pour voir ce qu'on fait, lui dit Tom.

     

     

    Puis il s'activa en agrippant les hanches de la petite black, entamant des va-et-vients saccadés. Il respirait bruyamment, tel un sportif en action, visiblement pressé d'en arriver à la conclusion. Le corps de Maryline était secoué comme un prunier et ses seins libres dansaient sous son t-shirt. En moins d'une minute, Tom prit son pied et éjacula tout au fond de sa partenaire en serrant les dents.

     

     

    • Pends ça, salope! Se sentit-il obligé d'ajouter pour conclure.

     

     

    Puis il se retira sans traîner et remonta immédiatement son slip.

     

     

    • Tiens! A toi, Max! Fit-il à son copain.

    • A moi? Répéta celui-ci incrédule.

     

     

    Ses yeux étaient exorbités. Il ne s'attendait certainement pas à baiser une fille aujourd'hui, d'autant plus que pour lui c'était la première fois. Il s'agenouilla en tremblant entre les cuisses de Maryline, et baissa son pantalon et son boxer d'un geste. Il masturba son sexe plusieurs fois pour lui donner la raideur nécessaire, puis le posta contre la chatte ouverte. Il s'y enfonça doucement, alors qu'il voulait profiter au mieux de la douce sensation. Cela glissait comme un gant dans l'antre déjà toute mouillée. Il ressortit presqu'entièrement puis s'y enfonça de nouveau, et recommença. Doucement il baisa la petite black, et il avait les yeux presque révulsés, au septième ciel. Il ne dura pas longtemps et éjacula soudainement au moment où il sortait sa bite de son fourreau. Une traînée blanchâtre s'étala entre les fesses charnues, coulant sur l'anus puis jusque sur la vulve luisante. C'est à ce moment que retentit la sonnerie indiquant la fin de la pause matinale. Max se dépêcha et s'essuya le sexe avec la culotte qu'il fourra ensuite dans sa poche avant de se rhabiller.

     

     

    • Attendez-moi! Fit Maryline alors que les garçons tournaient déjà les talons.

     

     

    Elle se releva, cherchant comment nettoyer le sperme qui lui coulait entre les fesses, mais ne trouva pas de solution. Tom lui prit la main et l'entraîna avec lui.

     

     

    • Dépêche-toi si tu veux pas être en retard et expliquer au prof que c'est parce que t'étais en train de te faire baiser par deux de tes petits camarades!

     

     

    Les garçons éclatèrent de rire, alors que la jeune fille, paniquée, rabaissa sa jupe d'une main tout en tenant son sac d'école pour au moins ne pas arriver cul nu dans la cour. Ils se dépêchèrent afin d'arriver à l'heure en cours, et Thomas ne lâcha pas la main de Maryline, si bien qu'elle se retrouva malgré elle à côté de lui dans la salle de classe. Elle craignit au moment de s'asseoir que le sperme qu'elle avait entre les fesses ne laisse une trace sur sa jupe, mais elle ne put rien y faire. En s'asseyant le tissu lui colla à la peau. Elle chercha de tous côtés sa copine Khedidja, mais celle-ci arriva juste avant que le prof ne ferme la porte et s'installa au fond de la classe. Les deux copines échangèrent un regard que Maryline jugea étrange, mais il lui était impossible de parler avec Khedidja.

     

    Pendant le cours, Tom n'arrêta pas de dire des obscénités tout bas à la petite black. Il posait aussi la main sur sa cuisse et remontait vers sa hanche, entraînant le tissu de la jupe dans ce mouvement. Maryline essayait bien de l'empêcher de faire ça, mais si elle résistait trop elle risquait d'attirer l'attention, et le garçon finit donc par l'emporter. La jupe remonta à la limite de son pubis, et Tom put ainsi glisser la main vers l'intérieur de ses cuisses pour atteindre son sexe. La jeune fille voulut serrer les cuisses mais le garçon l'en dissuada d'un geste et d'un regard qui la fit frémir. Elle jeta un coup d'oeil de son autre côté, et vit que leur petit manège ne passait pas inaperçu. Le garçon qui était là, Etienne, un brun aux cheveux longs, ne suivait rien du cours et au contraire avait les yeux rivés sur les cuisses de sa voisine et la main de Tom qui s'activait entre elles. Maryline sentit les doigts s'immiscer entre les lèvres de son sexe et lui caresser la fente. Etienne, bouche ouverte et yeux écarquillés, leva son regard pour croiser celui de la petite black, interrogatif, mais celle-ci resta pétrifiée, incapable de répondre à cette situation. Le jeune homme reporta alors ses yeux vers l'entrejambe de sa voisine. Tom, sans la regarder, la caressait doucement, massant les chairs de sa chatte et la pénétrant par moments d'un ou deux doigts. Cette stimulation constante laissait Maryline dans un vague état d'excitation, et elle se mordillait les lèvres sans plus oser regarder Etienne. Lui ne ratait rien de ce qui se passait, remuant légèrement sur sa chaise alors qu'une érection le mettait mal à l'aise.Lorsque sonna la fin du cours, Maryline se dépêcha de quitter la salle pour s'éloigner de Tom, et elle réussit à éviter qu'il ne la suive en prenant un chemin détourné vers des couloirs peu fréquentés. Mais Etienne, lui, ne l'avait pas quittée des yeux et il la rattrapa dans un couloir désert.

     

     

    • Hé! Maryline! L'appela-t-il.

     

     

    La jeune fille se retourna et il arriva à ses côtés.

     

     

    • Vous êtes chauds, toi et Thomas, dis donc! Dit-il en secouant la main. Je savais pas que c'était ton mec.

    • C'est pas mon mec! Fit Maryline en reprenant son chemin.

    • Quoi?! S'étonna le garçon en la suivant. Tu veux dire qu'il te tripote comme ça et que c'est même pas ton copain?

     

     

    La lycéenne ne répondit pas, regardant droit devant elle.

     

     

    • Ho putaiiiiiin! J'y crois pas! Ajouta le jeune homme. Il t'a payée, ou quoi?

     

     

    Là, Maryline s'arrêta net, et se tourna vers son harceleur.

     

     

    • Qu'est-ce que tu insinues? Cracha-t-elle en lui posant un doigt accusateur sur le torse. J'suis pas une pute!

    • OK, te fâche pas!... Mais si c'est pas ton copain et que tu le laisses te doigter la chatte comme ça, c'est que tu dois être bien chaude, dis donc. Et pourquoi t'as pas de culotte? Tu cherches un mec?

    • J'ai pas besoin de mec!

    • Ha bon? T'es lesbienne alors? Ou bi plutôt?

    • Mais arrête! Fais pas chier! S'emporta la petite black exaspérée par l'interrogatoire de son camarade de classe. Pfff, t'es trop con!

     

     

    Elle tourna les talons, poursuivit son chemin de quelques pas, puis s'arrêta net lorsqu'Etienne parla de nouveau.

     

     

    • C'est ça! Dit-il comme s'il venait d'inventer la poudre. Je parie que t'es lesbienne avec Khedidja. Vous êtes trop souvent ensemble.

    • Mais putain, arrête! Fit Maryline en se retournant de nouveau.

    • Ouais, c'est ça! Putain je vais le dire à tout le monde!

     

     

    La lycéenne s'arrêta encore une fois, retenant un cri de colère, et vint se planter devant le garçon.

     

     

    • Maintenant tu arrêtes, connard! Pourquoi tu viens m'emmerder comme ça?

    • Bah écoute, c'est simple! Fit Etienne calmement. Si t'as pas de mec et que t'es pas lesbienne, fais-moi voir ta chatte alors.

     

     

    Maryline en resta bouche bée, et Etienne poursuivit afin de la persuader.

     

     

    • Ben ouais, de toute façon je l'ai déjà vue maintenant, alors... Allez, fais pas ta mijorée, soulève juste ta jupe et on n'en parle plus.

     

     

    Il joignit le geste à la parole et attrapa le bord de la jupe.

     

     

    • Attends! Fit Maryline en le retenant.

     

     

    S'il suffisait de ça pour qu'il la laisse tranquille... Elle avait l'esprit vidé, n'arrivant plus à penser correctement. Elle avait tellement été le jouet de plusieurs garçons ces derniers jours qu'elle vit cette demande comme quelque chose de presque banal finalement. Pire encore, elle ressentit soudain une vague envie de se montrer à lui, et cela commença à l'exciter. Elle vérifia qu'ils étaient bien seuls dans le couloir et souleva elle-même sa jupe, tout doucement, jusqu'à dévoiler son pubis presque glabre à part un fin filet de poils vertical. Le garçon écarta une mèche de cheveux devant ses yeux écarquillés. Maryline sentit une vague de chaleur l'envahir, incontrôlable. Elle écarta les pieds pour offrir une vision sans entrave sur sa fente, et avança un peu le bassin. Etienne ouvrit la bouche et sa lèvre inférieure fut attirée vers le sol. La jeune fille ressentit une certaine fierté d'être l'objet de tant de désir. Elle posa les doigts de sa main droite autour de sa vulve et en écarta les grandes lèvres, dévoilant sa fleur entrouverte. Elle y glissa son majeur, et fit plusieurs va-et-vients, laissant une phalange s'insinuer dans son vagin. C'était tout mouillé de sperme et de cyprine. Le garçon laissa échapper un soupir émotionné. Puis soudain, comme si elle reprenait conscience de l'endroit où elle se trouvait, Maryline rabaissa sa jupe.

     

     

    • C'est bon, tu as vu ce que tu voulais, dit-elle. Maintenant ça suffit! On retourne en cours.

     

     

    Elle fit volte-face et repartit d'un pas pressé. Le jeune homme, ébahi, ne dit rien et la suivit quelques mètres derrière. La jeune fille avait le doigt mouillé. Elle ne trouva pas où s'essuyer, et comme Etienne n'avait aucune chance de la voir de derrière, elle se résolut à le nettoyer en le mettant dans sa bouche. Elle sentit nettement le goût du sperme.

     

    En classe, Etienne parvint à s'asseoir de nouveau à côté d'elle. De l'autre côté s'assit Omar, que Maryline n'avait pas encore eu l'occasion de voir ce jour. Il semblait que les garçons qui avaient eu des relations avec elle ces derniers jours se disputaient les places à ses côtés. Omar fut content d'en obtenir une. Il fit la bise à sa camarade de classe.

     

     

    • C'est cool de te voir enfin aujourd'hui! Lui dit-il tout bas. Ca devient difficile, t'es toujours avec quelqu'un.

     

     

    Etienne se pencha sur la table pour pouvoir parler à Omar.

     

     

    • Ouais, elle était avec moi, là! Fit-il sur un ton rêche. Ca te pose un problème?

    • Ouais ça me pose un problème quand j'ai pas vu ma puce depuis ce matin! Répondit Omar sur le même ton.

    • Un peu de silence s'il-vous-plaît! Les calma le professeur afin de commencer son cours.

     

     

    Les garçons restèrent silencieux quelques petites minutes, puis reprirent leurs débats à voix basse. Maryline, entre eux deux, soupirait, blasée d'être l'enjeu de cette joute. Le prof resta attentif à ce qui se passait entre eux et rabroua plusieurs fois les garçons qui se disputaient trop fort. La jeune fille fut au moins relativement tranquille, les garçons ne pouvant s'amuser avec elle.

     

    La sonnerie de midi retentit et Maryline ne put échapper à ses poursuivants. Dès la sortie de la salle, elle eut plusieurs garçons autour d'elle. Jérémy, qui ne l'avait pas encore vue ce matin, lui fit la bise, au grand dam d'Etienne qui commença à l'engueuler lui aussi. Alors que la petite black se frayait un chemin vers le réfectoire afin d'aller déjeûner, le petit groupe la suivit, parlant tous en même temps. Maxime était là aussi, et tentait discrètement de glisser une main sous la jupe de la jeune fille. N'y parvenant pas à cause de la promiscuité avec les autres garçons, il se rabattit sur les seins qu'il caressa chaque fois qu'il put les attraper. Maryline aperçut Khedidja qui venait par là, mais sa copine ne s'approcha pas lorsqu'elle vit la troupe de fauves entourant la petite black. Heureusement une silhouette massive vint la tirer de ce mauvais pas. Elle s'imposa brutalement au milieu du groupe et posa une main ferme sur l'épaule de Maryline. C'était Michaël.

     

     

    • Elle est avec moi ce midi! Dit-il avec un sourire mais de manière autoritaire.

     

     

    Et il emmena sa copine par la main, loin des garçons qui la regardaient avec envie et en oublièrent de continuer de se la disputer. La lycéenne était soulagée de se retrouver avec Michaël. Alors qu'il la tirait par la main pour aller vers l'entrée du réfectoire, elle regardait son dos et son coeur s'accéléra. Lorsqu'il la prit par les épaules en faisant la queue et qu'il l'embrassa, elle se sentit fondre et eut envie de lui. Ils discutèrent de choses simples en se mettant au bout d'une table tous les deux face à face.

     

     

    • Comment s'est passée ta matinée? Demanda Michaël dans la conversation.

     

     

    C'était la question que Maryline voulait éviter. Elle n'avait pas eu envie de lui parler de ce que lui avait fait les garçons de sa classe, de peur de la réaction qu'il pourrait avoir. Elle ne craignait pas que son copain se fâche, non, cela aurait plutôt été une réaction normale. Ce qu'elle craignait plutôt, c'était le contraire, qu'il apprécie ce qui s'est passé et qu'il encourage même à ce que cela se produise de nouveau. Maintenant qu'elle le connaissait, elle savait un peu à quoi s'attendre.

     

     

    • Ben... ça s'est passé, quoi! Tenta-t-elle afin d'éluder la question.

    • C'est tout? Interrogea le garçon en levant un sourcil. Raconte-moi, quoi! Après ce qui s'est passé vendredi, ça m'étonnerait que tes petits copains de classe ne t'aient pas au moins remercié, non?

     

     

    La jeune fille soupira en posant sa tête au creux de sa main.

     

     

    • Non, t'as raison! Finit-elle par avouer. Ils n'en sont pas restés là...

     

     

    Elle avança le visage vers Michaël afin de lui parler plus bas.

     

     

    • Tom et Max, tu sais, je t'ai parlé d'eux vendredi ? Et ben, ils m'ont attirée dans un coin pour me forcer à... tu vois, quoi?

    • Non, je ne vois pas. Dis-moi?

    • ... ben à me baiser, quoi! Ajouta-t-elle dans un murmure.

    • C'est vrai? Raconte-moi ça en détail.

     

     

    Le jeune homme était tout sourire, apparemment ravi de ce que lui racontait sa copine. La jeune fille parlait le plus bas possible pour éviter d'être entendue malgré le brouhaha ambiant.

     

     

    • Et après ça, continua-t-elle, c'est Etienne, un autre gars de la classe qui avait calculé ce que faisait Tom, qui m'a pécho et obligée à lui montrer ma minette.

     

     

    Elle raconta à Michaël le détail de cette histoire, en la modifiant légèrement afin de montrer que le garçon était bien responsable de tout. A la fin, le jeune homme l'embrassa.

     

     

    • Je suis fier de toi quoi qu'il arrive, n'oublie jamais ça, dit-il.

     

     

    Maryline n'était plus étonnée à présent que son copain s'inquiète si peu que d'autres garçons la maltraitent ainsi. Elle soupira, agacée, et suivit le garçon qui quittait le réfectoire. Ils allèrent s'asseoir sur l'herbe dans un coin de la cour, et Maryline replia ses jambes sur le côté, ce qui lui permettait de garder sa jupe dans une position décente.

     

     

    • Donc si j'ai bien compris, fit soudain Michaël, tu as donné ta culotte à Tom?

    • Non, à Max.

    • Oui, à Max, corrigea-t-il avec un sourire. Tu te retrouves donc encore nue sous ta jupe.

    • Oui.

    • Fais-moi voir, au moins!

     

     

    Dans la position où elle était, la jeune fille put écarter les jambes de façon à ce que seul Michaël puisse voir sous sa jupe. Elle resta cependant vigilante à ce que personne d'autre ne s'approche.

     

     

    • Mmmm, c'est mignon! Fit le jeune homme. On dirait que ton abricot est encore humide, non?

    • Je... J'sais pas! Répondit Maryline déstabilisée.

     

     

    Elle savait bien qu'elle était effectivement humide, mais n'aurait su dire si c'était les restes des activités de la matinée ou l'effet que Michaël produisait sur elle.

     

     

    • Ca fait maintenant plusieurs jours que tu t'es habituée à ne pas porter de culotte, dit le jeune homme. Donc je crois que je vais te rajouter une règle, mais qui ne changera pas grand chose au fond: plus de culotte à partir d'aujourd'hui!

     

     

    La seule réaction de la petite black fut de le regarder un instant avec des yeux suppliants, mais elle savait bien qu'il était inutile d'argumenter. Elle n'était pas en position de discuter. Le jeune homme sortit son téléphone portable et prit plusieurs photos.

     

     

    • Fais-moi un petit sourire, allez! Lui enjoignit-il.

     

     

    Avec quelques mimiques il parvint à faire sourire la lycéenne, et à la faire garder les cuisses ouvertes alors qu'il prenait des clichés. Il la détendit ensuite en discutant amicalement et en la faisant rire. Malgré cela, elle s'inquiétait chaque fois que quelqu'un passait près d'eux, se demandant s'ils étaient capables de voir sous sa jupe.

     

     

    • Ha, le temps passe, c'est déjà bientôt les cours! Fit Michaël en regardant sa montre. Je vais te laisser, je dois voir quelqu'un avant. On essaiera de se voir à la sortie, hein? Tu m'attendras?

     

     

    La jeune fille acquiesça, visiblement déçue qu'ils se séparent maintenant. Le garçon l'embrassa langoureusement, puis ils se levèrent et il la quitta avec un geste de la main. Maryline prit lentement le chemin de sa salle de cours. Elle fut interceptée dans un couloir par un trio composé d'Omar et Etienne, tout sourires et qui semblaient s'être réconciliés, et de Boubakar, le bon élève, dont la jeune fille se demanda ce qu'il pouvait bien faire avec les deux autres. Le visage d'Omar s'illumina lorsqu'il aperçut la petite black.

     

     

    • Maryline! Appela-t-il.

     

     

    Elle n'eut pas le temps de se jeter dans un autre couloir qu'en quelques pas les garçons furent sur elle. Omar l'attrapa par la main.

     

     

    • On te cherchait justement! Ajouta-t-il. Viens, on a quelque chose à te demander!

    • Non, attendez!

     

     

    Les protestations de la jeune fille n'y firent rien et elle fut attirée de force dans un couloir désert de l'établissement. Etienne et Boubakar l'attrapèrent chacun par un bras et la tinrent fermement. Elle lâcha son sac qui tomba à ses pieds.

     

     

    • Mais ça veut dire quoi, ça? Mais lâchez-moi! Qu'est-ce que vous me voulez, enfin?

     

     

    Elle se débattait tant bien que mal mais son petit gabarit ne faisait pas le poids face aux deux garçons.

     

     

    • Tu ferais mieux de rester tranquille, lui dit Omar. Tu as oublié que j'ai des photos de toi à poil?

    • De.. de quoi tu parles? Fit la lycéenne soudainement inquiète.

    • Ho, pas la peine de faire semblant, continua le jeune beur. Ces deux-là viennent de les voir de toute façon. Tu n'as plus rien à cacher. Bouba m'a promis de faire mes devoirs si je lui montrais tout ça en vrai. Enfin, je crois que c'est surtout ton cul qui l'intéresse!

     

     

    Il partit d'un éclat de rire.

     

     

    • Ouais vas-y, montre! Ajouta le black timidement.

    • Le cul oui, mais le reste aussi c'est intéressant! Fit Etienne en tirant le bas du t-shirt.

     

     

    Le garçon était gêné par la veste que portait la jeune fille, et avec l'aide de son camarade il la lui enleva. Maryline résista tant qu'elle le put, mais le vêtement tomba finalement à terre, et le garçon put remonter son t-shirt jusqu'au menton, dévoilant ses seins nus qui tressautèrent.

     

     

    • Arrêtez! Je m'en fous de tes photos, de toute façon tu les montres à tout le monde! Cria la petite black.

    • Ha nan c'est pas vrai! Rétorqua Omar. Je les ai même pas encore montrées aux profs.

    • Nan, pas les profs! Fit la jeune fille soudainement plus calme. Tu ferais quand même pas ça?

    • Ha?... Moi je sais pas, hein, tu sais bien que ça dépend de toi, fit le garçon.

     

     

    Maryline soupira et relâcha ses efforts. Les deux qui la tenaient en profitèrent. Etienne attrapa le devant de la jupe et Boubakar le derrière. Ils soulevèrent tous les deux en même temps, amenant le vêtement sur les hanches de leur prisonnière. Celle-ci se retrouva nue sous le nombril. Les garçons sourirent et lancèrent des commentaires scabreux.

     

     

    • Holala! Quelle paire de... Ho mon dieu! Que c'est beau! Fit Boubakar les yeux exorbités derrière ses lunettes. Je commence à avoir la trique, je crois que ça me fait trop envie.

    • Ouais, ben attends! Le calma Omar. On a autre chose à faire tout de suite.

     

     

    Il sortit de sa poche une paire de ciseaux et la fit claquer sous les yeux de Maryline.

     

     

    • Qu'est-ce que tu veux faire avec ça? Demanda-t-elle avec un trémolo angoissé dans la voix.

    • On s'est dit que tu pouvais être encore plus sexy que ça! Répondit Etienne à la place d'Omar. Alors on s'est mis d'accord pour t'aider un peu.

    • Quitte à être à moitié à poil, autant faire ça bien! Ajouta le jeune beur en rigolant.

     

     

     

    Il approcha les ciseaux de la jupe, tira sur le tissu et commença à découper.

     

     

    • Nooooooon!

     

     

    Maryline voulut l'en empêcher mais les deux autres la tenaient fermement. Lorsqu'il eut terminé avec la jupe, un grand pan de tissu noir était tombé par terre. Le beur s'attaqua alors au t-shirt, au grand dam de la petite black. Il enleva de grands morceaux de tissu blanc. Les deux autres garçons gloussaient bêtement.

     

    La sonnerie retentit soudain, annonçant la reprise des cours, mais Omar prit le temps de terminer son affaire. Il remit alors les vêtements en place et recula de deux pas afin d'admirer le résultat. Le t-shirt avait été transformé en débardeur. Les manches avaient disparu et de larges échancrures descendaient jusqu'au bas des côtes de la jeune fille. Il était clair qu'elle ne portait pas de soutien-gorge, et le décolleté en V qui descendait à présent jusqu'entre ses seins confirmait cet état de fait. En bas, la jupe était devenue mini, laissant nue plus de la moitié des cuisses de la petite black. Elle regarda ce qui restait de ses vêtements, et même si ça couvrait encore l'essentiel, ça ressemblait à présent davantage à une tenue de vacances sexy qu'à une tenue de tous les jours.

     

     

    • C'est super! Fit Omar. T'as la grande classe comme ça!

     

     

    Il n'oublia pas de sortir son téléphone portable pour prendre quelques photos de sa camarade en mode sexy. Les deux autres garçons rigolèrent, puis lâchèrent la lycéenne, qui se dandinait en ne sachant que faire.

     

     

    • Allez, dépêchez-vous, on va être en retard! Fit Boubakar.

     

     

    Les autres garçons acquiescèrent, et se précipitèrent vers leur salle de cours, tirant par la main Maryline qui n'eut que le temps d'attraper son sac et sa veste, et paniqua à l'idée d'entrer en classe habillée ainsi.

     

     

     

     

    A suivre...


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  •  

    Le match se tenait dans un petit stade de banlieue et il n'y avait qu'une seule tribune pouvant accueillir quelques centaines de personnes. A quelques minutes du coup d'envoi, elle n'était qu'à moitié pleine, et Maryline put se trouver une place isolée à une extrémité des gradins. Dans la tenue où elle se trouvait, elle préférait éviter le contact avec qui que ce soit, surtout que bon nombre de supporters étaient bien agités, sans doute afin de combattre le froid. La jeune fille attira tout de même les regards, les supporters de son équipe étant peu nombreux, et elle entendit quelques réflexions machistes. Elle s'assit délicatement sur le béton froid des gradins, et tira machinalement sur le bas de son maillot comme si elle pouvait le rallonger.

     L'arbitre siffla le début de la rencontre et elle essaya de s'intéresser au match pour oublier le reste. Elle repéra Michaël sur le terrain et le trouva beau en tenue de match. Elle agita la main plusieurs fois pour lui montrer où elle se trouvait, mais il était concentré sur son jeu et ne la vit pas. En revanche quelques hommes de la tribune n'arrêtaient pas de la regarder, et de ce point de vue la petite black fut contente d'être seule et de ne pas avoir à garder les cuisses ouvertes. Elle gardait au contraire les genoux bien serrés.

     Un spectateur qui arriva en retard vint s'asseoir directement à côté d'elle. Il s'agissait d'un homme noir d'âge mûr, chauve à la barbe naissante grisonnante, portant une écharpe jaune et noire couleurs du club local. Il jeta un regard curieux à Maryline, la détaillant des pieds au visage. Elle sentit que ses yeux restaient fixés sur ses cuisses, et se râcla la gorge, gênée. Quand enfin elle osa tourner son regard vers lui, l'homme lui sourit.

     

    •  Bonjour, jeune fille! Dit-il. Tu n'as pas choisi la bonne équipe pour supporter, mais le maillot ça te va très bien quand même.

     Il avait un accent africain assez prononcé.

    •  Mon copain joue dans l'équipe, c'est lui que je suis venue encourager! Dit Maryline pour décourager tout de suite toute tentative d'approche.
    • Et c'est pour lui que tu te fais toute sexy comme ça, dé? Ajouta le noir qui ne se découragea pas le moins du monde.

    • Heuuu, oui... c'est pour lui, répondit la jeune fille toute gênée que cet homme qui pourrait être son père lui parle ainsi.

    • On a la chance d'être là pour poser nos yeux sur toi alors. La nature t'a donné de beaux lolos, on les voit bien là-dessous.

     

    Il approcha la main du téton qui pointait tout proche de lui et Maryline eut un mouvement de recul. Mais la main dévia de sa trajectoire et vint se poser sur la cuisse de la petite black, tout près du bas du t-shirt.

     

    • Tu as froid! S'exclama le noir. Tu as du courage t'habiller comme ça pour ton gars. Tu peux venir près de moi pour te réchauffer, faut pas avoir peur.

     

    La jeune fille le regarda un instant, perplexe. Elle aurait du repousser sa main, elle le savait, mais elle n'osa pas le faire. Elle était chaude et il était vrai qu'elle, elle avait froid. Et cet homme qui avait un air bienveillant lui inspirait confiance. Elle bougea les fesses pour se coller à lui, et il lui passa le bras sur les épaules. Son autre main resta sur la cuisse de la petite black.

     Ils regardèrent le match en bavardant de choses et d'autres, faisant connaissance. Lui s'appelait Gilbert et était béninois. Il posa quelques questions à Maryline, lui parlant avec le rapport de force dû à l'écart d'âge. Avant la mi-temps, sa main avait quitté la cuisse pour remonter sur le ventre de la jeune fille. Celle-ci retint le maillot afin d'éviter qu'il ne remonte aussi. Tout en continuant de discuter, la main du noir s'aventura plus haut encore et vint se poser sous les seins. Maryline essaya de le repousser gentiment, mais l'homme continuait de lui parler doucement.

     

    • Regarde, tes lolos aussi ont froid! Lui dit-il. Je peux te les réchauffer, ça ne fera de mal à personne.

     

    Il insista quelques minutes, sans forcer, et sa persévérance fut récompensée quand Maryline renonça à résister. Sa main se posa alors sur un sein, le couvrant presqu'entièrement. La jeune fille dut reconnaître que la chaleur de sa peau était bien agréable. Ils restèrent dans cette position longuement, et l'arbitre siffla la mi-temps. Aucun but n'avait été marqué.

     

    • Viens! Je vais t'offrir à boire quelque chose de chaud, proposa Gilbert.

     

     Il emmena Maryline en continuant de la tenir par les épaules. Elle jeta un oeil au terrain pour voir ce que faisaient les joueurs et surtout Michaël, et tous se dirigeaient vers le vestiaire. Elle avait envie de les suivre pour voir son copain, mais Gilbert l'emmenait et elle n'eut pas le courage de le décevoir. Elle le suivit jusqu'au club house local. Une vague de chaleur les y accueillit, et beaucoup de monde s'y pressait pour discuter au chaud et profiter de la pause pour boire quelque chose. Il y avait un brouhaha intense. Le duo black se fraya un chemin jusqu'au comptoir, où Gilbert put offrir un chocolat chaud à la jeune fille. Lui-même commanda un café. Maryline ne vit aucune femme autour d'eux, et se pressa contre son compagnon alors que quelques regards masculins la déshabillaient. Gilbert, afin de la protéger, laissa la petite black se glisser entre le comptoir et lui. Il la dépassait d'une bonne tête et la tenait entre ses bras, collé à son dos. Ils burent leurs boissons. L'homme prit une grande gorgée de café alors que Maryline prenait son temps pour siroter le chocolat et laisser sa chaleur la réconforter. Pendant ce temps Gilbert glissa une main sur le bas-ventre de la jeune fille et appuya pour la presser contre lui. Elle écarquilla les yeux et faillit cracher son chocolat lorsqu'elle ressentit quelque chose de dur dans le bas du dos. Elle tenta de s'éloigner de l'homme mais celui-ci affirma sa prise sur elle. Sa main descendit brusquement dans l'entrejambe de la petite black et la pressa plus fort contre lui. Gilbert lâcha alors un petit bruit d'exclamation. Il semblait surpris de ne sentir aucun tissu là où il s'attendait à rencontrer une culotte. Maryline retint un petit cri de douleur alors que les doigts de l'homme l'enserraient comme des crochets, et que ce faisant certains s'insinuèrent entre les lèvres de son sexe. Malgré ce qui se passait, elle voulait éviter d'attirer l'attention d'autres personnes sur elle.

     

    • C'est pour ton gars aussi t'as oublié la culotte? Chuchota Gilbert à son oreille. Ou alors peut-être tu aimes chauffer les hommes, hein?

     

    La jeune fille cherchait ce qu'elle pouvait bien répondre à ça, mais elle ne savait pas comment expliquer le fait qu'elle soit dans cette tenue. Deux doigts s'enfoncèrent nettement dans son vagin, et Gilbert continua de serrer tous ses doigts, tenant la lycéenne par sa partie la plus intime. Celle-ci chercha à bouger pour éventuellement se dégager, mais l'homme serra alors très fort et sous la douleur Maryline capitula. Elle resta immobile pendant que Gilbert la fouillait de ses doigts et buvait son café. Il prit son temps, et lorsqu'il eut terminé, il regarda sa montre puis retira sa main du sexe de la petite black.

     

    • Le match va reprendre! Dit-il. Viens!

     

    Il prit Maryline par la main et l'emmena hors du club house. La fraîcheur de l'extérieur la saisit par contraste avec la chaleur de la buvette. Elle frissonna. Avant que Gilbert ne l'emmène à la tribune, elle vit les joueurs sortir du vestiaire pour retourner sur le terrain. Elle se dégagea de la main qui la tenait et se précipita vers eux. Elle put se jeter dans les bras de Michaël.

     

    • Ho Michaël! Je suis contente de te voir! Fit-elle.

    • Hé ben! S'exclama le jeune homme surpris. Je te manque tant que ça? Ca ne fait qu'une heure pourtant...

    • Oui tu me manques! Ajouta-t-elle les yeux levés vers lui. Et puis... avec le peu de fringues que j'ai, les mecs m'embêtent.

     

    Gilbert s'était approché mais restait en retrait. Michaël le dévisagea, et reçut un sourire en retour.

     

    •  Les mecs, ou juste ce mec-là? Demanda le jeune homme.

     

    Maryline tourna la tête et confirma:

     

    • Oui, c'est lui, il m'embête.

    • Il t'embête comment?

    • Ben... il me drague!

    • C'est tout?

    • Heu, non... Il... Il me touche aussi!

    • Et c'est ça que tu appelles t'embêter?

    • Oui! Oui, il ne devrait pas...

    • Il ne devrait pas quoi? Fit Michaël en la tenant par les épaules et l'écartant de lui.

     

     Ses coéquipiers étaient déjà sur le terrain, et n'attendaient que lui.

     

    • Tu te promènes à poil sous ton maillot de foot, ajouta-t-il. Qu'est-ce que tu espères? Bien sur que tu vas te faire draguer, et que les mecs voudront profiter de toi. C'est normal. Il n'y a pas de quoi en faire toute une histoire. Tu devrais plutôt être fière de plaire autant que ça. Allez, va le voir, il t'attend. On m'attend aussi sur le terrain.

     

    Il poussa doucement Maryline vers l'homme noir, et fit à celui-ci un signe de la main.

     

    •  Occupe-toi d'elle jusqu'à la fin du match! Lui fit-il.

     

    Gilbert eut une expression de surprise qu'il réprima immédiatement, et acquiesça simplement d'un hochement de tête accompagné d'un sourire carnassier. Il ne s'était certainement pas attendu à avoir l'approbation du petit copain. Il reprit la petite black par la main alors que Michaël rejoignait ses coéquipiers sur le terrain. Maryline était atterrée. Son soit-disant copain la mettait sans remords entre les mains d'un inconnu libidineux.

     Le couple improvisé s'installa dans un coin de la tribune à l'écart des autres spectateurs. Gilbert ne voulait pas être dérangé, car il prit la jeune fille sur ses genoux et recommença immédiatement à lui caresser la chatte. Le match avait repris. Le noir essayait de rester assez discret sur ce qu'il faisait, mais la main fourrée entre les cuisses de la lycéenne ne laissait aucun doute sur ses agissements. Ses doigts ne quittèrent plus la vulve qui s'humidifiait intensément. Maryline se mordillait les lèvres. Malgré elle, la caresse intime que lui prodiguait l'homme réveillait ses sens. Son sexe était encore douloureux d'avoir été pénétré de nombreuses fois depuis la veille, mais il réagissait tout de même à la stimulation. Ce plaisir qui envahissait la petite black et le fait que Michaël avait donné son approbation faisaient qu'elle n'avait pas envie de se rebeller. Elle prêtait peu d'attention au match qui était qui plus est plutôt insipide. Au bout d'un moment, Gilbert activa son autre main dans son dos, et lorsqu'elle sentit quelque chose contre ses fesses elle comprit qu'il avait sorti son sexe. Il le masturba en le frottant contre elle tout en continuant à fouiller la chatte de ses doigts. Maryline sentit inévitablement un orgasme monter en elle, et même si elle tenta de se retenir, il explosa malgré tout et elle lâcha un petit cri gémissant. Des spectateurs tournèrent la tête vers le couple et affichèrent diverses réactions. Certains n'avaient peut-être pas compris ce qui se passait, mais d'autres rigolèrent ou firent des commentaires inaudibles, et d'autres encore se détournèrent, dégoûtés. Cela n'empêcha pas Gilbert de continuer de se masturber, caché derrière le cul de Maryline, et de fouiller inlassablement la chatte à présent dégoulinante de sécrétions. La jeune fille s'appuyait contre lui, frémissante, abandonnée, et elle ne se rendit compte du temps qui passait que lorsque l'arbitre siffla la fin du match. Aucun but n'avait été marqué pendant la rencontre. Le noir cessa de la caresser et rangea son sexe rapidement. Maryline n'avait rien senti et ne sut pas s'il avait éjaculé.

     

    • Merci beaucoup mademoiselle Maryline! Susurra l'homme. C'est un plaisir de regarder un match de foot avec toi.

    • Merci! Répondit la petite black qui ne savait trop quoi dire.

     

     Ils se levèrent et elle lissa le t-shirt pour être sure qu'il couvre bien ses parties intimes. Elle sentit que de la mouille coulait le long de ses cuisses mais elle ne put rien y faire. Elle espérait juste que ça ne se remarque pas. Elle quitta la tribune avec Gilbert, et ils rejoignirent les joueurs qui rentraient au vestiaire. Ils trouvèrent Michaël, une bouteille d'eau à la main. Maryline se jeta dans ses bras.

     

    • Alors ce match, ça s'est bien passé? Demanda-t-elle, essayant de passer à autre chose.

    • Bof! On aurait préféré gagner, bien sur, mais c'est pas trop mal, dit Michaël. Et ton ami?

     

     Gilbert approcha pour répondre lui-même.

     

    • J'ai beaucoup apprécié regarder match, surtout avec la très bonne compagnie de Maryline, fit-il tout sourire. Tu as une compagne très charmante.

    • Merci, je sais! Dit le jeune homme en jetant un regard complice à sa copine. Elle est très charmante avec tout le monde, et elle adore faire plaisir.

    • Mais j'ai aimé lui faire plaisir aussi. Je serais ravi vous revoir une prochaine fois, ajouta Gilbert qui voyait bien que cette rencontre devait s'arrêter là pour le moment.

    • Notre prochain match est à domicile. Vous pouvez venir nous voir si vous voulez. Maryline sera là pour nous supporter.

    • Peut-être je viendrai alors! Fit Gilbert avec un grand sourire. Au revoir à vous deux!

     

     Michaël emmena sa copine par la main pour rejoindre ses camarades au vestiaire. Mais le coach veillait à l'entrée, et il refusa que la jeune fille le suive à l'intérieur.

     

    • Non Michaël, ta copine t'attendra à l'extérieur. Ce n'est pas décent d'emmener une jeune fille là-dedans!

     

    Le jeune homme essaya de discuter pour faire fléchir son entraîneur, mais celui-ci resta inflexible. Et Pierre n'était pas là pour le soutenir. Il dut donc se résoudre à laisser la petite black.

     

    • Attends-moi là, j'en ai pas pour longtemps, fit-il.

     

    Cependant Maryline ne se sentit pas à l'aise avec l'entraîneur qui faisait les cent pas devant la porte du vestiaire et la toisait d'un regard méfiant. Elle se sentit plus nue que jamais, et craignait qu'il ne remarque l'humidité qui coulait le long de ses cuisses. Elle préféra donc se retirer et attendre à l'extérieur. Elle y retrouva Pierre qui lui demanda comment s'était passé le match. Elle n'osa pas tout lui raconter et répondit simplement « Bien! ».

     

    • Viens! On va attendre Michaël à la voiture, il nous rejoindra! Dit Pierre.

     

     Maryline ne discuta pas et le suivit. Elle imaginait que le père de Michaël préférait être seul avec elle pour en profiter un peu, mais elle fut surprise de constater que ce n'était pas le cas. Elle lui en fut néanmoins reconnaissante. Ils s'installèrent dans le véhicule, elle à l'arrière, et Pierre fit tourner le moteur afin qu'ils aient un peu de chaleur. Peu après, Michaël les rejoignit, mais il n'était pas seul. Laurent était avec lui. Les garçons posèrent leurs sacs de sport dans le coffre, puis Michaël monta à l'avant et Laurent à l'arrière à côté de Maryline.

     

    • Mathias rentre avec Hugo, c'est plus direct pour lui, expliqua Michaël. Il t'embrasse, Maryline. Par contre on ramène Laurent. Alban aurait voulu venir lui aussi, mais sa copine est passée le chercher.

    • C'est pas grave! Fit Laurent, souriant. On aurait été un peu serrés à trois derrière. Pis au moins on pourra discuter tranquillement avec la jolie Maryline.

     

    Pierre commença de rouler puis demanda:

     

    • Où on va?

    • Je pense qu'on va chez Laurent d'abord, c'est le plus simple, répondit son fils. Après on déposera Maryline chez elle.

     

     La jeune fille fut contente d'entendre qu'elle allait rentrer enfin chez elle, et son visage s'éclaira. Puis cela lui fit penser qu'elle avait encore complètement oublié de téléphoner à son cousin François alors qu'elle avait encore passé une nuit dehors. Il allait la tuer! Elle se renfrogna, réfléchissant à la manière dont elle pourrait lui expliquer la chose pour s'en sortir sans trop de dégâts.

     

    • Alors, tu m'as pas montré tout à l'heure! dit soudain Laurent la sortant de ses pensées. C'est un string ou pas?

    • Quoi? Fit-elle en essayant de savoir de quoi le garçon parlait.

    • Ben oui! Ajouta celui-ci tout souriant. Dans les vestiaires tout à l'heure, tu ne m'as pas répondu. Avec ce que j'ai vu je sais que c'est pas un short. Alors?... C'est bien un string, non?

    • Heuuu, beeeeen...

     

     Maryline n'osait bien entendu pas répondre. Elle aurait pu facilement mentir et dire oui, mais elle se doutait que Michaël ne laisserait pas les choses se passer ainsi. D'ailleurs le jeune homme lui donna raison en intervenant.

     

    • Le mieux c'est de lui montrer, au moins le débat sera clos, dit-il sans se retourner. Hein, ma belle?

     

     Il ajouta ses derniers mots en la regardant à travers le rétroviseur central. La jeune fille croisa ses yeux noisette fixés intensément sur elle, et sentit une onde froide lui parcourir la colonne vertébrale. Il voulait de nouveau qu'elle s'exhibe à son copain. Laurent avait les yeux exorbités et un sourire jusqu'aux oreilles.

     

    • Ha oui! Je suis d'accord! Dit-il. Au moins y aura pas de contestation possible.

     

     Maryline baissa la tête en soupirant. Elle savait qu'il était inutile de refuser. Alors elle souleva le côté de son t-shirt assez haut afin que le garçon constate qu'il n'y avait aucune présence de sous-vêtements. Laurent lâcha une exclamation de surprise, la bouche grande ouverte.

     

    • Ho putain! Fit-il. Ho! Heuuu, excuse-moi Maryline, mais... je ne m'attendais pas à ça. T'es culottée, enfin si j'ose dire, de te promener sans rien en-dessous comme ça. Tu peux... me montrer mieux?

     

     Il joignit le geste à la parole et aida la petite black à soulever complètement le t-shirt sur son ventre, de sorte qu'il avait une vue complète sur son pubis rasé. Michaël se retourna et fit un signe à sa copine afin qu'elle ne garde pas les cuisses fermées. Fronçant les sourcils, elle émit un petit gémissement réprobateur mais obéit malgré tout. Elle ouvrit les jambes pour le plus grand plaisir de Laurent qui retint son souffle. Celui-ci se délecta de la vue de la fente rose et de l'humidité qui faisait briller tout l'intérieur des cuisses. Il resta un moment silencieux, fasciné.

     

    • Tu sais, faut pas être timide, Lolo! Lui dit Michaël. Si tu veux t'amuser avec elle, tu as carte blanche. Moi je serais toi j'en profiterais. On arrivera bientôt chez toi, tu n'as pas beaucoup de temps.

     

     Ces paroles firent mouche, et Laurent sembla se réveiller. Il commença de baisser précipitemment son pantalon de survêtement, puis s'interrompit pour demander à Maryline:

     

    • Je... Je peux?

     

     La jeune fille soupira, puis résignée, elle opina du chef en signe de consentement.

     

    • Super! Viens là alors!

     

     Le jeune homme baissa complètement son pantalon, emmenant son slip avec, et son sexe surgit brusquement, bien droit. Il aida la petite black à venir se positionner au-dessus. Elle lui tournait le dos et cambra les reins. Elle empoigna la verge tendue pour la guider elle-même à l'entrée de sa chatte ouverte. Puis elle descendit doucement, laissant la bite de Laurent s'enfoncer en elle. Elle laissa échapper un bruyant soupir de douleur, pendant que le garçon poussa un râle de plaisir.

     

    • Doucement! Lui dit-elle.

     

     Mais Laurent voulait la pénétrer le plus profondément possible, et il l'aida à s'asseoir complètement sur lui. La jeune fille poussa un petit cri de douleur alors que le gland appuyait au fond de son vagin. Le garçon glissa les deux mains sous son maillot pour empoigner ses seins, puis il agita les reins vigoureusement pour faire bouger son sexe dans le ventre de la petite black. Il appuyait sur sa poitrine et la maintenait contre lui. En appuyant lui-même ses épaules contre le siège de la voiture, il pouvait soulever son bassin, ce qu'il faisait par de puissants à-coups qui arrachaient à chaque fois un petit cri aigü à sa partenaire. Il essayait de tenir un rythme rapide, mais il était obligé par moments de faire une pause où il restait fiché jusqu'à la garde dans le vagin de la jeune fille. Puis dès qu'il se sentait d'attaque il reprenait ses pénétrations violentes. Il remarqua à peine que la voiture s'était arrêtée sur le trottoir en face de son immeuble. Ils étaient arrivés chez lui. Sans s'en soucier, le jeune homme continua de pilonner fortement la lycéenne, qui continuait de geindre à chaque pénétration. Un passant jeta un regard curieux lorsqu'il dépassa le véhicule, fronça les sourcils et passa son chemin. Laurent accéléra le rythme en posant les mains sur le siège à côté de lui. Il soulevait la jeune fille à la force de ses reins. Soudain il resta figé en l'air, et éjacula au fond de sa partenaire. Puis il retomba lourdement sur ses fesses et Maryline sur son membre dressé, ce qui lui arracha encore un cri. Ils restèrent ensuite tous les deux l'un sur l'autre, épuisés, reprenant leurs souffles.

     

    • Et ben, dans quel état vous vous êtes mis tous les deux! Fit Michaël en rigolant.

     

     Laurent en rit lui aussi. Pierre avait sorti son appareil photo de la boîte à gant et prit un cliché des deux amants, Maryline les cuisses écartés avec la bite de Laurent toujours fichée en elle.

     

    • Merci Maryline! C'était trop bon, lui dit Laurent pas très fort à l'oreille.

     

     La jeune fille sourit malgré elle, touchée par le compliment. Le garçon dégagea son sexe qui se ramollissait et permit à sa partenaire de se rasseoir à côté de lui. Elle rabaissa son t-shirt pour reprendre un aspect plus ou moins décent. Laurent remonta son slip et son pantalon.

     

    • Bon! On est déjà arrivés! Dit-il. Vous auriez pu me le dire. Et si mes voisins m'avaient vu?

     

     Cela fit rire Michaël et son père, qui lancèrent quelques vannes à Laurent qui en rit à son tour. Puis il fut temps pour lui de partir. Il fit une simple bise à Maryline, ce qui était plutôt incongrü après ce qui venait de se passer, puis il descendit récupérer son sac dans le coffre. Un dernier signe de la main, puis Pierre redémarra le véhicule.

      Tout le monde resta silencieux, à part Maryline qui donna les indications de route à Pierre pour qu'il la ramène chez elle. Arrivés sur place, la jeune fille hésita avant de demander à Michaël d'une petite voix suppliante:

     

    • Tu vas me donner mes vêtements, dis, s'il-te-plaît? Je peux vraiment pas monter comme ça chez mon cousin.

    • Ha? Tu crois que ça lui plairait pas? Demanda malicieusement le jeune homme. Je suis sur qu'il a déjà essayé de te mater, non?

    • Arrête! Il va plutôt être vénère, oui! En plus j'ai encore découché sans le prévenir, il va me tuer c'est sur!

    • Ouais, je vois. Il joue l'autoritaire, il prend le rôle du père, c'est ça?

     

     La petite black acquiesça d'un hochement de tête.

     

    • Tu peux la raccompagner là-haut, proposa Pierre à son fils. Essaie de discuter avec lui, prends ça à ton compte. Si tu as l'air sérieux, si tu lui donnes confiance, il ne s'inquiètera plus. Tu sais, si j'étais à sa place, j'aimerais savoir avec qui elle sort toute la nuit. J'attendrai ici le temps qu'il faut.

    • Ouais, t'as raison, fit le garçon avec un soupir. OK, je t'accompagne.

     

     Il ouvrit sa portière et sortit de la voiture.

     

    • Et mes vêtements? Lui cria Maryline avant qu'il ne referme la porte.

    • Il va te les donner, la rassura Pierre en se retournant vers elle.

     

    Il avança une main vers ses cuisses, l'obligeant d'un geste à les écarter.

     

    • Tu as peur que ton cousin n'aperçoive ta petite chatte dégoulinante? Pourtant je te rassure, c'est très joli à voir. Tu ne peux pas savoir comme c'est excitant, on voit encore un petit filet de sperme au bord de ton sexe.

     

     Michaël les interrompit en ouvrant la portière arrière. Il posa son sac de sport sur le siège et en sortit la jupe noire.

     

    • Tiens! Tu peux mettre ça! Dit-il à sa copine.

     

     Maryline n'en demandait pas plus. Elle se dépêcha d'enfiler sa jupe, et n'attendit même pas que Michaël lui donne sa culotte. Il avait déjà refermé la portière et rangeait son sac dans le coffre. La jeune fille approcha son visage de Pierre et lui fit la bise, puis elle sortit.

     Michaël la prit par la main en entrant dans son immeuble. Maryline était heureuse qu'il prenne la responsabilité de l'excuser auprès de François. Plus qu'à sa main, c'est à son bras qu'elle s'accrocha avec un regard enamouré. Mais elle n'en menait pas large quand elle sonna chez François, et baissa la tête quand il ouvrit la porte.

     

    • Maryline!? Fit-il les sourcils froncés. C'est maintenant que tu rentres?

     

     Puis il jeta un regard inquisiteur à Michaël.

     

    • Bonsoir! Lui dit-il d'un air glacial.

    • Excuse-moi François, dit Maryline avec autant d'assurance qu'elle le put. Je sais que j'aurais du te prévenir, mais je n'ai vraiment pas pu. Je te présente Michaël, un ami, c'est avec lui que j'étais tout ce temps. Il pourra te le dire.

    • Oui c'est vrai, elle était avec moi, ajouta immédiatement le jeune homme pour désenvenimer la situation. On a terminé la soirée d'hier assez tard, et j'ai préféré qu'elle dorme chez moi plutôt que de la laisser rentrer seule. Ca n'aurait pas été prudent.

    • Oui, mais elle aurait pu quand même m'appeler, au moins aujourd'hui! Fit François tout de même passablement énervé.

    • Je sais, poursuivit Michaël, et je crois que c'est ma faute si elle ne l'a pas fait. On peut entrer?

    • Hum! Oui, bien sur! Grommella François qui les laissa entrer apparemment à contrecoeur.

     

     Par mesure de bienséance il proposa à boire à Michaël, et les deux jeunes gens firent connaissance en discutant de choses et d'autres. François s'étonna de voir Maryline porter un maillot de football, et la jeune fille lui expliqua que Michaël faisait partie d'un club et qu'il l'avait emmenée voir un match. Le jeune homme faisait apparemment tout pour se mettre dans les bonnes grâces de François. Et ça marchait. Le moment fut plutôt agréable et le cousin de Maryline ne lui en voulait plus, à ce qu'il semblait.

     Finalement Michaël devait partir.

     

    • Mon père m'attend en bas! Prétexta-t-il.

     

     François ne le retint pas, et Michaël insista pour que Maryline le raccompagne jusqu'en bas.

     

    • Viens! Laissons l'ascenseur, on va prendre les escaliers, dit-il en tirant sa copine par la main.

     

     La jeune fille le suivit sans broncher.

     

    • En tous cas, merci pour avoir parlé à François, dit-elle. Je crois que si tu n'avais pas été là, j'aurais passé un mauvais quart d'heure.

    • C'est normal, fit Michaël en descendant dans la cage d'escalier. Et puis j'ai l'impression qu'il m'a... beaucoup apprécié!

    • Oui, je crois aussi! Tu as du le rassurer. Il pensait peut-être que je sortais avec des mauvaises personnes.

    • Non, c'est pas ce que je voulais dire... Je pense qu'il est pédé!

     

     Le jeune homme s'immobilisa sur place et se tourna vers Maryline. Ils se trouvaient sur un palier. La petite black laissa fuser un éclat de rire.

     

    • François? Pédé? T'es dingue!

    • Je suis très sérieux! ajouta Michaël avec un faux air offusqué. Il n'a pas arrêté de me reluquer, et il n'avait pas un regard pour toi.

    • Et alors? Je suis sa cousine!

     

     Le garçon soupira.

     

    • Tourne-toi et lève ta jupe! Je veux voir ton cul.

     

     Maryline fut surprise un instant par la demande abrupte, puis elle reprit ses esprits et obtempéra. Elle tourna le dos à son copain et leva sa jupe jusqu'aux hanches. Michaël posa la main sur ses fesses et les caressa avec douceur.

     

    • Tu sais, cousine ou pas, fit-il, un mec est un mec. Et quand il a à côté de lui une fille qui sent le sexe à plein nez et qui a les seins qui dansent la techtonic sous son t-shirt, c'est pas normal qu'il regarde plutôt le mec qui est avec elle. Moi je te dis qu'il est pédé. Tiens, viens là!

     

     Il prit sa copine par la main et la fit asseoir sur une marche, cuisses écartées et jupe toujours relevée. Puis il s'allongea sur elle, la forçant à s'adosser sur les marches.

     

    • Qu'est-ce que tu fais? Demanda Maryline.

    • Si c'est pour poser des questions bêtes, je préfère que tu n'ouvres pas la bouche, répondit Michaël en dégraffant son pantalon d'une main. Je vais te baiser, bien sur!

     

     Et sans attendre il força l'entrée de sa chatte et commença à la baiser vigoureusement dans les escaliers de l'immeuble.

     

     

    A suivre...

     


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    Alors que la voiture sinuait dans les rues pour se rendre au domicile de Michaël, la fille nue et endormie allongée à l'arrière attira l'attention de quelques passants et autres conducteurs qu'elle croisait. Cela ne dérangeait pas le moins du monde les garçons qui étaient ravis d'exhiber comme un trophée la jolie petite black.

     Lorsqu'ils arrivèrent à destination, Michaël indiqua à Kevin le chemin pour aller se garer au petit parking réservé aux habitants du petit groupe de bâtiments où il logeait. C'était calme à cette heure de la nuit. Le parking était enchâssé entre les bâtiments et l'on y entendait même plus les bruits de la rue.

     

    • Merci pour le transport! Fit Michaël en serrant la main du jeune conducteur.

    • Attends! L'interrompit Julien, le grand noir. Je vais sortir la petite de là, je crois qu'elle tient même plus sur ses jambes.

     

    Effectivement, il dut porter la jeune fille pour la sortir de la voiture. Il la tenait sous les bras et n'avait pas pris la peine de la rhabiller. Elle, elle ne réagit qu'à moitié, gémissant les yeux fermés. Michaël pensa à ramasser sa robe et sa veste. Le grand noir porta son fardeau jusqu'à l'avant de la voiture, où il la posa assise sur le capot. Mais Maryline, à moitié endormie encore, se laissa glisser sur le dos. Elle frémit à cause de la froideur du métal mais ne se réveilla pas complètement. Mathias qui était sorti lui aussi du véhicule sourit en la voyant ainsi offerte sur un parking public où n'importe qui pouvait arriver. Le black la regarda un moment, comme hypnotisé, puis il sursauta et dégraffa subitement son pantalon.

     

    • Ho putain! S'exclama-t-il. Je peux pas, faut que je me la fasse encore!

     

    Il sortit son sexe épais et se positionna entre les cuisses inertes de la jeune fille. Il ne bandait pas complètement, encore affaibli d'avoir déjà baisé peu de temps auparavant. Il prit donc sa verge dans la main et l'astiqua plusieurs fois pour lui redonner toute sa rudesse. Il guida ensuite sa bite de la main et pénétra entre les lèvres de la chatte encore humide. Il s'enfonça dans le vagin d'un large mouvement de hanches et commença de baiser la petite black sur le capot de la voiture. Son copain Kevin était resté au volant où il était aux premières loges du spectacle. Michaël posa les vêtements de Maryline sur le capot et se mit aux côtés du grand noir qui attrapa les jambes de la lycéenne et les souleva pour faciliter son affaire. Il la pistonna de plus belle, et elle gémit doucement dans son demi-sommeil. De longues minutes le silence du parking ne fut perturbé que par les bruits de succion et de la chair contre la chair.

     

    • Tu me donnes envie aussi, après je prends ta place! Fit soudain Michaël qui ouvrit son pantalon à son tour.

    • Ouais attends! Je vais venir, là! Répondit le noir dans un souffle pincé.

     

    Il accéléra ses va-et-vients en respirant comme un sprinter, puis se tendit soudain en se mordant les lèvres.

     

    • Hoooo! C'est bon! Fit-il.

     

    Il se retira immédiatement et se rhabilla sans tarder à cause du froid. Michaël prit sa place entre les cuisses de Maryline, la bite tendue à l'horizontale, et il tint à son tour les jambes en l'air. Il pénétra doucement la jeune fille et soupira. Il avait attendu ce moment toute la soirée, excité par la manière dont sa copine s'était laissé baiser par trois garçons, complètement impudique. Il avait pensé attendre d'être chez lui pour s'occuper d'elle à son tour, préférant faire durer le plaisir, mais la voir se faire prendre comme une chienne sur le capot de la voiture c'en était trop, et il ne pouvait plus se retenir. Il se retira presqu'entièrement puis pénétra de nouveau, très profondément. Il aimait sentir les cuisses de la petite black contre son ventre. L'air frais lui caressait les testicules, et afin de ne pas perdre de sa vigueur malgré le froid il accéléra et entama des va-et-vients rythmés. Il faisait trembler le corps de sa partenaire sous ses coups de boutoir, et ses seins gigotaient en cadence. Mathias s'était approché de lui et se caressait l'entrejambe en regardant le sexe de son copain disparaître dans le ventre de la jeune fille puis réapparaître. Parfois un bruit faisait tourner la tête d'un des garçons, mais le parking restait désert et personne ne vint déranger le gang bang improvisé. Michaël baisa la petite black plusieurs longues minutes avant que subitement il ne se retire et ne lâche un long jet de sperme qui tomba en un trait fin sur l'abdomen de sa copine. Celle-ci ouvrit un instant les yeux et sourit en voyant le visage du garçon qui exprimait à cet instant un bonheur intense. Mais elle les referma aussitôt et Michaël se demanda si elle était consciente de ce qui lui arrivait. Mathias lui tapota alors l'épaule. Il tenait son sexe tendu dans la main, et son camarade comprit qu'il se sentait d'attaque pour profiter une nouvelle fois lui aussi de cette chatte si accueillante. Michaël s'écarta en rangeant son sexe, et Mathias attrapa à son tour les jambes de la jeune fille. Au lieu de les tenir en l'air, il les écarta au maximum, quasiment en un grand écart horizontal. Le sexe rasé de la petite black s'offrit à lui, les lèvres ouvertes sur des muqueuses toutes roses et maculées de sperme. Il avait eu envie de le lécher, mais le fait que plusieurs bites soient déjà passées par là juste avant l'en dissuada. Ca le dégoûtait un peu, et il préféra frotter son gland le long de la fente juteuse. Quand le bout de son sexe fut tout mouillé, il trouva l'orifice du vagin et y pénétra d'un coup sec. Il baisa à son tour Maryline pendant de longues minutes, et celle-ci ne réagissait que par de vagues gémissements. Elle semblait y prendre son plaisir elle aussi mais ne sortait pas de sa torpeur. Sans doute se faisait-elle baiser aussi dans ses songes. Le jeune homme à lunettes la pistonna longuement, mais ne parvenait pas à jouir. C'était un vrai marathon. Pendant ce temps, les autres garçons se partagèrent le paquet de cigarettes et en allumèrent une chacun. Ils eurent quasiment le temps de les fumer entièrement en papotant, avant que Mathias ne se fatigue. Il avait progressivement ralenti la cadence, et lorsqu'il comprit qu'il ne parviendrait pas à éjaculer de nouveau, il abandonna et se retira. Les autres ne surent pas s'il avait joui ou non, et il préféra que cela reste ainsi. Il rangea son sexe dans son pantalon, et Michaël jeta sa clope presque terminée.

     

    • Bon, les gars!... dit-il à Julien et Kevin, qui était resté au volant de la voiture. Merci encore, c'était sympa. A une prochaine!

     

    Il leur serra la main, et Mathias fit de même. Ils se promirent de se revoir bientôt, et Julien remonta dans le véhicule. Michaël souleva Maryline et la porta dans ses bras. Elle avait la tête au creux de son épaule. Mathias prit ses vêtements et le sac de sport de son copain, puis tous deux se dirigèrent vers l'entrée du bâtiment de Michaël.

     Ils ne croisèrent personne et entrèrent chez le jeune homme, tout doucement, sans faire de bruit. Michaël voulait éviter de réveiller son père, qui était sans doute en train de dormir. Mais c'était raté; celui-ci débarqua aussitôt dans le salon, en pantalon de pyjama et torse nu, alors que Michaël déposait Maryline sur le canapé.

     

    • Et ben! Fit-il en se frottant les yeux encore plein de sommeil. On dirait qu'il s'en est passé de belles! Allez Michaël, raconte-moi.

     

    Le jeune homme expliqua rapidement qu'ils étaient allés en boîte, et comment la jeune fille s'était fait baiser par Mathias dans les toilettes, puis par deux inconnus dans leur voiture. Il lui dit aussi qu'ils venaient tous de lui passer dessus encore une fois, juste dans le parking en bas de l'immeuble. Pierre ouvrit de grands yeux, un peu surpris.

     

    • Dans le parking, comme ça? S'exclama-t-il. Ben les garçons, vous êtes plus aventureux que je le pensais. Mais je pense à une chose... Elle a passé la soirée avec vous, mais depuis quelle heure?

    • En fait, elle était avec moi tout l'après-midi, dit Michaël.

    • Je vois, fit Pierre. Vous n'avez pris aucune précaution, je pense. Est-ce que tu l'as vue prendre sa pilule dans la soirée?

    • Heu, non, je l'ai pas vue.

    • Moi non plus, ajouta Mathias.

    • Elle aurait pu la prendre sans que vous ne la voyiez? Demanda Pierre.

    • Non, on ne l'a pas quittée de la soirée, assura Michaël.

    • Bon!... Heureusement que ton père assure, quand même!

     

    Il jeta un regard moralisateur à son fils et se rendit dans sa chambre. Il en revint un instant plus tard une petite boîte à la main.

     

    • Heureusement que j'en ai gardé une boîte avec moi l'autre fois, dit-il fier de lui. Je me doutais bien que ça pourrait être utile.

     

    Il remplit un verre d'eau, puis leva doucement la tête de Maryline. Il lui parla avec douceur et parvint à la faire avaler sa pilule en ne la réveillant qu'à demi. Elle se rendormit aussitôt, allongée sur le canapé. Pierre lui enleva ses bottes, dernier rempart à sa complète nudité.

     

    • Voilà! Je crois que la règle était qu'elle devait toujours être nue ici, non? Fit-il en regardant Michaël, qui acquiesça. Le problème maintenant, c'est qu'elle m'a foutu la gaule.

     

    Effectivement, un piquet se dressait à présent sous le tissu du pyjama, à son entrejambe.

     

    • Hé! Fais-toi plaisir! Lui fit Michaël en haussant les épaules. Nous, on a déjà donné.

     

    Pierre ne se le fit pas répéter. Il sourit et baissa son pantalon en se positionnant au-dessus de la petite black, les mains de chaque côté de sa tête sur le canapé. Il écarta sa cuisse droite, son sexe offert dans la ligne de mire de son membre en érection. Il approcha le visage de sa poitrine et lui suçota les tétons un moment, avant de se redresser et de l'empaler d'un coup. Maryline émit un bruyant soupir, mais n'ouvrit pas les yeux. Pierre commença de remuer les hanches d'avant en arrière, et il soufflait bruyamment chaque fois qu'il s'enfonçait dans le ventre de la jeune fille. Mathias et Michaël se rendirent dans la chambre de ce dernier en emmenant son sac de sport et les vêtements de la lycéenne. Ils revinrent un moment plus tard pour se servir des verres d'eau et s'asseoir à la table du salon. Pierre s'affairait toujours à baiser la petite black, sur un rythme nonchalant. Les garçons le regardaient parfois avec un sourire amusé. Ils discutaient de leur soirée et de ce qu'ils pourraient faire avec Maryline une prochaine fois. Mathias avait plein d'idées plus folles les unes que les autres. Avoir bu toute la soirée lui avait ouvert l'esprit, et Michaël, qui n'était pourtant pas le dernier des pervers, devait retenir un peu ses ardeurs.

     

    • Demain elle viendra avec nous au match, dit-il. Mais vas-y doucement avec les autres, ne leur raconte pas tout cash, comme ça. Il y en a qui la connaissent, y a pas de souci, mais pour certains, je ne sais pas comment ils réagiraient.

    • Qu'est-ce que tu veux dire par il y en a qui la connaissent? Demanda Mathias.

    • Je veux dire que t'es pas le premier des footeux à lui être passé dessus.

    • Ho ho ho! Fit Mathias en riant. Mademoiselle est une vraie petite salope! Tu crois qu'elle va se faire toute l'équipe?

     

    Michaël partit d'un rire à son tour.

     

    • Je sais pas! On verra ce que l'avenir nous réserve, mais l'idée me plaît!

     

    Soudain Pierre lâcha un gémissement de plaisir et s'immobilisa. Puis il se releva et remonta son pantalon.

     

    • Ca fait du bien! Fit-il soulagé. Maintenant je vais bien dormir! Bonne nuit les garçons!

     

    Michaël et Mathias lui souhaitèrent à leur tour une bonne nuit, et il retourna dans sa chambre. Les garçons discutèrent encore un moment, puis lorsque le sommeil commença à avoir raison d'eux, ils décidèrent d'aller se coucher. Ils portèrent Maryline et l'emmenèrent avec eux dans la chambre de Michaël.

     

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    dimanche 13 septembre

     

    Maryline se réveilla au petit matin avec une douleur à la tête. Lorsqu'elle regarda autour d'elle, elle reconnut la chambre de Michaël, plongée dans la pénombre. Une faible lumière du jour pénétrait par les interstices des volets. La jeune fille constata en grognant faiblement qu'elle avait dormi par terre, au pied du lit, complètement nue. Elle tenta de se lever une première fois, mais fut prise de vertiges et reposa ses fesses à terre. Elle prit une inspiration et se remit debout. Cette fois elle y parvint mais la tête lui tournait. Elle avait des courbatures et son bas-ventre était douloureux. Elle regarda le lit, et vit que deux silhouettes s'y lovaient sous les couvertures. Deux masses de cheveux en dépassaient. Maryline fronça les sourcils en réfléchissant à qui pouvait bien être la deuxième personne dans ce lit. Puis des images de la soirée lui revinrent et elle fit le rapprochement avec les cheveux. C'était Mathias. Michaël avait préféré la laisser dormir par terre pour laisser son copain profiter du lit. Elle fut prise de colère et de tristesse en même temps. C'était la deuxième fois que le garçon la faisait dormir par terre. Est-ce qu'elle ne valait pas mieux que ça pour lui?

     La lycéenne se rendit alors compte qu'elle avait horriblement soif. Elle quitta la chambre sur la pointe des pieds, manoeuvrant la porte avec discrétion. Elle arriva dans le salon, et vit que le père de Michaël était assis à table en train de boire un café et de lire un journal sportif. Il leva les yeux par-dessus ses lunettes de lecture.

     

    • Ho? Bonjour Maryline. Déjà réveillée?

     

    La petite black n'eut pas le temps de répondre. Elle eut soudainement la nausée et porta la main à sa bouche. Elle se précipita vers les toilettes sous le regard étonné de Pierre. Elle en ressortit quelques minutes plus tard, le regard blême et les mains tremblantes.

      

    • Et bien, ça ne va pas, ma petite? Lui demanda Pierre avec sollicitude.

    • Nan! Je suis malade, répondit Maryline d'une toute petite voix.

    • Tu as plutôt une bonne gueule de bois, fit le père de Michaël d'un ton moralisateur. Viens t'asseoir, je vais te donner une aspirine.

     

    Il se leva et aida la jeune fille à s'asseoir sur une chaise, puis il partit un instant dans la salle de bain avant de revenir avec un tube à la main. Il prit un verre d'eau à la cuisine et mit une pastille dedans. Il posa le verre devant la lycéenne et s'assit à côté d'elle. Maryline attendit que la pastille se dissolve dans l'eau, puis avala le verre d'un trait.

     

    • Tu veux autre chose? Lui demanda Pierre.

    • Non merci, je crois que je ne pourrai rien avaler d'autre, répondit-elle.

    • D'accord. Allez, viens t'asseoir sur mes genoux!

     

    La jeune fille jeta un oeil surpris à l'homme mûr, qui tapotait son genou pour insister sur ce qu'il venait de dire. Elle ne discuta pas, autant parce qu'elle savait que désobéir pouvait lui être préjudiciable que parce que simplement parler lui demandait un effort considérable. Elle se leva donc de sa chaise et posa son postérieur sur les cuisses de Pierre. Lui mit son bras autour d'elle et posa la main sur son ventre. Il vint soupeser un instant ses seins en déposant un baiser dans son cou, puis glissa la main directement vers son bas-ventre. De l'autre main il lui écarta les cuisses. Il caressa la fente de son sexe, puis de deux doigts sépara les grandes lèvres. La vulve était un peu douloureuse, mais la petite black se mordit les lèvres sans rien dire. Pierre glissa son majeur le long des muqueuses roses, faisant l'aller-retour plusieurs fois. Il s'attarda ensuite à l'endroit où devait se trouver le clitoris, massant doucement, cherchant à le faire sortir de sa cachette. Maryline s'adossait au torse de Pierre, le visage tourné vers le sol, gênée de se laisser faire si facilement par cet homme. Elle sentait sous ses fesses, à travers le tissu du pyjama qu'il portait, que son sexe s'érigeait. L'homme glissa de nouveau son majeur le long des lèvres rosées de la jeune fille, et émit un soupir de satisfaction en constatant qu'elles s'humidifiaient. Il souleva alors la petite black un instant, le temps de baisser son pantalon de pyjama jusqu'à ses chevilles. Son sexe en érection surgit à la verticale. Il attrapa alors la jeune fille par les hanches et la positionna au-dessus de son membre dressé. Maryline comprit qu'il voulait la prendre sur le champ. Elle ne s'y opposa pas, trop fatiguée pour espérer résister longtemps. Elle cambra les reins pour faciliter la pénétration et faire durer si possible la chose le moins longtemps possible. Le gland se lova contre sa vulve, et lorsqu'elle sentit qu'il était bien à l'entrée de son vagin, elle s'empala avec un soupir gémissant sur le membre dressé et se retrouva de nouveau assise sur les cuisses de Pierre. Entièrement fiché en elle, le père de Michaël resta ainsi un moment sans bouger. Son gland était compressé au plus profond du ventre de la petite black, et il faillit éjaculer rien qu'à cette sensation. Il savait qu'il ne durerait pas longtemps, et lorsqu'il commença de remuer les hanches, il fit cela en douceur afin d'éviter une explosion précoce. Maryline, elle, était penchée en avant, les mains sur ses genoux, les yeux à demi fermés. Elle ne faisait aucun effort, épuisée, laissant l'initiative à Pierre de faire ce qu'il voulait. Au bout d'un court moment, celui-ci sentit qu'il ne pouvait plus se retenir davantage. Il attrapa alors fermement les poignées d'amour de la jeune fille et la pistonna de quelques coups rageurs. Cela suffit à provoquer soudainement un jet de sperme alors qu'il était tout au fond de son fourreau de chair. Il poussa un souffle de soulagement, et s'affala contre le dossier de sa chaise. Maryline se leva doucement, libérant le sexe luisant de son amant. Elle s'étira et fit quelques pas.

     

    • Où tu vas? Lui demanda Pierre.

    • Dans le canapé, répondit-elle. Je suis crevée.

     

    Elle s'allongea effectivement dans le canapé, sur le côté, les jambes repliées. Pierre se rhabilla et la regarda un moment, un petit sourire au coin des lèvres.

     

    Maryline eut l'impression de s'être endormie depuis quelques minutes seulement lorsqu'elle fut de nouveau réveillée par des voix et une odeur de cuisine qui n'était pas désagréable aux narines mais qui lui retourna le coeur. Elle leva la tête et aperçut Michaël et Mathias assis à la table du salon. Ils regardaient la télé. C'étaient les voix qu'elle avait entendues. Des bruits venaient de la cuisine, ou probablement Pierre s'affairait.

     

    • Ha? La belle s'éveille... dit Michaël avec un sourire radieux aux lèvres.

    • Elle a l'air d'être passée sous un rouleau compresseur! Fit Mathias en rigolant, moins romantique.

     

    Maryline s'assit en se tenant la tête.

     

    • Ne vous moquez pas, les mecs! Dit-elle d'une voix rauque. J'ai la tête en vrac.

    • Ha ben forcément! Continua Mathias. Après la nuit de folie que t'as passé!

     

    Elle se leva et s'approcha de Michaël qui lui ouvrit ses bras.

     

    • Je me souviens pas de tout, dit-elle en fronçant les sourcils.

     

    Elle s'assit sur les genoux de son copain, apparemment insensible au fait qu'elle soit nue face aux garçons qui eux étaient déjà habillés.

     

    • Ha oui? Fit Michaël avec un rictus moqueur. En tout cas je peux dire que tu as été une vraie cochonne.

    • Ho nooooon! Gémit-elle en se cachant à moitié les yeux. Je me rappelle de la boutique et d'Alex, heu... du stade aussi... et après on est allés au grec... puis encore après en boîte, mais là ça devient flou.

     

    Elle regarda soudain Mathias dans les yeux, l'air horrifiée.

     

    • On a?... On l'a fait? Lui demanda-t-elle.

     

    Il opina du chef en faisant un « mmm mmm » qui voulait dire oui. La jeune fille soupira.

     

    • Mais j'ai l'impression qu'il y en a d'autres, hein? T'es pas le seul hein, Mathias?

     

    Elle posait la question avec une angoisse certaine, car au fond d'elle elle connaissait la réponse. Le jeune homme à lunettes n'osa pas répondre, et regarda Michaël pour lui laisser l'initiative.

     

    • Non c'est pas le seul, lui confirma le grand gaillard en parlant tout près de son oreille. Tu ne te souviens pas de Julien et de Kevin? Je te l'ai dit, tu as été une vraie cochonne. Et tu étais sublime. Un vrai fantasme. Je me suis régalé. Et si ça peut te rassurer un peu, je t'ai baisée moi aussi, et j'étais excité comme jamais je ne l'ai été. Tu as été parfaite, ma chérie.

     

    Elle baissa les yeux, et ses joues rosirent de honte mais aussi de plaisir sous les compliments de son copain. Celui-ci lui caressa les hanches et les fesses qu'il pinça affectueusement.

    Pierre sortit alors de la cuisine pour servir le repas. Mathias l'aida à dresser rapidement la table, et ils mangèrent du poulet accompagné de pâtes; pour donner des sucres lents aux garçons, dit-il. Maryline apprit qu'ils avaient un match cet après-midi. Il leur fallait prendre des forces.

     

    • Tu viendras avec nous, bien sûr! Lui dit Michaël.

     

    La jeune fille n'avait pas faim, mais le garçon lui donnait parfois une bouchée pour la forcer à avaler quelque chose.

     

    • Evitez de faire des folies avec elle, les garçons! Leur intima Pierre en agitant sa fourchette. Au moins avant le match! Vous en avez assez fait hier soir, et il faudrait quand même être capable de courir sur le terrain.

     

    Maryline prit ses paroles avec l'espoir que les garçons l'écoutent. Elle était déjà fébrile et sentait des douleurs au niveau de son sexe, alors un peu de repos à ce niveau-là ne lui ferait pas de mal. Elle mangea quelques bouchées avec plus d'appétit alors que la perspective d'une journée tranquille se faisait jour.

     

    Lorsque le repas fut terminé, Michaël la fit lever de ses genoux.

     

    • Dépêche-toi de faire ta toilette maintenant! lui dit le garçon. Il est déjà presque 14 heures. On va bientôt partir, faudrait pas qu'on soit en retard. Tu as 10 minutes pour te préparer, ma belle, pas une de plus!

     

    Il appuya ses paroles d'une tape sur les fesses qui envoya Maryline dans la salle de bain. Celle-ci savait que Michaël était sérieux et que quand il disait qu'elle avait 10 minutes il ne fallait pas qu'elle déborde sinon il était capable de la punir. Elle ne perdit donc pas de temps et se brossa les dents rapidement. Puis elle entra dans la baignoire pour se doucher. Elle se sentait poisseuse après la soirée qu'elle avait passée et se savonna abondamment. Elle se frotta tout le corps, puis se rinça en profitant tout de même quelques instants de la douce sensation de l'eau chaude sur son corps. Ensuite elle s'essuya vite fait, se demandant depuis combien de minutes elle était dans la salle de bain. Elle en ressortit alors, anxieuse, et vit que les garçons avaient déjà enfilé des manteaux et pris leurs sacs de sport, prêts à partir. Pierre devait visiblement les accompagner car il s'habillait lui aussi.

     

    •  Ca y est! Notre pom pom girl est prête! Dit-il.

     

    Lorsqu'il eut enfilé sa veste, il approcha Maryline qui regardait autour d'elle en se demandant ce qu'elle allait bien pouvoir mettre. L'homme posa la paume de la main sur son bas-ventre, le bout des doigts au bord de sa vulve.

     

    • Hola! Mais c'est que tu piques, ma chérie! Fit-il sur un ton moqueur.

    • Quoi? S'exclama Michaël en se tournant vers la petite black. Tu ne t'es même pas rasée?

     

    Il avait une expression de réelle colère, et Maryline ouvrit de grands yeux affolés. Elle avait complètement oublié qu'il lui avait dit de se raser le sexe tous les matins.

     

    •  Tu sais que c'est la règle! Ajouta-t-il en haussant le ton, déjà quasiment hurlant.
    • Attends! J'ai oublié, mais... je peux le faire! Essaya de se rattraper Maryline.

    • On n'a plus le temps! Viens là, on y va!

     

    Il sembla contenir sa colère, et prit la jeune fille par la main. Il l'entraîna vers la porte d'entrée, et elle tenta alors de résister.

     

    • Mais?... protesta-t-elle.J'suis pas habillée!

    • Tu ne mérites pas de t'habiller! Lâcha le jeune homme en la tirant violemment par la main. T'es pas capable de suivre mes règles, tant pis pour toi! Je t'avais largement prévenue!

     

    Maryline éclata en sanglots alors que Michaël l'amena brusquement sur le palier. Mathias les suivit, ainsi que Pierre qui ne disait un mot et qui ferma la porte de l'appartement à clé derrière lui.

     

    • S'il-te-plaîîîîît! Nooooooon! Cria la petite black en pleurant.

     

    Mathias restait muet lui aussi, la mine perplexe devant la démonstration d'autorité de son copain.

     

    • Et tu as intérêt à te taire si tu ne veux pas que ce soit pire encore! Ajouta encore Michaël à l'attention de la fille nue qu'il traînait derrière lui.

     

    Maryline ravala ses sanglots, et pria pour ne croiser personne dans l'immeuble. Le petit groupe prit l'ascenseur. Il était heureusement vide. Ils descendirent au sous-sol et pénétrèrent dans le parking de l'immeuble, toujours sans croiser personne. Michaël tenait fermement la main de Maryline, et celle-ci frissonna en marchant pieds nus sur le sol de béton froid. Pierre ouvrit la voiture et se mit au volant. Les garçons posèrent leurs sacs dans le coffre, puis Michaël laissa Mathias monter devant et s'intalla à l'arrière avec sa copine. Il dut la pousser pour qu'elle monte alors qu'elle essayait encore de se faire entendre.

     

    • S'il-te-plaît, Michaël! Disait-elle en reniflant. Ne me laisse pas comme ça. Je ferai tout ce que tu veux. Je n'oublierai plus les règles.

     

    Mais le garçon fit la sourde oreille, et elle s'assit de mauvaise grâce dans le véhicule.

     

    • Vous pouvez me baiser si vous voulez! Tenta-t-elle encore une fois d'une petite voix.

    • Moi je suis pas contre! Fit Mathias en se retournant vers elle, l'oeil brillant derrière ses lunettes.

    • De toute façon on te baise quand on veut, et c'est pas toi qui décide de ça, répondit Michaël sèchement. Mais j'ai pas envie de baiser une chatte rapeuse. Tu auras peut-être droit à ma bite quand ta chatte sera préparée à l'accueillir.

    • Et ce n'est pas le moment, les garçons, ajouta Pierre en sortant la voiture du parking. Je vous l'ai dit, évitez les activités sexuelles avant les matchs ou vous allez épuiser votre énergie.

     

     En voyant qu'ils sortaient à la lumière du jour, Maryline s'enfonça dans son siège. Elle ne pouvait croire qu'elle se retrouvait toute nue en voiture en pleine ville. Ils croisèrent évidemment d'autres véhicules, et elle n'osait pas regarder les visages des personnes qui certainement la voyaient, elle. Les quelques arrêts aux feux rouges lui semblaient interminables, et Michaël lui fit comprendre qu'elle devait bien rester assise. Elle croisa par inadvertance le regard d'un passant qui ouvrit des yeux comme des soucoupes, et elle en frémit de honte. Ils roulèrent un temps qui lui parut interminable, et elle fut contente quand ils se garèrent finalement dans une petite impasse déserte aux abords d'un petit stade qu'elle ne connaissait pas. Pierre et les garçons descendirent de voiture, mais Maryline ne bougea pas. Michaël lui parla par sa portière ouverte.

     

    • Qu'est-ce que tu attends? Descends!

    • Mais je peux pas! Répondit la jeune fille avec des sanglots dans la voix.

    • Tes fringues sont dans mon sac, lui dit Michaël. Donc à moins que tu veuilles rester ici à poil tout le temps du match, il va bien falloir que tu descendes.

     

    La petite black tourna et retourna la tête, hésitante. Puis elle grommela, et descendit de la voiture en regardant autour d'elle pour s'assurer que la ruelle était bien déserte. Le fond de l'air était frais et elle frissonna. Pierre avait ouvert le coffre et Mathias avait pris son sac de sport. Michaël prit le sien à son tour et le posa sur le capot de la voiture. Il l'ouvrit et en sortit des vêtements qu'il posa à côté du sac. Mathias s'était rapproché de Maryline et lui caressa le bas du dos. Michaël porta la main à l'entrejambe de sa copine.

     

    • Tu n'as pas été très sage ce matin, lui dit-il en lui massant la vulve. Tu vois, pourtant, je t'avais ramené de quoi t'habiller correctement... tout en restant notre supportrice, bien sur! Il y a donc ton maillot de Paris, ta jupe noire, tes chaussures, et il y a même ta culotte blanche même si je la trouve pas sexy!

     

    Maryline avança la main pour attraper la culotte, mais le garçon la retint.

     

    • Attends! Dit-il. Tu as commis deux erreurs depuis ton réveil. D'abord tu ne t'es pas rasée, alors que je t'avais dit de le faire tous les matins. Ensuite, tu t'es rebellée quand il a fallu me suivre. Pour moi ça fait déjà deux punitions. Il faut dire que t'es quand même pas très obéissante. Pourtant je pensais que tu avais compris, mais apparemment non.

     

    Il se tut un instant, et la jeune fille resta la tête basse, n'osant rien dire. Michaël avait l'air de réfléchir.

     

    • On n'a pas le temps pour une fessée ici, reprit-il. Mais je confisquerais bien tes fringues comme punition.

     

    Maryline ouvrit toute grande la bouche, et mit une seconde avant de pouvoir émettre un son.

     

    • Tu veux dire... tous mes fringues? Demanda-t-elle.

    • Ouais, répondit simplement le garçon en haussant les épaules.

    • Ho non, s'il-te-plaît, c'est pas possible! Plaida la jeune fille. Tu vois bien que je peux pas me balader comme ça!

     

    Mathias avait descendu la main sur ses fesses et souriait, imaginant la petite black complètement nue dans le stade. Il se demandait ce que Michaël pouvait bien avoir derrière la tête.

     

    • Tu as raison, dit finalement Michaël en souriant. Je ne voudrais pas choquer le public du stade. Donc comme tu dois avoir deux punitions, je vais garder deux vêtements. Je vais prendre... ça... et ça!

     

    Il prit la culotte et la jupe qu'il remit dans son sac, puis il le prit sur l'épaule.

     

    • Allez, habille-toi! On y va!

     

    Maryline ne traîna pas, trop contente de pouvoir se mettre quelque chose. Elle enfila le maillot de foot puis ses chaussures, et se retrouva dans la même tenue que la veille au match. Elle avait la désagréable sensation de revivre la même situation, et espéra que la suite se déroulerait différemment.

     

    •  Elle est super sexy comme ça! Fit Pierre. Une parfaite pub ambulante pour notre club!

     

    Les seins de la jeune fille tressautèrent alors qu'elle lui emboîta le pas ainsi qu'aux garçons. La brise qui soufflait s'insinuait comme un doigt glacial entre ses cuisses et faisait pointer outrageusement ses tétons sous le fin tissu du maillot de foot.

     

    Elle croisa les regards appuyés de certaines personnes qu'ils croisèrent en arrivant aux alentours du petit terrain de foot, des hommes principalement. Pierre connaissait l'endroit, comme la plupart des stades de la région, et il guida Maryline et les garçons directement vers les vestiaires de son équipe. Ils y entrèrent alors que l'un des entraîneurs en sortait. Il salua Pierre et tous deux restèrent à l'extérieur à discuter. A l'intérieur c'était la cohue. Les coéquipiers de Michaël se changeaient en rigolant, criant, et se jetant même des vêtements à la figure. L'entrée de Maryline fut quand même remarquée, et rapidement elle fut entourée de quelques garçons. Alban fut le premier près d'elle. Le grand noir, uniquement vêtu d'un caleçon, la prit par la taille.

     

    • Salut p'tite! Trop content de te voir! Lui dit-il avant de l'embrasser sur les lèvres.

     

    Puis il la lâcha à contrecoeur alors qu'elle disait bonjour à d'autres garçons qui lui firent la bise. Il y avait Antoine et Laurent qu'elle connaissait déjà, puis un autre de type asiatique qui lui dit son prénom, Thanh. Elle regarda autour d'elle pour chercher la présence rassurante de Michaël, mais celui-ci s'était assis un peu plus loin pour se changer. Mathias le rejoignit, ainsi qu'Alban qui n'avait pas fini de s'habiller. Mais celui-ci gardait un oeil sur Maryline auprès de qui restaient Laurent et Antoine, déjà en tenue de match. Thanh, bien qu'encore uniquement vêtu de son boxer, resta lui aussi avec la petite black. Il était musculeux et jouait les fiers à bras en roulant des pectoraux.

     

    • Super! T'as mis le maillot du club, tu vas nous encourager! Dit Antoine à Maryline en attrapant le bord du t-shirt entre deux doigts.

     

    Celle-ci appuya tout de suite sa main sur celle du garçon pour ne pas qu'il soulève le tissu trop haut.

     

    • Heuuu, oui c'est ça! Fit-elle en se forçant à rire. Je vais vous encourager.

    • Ha oui? Ajouta Laurent qui était passé derrière elle. T'as mis le paquet pour être notre plus belle supportrice, dis donc! Maryline 69, hein?...Mais qu'est-ce que t'as là-dessous, dis-moi?

     

     Il souleva subreptiscement le maillot pour dévoiler le bas des fesses de la jeune fille. Elle réagit immédiatement pour le rabaisser mais trop tard.

     

    • Hééééé! S'exclama le jeune homme. Même pas un short, j'y crois pas! C'est quoi? Tu portes un string?

    • Mais arrêêêêêteeee! Se défendit Maryline.

     

    Laurent se baissa comme pour regarder sous le vêtement et la petite black se détourna de lui en tenant son maillot pour l'en empêcher.

     

    • Je suis même pas sur qu'elle en porte un, tu vois, c'est pas son genre! Fit Antoine avec un sourire en coin.

    • Qu'est-ce que tu veux dire? Demanda Thanh avec des yeux exorbités.

     

    Une bosse commençait à se dessiner sur le devant du boxer de l'asiatique.

     

    • Mais laissez-là tranquille la p'tite! Lâcha Alban en terminant d'enfiler ses chaussures.

    • Je veux juste dire... expliqua Antoine... que la demoiselle n'aime pas trop s'encombrer de vêtements inutiles.

     

     Michaël et Mathias surveillaient ce qui se passait en terminant de s'habiller eux aussi. Soudain le coach passa la tête par la porte.

     

    • Tout le monde sur le terrain, les gars! Hurla-t-il pour bien se faire entendre. Allez, grouillez-vous!

     

    Tout le monde se hâta et les joueurs défilèrent à la porte pour suivre leur coach. Thanh se dépêcha de s'habiller à son tour pour suivre les autres.

     

    • A plus tard Maryline!

    • Ouais, reste au bord du terrain, qu'on te voie!

    • Et qu'on entende ta voix!

     

    Les garçons lui firent leurs recommandations tour à tour, visiblement déçus de n'avoir pas pu vérifier ce qu'elle portait sous son maillot. Michaël la prit finalement par la main et l'emmena hors des vestiaires. Là ils croisèrent Pierre.

     

    • Elle ne pourra pas rester avec le staff, dit celui-ci. Le mieux c'est qu'elle aille dans la tribune.

    • OK, vas-y ma belle! Dit Michaël à sa copine en lui déposant un baiser sur les lèvres. Je te retrouve après le match.

    • Mais!... tenta d'objecter la jeune fille.

     

    Le garçon était déjà loin, rejoignant au pas de course son équipe qui faisait son entrée sur le terrain. Un arbitre assistant posa sa main sur l'épaule de Maryline.

     

    • Ne restez pas là mademoiselle, s'il-vous-plaît! Lui dit-il.

     

    La jeune fille resta bouche bée un moment. Comment Michaël pouvait-il la laisser seule dans cette tenue? Il pouvait lui arriver n'importe quoi, il était complètement inconscient... ou alors il ne se souciait pas du tout de ce qui pouvait arriver à sa copine. Elle secoua la tête alors que l'arbitre insistait en la poussant doucement dans le dos, et même dans le bas du dos pour être précis. Lorsqu'elle se rendit compte que la main descendait plus qu'il n'était acceptable, elle obtempéra et s'éloigna de l'homme en direction de la tribune. Elle ne voyait pas quoi faire d'autre.

     

     A suivre...

     


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  • Je reprends cette histoire après de trop longues années d'interruption. Je suis désolé pour ceux qui attendaient la suite depuis longtemps. Le temps et l'envie m'ont manqué. Heureusement aujourd'hui Maryline est de retour. La deuxième semaine de ses aventures est entièrement écrite et sera publiée ici gratuitement, petit à petit. Et les premiers chapitres ont subi de menues corrections. Adieu l'ebook payant, j'ai laissé tomber cette idée. J'écris avant tout cette histoire pour mon plaisir, avec mes fantasmes, et c'est pourquoi cette histoire manque certainement de qualité littéraire et de construction scénaristique. Je la partage juste pour ceux que ça pourrait intéresser. Et j'ai pu constater avec les premiers chapitres qu'il y avait des amateurs. Merci à ceux qui m'ont laissé des commentaires encourageants.

     

    Pour lire le chapitre précédent, voir le sommaire à droite.

     

     

    Michaël et Mathias avaient décidé d'aller dans une petite discothèque qu'ils connaissaient en proche banlieue. Ils pouvaient s'y rendre en métro et les garçons emmenèrent donc Maryline vers la station la plus proche. La jeune fille était contente d'être un peu plus habillée qu'auparavant. Cependant le froid s'était intensifié avec la nuit tombante, et même avec sa veste elle grelottait encore. Elle ressentait particulièrement le petit vent frais qui s'insinuait sous sa jupe et lui caressait les parties intimes. En descendant l'escalier du métro, un courant d'air plus violent que les autres souleva la robe jusqu'à ses hanches. Elle la rabattit immédiatement avec un petit cri de surprise. Heureusement personne n'avait pu la voir à ce moment-là, à part ses deux gardes du corps qui en furent ravis.

     

     

     

    • J'ai vu la pleine lune! Fit Mathias en rigolant et en remontant ses lunettes sur son nez.

     

     

     

    A partir de ce moment les deux garçons taquinèrent la petite black en faisant mine de faire voler sa jupe par des petites tapes de la main, spécialement quand ils croisaient du monde. Maryline leur fit des remontrances verbales, mais sans trop insister pour ne pas attiser la susceptibilité de Michaël, et les copains prirent ça à la rigolade et en firent un jeu. La jeune fille voulut tenir sa jupe baissée afin de les dissuader définitivement, mais Michaël le lui interdit fermement. Elle ne pouvait donc que tenter d'éviter de rester à portée des mains des garçons, ce qui s'avéra être mission impossible. Sur le quai en attendant la rame, certains voyageurs aperçurent ainsi fugitivement ses fesses, sans pouvoir déterminer si elle portait un string ou rien du tout. Elle en était toute honteuse. A quoi cela servait-il d'être plus habillée que dans le stade si c'était pour montrer son cul à tout le monde? Cependant le sentiment de honte était atténué par l'effet de l'alcool. Les deux ou trois verres de bières qu'elle avait absorbé dans la soirée l'aidaient à supporter le jeu pervers de ses compagnons et à ne pas s'enfuir à toutes jambes. L'arrivée de la rame de métro la sauva. Le train était relativement plein, samedi soir oblige, et le trio resta debout. Maryline fut serrée entre les deux garçons qui ne tentèrent plus de l'exhiber parmi cette foule. Michaël se permit juste de poser une main sur sa jupe pour lui caresser doucement les fesses. Un changement de métro et une demi-heure plus tard, les trois jeunes gens arrivèrent à destination. Maryline fit attention à monter les escaliers devant Mathias et Michaël. Elle préférait qu'eux seuls aient l'opportunité de voir sous sa robe.

     

    Lorsqu'ils arrivèrent devant la discothèque, il n'était pas encore minuit. Quelques personnes faisaient la queue à l'entrée, qui était filtrée par un videur. Le son des basses se faisait entendre depuis la rue. Maryline se sentit toute excitée, et alors qu'ils se mettaient au bout de la queue, elle commença à remuer timidement son corps en rythme pour combattre le froid. Ca faisait très longtemps qu'elle n'avait pas mis les pieds dans une boîte de nuit. Elle adorait ça, mais n'avait pas tellement les moyens ni les occasions d'y aller. Elle avait hâte de se retrouver sur la piste de danse. Heureusement ils n'eurent pas longtemps à attendre dehors. Le videur les examina, leur passa les mains sur les poches pour vérifier qu'ils ne portaient rien de dangereux, et demanda à Michaël d'ouvrir son sac de sport. Il n'y avait pas de problème mais il devrait le laisser au vestiaire. Maryline fut contente qu'ils retrouvent un peu de chaleur à l'intérieur. Les garçons payèrent les entrées, puis tous trois déposèrent leurs affaires au vestiaire. Michaël insista pour que Maryline y laisse sa veste, alors qu'elle aurait préféré la garder. Elle se sentit aussi dénudée qu'auparavant, avec juste sa robe pour la couvrir. Ses seins semblaient prêts à surgir du bustier, le voile transparent ne cachant rien de son décolleté. Et malgré sa démarche mal assurée, ses bottes à hauts talons accentuaient le galbe de ses jambes. Son entrée en boîte fut donc assurément remarquée par nombre d'hommes présents, même si elle n'était pas la seule fille sexy dans les parages. Mais la présence des deux gardes du corps à ses côtés en dégoûta plus d'un. Les garçons trouvèrent un petit canapé libre où ils purent s'asseoir, Maryline entre eux deux. Un regard appuyé de Michaël confirma à la jeune fille qu'il la surveillait et qu'elle avait intérêt à ne pas serrer les cuisses. Elle obéit donc, non sans jeter un coup d'oeil méfiant autour d'elle. Heureusement, avec la pénombre et la table basse qui se trouvait devant eux, il y avait peu de chances que quiconque puisse voir quelque chose sous sa jupe.

     

     

     

    • Je vais chercher à boire. Qu'est-ce que vous prenez? Cria Mathias en se penchant pour pouvoir se faire entendre malgré la musique assourdissante.

    • Prends-nous de la vodka orange! Répondit Michaël pour lui et Maryline.

     

     

     

    Elle n'eut évidemment pas son mot à dire. Elle en fut vexée un instant, puis se mit à écouter la musique les yeux mi-clos, l'esprit déjà embué par l'alcool.

     

     

     

    • Hé! L'appela Michaël en lui secouant l'épaule.

    • Quoi? Répondit-elle en sursautant.

    • Tu peux aller danser, si tu en as envie.

    • Tu viens avec moi? Lui demanda-t-elle.

    • Non, pas maintenant, répondit-il en haussant les épaules.

    • Je veux pas y aller toute seule.

    • OK, attends un peu alors. Je t'accompagnerai après.

     

     

     

    Mathias revint peu après avec leurs verres, et tous trois trinquèrent. Maryline goûta à sa boisson, et fit la grimace. Heureusement le jus d'orange aidait à faire passer la vodka. Les garçons rigolèrent de la petite nature de la jeune fille.

     

     

     

    • Ha, ça ne passe pas aussi bien que le jus de la teub d'Alex, hein? Fit Mathias en riant.

     

     

     

    Maryline faillit s'étouffer, et Michaël partit d'un fou rire. Celui-ci était communicatif, et finalement, l'alcool aidant, la petite black partit d'un grand rire nerveux elle aussi. Cela la détendit et elle but en compagnie des deux copains. Ils discutèrent de temps à autre, mais avec la musique assourdissante les conversations étaient limitées. La jeune fille regardait avec envie les corps qui se trémoussaient sur la piste de danse, mais elle se sentait un peu groggy et n'osait pas se lever. Subitement elle sentit quelque chose entre ses cuisses. Elle baissa le regard et vit la main de Mathias qui venait sans gêne sous sa jupe pour atteindre directement son sexe. Ce faisant il relevait le tissu de la robe, ne laissant aucun doute aux éventuels regards extérieurs sur ce qu'il était en train de faire. Reprenant légèrement ses esprits, Maryline regarda autour d'elle, mais apparemment personne n'avait remarqué ce qui se passait. Ils étaient à un endroit un peu excentré et moins en vue de la grande salle. Mathias explora du bout des doigts la fente humide.

     

     

     

    • Il fallait que je vérifie que tu étais toujours aussi chaude que tout à l'heure! Fit-il en regardant la petite black d'au-dessus de ses lunettes.

    • Heuuuu oui... dit celle-ci d'un air gêné. Mais là, c'est pas le moment, j'ai vraiment envie d'aller aux toilettes!

     

     

     

    Elle se leva sans ménagement, et le garçon retira sa main. La caresse lui avait fait prendre conscience qu'elle avait très envie d'uriner, et elle se précipita aux toilettes. Après s'être soulagée, elle en profita pour se passer de l'eau fraîche sur le visage, ce qui lui fit le plus grand bien. Elle se regarda un instant dans le miroir. Elle remarqua une pointe de rougeur sur ses joues, et dut se rendre à l'évidence. Elle avait une folle envie de sexe. Mathias avait raison, elle était toute humide. Et d'ailleurs elle l'avait constaté en s'essuyant l'entrejambe. Il n'y avait pas que de l'urine sur le papier. Elle aurait pu se faire jouir seule dans la cabine, mais elle s'était souvenue malgré les vapeurs d'alcool de ce que lui avait dit Michaël: ne pas se masturber sans son autorisation. Le garçon n'avait surement aucun moyen de savoir ce qu'elle faisait dans les toilettes, mais elle préféra éviter de lui désobéir quand même. Après tout, il lui offrait une soirée comme elle n'en avait pas eu depuis longtemps, et elle avait envie de lui faire plaisir.

     

    La jeune fille sortit donc des toilettes avec cette envie inassouvie. Et lorsqu'elle revint à leur table, les garçons n'y étaient plus. Elle jeta un oeil alentour, et aperçut Michaël qui lui faisait signe depuis la piste de danse. Les deux gaillards s'y trémoussaient de manière dégingandée. Le DJ diffusait de la musique hip hop, ce qui les avait attirés sur la piste. La jeune fille se faufila parmi les danseurs pour rejoindre les deux copains. Enfin elle pouvait se lâcher et elle se laissa complètement aller. Elle laissa parler ses origines africaines et ondula son corps comme elle savait si bien le faire. Les hauts talons qu'elle portait la gênaient un peu, mais elle commençait à s'y habituer. Un sourire se dessina sur ses lèvres et ne les quitta plus. Ca faisait longtemps qu'elle n'avait pas dansé ainsi de bon coeur. Il y avait bien eu l'entraînement de pom pom girls avec Alice et Laetitia, mais ça avait été une vraie séance de travail avec des chorégraphies imposées, et pas vraiment une partie de plaisir. Là au contraire, ce n'était que du plaisir. Les garçons la regardaient, et pas seulement Michaël et Mathias. Maryline attirait certains regards autour d'elle, mais elle n'en avait que faire. Elle était concentrée sur son corps et sur sa bulle, qui englobait ses deux gardes du corps. Elle leur lançait parfois un regard enjoué, avec un sourire éclatant.

     

    La musique changea alors de style, évoluant vers du raggamuffin, du reggae et autres musiques des tropiques. La petite black n'en fut que plus heureuse encore, et ondula davantage si c'était possible. Elle ne se préoccupait en aucune manière de sa robe qui virevoltait énergiquement, se disant qu'elle ne pouvait tout de même pas se retrouver dénudée rien qu'en dansant. Son esprit se trouvait dans un autre monde, et son jugement était totalement altéré. Car ses mouvements laissaient bel et bien la jupe voler parfois suffisamment haut pour que l'on aperçoive nettement le bas de ses fesses. Michaël et Mathias l'avaient bien remarqué, ainsi que plusieurs jeunes gens autour d'eux. Mais la robe capricieuse ne dévoilait pas tout et il était difficile de dire si la petite black portait un string ou pas. Il y avait beaucoup de monde à présent sur la piste, et les espaces s'étaient resserrés. Les deux copains de Maryline en profitaient et leurs corps se frottaient de temps en temps au sien. Leurs mains aussi s'activaient, se posant sur ses hanches, ses épaules, ou même descendant parfois sur ses fesses. Elle riait, heureuse des attentions prodiguées par ses deux gardes du corps, et souhaitant au fond d'elle que leurs caresses soient plus poussées pour l'amener à cet orgasme qu'elle voulait tant. Puis brusquement elle se rendit compte qu'elle sentait sur elle plus de mains que n'en comptaient ses compagnons. Elle fit un effort pour rassembler ses esprits et regarda autour d'elle. Sur ses arrières, deux autres garçons la collaient de la même manière que Michaël et Mathias. Il s'agissait d'un noir à la chemise blanche largement ouverte sur son torse où pendait une chaîne en or, et d'un blanc au t-shirt moulant et aux cheveux coiffés en crête. Ils dansaient de manière sensuelle en suivant le rythme des hanches de la jeune fille, et leurs mains se posaient sur son corps et le caressaient. Maryline fut un peu surprise, mais nullement choquée. Dans l'état d'esprit où elle se trouvait, elle appréciait plutôt la situation. Elle continua de danser comme si de rien n'était, de manière un peu plus provocante sans qu'elle ne s'en rendit compte elle-même. Michaël et Mathias se parlaient à l'oreille en la regardant, et le grand gaillard à lunettes se frotta l'entrejambe, visiblement mal à l'aise. Soudain une main venant de derrière se posa sur la cuisse nue de la jeune fille, à la limite de la robe. Constatant qu'elle ne provoquait aucune réaction, elle monta assez vite sous le tissu, atteignant la hanche. Mais son ascension fut interrompue. Mathias prit Maryline par les épaules et l'attira à lui, et la main baladeuse dut se retirer de sous la robe.

     

     

     

    • Viens, on va un peu plus loin! Souffla assez fort Mathias dans l'oreille de la petite black.

     

     

     

    Il l'emmena à travers la foule, Michaël sur leurs talons. Les deux autres garçons restèrent à danser, et firent un signe de la main à Maryline qui leur répondit en souriant. Elle fut emmenée hors de la piste de danse.

     

     

     

    • Tu t'es fait des amis, ma belle! Lui dit Michaël qui s'était glissé à côté d'elle.

     

     

     

    Elle ne répondit pas, traînée par la main par un Mathias qui avait l'air soudainement très pressé. Le garçon l'emmena dans les toilettes des hommes. Elle essaya de lui dire « non » alors que quelques regards surpris les virent s'enfermer dans une cabine. Michaël les avait suivis, et c'est lui qui verrouilla la porte. Mathias était déjà en train d'ouvrir sa braguette.

     

     

     

    • Mais qu'est-ce que tu fais? Demanda bêtement Maryline qui était adossée au mur de séparation des cabines.

    • Je vais te baiser comme jamais t'as été baisée, ma pauvre! Répondit Mathias avec une respiration saccadée. Tu m'as chauffé, là, tu peux pas savoir!

     

     

     

    Il sortit son sexe qui était tendu comme une flèche. Puis il plaqua son corps sans ménagement contre celui de la jeune fille, qui lâcha un petit cri. Il attrapa ensuite sa cuisse gauche et la souleva le plus haut possible, afin de dévoiler sa chatte qui s'ouvrit, toute écartée. Immédiatement sa verge se colla à la vulve humide et gonflée. Il fit quelques mouvements de hanches qui firent se frotter les deux sexes l'un contre l'autre. Maryline se laissait faire, acceptant ce coït brutal tant son excitation était forte. Elle poussa un gémissement alors que la bite de son partenaire glissa comme par enchantement dans son vagin. Elle était déjà très lubrifiée et cela permit à Mathias d'aller et venir dès le début par petits coups rapides. Il tenait la cuisse de la petite black au creux de son coude, et avec la différence de taille Maryline ne tenait que sur la pointe de l'autre pied. Elle avait les jambes écartées au maximum et le garçon s'enfonçait en elle jusqu'à la garde, provoquant des claquements de chair à chacun de ses coups de boutoir. Il respirait difficilement, usant toute son énergie à tenir la jeune fille pour éviter qu'elle ne tombe et à la baiser aussi fort qu'il le lui avait promis. Sa jouissance vint rapidement, et son éjaculation fut minimale compte tenu que c'était la deuxième en seulement quelques heures. Il continua cependant à besogner vigoureusement sa partenaire tant que son sexe restait tendu. Il tenait à la faire jouir elle aussi. Il se serait senti honteux s'il n'arrivait pas à lui arracher ce plaisir alors qu'il le voulait tant. La petite black ne sentit même pas que Mathias avait joui, tellement il était crispé en la baisant, et tellement elle était elle-même au bord de l'orgasme. Elle haletait au rythme des va-et-vients du garçon, qui se mordait les lèvres en accentuant la force de ses pénétrations comme s'il voulait transpercer le corps qu'il serrait. Soudain Maryline fut traversée d'un tremblement, et retint un cri en gémissant sourdement. Elle s'accrocha au cou de son partenaire qui ralentit la cadence. L'orgasme qu'elle avait diminua d'intensité, et Mathias s'immobilisa complètement. Il arborait un sourire triomphateur, fier de lui. La jeune fille était pantelante dans ses bras, quelques gouttes de sueur perlaient sur son front. Il avait gagné. Il retira son sexe qui s'était déjà ramolli et reposa la jambe qu'il avait tenue au creux de son coude. La robe retomba dans sa position initiale et redonna à Maryline sa pudeur. Celle-ci reprit un moment son souffle et ses esprits, adossée au mur. Le garçon se rhabilla en adressant un sourire complice à Michaël.

     

     

     

    • Ca y est? T'es soulagé? Demanda celui-ci.

    • Ha! Ha! Ha ouais, tu parles! Carrément! Répondit Mathias en rigolant.

     

     

     

    Des rires se firent entendre derrière la porte de la cabine. Il semblait aux garçons que certaines personnes avaient du entendre ce qui se passait. Cela fit redescendre Maryline sur terre.

     

     

     

    • Il faut que je me rafraîchisse un peu, dit-elle.

     

     

     

    Michaël ouvrit la porte. Il y avait du monde dans les toilettes, que des hommes bien sur, mais la jeune fille s'en soucia peu, comme si elle évoluait dans un rêve. Elle attendit son tour pour accéder aux lavabos, alors que tout le monde la regardait perplexes. Elle se passa un peu d'eau sur le visage et se lava les mains, et Michaël et Mathias en profitèrent pour faire de même. Les trois se retrouvèrent à l'extérieur des toilettes.

     

     

     

    • Je vais chercher à boire ! Dit Mathias en se dirigeant vers le bar.

    • OK, on se retrouve à notre table, répondit Michaël.

     

     

     

    Joignant le geste à la parole, il poussa Maryline en direction de leur table en lui mettant la main au cul. Ce faisant, sa main descendit sous la robe et la releva d'un geste anodin. Ce n'est que quand ses fesses furent presque entièrement à l'air libre que la petite black s'en rendit compte.

     

     

     

    • Mais arrête ! Fit-elle en rigolant et en rabattant sa jupe.

     

     

     

    Le garçon la prit par les épaules et ils s'assirent à leur table. La jeune fille pensa à garder les cuisses ouvertes, ou du moins elle ne pensait plus à les resserrer. Mathias les rejoignit peu après avec une nouvelle tournée de vodka orange, que les trois amis sirotèrent avec beaucoup de rires. Même les garçons commençaient à être sérieusement éméchés. Et quand la musique vira à des morceaux de rock rétro très entraînants, Michaël n'hésita pas et se leva en tirant Maryline par la main.

     

     

     

    • Ho, viens! J'adore ça! Lâcha-t-il.

     

     

     

    Elle se tordit une cheville et faillit tomber alors qu'il la traîna sur la piste au milieu de la foule des danseurs, et il commença à se dandiner et à sauter comme un fou au son des guitares électriques. La petite black essaya de le suivre, ne sachant pas danser là-dessus, et elle fit comme lui, sautillant dans tous les sens. Au début, Mathias les regardait assis depuis leur table, puis il ne tarda pas à les rejoindre. Il se pencha à l'oreille de Maryline.

     

     

     

    • Tout le monde voit ton cul quand tu sautes comme ça, j'adore! Lui cria-t-il pour surmonter le son de la musique.

     

     

     

    Immédiatement la jeune fille s'immobilisa, et les garçons partirent d'un éclat de rire. Elle se mit à rire elle aussi et reprit sa danse, de manière moins énergique tout de même. L'alcool l'avait désinhibée, mais il lui restait quand même un peu de pudeur. Cependant, à faire attention de ne pas dévoiler ses fesses, elle en oublia ses seins, qui eux aussi avaient bougé en dansant. Son bustier était descendu, et un téton s'en était extrait. Il ne restait couvert que par le tissu transparent qui couvrait la poitrine de la jeune fille jusqu'au cou. Les garçons qui la côtoyaient l'avaient bien remarqué, ainsi que le fait qu'elle ne portait pas grand chose sous sa robe. Son show avait de nouveau attiré l'attention des deux danseurs qui l'avaient collée auparavant, le grand noir à la chemise blanche ouverte et le blanc au t-shirt moulant. Ils se rapprochèrent d'elle, et la petite black, avec Michaël et Mathias, se retrouva donc entourée de quatre jeune gens qui dansaient comme s'ils la vénéraient. La musique revint à des rythmes plus dancefloor. Michaël montra la voie aux autres en posant de temps en temps sa main sur le corps de Maryline, parfois sur ses hanches, parfois sur ses cuisses, glissant même occasionnellement sous la limite de la robe. Les deux inconnus en profitèrent, caressant aussi à leur manière la jeune fille. Le black posait parfois la main sur son flanc ou son épaule, alors que le blanc s'attardait plutôt sur ses hanches. La lycéenne riait, vaguement gênée mais en même temps très fière d'être au centre de toutes les attentions. La lumière diminua sur la piste quand la musique prit un virage techno aux rythmes trance. Seuls les stroboscopes éclairaient par intermittence les corps des danseurs. Les esprits déjà embrumés par l'alcool furent anesthésiés par les mélodies lancinantes. Les garçons se firent alors plus audacieux. Maryline sentit les mains qui caressaient ses flancs venir se poser sur ses seins, les pétrir, et pincer le téton qui s'était libéré du bustier. Les mains qui étaient elles auparavant sur ses hanches glissèrent vers ses fesses qu'elles pétrirent à travers la robe, et vers son bas-ventre. Elles n'osèrent pas dans un premier temps explorer plus avant, mais les mouvements de la jeune fille aidant la robe à se soulever, et sous couvert de la pénombre, les mains atteignirent la chair nue. La petite black sentit ses fesses se faire malaxer et une main se glisser sur son pubis puis le long de sa fente. Son esprit était complètement ailleurs et elle n'opposa aucune résistance, plus du tout consciente de l'endroit où elle se trouvait. Elle continuait de danser en ondulant son corps, alors que les mains de devant et de derrière se touchaient parfois du bout des doigts au niveau de son périnée. Elle-même frôlait souvent les garçons qui étaient tout près d'elle, et elle caressait parfois leurs corps du bout des doigts. Elle sentit même un doigt s'infiltrer à l'entrée de son vagin, mais les mouvements de la danse l'empêchèrent d'aller bien loin. La libido de la jeune fille fut cependant ravivée par ces caresses explicites,et elle gémit de manière inaudible en dansant. Lorsque la lumière fut quelque peu ravivée et que la musique revint à quelque chose de plus classique, les garçons cessèrent leurs caresses. Michaël parla avec les deux inconnus, les invitant à sa table. Ils acceptèrent, et les quatre garçons retournèrent s'asseoir en emmenant Maryline avec eux. Elle se retrouva entre les deux nouveaux.

     

     

     

    • Vous nous offrez à boire? Leur demanda Michaël. Et nous on vous offre la fille.

     

     

     

    Maryline n'avait pas bien compris ce qu'il avait dit, l'esprit encore monopolisé par la musique, et ne réagit pas. Les deux inconnus, eux, se regardèrent un instant.

     

     

     

    • Ouais! Ca roule! Firent-ils en même temps avec un grand sourire aux lèvres.

     

     

     

    Ils prirent les commandes, et Maryline demanda un coca. Mais Michaël ajouta avec un clin d'oeil à l'attention des nouveaux:

     

     

     

    • Un coca-whisky alors!

     

     

     

    La jeune fille ne releva pas, et c'est le jeune blanc aux cheveux en crête qui partit au bar. En l'attendant, Michaël se pencha sur sa copine pour l'embrasser. Celle-ci ferma les yeux pour recevoir son baiser. Le jeune homme en profita et glissa la main entre ses cuisses, relevant ostensiblement sa robe pour dévoiler son entrejambe. Ce faisant, il jeta un regard complice au grand noir pour l'inviter à le rejoindre. C'est ainsi que lorsque l'autre revint avec un plateau de boissons, Maryline avait les mains des deux garçons qui l'entouraient fourrées entre ses cuisses, la robe largement relevée. Mathias regardait sans participer, amusé. Il avait déjà donné et ne se sentait pas d'attaque pour un nouveau round. La petite black, elle, était surexcitée par les caresses que lui prodiguaient les doigts de ses compagnons. Elle n'avait plus conscience de l'endroit où elle se trouvait. Le nouveau venu posa le plateau sur la petite table et les garçons interrompirent leur exploration.

     

     

     

    • Tu me laisses la place alors? Demanda le barman improvisé à Michaël.

     

     

     

    Le copain de Maryline sourit et libéra le siège, laissant le jeune homme s'y asseoir. Chacun prit un verre et tous trinquèrent, trop heureux de ce qui leur arrivait. Maryline trinqua elle aussi sans vraiment prendre conscience que c'était en son honneur. Et rapidement, après s'être désaltérés, les deux garçons qui l'entouraient prirent possession de son corps. Le black laissa son camarade infiltrer sa main directement entre les cuisses de la jeune fille, alors que lui-même lui pelotta les seins à travers le tissu translucide du haut de la robe. Le jeune blanc ne tergiversa pas et frotta directement ses doigts contre la vulve. Il poussa une exclamation de joie en voyant à quel point la chatte était déjà humide, prête à l'amour. Mathias et Michaël riaient et trinquaient en voyant l'incrédulité et l'enthousiasme des deux inconnus. Ce n'est pas tous les jours qu'on tombe sur une aubaine comme celle-là. Ils le savaient bien et voulaient en profiter au maximum. Maryline n'était plus qu'un jouet entre leurs mains. Elle était saoûle et surexcitée, avide de sexe, et s'offrait volontiers aux caresses des garçons. Elle sentit le blanc lui pénétrer le vagin avec trois doigts et poussa un cri aigü couvert par la musique. Le black prit le relais quand son copain but une gorgée d'alcool, et ils la doigtèrent ainsi à tour de rôle sous les regards incrédules de quelques clients de la boîte qui les voyaient et comprenaient ce qui se passait. Lorsqu'ils eurent terminé leurs verres, le blanc parla à Michaël:

     

     

     

    • On est venus en voiture, on est garés sur le parking, dit-il. Ca vous dirait qu'on y aille? J'ai grave envie de la baiser, là!

    • Vous ne voulez pas faire ça ici? Fit Michaël en rigolant. Nan, je plaisante! Bien sur on peut aller à votre caisse.

     

     

     

    Il expliqua à Mathias qui n'avait rien entendu ce qu'avait proposé l'inconnu, puis les garçons se levèrent. Maryline avait les yeux à demi-fermés, les cuisses indécemment ouvertes. Elle fut relevée par des mains costaudes qui la prirent sous les bras, et sa robe retomba en place pour la couvrir. Ses seins étaient complètement sortis du bustier, juste couverts par le voile transparent. Lorsqu'elle fut debout, elle fut capable de marcher, mais par précaution Michaël la prit par la taille pour l'accompagner. Le petit groupe passa au vestiaire, où chacun récupéra ses affaires: Michaël son sac de sport et Maryline sa veste qu'on lui posa sur les épaules. Les deux inconnus ouvrirent la marche vers le parking. L'air froid prit tout le monde par surprise, et notamment Maryline qui grelotta. La voiture n'était pas garée très loin, au milieu d'autres véhicules. Le jeune blanc déverrouilla les serrures, et entra à l'arrière. Michaël laissa le noir prendre Maryline par la main et la faire monter à son tour, puis la suivre. Mathias et Michaël s'installèrent à l'avant. Derrière, les garçons ne perdirent pas de temps. Ils se mirent à caresser la jeune fille, à l'embrasser à tour de rôle, et lui enlevèrent sa veste.

     

     

     

    • On va bien te réchauffer, ne t'inquiète pas! Lui dit le black en lui massant énergiquement la hanche.

     

     

     

    Le jeune blanc dégraffa son pantalon et l'ôta complètement, puis baissa son boxer pour laisser surgir un sexe très pâle mais tendu comme une flèche.

     

     

     

    • Tiens! Lui aussi il a froid, dit-il. Tu peux le réchauffer dans ta bouche.

     

     

     

    Joignant le geste à la parole, il appuya sur la nuque de la petite black, qui baissa la tête. Sans réfléchir, elle ouvrit la bouche et la verge y disparut à moitié. Elle attrapa d'une main la partie qui dépassait et commença des allers et venues en aspirant doucement mais vigoureusement. Le jeune homme mince lâcha une exclamation d'agréable surprise.

     

     

     

    • Ho putain! Oui! Ho tu suces bien! Continue!

    • Hé! fit le black. On dirait qu'on est tombés sur un super coup, enfoiré!

    • Ho oui, tu peux le dire! C'est trop bon!

     

     

     

    Il poussa un petit gémissement qui fit rigoler son camarade.

     

     

     

    • Profitez-en! Leur dit Michaël en souriant. Elle est toute chaude et je crois qu'elle en a aussi envie que vous. Et de toute façon si elle fait quelque chose qui ne vous plaît pas, il faut me le dire et elle méritera une punition.

     

     

     

    Lui et Mathias observaient la scène depuis les sièges avant. La bouche pleine, Maryline ne put que gémir de désapprobation à l'évocation d'une punition, et continua sa fellation avec d'autant plus de ferveur. Dans son dos, le black souleva sa robe jusque sous ses seins.

     

     

     

    • Attends! Ordonna-t-il en lui relevant le buste, l'obligeant à s'interrompre.

     

     

     

    Elle abandonna le sexe luisant de salive, et le black souleva davantage la robe avec l'intention de la lui ôter. La jeune fille leva les bras pour l'aider, et la robe passa au-dessus de sa tête. Elle se retrouva seulement vêtue de ses bottes.

     

     

     

    • Viens! Fit le jeune blanc en la guidant de nouveau par la nuque.

     

     

     

    Elle obéit et le reprit immédiatement en bouche. Derrière elle, le noir la souleva par les hanches afin de la positionner comme il le souhaitait, le cul relevé devant lui.

     

     

     

    • Quel cul! Fit-il. Putain, t'es trop bonne, toi!

     

     

     

    Il lui donna une claque sur les fesses, et elle sursauta sans cesser pour autant de sucer le blanc avec vigueur. Puis le black ouvrit son pantalon et sortit à son tour son sexe. Celui-ci était d'une longueur respectable, mais surtout il était très large, et évidemment tendu à l'extrême. Le jeune homme guida son membre vers la chatte qui était déjà toute ouverte pour l'accueillir. Il frotta son gland deux ou trois fois sur toute la longueur de la vulve pour l'enduire de mouille. Puis il se positionna à l'entrée du vagin et y pénétra lentement mais surement, provoquant un gémissement rauque chez sa partenaire. Lorsqu'il fut entré jusqu'à la garde, il ressortit presqu'entièrement puis s'activa en entrant à nouveau. Il continua en va-et-vients rapides, faisant claquer les fesses de la petite black à chacune de ses pénétrations. A l'avant, Mathias avait sorti sa bite et se masturbait en regardant, mais il eut quelques difficultés à obtenir une nouvelle érection. Il avait déjà joui deux fois dans la soirée, et était trop alcoolisé pour avoir encore toutes ses facultés. Michaël, lui, eut encore la présence d'esprit de sortir son téléphone portable pour prendre quelques photos, et les flashs firent lever les yeux de Maryline qui fronça les sourcils mais n'interrompit pas son activité. Elle continuait de pomper le jeune blanc qui semblait apprécier, respirant doucement, et elle se faisait baiser par derrière par le black et son sexe volumineux. Celui-ci accéléra la cadence, faisant trembler tout le corps de la jeune fille. Elle eut un haut-le-coeur en prenant subitement la bite du blanc au fond de la gorge, et toussa un instant en la recrachant. Elle gémit sous les coups de boutoir du black, et enfouit son visage dans l'aîne du jeune blanc, son sexe contre sa joue. Soudain le membre fiché au fond de son vagin s'immobilisa et un jet de sperme chaud fusa accompagné d'un « hooooo! » de bonheur. Le black reprit mollement quelques va-et-vients, puis se retira.

     

     

     

    • A ton tour! Lança-t-il à l'adresse de son copain avec un clin d'oeil.

    • OK! Tourne-toi, toi! Ordonna le blanc à Maryline.

     

     

     

    Celle-ci se sentait soudain vidée alors que le sexe volumineux du black avait quitté son ventre. Il l'avait fortement stimulée mais elle n'avait pas joui. Elle se retourna sans broncher, espérant que le jeune blanc saurait lui donner l'orgasme qui la satisferait. Elle se retrouva nez à nez avec la bite du noir, maculée de sperme et de cyprine. Derrière, sans préambule, le blanc la pénétra directement. Déjà surexcité par la fellation qu'il venait de recevoir, il baisa la chatte noire à petits coups rapides. Devant, le black attrapa Maryline par les cheveux.

     

     

     

    • Ben qu'est-ce que t'attends? Lui demanda-t-il en pressant son gland contre les lèvres de la jeune fille. Suce-moi!

     

     

     

    Tressautant sous le coup des pénétrations du jeune blanc, elle ouvrit la bouche et prit précautionneusement le gland épais sur sa langue. Le garçon, lui, ne chercha pas à faire dans la finesse et s'enfonça avec autorité. Heureusement son sexe commençait déjà à ramollir et à perdre de son volume. Mais c'était tout de même un gros morceau et la petite black dut ouvrir toute grande sa bouche. Elle sentit le goût de leurs fluides mélangés, et commença à suçoter le sexe noir. Soudain le jeune blanc poussa un petit ululement, et sortit sa bite précipitamment pour éjaculer sur les fesses de sa partenaire avec un soupir de soulagement. Puis il attrapa la robe qui avait glissé à terre et s'essuya le gland avec. Maryline ne le vit pas faire, trop occupée à lécher la queue de son camarade. Lorsqu'elle eut terminé de nettoyer son sexe, le black le rangea dans son pantalon.

     

     

     

    • Allez ça suffit! Dit-il d'un air faussement sévère. T'es une bonne suceuse de bites mais faut pas abuser. T'en auras encore si t'es sage!

     

     

     

    Il partit d'un éclat de rire, et son copain rit avec lui. Il était en train de se rhabiller lui aussi.

     

     

     

    • Je serais bien retourné danser, je me sens mieux, là! ajouta le black. Mais le videur ne voudra pas nous laisser rentrer.

    • On n'a qu'à rentrer chez moi, je suis crevé là! Fit le blanc.

    • Ouais, ok!

     

     

     

    Maryline s'était rassise et ramassa sa robe, mais le black la lui prit des mains.

     

     

     

    • Hé! Attends, toi! Lui dit-il. Je t'ai pas dit de te rhabiller.

     

     

     

    Il allongea la jeune fille sur ses cuisses et lui attrapa un sein qu'il malaxa et dont il tritura le téton. Son camarade, lui, glissa une main à l'intérieur des cuisses et caressa la chatte toute poisseuse.

     

     

     

    • Il faut me donner ton numéro de téléphone, chérie! Ajouta le noir pour Maryline. Il faut qu'on puisse se revoir.

     

     

     

    C'est Michaël qui répondit.

     

     

     

    • Elle n'a pas de portable. Mais je vais te donner le mien. N'hésite pas à appeler, y a pas de souci.

     

     

     

    Le black n'eut pas l'air très satisfait de cette proposition, mais il sortit quand même son téléphone et y entra le numéro que lui dicta Michaël. Pendant ce temps le jeune blanc avait glissé deux doigts dans le vagin de la petite black et lui stimulait le clitoris avec son pouce. Il se mordait les lèvres comme s'il était concentré sur un jeu vidéo. Maryline haletait et ondulait des hanches. Elle n'avait toujours pas joui et sentait que la caresse précise du jeune homme n'allait pas tarder à la faire exploser. Elle gémit, trépigna, et les trois autres garçons l'observèrent avec intérêt. Mathias avait toujours son sexe à la main et le masturbait doucement, toujours sans résultat. On n'entendait plus que les gémissements de la jeune fille et les garçons étaient suspendus à ses lèvres. Son bassin se souleva soudainement dans un petit cri aigü, puis elle retomba apaisée. Les garçons respirèrent à nouveau et souriaient béatement comme s'ils venaient eux-même d'avoir cet orgasme. Le jeune blanc essuya ses doigts de nouveau sur la robe, puis sortit de sa poche un paquet de cigarettes. Il en proposa à tout le monde. Seuls Mathias et Maryline, qui resta allongée les yeux à demi fermés, n'en prirent pas. Le black continuait de tripoter doucement un sein de la belle qui était sur ses genoux.

     

     

     

    • Et vous, vous faites quoi, maintenant? Demanda le jeune blanc à Michaël et Mathias.

    • Je pense qu'on va se rentrer aussi, répondit Michaël en demandant d'un regard l'approbation de son copain.

    • Vous êtes en voiture? Redemanda le jeune homme.

    • Non, on est venus en métro.

    • Ha? Vous êtes coincés, alors. Y en a plus, à c't'heure-ci! Vous voulez qu'on vous ramène?

     

     

     

    Michaël et Mathias se regardèrent un instant, intéressés.

     

     

     

    • Ha ouais, cool! OK! Fit Mathias.

     

     

     

    Le jeune blanc sortit de la voiture et se mit au volant à l'avant, et Michaël prit sa place à l'arrière. Maryline était toujours allongée à demi sur les cuisses du grand noir, et son copain constata qu'elle avait cédé au sommeil, s'endormant ainsi. La voiture démarra, et Michaël expliqua au conducteur l'itinéraire pour aller chez lui. En cours de route, les garçons firent connaissance et échangèrent leurs prénoms. Le black s'appelait Julien et le blanc Kevin.

     

     

     

    • Et mon bébé, là, c'est Maryline! Ajouta Michaël.

    • C'est ta copine? Demanda Kevin.

     

     

     

    Michaël hésita un instant, hochant la tête.

     

     

     

    • Mmmm... C'est la fille que je partage avec les autres, dit-il finalement.

     

     

     

    A suivre...

     


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  • Je reprends cette histoire après de trop longues années d'interruption. Je suis désolé pour ceux qui attendaient la suite depuis longtemps. Le temps et l'envie m'ont manqué. Heureusement aujourd'hui Maryline est de retour. La deuxième semaine de ses aventures est entièrement écrite et sera publiée ici gratuitement, petit à petit. Et les premiers chapitres ont subi de menues corrections. Adieu l'ebook payant, j'ai laissé tomber cette idée. J'écris avant tout cette histoire pour mon plaisir, avec mes fantasmes, et c'est pourquoi cette histoire manque certainement de qualité littéraire et de construction scénaristique. Je la partage juste pour ceux que ça pourrait intéresser. Et j'ai pu constater avec les premiers chapitres qu'il y avait des amateurs. Merci à ceux qui m'ont laissé des commentaires encourageants.

     

    Pour lire le chapitre précédent, voir le sommaire à droite.

     

    Le silence s'installa pendant quelques instants dans la petite arrière-boutique. Alex et Mathias se regardaient silencieusement, un sourire un peu niais au coin des lèvres, comme des fauves repus. Michaël enlaçait Maryline, qui était à genoux et adossée à lui, les yeux fermés et le corps endolori. Elle avait mal aux fesses et à la mâchoire, à cause de la fessée et de la fellation d'Alex, ainsi qu'aux poignets à force que Michaël ne la tienne de sa poigne de fer. Celui-ci brisa le silence le premier.

     

     

     

    • Alors ma belle, dit-il, puisque tu as surmonté ta punition avec brio, tu peux essayer ces maillots maintenant.

     

     

     

    Il se leva, et aida sa copine à se remettre sur pieds. Elle ouvrit les yeux mais garda la tête baissée, toute honteuse en réalisant tout ce qui s'était passé. Elle n'osait pas regarder Alex et Mathias en face, et essuya de ses doigts le coin de ses lèvres. Michaël lui tendit l'un des deux maillots aux couleurs du club. Elle le prit et l'enfila. Il était cintré, et lorsqu'elle le tira en bas il ne couvrit pas ses parties intimes. Devant, sa toison pubienne finement taillée était encore visible, et lorsqu'elle regarda derrière, ses fesses dépassaient presque de moitié. De plus le tissu était plutôt fin, et ses tétons se dessinaient nettement sur la poitrine.

     

     

     

    • Ouais... fit Michaël d'un air pas vraiment satisfait. Essaie l'autre pour voir!

     

     

     

    Il lui tendit le deuxième maillot, qui était une taille au-dessus. Maryline ôta le premier, sous les yeux attentifs d'Alex et Mathias, qui chuchotaient entre eux, n'en revenant pas d'avoir une fille aussi impudique sous la main. Elle enfila le nouveau maillot, qui était identique au précédent, mais juste plus grand. Du coup il était moins cintré, mais les tétons restaient visibles malgré tout. Par contre il était suffisamment long pour couvrir la jeune fille jusqu'en haut des cuisses. Elle le lissa sur son corps, regardant devant et derrière elle. Elle se sentait un peu ridicule vêtue d'un maillot de football, elle qui n'avait quasiment jamais joué au ballon de sa vie, mais au moins elle se sentit un instant moins nue face aux garçons.

     

     

     

    • Ha! Là ça va mieux! Dit Michaël les bras croisés, souriant.

    • Tu crois? Fit la petite black pas convaincue.

     

     

     

    Elle ne voyait pas en quoi ce maillot était mieux que l'autre. Il était plus large, mais l'autre était davantage coupé à sa taille et irait mieux avec sa jupe.

     

     

     

    • Fais-moi confiance, tu me remercieras plus tard, répondit le grand gaillard. Alex, tu peux lui faire un flocage, s'te plaît? Et avec la pipe qu'elle vient de te faire, j'espère que tu ne me le compteras pas dans le prix.

    • Ha ha! Bien sûr, Mike! Lâcha le vendeur en rigolant. Je peux bien faire ça! Donne-moi le maillot, Maryline.

     

     

     

    Il tendit la main, et la jeune fille dut se dénuder de nouveau, en soupirant. Elle lui donna le vêtement. Le garçon se mit face à une machine qui se trouvait dans un coin, et sortit un sachet transparent contenant des lettres et des chiffres à transférer sur le maillot.

     

     

     

    • Bon, qu'est-ce que je mets alors? Demanda-t-il en regardant alternativement Maryline et Michaël.

    • Mets son prénom, dit Michaël. Et pour le numéro, heu... je sais pas, t'as une idée?

     

     

     

    Il s'adressait à Alex, qui répondit tout de suite en riant.

     

     

     

    • Ha bé ouais! Pour elle, c'est 69! Ca s'impose!

    • OK! T'as raison, acquiesça Michaël en rigolant.

     

     

     

    Le vendeur mit quelques minutes à trouver les lettres et chiffres choisis, puis à les coller au dos du maillot avec la machine à floquer. Le travail terminé, il le montra à Maryline et aux garçons en tenant le vêtement devant lui.

     

     

     

    • Beau travail! Fit Michaël. Voilà, tu peux l'enfiler, ma belle!

     

     

     

    La jeune fille passa le t-shirt par la tête, et le lissa sur son corps. Pendant ce temps son copain avait pris ses autres vêtements pour les mettre dans son sac de sport.

     

     

     

    • Alex, demanda-t-il, je peux laisser mon sac de sport ici? Je le récupèrerai plus tard.

    • Bien sur, pas de souci, mec, confirma le vendeur.

     

     

     

    Il fit mine de se diriger vers la porte, mais Maryline le retint en lui posant la main sur le bras.

     

     

     

    • Attends! Fit la jeune fille. Et ma jupe, tu me la donnes, s'il-te-plaît?

     

     

     

    Le grand gaillard se retourna, l'air étonné comme si elle lui avait demandé quelque chose d'incongru.

     

     

     

    • Non ! Fit-il simplement.

     

     

     

    Maryline en resta bouche bée un instant.

     

     

     

    • Mais!... Mais je peux pas rester comme ça, dit-elle en regardant son maillot. Donne-moi au moins quelque chose à mettre !

    • Alors d'abord, je n'aime pas le ton que tu emploies, ma petite ! Dit Michaël en fronçant les sourcils. Ensuite, si j'avais voulu que tu portes quoi que ce soit d'autre, je te l'aurais donné. Je ne supporte pas que tu réclames. On dirait que tu as déjà oublié la correction que tu viens de recevoir. A moins que tes fesses ne te fassent déjà plus mal?

     

     

     

    Il accompagna sa dernière phrase d'une claque modeste mais bruyante sur le postérieur de la petite black.

     

     

     

    • Aïïïe ! Lâcha-t-elle malgré elle.

     

     

     

    Ses fesses étaient encore rouges et hypersensibles, et elle ne voulait pas risquer de vivre une nouvelle fois l'humiliation d'une fessée. La main de Michaël vint se poser sur l'avant de sa cuisse, et remonta le tissu du t-shirt de quelques centimètres pour atteindre la chatte encore toute humide.

     

     

     

    • J'aime quand je peux te caresser si facilement, dit-il. Donc tu restes comme ça. J'ai dit!

     

     

     

    Son majeur s'insinua quelques instants le long de la fente de la jeune fille. Celle-ci songea à se rebeller, car il lui semblait impossible de sortir uniquement vêtue de ce maillot de foot et de ses chaussures. Mais quand elle pensait à ce qui pouvait se passer si elle s'opposait à Michaël, les photos, les films, la douleur des fessées, sa volonté se relâchait. Et les sensations que le doigt du jeune homme lui procurait à cet instant ne faisaient qu'accentuer son apathie. Elle se résigna à ne rien faire, sous les regards et les sourires pervers des trois garçons.

     

     

     

    • Chouette! Fit soudain Mathias en repoussant ses lunettes sur son nez. Ca sera encore plus cool de t'avoir avoir nous pour voir le match.

     

     

     

    Michaël ôta ses doigts de la chatte de Maryline, et la prit par la main.

     

     

     

    • Tu resteras avec nous, ne t'inquiète pas, dit-il pour la rassurer un peu en l'emmenant vers la porte. On restera tout près de toi, et on veillera à ce qu'il ne t'arrive rien contre notre gré. On sera tes gardes du corps. Hein, Mathias? Tu vas garder son corps?

    • Ouais, et pas qu'un peu! Je vais pas te lâcher!

     

     

     

    Les trois garçons rigolèrent en regagnant la boutique. Maryline n'était pas aussi hilare, encadrée des deux grandes silhouettes de Mathias et de Michaël. Elle fut rassurée de voir qu'il y avait toujours aussi peu de monde dans la boutique, et personne ne prit la peine de lever les yeux sur elle. Elle se sentait malgré tout terriblement nue, et se demandait comment elle aurait le courage de s'aventurer à l'extérieur ainsi vêtue, ou plutôt dévêtue. Alex reprit son poste à la caisse de la boutique, et salua ses deux copains qui se dirigèrent vers la sortie.

     

     

     

    • Tu as les billets, Mathias? Demanda Michaël en sortant de la boutique.

    • Oui, mais j'en ai que deux. Je ne savais pas que tu viendrais accompagné.

    • Je sais, mais j'ai mon pass, il y a pas de souci. Les billets seront pour toi et Maryline.

     

     

     

    La petite black n'écoutait la conversation que d'une oreille, trop angoissée maintenant qu'elle se trouvait dehors. Elle frissonna autant de froid que de peur, et essaya vainement de se rendre invisible entre ses deux gardes du corps. Le petit vent froid menaçait de soulever son seul vêtement à tout instant et lui frigorifiait les fesses. Elle tenait ses mains devant elle comme protection pour au moins être sure que son pubis resterait caché. Aux abords du stade il y avait du monde, et beaucoup de gens portaient les mêmes couleurs qu'elle. Elle croisa des regards qui la détaillèrent. On commençait à la remarquer, et certaines personnes devaient se demander ce qu'elle pouvait bien porter sous ce maillot qui était son seul vêtement visible. L'air froid qui s'insinuait jusque dans son intimité lui rappelait à chaque instant à quel point elle était nue. Alors que le trio faisait la queue pour entrer dans le stade, Mathias posa sa main sur la hanche de la jeune fille, cherchant à glisser plus avant. Elle dut se tortiller discrètement pour l'empêcher d'aller trop loin en public. Mais visiblement le jeune homme n'avait envie que d'une chose, c'était de s'infiltrer sous le t-shirt. Maryline eut soudain une angoisse. Devant, elle vit que des agents de sécurité pratiquaient une fouille des spectateurs qui entraient dans l'enceinte sportive. La chaleur lui monta brusquement aux joues, occultant la fraîcheur environnante. Comment pourrait-elle surmonter ce passage? A coup sur l'agent qui la fouillerait découvrirait qu'elle ne portait rien d'autre que ce t-shirt. En y réfléchissant, il n'y avait sans doute rien de répréhensible là-dedans, mais quelle honte ce serait pour elle! Quel genre de fille s'imaginerait-il qu'elle était? En observant ce qui se passait, Maryline se rendit compte qu'en fait de fouille les agents de sécurité ne faisaient que passer les mains rapidement des côtes jusqu'aux mollets en tâtant un peu. C'était très sommaire et rapide, sans violation d'intimité, et d'ailleurs l'organisation n'avait pas pris la peine d'assigner des agents femmes pour fouiller les spectatrices. La petite black essaya de se rassurer en s'autopersuadant qu'ainsi on ne découvrirait peut-être pas son petit secret. Elle fit de nouveau un petit pas de côté pour échapper à la main fouineuse de Mathias, qui ricana. Ce faisant elle cogna légèrement la personne qui les suivait, un homme grisonnant à lunettes, et s'excusa timidement. Enfin ils arrivèrent à l'entrée, et Mathias sortit les billets et Michaël son pass. Ils purent entrer, et un agent s'occupa de chacun d'eux tour à tour. Les garçons furent fouillés en premier, levant les bras pour faciliter la maneuvre. Lorsque ce fut à son tour, Maryline déglutit avec difficulté, et s'approcha devant l'homme en costume. Les garçons regardèrent la scène avec des sourires complices. Un court instant l'agent de sécurité détailla la jeune fille du regard. Elle crut y déceler une interrogation. Puis il lui demanda de lever les bras, ce qu'elle fit en évitant cependant d'aller trop haut, car elle sentit que le maillot suivait le mouvement et montait sur ses cuisses. Elle craignit que le bas de ses fesses ou même son sexe ne soit dévoilé, mais elle n'osa pas vérifier en baissant le regard de peur d'attirer davantage l'attention sur cette partie de son corps. Elle se força à garder les yeux braqués fixement devant elle, alors que l'homme faisait ce qu'il avait à faire. Ce fut très rapide. Ses mains tatonnèrent de haut en bas sur les côtés de la petite black jusqu'à ses hanches. Il ne descendit pas plus bas, les jambes nues attestant qu'elle ne pouvait pas y avoir dissimulé quoi que ce soit. Par contre, ses mains s'attardèrent une seconde de plus qu'il ne fallut sur les hanches, comme s'il cherchait quelque chose qu'il ne trouva pas. Maryline eut du mal à respirer. Elle était sure qu'il savait, car il avait forcément senti qu'il n'y avait pas d'autre vêtement en-dessous, pas même l'élastique d'une culotte. L'agent se redressa et la fixa un instant au fond des yeux, avant de lui faire signe qu'elle pouvait passer. Elle ne demanda pas son reste et alla se réfugier d'un pas rapide tout contre Michaël. Celui-ci la prit par l'épaule en rigolant.

     

     

     

    • Je crois qu'il a découvert quelque chose! dit-il alors que le trio se dirigeait vers les escaliers menant aux tribunes.

    • Hoooo, Michaël! fit la jeune fille d'un ton plaintif. Pourquoi tu me fais faire ça? J'ai trop honte!

    • Tu n'as pas à avoir honte, tu es superbe ma chérie, la rassura-t-il.

     

     

     

    Maryline resta coite, agréablement surprise... C'était la première fois qu'il l'appelait « ma chérie », lui semblait-il. Elle monta les premières marches en se blotissant davantage contre son copain, et Mathias en profita pour se faufiler derrière elle.

     

     

     

    • Superbe, oui, c'est le mot, dit-il comme pour lui-même.

     

     

     

    Trois marches derrière la petite black, il put lever le bas de son t-shirt sans qu'elle ne s'en aperçoive. Le bas des fesses apparut, et Mathias y posa la main, appréciant la douceur de la peau noire. Maryline le sentit, mais, blottie contre Michaël, elle renonça à le repousser. Le jeune homme la caressa jusqu'à ce qu'ils arrivent en haut des escaliers. Leurs places se trouvaient tout en haut des tribunes. Seules quelques rangées de fauteuils étaient plus hautes que les leurs. La main de Mathias quitta avec regret le cul de la jeune fille alors qu'ils rejoignaient leurs fauteuils. Le speaker annonçait la composition des deux équipes, dont les joueurs s'échauffaient sur le terrain. Les travées du stade étaient clairsemées, mais quelques supporters faisaient du bruit et mettaient un peu d'ambiance. Maryline et les garçons étaient à peu près tranquilles, leurs premiers voisins se trouvant à plusieurs mètres d'eux. Aujourd'hui l'équipe de Paris recevait celle de Rouen. Après s'être assis de part et d'autres de Maryline, Michaël et Mathias commentèrent le match à venir et la composition des équipes. La jeune fille se frottait les bras pour tenter de se réchauffer un peu. Elle avait eu du mal à s'asseoir. Le maillot était trop court pour couvrir ses fesses en position assise, et la peau encore sensible était directement au contact du plastique froid du fauteuil.

     

     

     

    • Tu as déjà oublié ce que je t'ai dit dans le magasin de fringues? Lui demanda doucement Michaël en regardant ses cuisses.

    • Quoi? Fit Maryline

     

     

     

    L'espace d'un instant elle ne comprit pas ce qu'il voulait dire. De peur d'avoir fait quelque chose qui pourrait lui valoir une nouvelle punition, elle chercha rapidement dans sa tête tout ce qu'il lui avait dit quand ils avaient acheté sa tenue pour la soirée. Soudain elle comprit! D'instinct elle venait de s'asseoir les jambes serrées afin de préserver au mieux son intimité. Quand elle avait essayé les bottes Michaël lui avait bien dit qu'elle devait garder les cuisses ouvertes en s'asseyant. Mais même avec les jambes serrées le t-shirt ne cachait que l'essentiel. Alors si elle desserrait ne serait-ce qu'un peu les genoux, elle serait forcément exposée.

     

     

     

    • Quoi? Répéta-t-elle une nouvelle fois, incrédule.

     

     

     

    Elle n'osait pas croire qu'il lui demandait encore ça. Mais le garçon ne laissa aucune équivoque en posant la main sur son genou et en l'écartant de lui-même. Malgré sa réticence, la petite black ne résista pas. Elle tourna les yeux à droite et à gauche sans bouger la tête, afin de vérifier que personne ne la regardait. Peine perdue! Evidemment Mathias ne manquait pas une miette de ce qu'elle faisait, et se passa la langue sur les lèvres lorsqu'il vit apparaître la fente rasée entre les cuisses. Un voisin plus lointain la regardait aussi curieusement, mais dans la position où il se trouvait il ne pouvait rien voir d'indécent. Ce qui inquiétait le plus Maryline, ce n'étaient pas les gens qui se trouvaient sur les côtés, mais ceux qui étaient dans les rangées plus basses. Si l'un d'eux avait l'idée saugrenue de regarder derrière lui, là elle aurait une chance d'être vue.

     

    Finalement le match commença. Les garçons s'y intéressèrent naturellement, encourageant leur équipe et faisant des commentaires de spécialistes. Cependant ils s'intéressaient tout autant à la jeune fille à demi nue entre eux deux, et comme elle se mettait à grelotter de froid ils se serrèrent contre elle afin de la réchauffer. Ce faisant, Michaël lui passait la main dans le dos en s'attardant sur ses fesses, ou alors repassait devant pour lui caresser le ventre et soupeser ses seins. Mathias, lui, s'occupait de ses cuisses, les frottant parfois vigoureusement, et il glissait de temps en temps sa main jusque dans l'entrejambe afin d'entretenir l'humidité de la chatte en la caressant amoureusement. La petite black était morte de honte, terrifiée à l'idée qu'un des spectateurs ne tourne soudain son regard vers elle. Mais en même temps les caresses conjuguées des deux garçons la mirent dans un état de tension sexuelle certain, et elle se mit à imaginer tout un tas de choses qui pourraient arriver. Elle s'en voulut même d'avoir de telles pensées. C'était bien assez tout ce qui lui arrivait par la faute de Michaël, et elle souhaitait que cela reste de la responsabilité du garçon. Elle ne voulait pas qu'on puisse un jour l'accuser d'avoir plus ou moins cherché à se mettre dans ces situations.

     

    Au bout d'une demi-heure l'équipe de Paris marqua un but, et tout le public du côté du trio se leva pour fêter ça en applaudissant. Michaël et Mathias sautèrent eux aussi avec joie, et Maryline, emmenée dans le mouvement et l'émotion du moment, sauta en tapant des mains elle aussi. Les garçons la tenaient par la taille et tous trois sautèrent en rythme, dansant et chantant. La jeune fille avait presque oublié un instant l'état de sa tenue, et ne remarqua que son maillot se soulevait à chacun de ses sauts que quand les garçons portèrent leurs regards avec attention vers son bas-ventre. Elle arrêta soudainement de sauter en tirant son vêtement vers le bas avec un air effrayé qui fit éclater de rire ses deux gardes du corps. La plupart des spectateurs étaient restés debout pour encourager leur équipe, et personne ne semblait avoir vu le petit show indécent de Maryline. Elle souffla alors, quelque peu rassurée, et se mit à rire nerveusement elle aussi. Jusqu'à la mi-temps, ils restèrent debout, ce qui n'était pas pour déplaire à la jeune fille. Ainsi elle restait couverte et n'avait pas à s'exposer outrageusement tant qu'elle évitait de sauter. Les garçons en profitaient juste pour lui caresser les fesses à tour de rôle. Lorsque l'arbitre siffla la fin de la première période, ils la prirent par la main pour l'emmener à la buvette.

     

     

     

    • Viens, on va se prendre une bière! Lui dit Michaël.

     

     

     

    Elle n'eut pas trop le choix, chacun des garçons l'entraînant par une main. Ils se retrouvèrent coincés dans la cohue de la buvette, beaucoup de spectateurs profitant du quart d'heure de mi-temps pour chercher un rafraîchissement. Maryline était toujours collée par ses deux gorilles, mais elle était également pressée devant et derrière. Avec sa taille menue, tout le monde la dépassait au moins d'une tête. Tour à tour, elle sentait ses seins ou ses fesses pressés contre quelqu'un avec les mouvements de foule. Parfois elle crut sentir une main audacieuse mais elle n'en était pas sure. Elle ne se rendit même pas compte que leur tour était arrivé quand Michaël commanda trois bières,et n'eut pas le temps de lui dire qu'elle aurait préféré un soda. Elle se retrouva de nouveau entraînée par Mathias qui la sortit de la foule pendant que Michaël portait les gobelets de bière. Ils regagnèrent leurs sièges avant que le match n'ait repris et s'assirent. Maryline hésita, se demandant si elle ne pouvait pas rester debout, mais quasiment tout le monde était assis dans leur secteur, et elle ne ferait qu'attirer l'attention. Elle se résolut donc à s'asseoir, sans oublier cette fois de garder les cuisses ouvertes. Michaël afficha un grand sourire, satisfait, et lui déposa un baiser sur les lèvres. Elle en fut émue. Il lui mit un grand gobelet de bière dans les mains, puis en donna un autre à Mathias. La petite black laissa les garçons avaler de grandes gorgées avant de goûter elle aussi, plus modérément, à la boisson alcoolisée. Même si elle n'était pas complètement sobre, elle n'avait pas l'habitude de boire de l'alcool et en sentait rapidement les effets. Les gorgées suivantes furent avalées avec davantage d'envie au fur et à mesure que la bière lui dispensait chaleur et bonne humeur. Le match reprit, et Maryline se soucia un peu moins de ce qu'elle exposait malgré elle. La tête lui tournait, et elle était joyeuse. Elle était aussi un peu plus excitée, ressentant un désir de plus en plus intense dans son bas-ventre, et elle se mit à espérer que les garçons la caressent de nouveau. Mais cette fois le match de football attirait davantage leur attention, alors que l'équipe de Rouen pressait pour revenir au score. Mathias ne glissait plus la main entre les cuisses de sa voisine, et Michaël la tenait juste par les épaules pour la réchauffer, lui frottant parfois le dos. La petite black, elle, ne prêtait qu'une attention limitée à ce qui se passait sur le terrain. Elle bougeait légèrement les cuisses, faisant ainsi doucement frotter sa vulve contre le fauteuil. Celle-ci mouillait et glissait donc de plus en plus facilement. Maryline avait des petits frissons que Michaël prenait pour des réactions au froid, et il la réchauffait dès qu'il les ressentait. Mais ce n'était pas du qu'au froid. La jeune fille se rendit compte soudainement que sous l'effet de l'excitation et de l'alcool qui la désinhibait, ses cuisses s'étaient ouvertes plus largement qu'auparavant; et deux hommes qui se trouvaient quelques travées plus bas avaient tourné la tête vers elle et la fixaient avec de grands yeux perplexes. Elle eut l'envie instinctive de resserrer les cuisses, mais s'en empêcha et jeta un regard à Michaël. Celui-ci tourna son regard vers elle en souriant, puis reporta sa concentration sur le match. Il ne semblait pas avoir remarqué que sa copine avait attiré l'attention. Elle regarda de nouveau en bas, et croisa les regards des deux hommes qui, eux, ne s'intéressaient plus du tout au match. Ils échangèrent quelques mots et ne quittèrent pas l'entrejambe de Maryline des yeux. Ils restèrent ainsi de longues minutes. La jeune fille osait elle aussi les regarder, dans un état second, et la situation ne faisait qu'entretenir son excitation. Elle respirait plus fort. La clameur du stade la ramena brusquement à la réalité. Paris avait marqué un deuxième but, et Michaël et Mathias se levèrent pour hurler avec les autres spectateurs. Entraînée avec son copain par les épaules, la petite black se leva elle aussi et cria, délaissant ses deux voyeurs pour qui le spectacle venait de se terminer. La fin du match approchait, et les garçons ne se rassirent plus. Maryline resta donc debout avec eux et termina sa bière, oubliant un moment ses pulsions sexuelles. Rouen réduisit le score en marquant un but dans les dernières minutes de la rencontre, mais Paris remporta quand même la victoire, et les garçons exultèrent. La jeune fille sauta avec eux, avec modération afin d'éviter de trop s'exhiber, mais les deux voyeurs qui jetaient un regard occasionnel sur elle pour ne pas laisser passer leur chance ne manquèrent pas d'apercevoir de nouveau sa petite chatte. Le match terminé, tout le monde se pressa afin de sortir du stade. Ca se bousculait un peu à la sortie, et Maryline se retrouva serrée entre ses deux gardes du corps. Malgré ça, elle sentit soudain une main se glisser entre ses cuisses par derrière, et remonter directement jusqu'à sa fente. Elle poussa une exclamation et se retourna, et eut le temps d'apercevoir les deux voyeurs s'éclipser dans la foule en rigolant. Michaël tourna la tête lui aussi.

     

     

     

    • Qu'est-ce qui se passe? Demanda-t-il.

    • Rien, rien... mentit la jeune fille. Ce n'est rien.

     

     

     

    Elle aurait pu dire la vérité à son copain, ça l'aurait certainement amusé. Mais elle aurait certainement du aussi expliquer ce qui s'était passé dans le stade et elle préféra l'éviter, car elle ne voulait pas en arriver à avouer qu'elle était toute excitée.

     

    Quand ils réussirent enfin à quitter le stade, le trio retourna à la boutique du club. Alex y était affairé avec quelques clients qui affluaient après le match. Michaël lui demanda à récupérer son sac de sport, et le vendeur le lui rendit entre deux clients, visiblement déçu de ne pas pouvoir passer un peu de temps avec Maryline et les garçons. Il lui fit tout de même un clin d'oeil avant que les trois ne le laissent à son travail.

     

     

     

    • Bon alors, on se fait sushis ou grec? Demanda Michaël quand ils furent dehors.

    • Franchement, moi j'ai la dalle, dit Mathias. Je préfèrerais un grec.

    • Heu... si on va manger quelque part, ça serait possible d'avoir quelque chose à me mettre, s'il-vous-plaît? Osa timidement Maryline.

    • Ben, ce que tu portes te va très bien! Fit Michaël. En plus c'est les couleurs de la victoire ce soir!

     

     

     

    Il rigola ainsi que Mathias, et ils partirent vers un restaurant qu'ils connaissaient quelques rues plus loin. La petit black dut se résigner à rester aussi peu vêtue, et dut supporter les regards interrogateurs de certains passants. Elle fut contente qu'ils arrivent rapidement afin de se mettre au chaud. Mais elle fut moins rassurée lorsqu'elle constata qu'en ce samedi soir le petit restaurant turc était plein de clients. Les regards de nombreux hommes la détaillèrent de la tête aux pieds. Maryline se fit aussi discrète que possible. Elle répondit d'une petite voix à Michaël qui lui demandait ce qu'elle voulait manger, puis alla s'asseoir à une table au côté de Mathias pendant que son copain passait la commande. Quelques-uns des clients ne la quittaient pas des yeux. Elle n'oublia pas qu'elle devait garder les jambes ouvertes en s'asseyant, mais elle n'osa pas le faire tout de suite. Elle était certaine que plusieurs personnes avaient une vue imprenable sur ses cuisses sous la table. Elle réfléchit, cherchant une position qui lui permettrait d'obéir à Michaël tout en restant décente. Justement, le garçon avait enfin commandé leurs repas et vint s'asseoir à son tour, face à la jeune fille. Celle-ci n'eut plus le temps de tergiverser et ouvrit les cuisses d'une bonne vingtaine de centimètres. Michaël n'aurait surement pas remarqué qu'elle ne l'avait pas fait immédiatement. De plus, comme il se trouvait face à elle, il la masquait à la plupart des clients avec sa large carrure. La petite black fut momentanément soulagée. Mathias et Michaël reparlèrent du match, jusqu'à ce que le serveur leur apporte les trois repas. Ils avaient faim et on les entendit alors beaucoup moins. Même Maryline se sustenta avec appétit. L'assiette chaude lui faisait du bien. Michaël avait aussi commandé des bières, et en servit une d'autorité à la jeune fille. Les garçons trinquèrent avec elle, et bien qu'elle aurait préféré ne pas continuer à boire de l'alcool, elle avait soif et profita tout de même de la boisson fraîche. A la fin du repas la tête lui tournait passablement, et elle ne se souciait plus si on la regardait ou non. Michaël commanda une autre tournée de bière, et le trio but en discutant et rigolant de tout et de rien. Maryline se détendit complètement, à l'aise avec les garçons qui ne firent aucune allusion à sa petite tenue. Dehors la nuit était tombée et le temps passait. La jeune fille n'aurait su dire si les garçons lui avaient resservi une bière, avant qu'ils ne passent au café. En tout cas elle était sérieusement éméchée, et bizarrement cet état d'ébriété réveilla l'excitation qu'elle avait ressentie au stade. Les cuisses ouvertes, elle se rendait compte à quel point sa chatte était accessible et cette pensée, associée au souvenir de ses voyeurs du stade, provoqua son humidification. L'esprit un moment ailleurs, elle ne se rendit pas compte que Michaël fouillait dans son sac de sport. Il en ressortit les vêtements et les bottes qu'ils avaient achetés ensemble l'après-midi même, et les donna à Mathias.

     

     

     

    • Il est temps que Maryline se change si on veut pouvoir entrer en boîte, dit Michaël. Mathias, tu veux bien l'accompagner aux toilettes? Ajouta-t-il avec un clin d'oeil à l'intention de son copain.

    • OK, fit celui-ci en attrapant les vêtements. Tu viens, Maryline?

     

     

     

    Il se leva, et la jeune fille le suivit un peu béate, analysant encore ce que venait de dire Michaël. Ils allaient en boîte? Elle ne remarqua pas tous les regards masculins de la salle qui la suivirent jusqu'à la porte des toilettes que Mathias lui ouvrit. Elle entra avec lui sur ses pas. La porte se referma. Heureusement les toilettes étaient propres, mais plutôt étroites. Il y avait une seule pièce, pas de séparation hommes femmes. La petite black regarda autour d'elle, les yeux dans le vague, ne sachant apparemment que faire. Le grand gaillard à lunettes vint à son secours.

     

     

     

    • Bon alors... déshabille-toi, dit-il d'un ton mal assuré.

     

     

     

    Il voulait être aussi ferme avec elle que l'était Michaël, mais il manquait encore d'assurance.

     

     

     

    • Heu... tu pourrais te tourner, s'il-te-plaît? Osa demander Maryline.

    • Hum!...

     

     

     

    Le garçon se râcla la gorge pour se donner une contenance. C'était le moment où jamais de montrer qui était le patron s'il voulait asseoir lui aussi son autorité sur la jeune fille.

     

     

     

    • Tu sais, je t'ai déjà vue sous toutes les coutures, alors ne fais pas ta sainte nitouche, fit-il d'une voix plus grave que la normale.

     

     

     

    La petite black dut reconnaître que c'était vrai. Elle n'avait pas la tête à polémiquer et soupira simplement. Puis elle défit ses chaussures et ôta ses chaussettes. Ensuite elle attrapa son maillot et le fit passer par-dessus sa tête. Mathias le lui prit. Elle se retrouva nue comme au premier jour dans les toilettes de ce restaurant turc. Cette pensée la fit frissonner. Elle avait envie d'uriner après les bières qu'elle avait bues, et décida de passer outre sa pudeur. Elle s'assit sur les toilettes et se soulagea. Mathias ne la quittait pas du regard. Quand elle eut terminé, elle sentit de nouveau que son bas-ventre réagissait. Elle avait envie de sexe, cela devenait clair à présent. Elle leva les yeux vers Mathias, face à lui, toute exposée, avec un regard ambigü. Le garçon la toisa de haut en bas, avala sa salive, et décida que c'était le moment d'en profiter. Il ouvrit son pantalon avec des gestes précipités, et libéra son sexe déjà tendu.

     

     

     

    • Mets-toi à genoux! Dit-il en soufflant. Tu m'as trop excité, suce-moi!

     

     

     

    Maryline aurait préféré qu'il lui dise qu'il voulait la baiser, dans l'état où elle était elle était prête à l'accepter et, elle osait à peine se l'avouer, elle en avait même envie. Pourquoi les garçons aimaient-ils à se point qu'on leur suce la bite? Elle ne trouva pas le courage de demander à Mathias qu'il la baise ici, et se mit à genoux. Peut-être qu'en lui faisant une bonne fellation il aurait envie de la prendre? Elle attrapa alors sa queue d'une main et referma les lèvres autour de son gland. Le garçon poussa un petit « ho! » de satisfaction. La jeune fille suça et lécha le bout turgescent qui avait un fort goût salé. Puis elle commença des mouvements de va-et-vient avec la tête, prenant la verge plus profondément dans sa bouche, comme le lui avait appris Michaël la veille près du lac. Elle repensa à cette scène, et s'appliqua à reproduire ce qui avait tant plus à son copain. Elle pompa la bite de Mathias avec davantage d'énergie, et le masturba en même temps de la main. Le garçon plia les genoux, avançant son bassin à la rencontre de la bouche qui le suçait si divinement. Il n'avait pas une grande expérience de la chose mais il trouvait que la petite black était une suceuse de première. Elle lui aspirait la bite comme on ne l'avait jamais fait, et il ne tarda pas à sentir qu'il allait venir. Maryline, elle, se caressait la fente en même temps qu'elle le suçait. Elle avait tellement envie de jouir, tellement envie de cette queue en elle! Elle commençait à en devenir folle, et le pompait d'autant plus ardemment. L'éjaculation la prit par surprise, et elle retira d'instinct le sexe de sa bouche. Le sperme gicla en partie sur le mur à côté d'elle, et en partie sur le haut de ses seins. Mathias poussa un soupir gémissant de soulagement. Elle, elle fut déçue, se rendant compte qu'il ne pourrait plus la baiser dans l'immédiat.

     

     

     

    • Ho noooon! Fit-elle en enfonçant un doigt dans son vagin. J'en ai trop envie!

     

     

     

    Mathias la regarda se pénétrer avec son doigt, faisant de furieux va-et-vient, alors que lui-même rangeait son sexe ramolli dans son pantalon. Puis il interrompit la jeune fille dans son plaisir en la relevant de force par le bras.

     

     

     

    • Allez! Dit-il en rigolant. C'est plus le moment de te faire du bien, petite cochonne! Il faudrait peut-être penser à te saper!

     

     

     

    Après ce qui venait de se passer, il se sentait soudainement plein d'assurance et n'hésitait plus à parler à Maryline avec autorité. Celle-ci gémit, le bas-ventre en feu alors qu'elle était si proche d'atteindre l'orgasme tant attendu. Mais Mathias la tenait toujours par le bras et lui tendit sa robe.

     

     

     

    • Allez, enfile ça! Ordonna-t-il. Et dépêche-toi sinon je te traîne à poil dans le resto!

     

     

     

    Il avait proféré sa menace en riant à moitié, mais la petite black ne voulait pas risquer qu'il la mette à exécution.

     

     

     

    • Attends! S'exclama-t-elle. Je me nettoie un peu avant.

    • OK!

     

     

     

    Elle prit un peu d'eau au lavabo pour nettoyer le sperme qu'elle avait sur la poitrine, puis s'essuya avec du papier toilette. Ensuite elle prit la robe et l'enfila. En bas, la jupe bouffante était toujours aussi courte, dévoilant plus de la moitié de ses cuisses, mais Maryline était quand même plus couverte qu'avec son simple maillot de foot. C'est en haut qu'elle se sentait plus dévoilée, avec ce bustier qui faisait ressortir ses seins, et ce voile transparent qui la couvrait jusqu'au cou mais ne cachait rien. Elle enfila ensuite les bottes noires, puis le blazer à col large qu'elle ne pouvait que laisser ouvert. Mathias sourit d'un air coquin.

     

     

     

    • Waow! T'es à croquer, dis donc! Dit-il.

     

     

     

    La petite black baissa les yeux, gênée par ce compliment. Négligemment elle glissa une main sous sa jupe par devant pour se caresser la vulve. Peut-être pouvait-elle prendre deux minutes pour se faire jouir et enfin se libérer de cette tension? Le jeune homme la regarda faire, puis envoya à son tour sa main sous la jupe pour écarter celle de sa partenaire. Il fit glisser deux doigts le long de la fente glabre et inondée de cyprine.

     

     

     

    • Mon dieu! Fit-il d'un air faussement théâtral. Mais ça bave là-dessous!

    • Hoooo oui! Fais-moi jouir s'il-te-plaît! Quémanda Maryline.

    • Ho non! Dit-il en retirant sa main et en empêchant celle de la jeune fille de reprendre sa place. Reste comme ça, c'est tellement beau de voir une fille toute excitée. Tu as les yeux qui brillent de désir.

    • Tu peux pas me laisser comme ça, s'il-te-plaît! Je t'ai bien sucé, moi!

    • Je sais. C'est pas que j'en ai pas envie, mais on aura tout le temps de te faire plaisir dans la soirée. Allez, viens!

     

     

     

    Il l'emmena par la main, et ils sortirent des toilettes. Dans la salle, ils attirèrent nombre de regards interrogateurs, du fait qu'ils s'étaient absentés ensemble de longues minutes, et aussi que la jeune fille avait changé de tenue. D'ailleurs celle-ci marchait maladroitement, peu habituée aux hauts talons des bottes qui de plus lui faisaient un peu mal aux pieds. Le couple s'assit à leur table, et Michaël lança à Maryline un sourire qui la fit craquer.

     

     

     

    • Tu es superbe! Lui dit-il d'une voix trop basse pour que des oreilles indiscrètes ne l'entendent.

     

     

     

    Mathias lui tendit le t-shirt de foot et il le rangea dans son sac de sport. Le trio était prêt à partir. Les garçons se levèrent et Michaël prit sa copine par la main. Il alla payer l'addition au comptoir, puis ils quittèrent l'établissement, sous les regards de nombreux hommes envieux.

     

     

    A suivre..

     


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    Michaël emmena la petite black vers des rues commerçantes, où ils pourraient se promener de boutique en boutique. Maryline tenta d'interroger le jeune homme sur le programme de la soirée, mais il ne dit rien, voulant préserver la surprise. Ils marchaient main dans la main, et la jeune fille en était toute émue. Elle s'interrogea sur Michaël. Manifestement elle pouvait le considérer comme son petit copain, même si leur relation avait commencé de manière atypique, avec un chantage... chantage qui se poursuivait, puisque c'est par ce moyen que le garçon obtenait d'elle des choses qu'elle n'aurait jamais accepté d'un petit copain banal. En y réfléchissant, tout le monde a des préférences sexuelles, des fantasmes qu'il cherche à assouvir avec son partenaire. Mais ceux de Michaël étaient carrément osés: exhiber la petite black et la partager avec son entourage. Est-ce qu'elle pouvait accepter ça? Certainement pas mais elle n'avait pas le choix. Donc, si par ailleurs elle pouvait partager de vrais bons moments avec lui, c'était un juste retour des choses, et ça compensait un peu les inconvénients, non? C'est un peu pour ça que Maryline tenait à sortir ce soir avec celui qu'elle voulait appeler maintenant son petit ami, pour passer un vrai moment en couple... avec l'espoir que ça ne dégénère pas.

     

    Les deux lycéens s'arrêtèrent devant quelques vitrines de magasins de vêtements, commentant les modèles exposés. Michaël gardait toujours une main sur le corps de la petite black, l'autre tenant son sac de sport. Sa préférence était de glisser sous le sweat pour caresser la peau nue du dos ou du ventre, voire en remontant un peu pour attraper un sein et le pétrir doucement. Ce faisant il remontait un peu trop le vêtement au goût de la jeune fille, qui passait la plupart de son temps à le redescendre pour éviter de se retrouver seins nus. Finalement après avoir léché plusieurs vitrines, Michaël fit son choix, sans vraiment tenir compte de l'avis de sa copine, et fit marche arrière pour entrer dans une boutique populaire où se pressaient les clients. Il était un peu déçu de voir que les collections hiver prenaient déjà presque la totalité de la place, mais même là-dedans il y avait des petites tenues sexy qui lui plaisaient. Maryline, elle, repéra déjà des petits pantalons ou des chemisiers qui lui plaisaient, mais ce n'était visiblement pas ce sur quoi s'arrêtait le garçon. Il passa dans les rayons et prit quelques vêtements sur le bras, puis emmena la jeune fille vers les cabines d'essayage au fond du magasin. Il y avait tout un couloir bordé de cabines fermées par des rideaux, et une vendeuse en désigna une libre où Maryline pouvait se changer. Michaël l'y accompagna, et entra avec elle dans le réduit. Il posa son sac de sport à terre.

     

     

     

    • Tiens, tu peux essayer déjà ça, dit-il en lui tendant un blazer à col large. Mais enlève d'abord ton sweat, ça va faire moche avec ça.

    • Heu... normalement une veste, on met quelque chose en-dessous, osa avancer la petite black.

    • Je sais, je sais! S'énerva un peu le garçon. Là c'est juste pour essayer, et je te dis que ton sweat sera moche en-dessous. Alors ne discute pas.

     

     

     

    Maryline ne chercha pas à argumenter davantage, et enleva son sweat sans manches. La poitrine nue, elle enfila le blazer. Il n'avait même pas de bouton, il était fait pour rester négligemment ouvert. Elle le tint à peu près fermé pour voir dans le miroir si la coupe était bonne. Mais Michaël la fit se tourner vers lui.

     

     

     

    • Lâche-là, ordonna-t-il.

     

     

     

    Dès qu'elle lâcha le tissu, la veste s'ouvrit sur une large bande de peau de son ventre à son cou. Michaël l'examina d'un oeil scrutateur, et écarta un pan de la veste pour dégager un sein.

     

     

     

    • C'est pas mal du tout, fit-il.

     

     

     

    Il tria dans les vêtements qu'il avait sélectionnés pour être essayés, et choisit une petite robe noire.

     

     

     

    • Bon, enlève tout, maintenant, dit-il, même les chaussures. Tu vas mettre ça!

     

     

     

    Maryline ôta ses chaussures et ses soquettes, puis le blazer et enfin sa jupe. Elle eut une sensation étrange de se retrouver juste en culotte dans cette boutique fréquentée. Elle entendait tout le brouhaha de la clientèle à quelques pas d'elle.

     

     

     

    • La culotte aussi! Dit Michaël en montrant le sous-vêtement du doigt. Tu vas quand même pas porter ça avec une robe aussi chic, non?

     

     

     

    La jeune fille regarda son slip blanc, interloquée, hésita, vit le regard du jeune homme qui attendait qu'elle réagisse, et finit par obtempérer. Elle enleva le dernier rempart à sa nudité. Son copain lui sourit et lui tendit la robe. C'était une robe bustier qui parut bien petite à Maryline. Elle se demanda si elle entrerait dedans. Et en effet, elle dut se tortiller pour l'enfiler. Ses hanches plutôt larges passèrent avec difficulté, et elle eut autant de mal à faire entrer ses seins dans le bustier. La robe était coupée pour arriver à mi-cuisses, mais elle était trop petite d'au moins une taille et s'arrêtait effectivement plus haut. Michaël admira le résultat: la petite black était extrêmement pulpeuse, ses chairs prêtes à surgir de la robe.

     

     

     

    • Ca va pas, c'est pas possible, c'est trop court... dit-elle avec gêne.

    • Essaye avec ça, fit le garçon en lui redonnant le blazer.

     

     

     

    Elle soupira et enfila la veste. Au moins si ses seins sortaient du bustier, ainsi ils resteraient quand même cachés.

     

     

     

    • Tu es très chic! Fit Michaël sur un ton admiratif.

    • Merci! Répondit la jeune fille. C'est vrai que ça fait chic. Mais c'est pas un peu trop, justement? C'est pour aller où?

    • Ca, tu le verras le moment venu. Mais essaie quand même autre chose. Regarde cette robe, c'est le même genre de modèle.

     

     

     

    Il tendit le vêtement à Maryline. C'était aussi une robe noire bustier. La lycéenne dut se déshabiller de nouveau, puis enfila la nouvelle robe. Elle eut autant de mal à faire entrer ses seins dans le bustier, mais au-dessus sa poitrine était couverte jusqu'au cou d'un tissu-voile transparent. En bas, il n'y avait pas de problème. La robe était flottante et légère, recouverte de tulle, et à peine plus longue que l'autre.

     

     

     

    • C'est pas mal! Dit Michaël en se léchant les babines. C'est plus pratique, regarde.

     

     

     

    Et joignant le geste à la parole, il souleva la jupe flottante pour dévoiler le bas-ventre de la petite black.

     

     

     

    • Ha oui, pas mal du tout! Ajouta-t-il. Tourne-toi!

     

     

     

    Maryline se retourna. Le garçon tenait toujours le bas de la robe, et la souleva davantage pour voir tout le postérieur de la lycéenne. Soudain il n'y tint plus. Il posa sur son sac de sport les vêtements qu'il tenait.

     

     

     

    • Enlève la robe et penche-toi en avant! ordonna-t-il tout excité à Maryline.

     

     

     

    Elle tourna la tête vers lui, et vit qu'il ouvrait son pantalon.

     

     

     

    • Non! Pas ici, arrête! Lui chuchota-t-elle afin de ne pas attirer l'attention à l'extérieur de la cabine.

    • Fais-le, ne discute pas! Continua le jeune homme d'un ton plus ferme. Je t'ai dit n'importe où, n'importe quand, et c'est maintenant.

     

     

     

    La petite black comprit qu'il ne fallait pas discuter. Et en fait, elle en avait plutôt envie elle aussi, depuis le temps qu'elle attendait que Michaël lui fasse de nouveau l'amour. Mais elle ne s'était certainement pas attendue à ce que ça se passe dans un endroit public. Elle fit glisser sa robe et la posa sur les autres vêtements. Puis elle se pencha en avant en posant les mains contre le mur en face.

     

     

     

    • Ouvre ton cul! Ordonna le jeune homme.

     

     

     

    Maryline se mordit les lèvres de honte, et d'une main, elle écarta une fesse, exposant outrageusement son anus et sa chatte. Michaël ne perdit pas de temps, il posa les mains sur ses hanches et enfonça d'un coup son sexe dans celui de la jeune fille. Elle se retint d'émettre le moindre son. Il y avait des gens juste derrière le rideau et elle préférait ne pas attirer l'attention. Son copain la baisa rapidement. Il était apparemment très excité, son membre bien dur. Il besogna sa copine à un rythme effrené, et elle dut s'appuyer fermement au mur pour ne pas tomber. Sa plus grande crainte était que quelqu'un n'entende ce qu'ils faisaient et ouvre le rideau. Elle respirait fortement, la bouche ouverte, luttant pour ne pas gémir, excitée à son tour par les va-et-vients rapides du jeune homme. A peine une poignée de minutes suffirent pour qu'il prenne son pied. Il resta collé au cul de la petite black, empalé jusqu'à la garde, et éjacula au fond de son vagin. Lorsqu'il eut déversé tout son sperme, il se retira doucement, la queue luisante. Maryline, elle, n'avait pas joui, et elle resta un moment dans la même position, toute pantelante.

     

     

     

    • Tu as déjà fini? Gémit-elle, déçue.

    • Quoi, tu en veux encore? Fit Michaël avec un petit rire amusé.

     

     

     

    Toujours dans la même position, la jeune fille remua doucement ses hanches avec une petite moue aguicheuse en guise de réponse.

     

     

     

    • Si tu veux, je suis sur que je peux trouver quelqu'un là dehors qui voudra bien assouvir ta soif de bite, ajouta le garçon en rangeant son sexe dans son boxer.

    • Non merci! S'empressa de répondre la petite black en se retournant.

     

     

     

    Elle craignait vraiment que son copain ne soit capable de le faire. Il remit son pantalon en place, et regarda le tas de vêtements d'un air dubitatif.

     

     

     

    • Bon, je crois que c'est pas la peine de faire d'autres essais, dit-il. C'était concluant avec la dernière robe.

    • Je peux la remettre, alors? Demanda Maryline.

    • Non. C'est pas pour maintenant, tu risques de la salir. Tu la mettras plus tard. En attendant remets ce que tu portais.

     

     

     

    La jeune fille ne se le fit pas dire deux fois, pressée de se rhabiller. Elle ramassa en premier lieu sa culotte, mais Michaël la lui prit tout de suite des mains.

     

     

     

    • Ha non! Fit-il avec un signe négatif de la main. Ca par contre, tu le remets pas. Je préfère encore que tu sois cul nu que de porter ce slip de fillette.

    • Mais... objecta Maryline, donne-moi au moins une autre culotte alors! S'il-te-plaît!...

    • Tu discutes? Je peux encore aller chercher quelqu'un dehors, tu sais.

     

     

     

    La mine de la petite black se renfrogna et elle se rhabilla, jupe et sweat sans manches, sans sa culotte. Elle voulut ensuite remettre ses soquettes et ses chaussures, mais son copain l'en empêcha de nouveau.

     

     

     

    • Pas la peine, on va chercher des chaussures justement. Reste pieds nus pour le moment.

     

     

     

    Il ramassa le tas de vêtements et les chaussures de Maryline, la robe et le blazer choisis à part, ainsi que son sac de sport. Il tira ensuite le rideau et sortit, la petite black à sa suite. Il remit à la vendeuse en charge des essayages les vêtements qu'il ne gardait pas, puis se dirigea vers la partie chaussures du magasin. Personne ne semblait faire attention au fait que Maryline était pieds nus, ce qui la rassura. Michaël indiqua un tabouret à la jeune fille.

     

     

     

    • Assis-toi là! Lui dit-il.

     

     

     

    Elle obéit, gardant les genoux serrés.

     

     

     

    • Non, pas comme ça! Fit le garçon d'un air renfrogné. Ne serre pas les jambes quand tu t'asseois.

    • Mais!... commença la petite black, puis elle baissa la voix en regardant autour d'elle. Tu sais bien que je n'ai rien en dessous. Ca risque de se voir!

    • Ca fait déjà au moins trois fois que tu me contredis depuis qu'on est là, dit simplement Michaël. Pour ça tu as déjà une punition en réserve.

     

     

     

    Maryline ouvrit la bouche, ébahie, mais rien n'en sortit. Il y avait des clients dans tout le magasin. Elle desserra les cuisses, un petit peu. Son copain attrapa ses genoux et les écarta plus largement, de sorte que lui au moins, face à elle, voyait nettement sa chatte encore ouverte et mouillée.

     

     

     

    • Tu ne bouges pas! ordonna-t-il à la lycéenne.

     

     

     

    Puis il lui demanda sa pointure et examina le rack de chaussures pour femmes afin de faire son choix. Maryline sentait la chaleur lui envahir les joues. Elle avait les jambes ouvertes, pieds nus, et même si sa jupe n'était pas trop courte, dans sa position quelqu'un de bien placé avait une vue directe sur son sexe. Ce qui ne manqua pas évidemment. Un duo d'adolescents, des garçons, passant dans l'allée d'en face, firent brusquement marche arrière pour regarder directement entre les cuisses de la jeune fille. Ils en eurent les yeux exhorbités et parlèrent entre eux, tout excités. Maryline s'efforça de regarder Michaël, faisant comme si elle ne les voyait pas. Les garçons voulurent s'approcher pour voir de plus près cette petite chatte noire, mais à ce moment un grand gaillard qui devait être son petit copain la rejoignit. Ils firent demi-tour, dépités. Michaël avait à la main deux paires de bottes noires à hauts talons.

     

     

     

    • Tiens, essaye ça! Dit-il en posant les bottes aux pieds de la petite black.

     

     

     

    Celle-ci prit la première paire et chercha comment enfiler ces bottes sans s'exposer immodérément. Mais c'était peine perdue. Elle était obligée de lever le pied et de tendre la jambe pour tirer sur la botte de cuir. Son entrejambe était offert à la vue, et Michaël était le premier à en profiter mais il n'était pas le seul. Le duo d'adolescents s'était posté un peu plus loin pour observer la scène. Ils se régalèrent eux aussi. La première paire enfilée, Maryline eut un peu de mal à marcher. Elle n'avait jamais porté ce genre de choses et manquait de grâce et d'équilibre, ce que son copain lui fit d'ailleurs remarquer.

     

     

     

    • Il faudra t'y habituer, lui dit-il, parce que je te ferai porter des talons plus souvent maintenant. Allez, essaye l'autre paire!

     

     

     

    La jeune fille dut se rasseoir et enlever ses bottes, mais elle ne put le faire seul. Elles serraient son pied et Michaël dut l'aider. Mais en fait d'aide, le garçon la força à lever la jambe plus haut qu'auparavant afin qu'il puisse tirer la botte. Il tira fort, par à-coups, et la petite black se retrouva avec les fesses au bord du tabouret, une jambe en l'air, la jupe relevée sur ses cuisses. Elle aperçut les deux adolescents qui ne manquaient pas une miette du spectacle en la montrant du doigt. Elle était morte de honte, mais elle sentait également que son sexe , objet de toutes les attentions, suintait d'humidité. Elle craignait que le sperme de Michaël ne coule sur ses cuisses. Elle resta exposée en enfilant la deuxième paire de bottes, puis fut soulagée de pouvoir se lever pour marcher un peu avec. Ce fut toujours aussi difficile, mais elle fit durer le plaisir pour éviter d'avoir à se rasseoir.

     

     

     

    • Je les garde sur moi? Demanda-t-elle à Michaël.

    • C'est ces bottes que tu préfères? OK, dit-il. Mais tu ne les gardes pas, non. Tu les mettras plus tard, avec la robe. Là tu peux remettre tes chaussures.

     

     

     

    Maryline fit la moue, comprenant qu'elle devait se montrer encore une fois. Les deux adolescents étaient restés postés au même endroit, et attendirent avec impatience jusqu'au moment où la jeune fille s'assit. Elle croisa leurs regards à ce moment-là et elle y vit un désir brut qui la perturba. Elle eut encore plus de difficulté à ôter les bottes, faisant malgré elle durer le spectacle pour les petits voyeurs. Elle mit ensuite rapidement ses soquettes et ses chaussures que Michaël lui rendit, et se leva avec un soupir de soulagement. Elle pensait que son calvaire était terminé.

     

     

     

    • Tu as vu que tu as des admirateurs? Lui souffla alors Michaël avec un sourire pervers.

    • Oui... je les ai vus, avoua Maryline dans un souffle elle aussi.

    • Ils aiment te voir, il ne faut pas les décevoir. Tourne-toi! Ordonna-t-il.

     

     

     

    La jeune fille se demanda avec angoisse ce qu'il comptait faire, mais n'osa pas faire d'objection encore une fois. Elle se tourna, dos aux deux adolescents. Michaël leur adressa alors un regard complice, et souleva la jupe de la petite black pour leur montrer son cul rebondi. Elle sursauta et eut un geste pour se retourner et rabaisser sa jupe mais d'une main de fer son copain l'en empêcha. Il garda la jupe levée quelques instants, puis la rabaissa sous les yeux ébahis des deux garçons. Il emmena ensuite la jeune fille par la main en rigolant. Maryline était effarée qu'il ait osé faire ça en plein magasin. Et si quelqu'un d'autre l'avait vue? Et si les deux adolescents essayaient de la suivre? Elle regarda autour d'elle avec anxiété alors que Michaël passait à la caisse pour payer les vêtements et la paire de bottes. Il les rangea dans son sac de sport puis quitta la boutique avec Maryline.

     

     

     

    • Maintenant on va à Charléty pour le match de l'équipe première, dit Michaël. C'est là que j'ai rendez-vous avec mon pote.

     

     

     

    Maryline n'osa pas parler de ce qui venait de se passer dans le magasin.

     

     

     

    • Qui c'est? Demanda-t-elle.

    • Mathias.

    • Ha, fit simplement la jeune fille. Je pensais que ce serait peut-être Alban.

    • Non, je lui ai proposé, mais il sortait avec sa copine. Pourquoi? T'as aimé quand il t'a prise dans la douche? Demanda le jeune homme amusé.

    • Hein? Heu, non, enfin oui... fit sa copine toute gênée par cette question. Nan, c'est pas ce que je veux dire! C'est que, je l'ai pas voulu, mais...

     

     

     

    Elle hésita, soupirant, puis avoua:

     

     

     

    • Bon d'accord, c'était pas désagréable. Mais j'ai été prise par surprise!

    • Je sais, dit Michaël. C'était un peu fait exprès. J'aime te faire des surprises. Et t'en auras encore beaucoup d'autres.

     

     

     

    Ils étaient en avance et prirent donc le temps d'aller à pieds jusqu'au stade. Maryline avait toujours froid et le garçon lui proposa son propre blouson pour la réchauffer. En chemin, il reçut un appel sur son téléphone portable. C'était son copain Mathias, et Michaël lui dit qu'il ferait d'abord un saut à la boutique du club et qu'ils pouvaient se retrouver là-bas.

     

    La boutique était petite et peu fréquentée, mais il s'y trouvait quand même deux ou trois clients qui flânaient là avant le match. Michaël et Maryline y retrouvèrent Mathias à l'intérieur. Les deux garçons se saluèrent juste d'un mot. Ils s'étaient vus peu avant à l'entraînement, et Maryline se souvint que Mathias lui avait fait la bise dans le vestiaire. C'était un garçon plutôt grand et mince, et il portait des lunettes quand il ne faisait pas de sport.

     

     

     

    • Tu veux te racheter une écharpe? Demanda-t-il à Michaël.

    • Non, répondit celui-ci. C'est pour Maryline, je veux lui offrir un maillot floqué à son nom.

     

     

     

    La jeune fille fut surprise et ouvrit de grands yeux.

     

     

     

    • Ho, c'est pas la peine, tu sais! Exprima-t-elle.

     

     

     

    Elle n'avait jamais porté de maillot de football, et ne se voyait pas avec ça sur le dos.

     

     

     

    • Si si, j'insiste! Ajouta Michaël. Attends, on va assister à un match, et je veux que tu sois une supportrice modèle! La plus sexy des supportrices! Viens!

     

     

     

    Il prit sa copine par la main et l'emmena voir les maillots. Mathias les suivit. Michaël prit les deux plus petites tailles, et posa les maillots un à un devant la poitrine de la jeune fille pour voir ce qui irait le mieux.

     

     

     

    • Hum! Vu ton petit gabarit, c'est un de ces deux-là qu'il te faudrait, mais je n'arrive pas à voir lequel, dit-il. Il faut les essayer.

     

     

     

    Maryline soupira en regardant autour d'elle.

     

     

     

    • Je ne vois pas de cabine d'essayage, dit-elle.

    • Je sais, il n'y en a pas, confirma son copain. On va demander à Alex si tu peux quand même essayer.

     

     

     

    La jeune fille eut un frisson qui n'était pas du qu'à sa frilosité. Elle craignait, à juste titre, que Michaël ne cherche de nouveau à l'exhiber. Ils allèrent à la caisse où un jeune homme attendait le client.

     

     

     

    • Salut, Alex! Lui dit Michaël en lui serrant la main.

    • Ho, Mike! Ca va? Répondit-il. Et toi, Mathias?

    • Ca roule, fit celui-ci en lui serrant la main à son tour.

    • Dis, Alex, demanda Michaël, ma copine Maryline veut un maillot, mais elle ne sait pas quelle taille prendre. Ca te dérange pas si elle essaye ici?

     

     

     

    Il montra les deux maillots et la fille à son côté pour appuyer sa demande.

     

     

     

    • Nan, pas de souci! Fit Alex en haussant les épaules.

    • OK, merci! Bon, alors enlève ça, ma belle, dit-il en se tournant vers la petite black.

     

     

     

    Joignant le geste à la parole, il attrapa le bas du sweat de Maryline et le souleva. La jeune fille le retint de la main, surprise, mais n'osa pas dire un mot pour le contrarier. Elle lui jeta juste un regard implorant afin de lui faire comprendre que ce n'était pas le moment ni l'endroit, mais le jeune homme semblait décidé. Il ne lâcha pas le sweat et ses yeux ne montraient que son inflexibilité. Les deux autres garçons les observaient, nonchalamment intrigués. Maryline comprit qu'elle n'avait de nouveau pas le choix. Elle jeta un oeil autour d'elle. Il n'y avait aucun client aux alentours. La honte lui envahit les joues alors qu'elle ôta elle-même son sweat d'un geste rapide, le faisant passer par-dessus sa tête. Michaël prit son vêtement, et elle se retrouva torse nu devant Alex et Mathias, qui ouvrirent toutes grandes leurs bouches.

     

     

     

    • Whooooo! Fit Alex dans un cri assourdi en gesticulant des bras. Stop! Je vois, je vois, vous allez pas faire ça ici, attendez! Je vous emmène à l'arrière-boutique!

    • T'es sur? Demanda Michaël. Moi ça me dérange pas, hein?

    • Moi non plus, répondit Alex, mais si un client se plaint, là j'aurai des problèmes. Venez par ici!

     

     

     

    Il ouvrit un portillon pour que Maryline, Michaël et Mathias le suivent derrière la caisse, où il ouvrit ensuite une porte. La petite black ne disait rien, à moitié nue, se laissant guider. Tous entrèrent dans une pièce qui servait entre autres pour le stockage. Alex referma derrière eux.

     

     

     

    • Voilà, ici elle peut se changer, j'en ai rien à foutre, dit-il.

    • OK, fit Michaël en posant son sac de sport dans un coin. Alors Maryline, tu peux continuer. Enlève ta jupe!

     

     

     

    La jeune fille eut un sursaut de surprise, regarda alternativement les trois garçons, et se résigna à obéir. Alex et Mathias n'en crurent pas leurs oreilles.

     

     

     

    • Elle va vraiment le faire? Demanda ce dernier.

    • Bien sur! Certifia Michaël. Elle fait tout ce que je lui demande. Allez vas-y, ma belle!

     

     

     

    Maryline baissa les yeux, déboutonna sa jupe, puis la descendit lentement jusqu'à ses chevilles, dévoilant sa nudité petit à petit. Elle leva les pieds l'un après l'autre pour se débarasser de son vêtement, que Michaël ramassa. Elle ne portait plus que ses chaussures et soquettes.

     

     

     

    • Et ben! S'exclama Alex. Elle n'a pas froid aux yeux, ta copine!

    • Si, des fois ça arrive, malheureusement, dit Michaël. Mais quand elle n'est pas obéissante, je lui donne une correction. Là, justement, elle doit en recevoir une. Tu le sais, hein, Maryline?

    • Heu, oui, oui... mais...

     

     

     

    Elle était sur le point de faire une objection, puis se ravisa. Le jeune homme semblait envisager de lui administrer la punition qu'il lui avait promise sur le champ. Sans doute ne valait-il mieux pas l'alourdir en lui tenant tête. La jeune fille frissonna. Elle était déjà totalement humiliée d'avoir du se déshabiller devant deux garçons qu'elle venait tout juste de rencontrer, et elle n'imaginait pas devoir recevoir une correction en plus. Mais peut-être que si elle y mettait de la bonne volonté elle pourrait éviter le pire. Michaël la scruta un instant pour voir si elle allait poursuivre sa phrase, mais comme elle ne continuait pas, il poursuivit.

     

     

     

    • Sa punition c'est une fessée... à cul nu bien sur! C'est pour ça que je lui ai fait enlever sa jupe. Et comme la coquine n'a pas de culotte, ça facilite les choses.

     

     

     

    Les trois garçons rirent des bêtises de Michaël, et l'on voyait bien qu'Alex et Mathias étaient alléchés par le programme. Michaël posa la main sur le cul de la petite black, le caressant fermement, et regarda autour de lui.

     

     

     

    • Tiens! Tu vas te pencher sur la table là, ce sera le mieux, dit-il à Maryline en lui indiquant la grande table du local.

     

     

     

    Alex s'empressa de pousser quelques affaires qui se trouvaient sur cette table afin de dégager de la place. Encouragée par son copain qui la poussait par les fesses, Maryline approcha du bord de table et se pencha dessus. Mais elle était trop petite et elle dut se hisser sur la pointe des pieds pour pouvoir allonger son ventre sur le meuble. Michaël s'était glissé de l'autre côté de la table.

     

     

     

    • Donne-moi tes mains, je vais t'aider, lui dit-il.

     

     

     

    La jeune fille allongea ses bras vers l'avant, et le grand gaillard lui attrapa les poignets et la maintint dans cette position. Maryline ne touchait terre que du bout des orteils. Elle se mordit les lèvres, consciente alors de la vision qu'elle devait offrir aux deux autres garçons, le cul ainsi offert avec sa chatte encore humide. Elle craignait que suite à la baise avec Michaël dans le magasin de vêtements, son vagin n'ait des pertes et que cela se voie. Mais ce qui la terrifiait, c'est qu'à ce moment précis elle se sentait excitée, et qu'elle se surprit à vouloir que Michaël la prenne de nouveau là, sur la table.

     

     

     

    • Qu'un de vous deux vienne lui tenir les pieds! Lança-t-il à l'intention de ses deux copains.

    • Mais pourquoi? Demanda Maryline soudain sérieusement angoissée.

     

     

     

    Alex et Mathias se regardèrent, interrogatifs, puis ce dernier vint s'accroupir aux pieds de la petite black et lui serra une cheville dans chaque main. Dans cette position, il avait les yeux au niveau des fesses charnues et de la fente humide qui s'offrait en-dessous.

     

     

     

    • Alex! appela Michaël. A toi l'honneur donc! C'est toi qui donne la fessée.

    • Moi? Hem, okaaayyyy! Fit le vendeur avec un sourire carnassier qui montrait qu'il se prenait au jeu.

     

     

     

    Il approcha à côté du cul de la jeune fille, avec Mathias à ses pieds. Il posa une main sur les fesses et les caressa doucement.

     

     

     

    • Elle a été vraiment vilaine? Demanda-t-il sur un ton théâtral. Il lui faut une grosse fessée?

    • Non, s'il-te-plaît, c'est pas la peine, le supplia la petite black. C'était pour rigoler, hein Michaël? Tu vas pas lui faire faire ça?

    • Bien sur que si! Confirma Michaël. Tu mérites ta punition. Alex, il faut que la fessée soit une vraie leçon dont elle se souvienne. Donc ne te retiens pas, et frappe-là autant de fois que tu l'estimes nécessaire.

     

     

     

    Maryline avait voulu se montrer coopérative, mais n'avait pas imaginé que Michaël demande à quelqu'un d'autre de la fesser. C'était trop et elle ne voulait pas laisser faire ça. Elle essaya d'agiter les pieds mais elle touchait à peine le sol et Mathias la tenait fermement. Elle gémit, puis cria. Alex lui plaqua immédiatement une main sur la bouche.

     

     

     

    • Arrête! Dit-il angoissé. Il faut surtout pas attirer quelqu'un!

    • Mets-lui quelque chose dans la bouche! Lui dit Michaël.

    • Tu as raison.

     

     

     

    Le vendeur regarda autour de lui, et attrapa parmi les étagères des stocks un foulard aux couleurs du club de football. Il le roula en boule et l'enfourna de force dans la bouche de la petite black qui gémit et se tendait de toutes ses forces, mais en vain. Puis sans tarder, il lui appliqua une première tape qui claqua dans la petite pièce. Les fesses tressautèrent et il recommença immédiatement, plus fort. Maryline gémit. Il la frappa de nouveau, puis encore une fois, et accéléra le rythme en y mettant toute sa force. Les claquements retentissaient fortement dans la petite pièce. La bouche pleine, gémissante, Maryline se mit rapidement à pleurer, les fesses en feu. Alex ne se laissa pas attendrir et continua de frapper sur chacune des fesses alternativement, sous le regard ébahi de Mathias qui devait écarter un peu son visage mais restait tout de même tout près du derrière de la jeune fille. La peau prenait une coloration brun-rouge. Le vendeur fit une pause pour masser sa paume endolorie, et interrogea Michaël du regard.

     

     

     

    • Je continue?

    • Je sais pas, répondit Michaël. D'après toi, c'est suffisant?

     

     

     

    Le vendeur passa la main sur toute la surface des fesses comme une caresse. Maryline sanglotait.

     

     

     

    • Elle a le cul tout chaud, dis donc! S'exclama-t-il.

     

     

     

    Puis sa main glissa plus bas, sur la vulve ouverte. Il la parcourut de ses doigts.

     

     

     

    • Putain! Là aussi elle est bien chaude! Fit-il. Et toute gluante... Est-ce qu'elle aimerait ça, la cochonne? Ben je vais lui en donner encore alors!

     

     

     

    La petite black gémit plus fort pour signifier son désaccord, mais Alex prit plaisir à lui donner de nouveau de grandes claques. Il en administra encore une douzaine, avec autant de forces que les précédentes. Puis il soupira, visiblement essoufflé par l'effort.

     

     

     

    • Voilà! Dit-il satisfait. Je crois qu'elle a eu son compte là.

    • Oui, elle est calmée, concéda Michaël.

     

     

     

    Effectivement, Maryline ne luttait plus depuis un moment, inerte et sanglotante.

     

     

     

    • Est-ce qu'elle suce? Demanda Alex.

    • Bien sur! Dit fièrement Michaël. Je l'entraîne pour ça, même. Tu peux me dire ce que tu en penses.

     

     

     

    Il retira le foulard de la bouche de la petite black. Soudain une voix se fit entendre de l'autre côté de la porte.

     

     

     

    • Merde! Un client! Fit le vendeur. Garde-la moi au chaud, je reviens tout de suite.

     

     

     

    Il sortit en coup de vent. Mathias en profita pour se lever. Il lâcha les chevilles de Maryline, qui n'avait plus la force de se débattre. Michaël la tenait toujours malgré tout. Mathias, lui, posa la main sur les fesses qui s'offraient à lui pour les palper avec envie. Il donna une petite tape pour s'amuser, ce qui fit sursauter la jeune fille. Il rit en regardant Michaël, et celui-ci lui sourit en retour. Puis Mathias glissa ses doigts sur le sexe de Maryline, explorant toute la longueur de la fente mouillée. L'endroit était si glissant que son majeur s'y enfonça tout seul, et le garçon émit une petite interjection de surprise.

     

     

     

    • Ca rentre tout seul, on dirait qu'elle m'aspire, dis donc! Dit-il hilare.

     

     

     

    Il remua son doigt dans le vagin, et Maryline commença à ressentir le plaisir au-delà de la douleur. Bientôt un deuxième doigt rejoignit son camarade dans l'antre humide, et Mathias les bougea d'avant en arrière. Il baisa la petite black avec ses doigts, faisant parfois un bruit de succion. Soudain il donna en même temps une nouvelle tape sur les fesses, et Maryline lâcha un petit cri aigü dont on n'aurait pu dire s'il était plus de douleur ou de jouissance. Elle remuait malgré elle ses hanches pour suivre le rythme du garçon et accentuer les sensations. Mathias lui donna de nouveau une tape sur les fesses, et s'amusa de voir la petite black réagir en criant encore.

     

     

     

    • Doucement! Fit Michaël en rigolant aussi. On va finir par l'entendre dans la boutique.

     

     

     

    Mathias hocha la tête et continua de doigter Maryline, plus vigoureusement cette fois. La jeune fille gémissait à présent en continu, proche de l'orgasme. Elle essayait de bouger davantage les fesses, mais perchée sur la pointe des pieds, elle ne pouvait faire mieux. C'est à ce moment que la porte du réduit s'ouvrit sur Alex.

     

     

     

    • Soyez plus discrets! Fit-il en refermant rapidement la porte. Je vous entendais depuis le comptoir. Heureusement que mon client n'a rien dit. Je pense qu'il n'a pas fait attention, avec la musique d'ambiance.

     

     

     

    Il défit sa ceinture et ouvrit son pantalon.

     

     

     

    • Allez, mettez-là à genoux! Dit-il en le baissant sur ses cuisses. Je bande trop, il faut qu'elle me pompe, là!

     

     

     

    Il baissa ensuite son caleçon, dévoilant en effet un membre bien tendu. Mathias retira ses doigts du sexe de la jeune fille, et la soutenant sous le bras, aida Michaël à l'amener devant le jeune vendeur. Elle s'agenouilla sans rechigner. Michaël lui tint les poignets derrière le dos au cas où. Alex appuya sans tarder son sexe contre la bouche de Maryline, qui ouvrit les lèvres. Le membre s'y enfonça en partie, puis ressortit avant de s'y enfoncer de nouveau. Alex fit des allées et venues en douceur, baisant lentement la petite black par la bouche. Mathias, lui, s'était agenouillé à côté de Michaël et fourra la main sous les fesses de la jeune fille pour atteindre sa vulve et continuer ce qu'il avait commencé. Il y enfonça deux doigts et lui baisa ainsi le vagin. Maryline ferma à demi les yeux, se concentrant sur cet orgasme qu'elle voulait avoir à présent. Sa bouche s'ouvrit malgré elle davantage, acceptant la queue du vendeur plus profondément. Celui-ci le ressentit et fit des pénétrations plus intenses et vigoureuses. Il attrapa la tête de la petite black des deux mains pour éviter qu'elle ne parte en arrière, et la baisa comme s'il s'agissait de son cul. Maryline toussa, pas encore prête à accueillir le sexe au fond de sa gorge. Alex se retint alors de ne pas aller trop loin, mais il accéléra le rythme à coups de reins rapides. La jeune fille sentit alors les doigts de Mathias lui donner enfin ce qu'elle désirait, et une vague de plaisir l'envahit. Elle voulut gémir mais le membre d'Alex profita de l'instant pour s'engouffrer dans sa gorge ouverte. Les spasmes de l'orgasme mêlés à la réaction naturelle des muqueuses qui pressèrent le gland du jeune homme l'amenèrent lui aussi à l'extase. Il éjacula à ce moment-là, envoyant des jets directement au fond de la bouche de la jeune fille, qui ne put qu'avaler. Une gorgée passa de travers et elle eut un hoquet, laissant échapper quelques gouttes à la commissure de ses lèvres. Alex laissa son sexe encore un instant dans la bouche et le pressa afin d'en extirper les dernières gouttes, puis il se retira et se rhabilla rapidement. Mathias sortit ses doigts et les passa sous son nez pour humer la forte odeur, puis il les essuya sur les fesses de la petite black. Celle-ci toussa encore un peu, le dos appuyé contre Michaël qui lui libéra les poignets. Il l'enlaça et elle laissa aller sa tête en arrière contre son épaule.

     

     

     

    A suivre..

     


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    Les trois pom pom girls reprirent leurs exercices sous le commandement d'Alice. Celle-ci leur fit travailler plusieurs fois la roue, surtout à Laetitia qui la maîtrisait moins bien. La brunette montrait l'exemple puis sa copine répétait le mouvement. Maryline, qui avait fait une bonne première roue, dut elle aussi en refaire tout de même deux ou trois, pour confirmer. Elle mourait de honte à chaque fois, mais Alice semblait ne pas se préoccuper que sa jupe glisse en dévoilant son sexe, et la dirigeait de manière autoritaire. Maryline pensa que cela devait même l'amuser de l'humilier ainsi. Mais elle n'osait pas refuser ce qu'elle lui demandait, à cause de Michaël. Et puis, elles étaient loin des garçons et de Pierre, qui ne pouvaient rien voir de là où ils étaient.

     

    Alice remit ensuite la musique pour essayer de constituer une chorégraphie complète avec de la danse incluant des roues, et notamment un final avec une double roue. Le calvaire de Maryline était loin d'être terminé. Sous la direction de la brunette, les filles reprirent alors tout le travail avec énergie.

     

     

     

    • Allez les filles!... On y met tout son coeur!... Allez, du punch! On arrêtera que quand on maîtrisera ça au top!

     

     

     

    Alice les motivait de tout son coeur. La blonde et la noire essayaient de suivre, mais elles n'avaient pas le même entraînement sportif et commençaient à haleter et à transpirer abondamment. Elles s'appliquaient malgré tout, dans l'espoir d'écourter la séance si leur coach était satisfaite. Elles répétèrent plusieurs fois une chorégraphie complète, et soudain Maryline vit avec angoisse que les garçons avaient cessé de s'entraîner et venaient vers elles. Immédiatement elle stoppa son effort, et les autres s'arrêtèrent à leur tour. Pierre entra lui aussi sur le terrain et s'approcha du groupe. Les trois hommes se postèrent à quelques mètres des filles, en spectateurs. Michaël portait un ballon sous le bras, et lui et son copain black étaient en sueur.

     

     

     

    • Ne vous arrêtez pas pour nous, dit Pierre en faisant un geste de la main aux filles. Continuez!

     

     

     

    Alice regarda ses deux camarades d'un air confiant.

     

     

     

    • OK, les filles! Dit-elle. On reprend la choré depuis le début. On leur fait un vrai show!

     

     

     

    Elle remit la musique au début, et se plaça entre Laetitia et Maryline, en ligne. La petite black était tétanisée, ne sachant pas comment elle pouvait éviter de s'exhiber. Pierre et son fils n'étaient pas un problème, après ce qu'ils avaient déjà vu et fait, mais il y avait le copain de Michaël, qu'on lui avait d'ailleurs présenté la veille mais dont elle avait oublié le prénom. Elle ne se rappelait même plus s'il se trouvait parmi ceux qui l'avaient vue se changer dans le vestiaire.

     

    Alice commença à danser et Laetitia la suivit, ainsi que Maryline. Elle n'eut pas le temps de réfléchir alors qu'elle essayait juste de bien enchaîner les mouvements dans le rythme. Les trois filles dansèrent en remuant les hanches et en agitant les pom poms sur la musique dance. Elles se penchèrent en avant et les garçons applaudirent. Alice comptait en rythme pour guider les filles et marquer les temps forts de la chorégraphie. Et ce fut la première roue. La tête vide, Maryline suivit le mouvement et un « hooo » émerveillé s'éleva du petit public masculin. La petite black sentit ses jambes flageoller comme si elle venait de faire un effort intense, mais la honte en était principalement responsable. Elle continua pourtant de suivre la brunette qui motivait ses troupes en comptant « et un, deux, trois, quatre!... » Puis vint rapidement une autre roue que Maryline enchaîna encore une fois sans réfléchir. Cette fois Michaël siffla et les autres applaudirent. Alice était aux anges, fière de faire réagir son public. Elle mit encore plus d'entrain à continuer le show jusqu'au final. Là les filles firent deux roues à la suite, et terminèrent debout jambes écartées en agitant leurs pom poms en l'air. Pierre, Michaël et son copain exultèrent, applaudissant, sifflant, et hurlant leur joie. On aurait dit qu'ils venaient de voir un groupe de rock en concert. Alice et les filles étaient impressionnées, toutes sourires, ne sachant plus où se mettre. Elles se congratulèrent, et la brunette félicita ses troupes.

     

     

     

    • Bravo! C'était pas mal. On commence à avoir quelque chose, là.

     

     

     

    Même Maryline était assez émue par cette démonstration des garçons, se demandant tout de même s'ils avaient vraiment apprécié la chorégraphie où s'ils applaudissaient uniquement son cul. Quoi qu'il en soit, elle se sentait particulièrement visée par la joie des garçons et en ressentit une certaine fierté. Pierre approcha, suivi des garçons, et félicita ses pom pom girls de vive voix.

     

     

     

    • Je suis impressionné! Dit-il. Un petit entraînement et on voit déjà qu'il y a beaucoup de potentiel. Vous êtes superbes, les filles! Alice, au top!... Laetitia, tu vois que tu as été largement à la hauteur... et la petite Maryline, délicieusement sensuelle!

    • Merci, P'pa! fit Alice toute contente.

    • Ouais, je trouve ça cool aussi ce que vous avez fait, dit Michaël en attrapant Maryline par la main. C'est vraiment une bonne idée ce groupe de pom poms.

    • Merci! Dit à son tour Laetitia. Bon, je vais me changer parce que ça m'a crevé tout ça.

    • Tu as raison, dit la brunette en soufflant. On en a assez fait pour aujourd'hui.

     

     

     

    Alice ramassa sa minichaîne, et les deux copines prirent la direction de leur vestiaire. La petite black voulut les suivre, mais Michaël la retint par la main.

     

     

     

    • Attends un peu, lui dit-il.

     

     

     

    Voyant qu'elle ne les suivait pas, Alice lui lança:

     

     

     

    • La prochaine répétition, on la fera mardi, parce que lundi je ne pourrai pas. Ca sera en même temps que l'entraînement des garçons, ok? Passe un bon week-end, Maryline!

     

     

     

    Elle lui fit un signe de la main, et même Laetitia la salua discrètement. La petite black se retrouvait seule avec les trois hommes. Elle était toute petite au milieu d'eux, et ils tournèrent leurs regards vers elle en souriant.

     

     

     

    • Tu as été superbe, ma belle! Lui dit Michaël en lui caressant la joue. Hein, Alban? Ajouta-t-il à l'intention de son copain.

    • Ho ouais, purée! Lâcha le black avec conviction maintenant qu'on lui demandait son avis. Je pensais pas que ta copine pouvait teaser comme ça. Elle est trop booooonne!

    • Je t'avais dit que tu ferais une belle pom pom girl, dit Pierre à la jeune fille. Tu es di-vine!

     

     

     

    Maryline sentait le rouge lui monter aux joues. Elle était déjà fébrile après les efforts consentis et son exhibition impromptue, et ces compliments ajoutèrent à sa gêne. Elle ne savait pas quoi dire, et essuya du revers de la main une goutte de sueur sur son front.

     

     

     

    • Tiens, regarde, Alban, tu peux la voir de plus près, dit Michaël avec un sourire carnassier en soulevant la jupe de la petite black.

    • Non! Lâcha-t-elle instinctivement en posant sa main sur celle du garçon.

     

     

     

    Celui-ci interrompit son geste et la regarda simplement les yeux dans les yeux, fermement. Maryline se remémora ce qu'il avait dit auparavant: pas de résistance, pas d'opposition... En baissant les yeux, elle retira alors sa main. Michaël continua son geste, et leva la jupe sur le ventre de la jeune fille, dévoilant son pubis fendu d'un fin liseret de poils.

     

     

     

    • Ouèch! Trop bon! Fit Alban. Elle est rasée de près en plus. Je peux voir le reste? Demanda-t-il en approchant la main.

     

     

     

    Michaël fit simplement oui de la tête, et le black souleva le t-shirt de la pom pom girl pour dévoiler ses seins.

     

     

     

    • Elle a de beaux boobs, putain! Fit-il. Attends, on va enlever ça. Lève tes bras, p'tite!

     

     

     

    Il fit mine de lui enlever le t-shirt, mais Michaël le retint.

     

     

     

    • Attends, elle va venir au vestiaire avec nous, dit-il. Elle pourra y prendre sa douche.

    • OK, t'a raison, concéda Alban.

     

     

     

    Ils se rendirent tous au vestiaire des hommes, y compris Pierre qui n'avait pourtant rien à y faire. Là, Michaël et Alban déshabillèrent complètement Maryline. La jeune fille ne disait rien, se laissait faire. Les deux garçons se déshabillèrent à leur tour, et la petite black fut troublée devant la nudité d'Alban. Il n'était pas aussi grand que Michaël, mais plus musclé, et son sexe était circoncis. Ils emmenèrent la jeune fille dans les douches, et se mirent tous trois sous l'eau chaude. Pierre resta à l'entrée des douches, regardant ce qui se passait. Il jeta la bouteille de gel douche à son fils, et celui-ci s'en badigeonna. Puis il en mit sur la peau de Maryline, et lui appliqua la mousse à la main. Alban s'en mit à son tour, se badigeonna, puis prêta main forte à son copain pour s'occuper de la petite black. Ils s'appliquèrent à lui nettoyer chaque centimètre carré de peau, de la tête aux pieds. Puis tous trois se rincèrent longuement, abondamment. Michaël laissa faire son copain black, qui tenait à aider la mousse à évacuer le corps de Maryline. Il lui passa de nouveau la main partout, s'attardant sur ses seins et ses fesses. Lorsqu'il n'y eut plus de mousse, il approcha son visage et lui embrassa les seins. Il prit les tétons entre ses lèvres et les suçota. Avec toutes ces attentions et la relaxation de la douche, la petite black se sentait toute excitée. Elle appréciait que les garçons la chouchoutent ainsi, et acceptait maintenant les caresses d'Alban avec plaisir. Celui-ci descendit pour embrasser son ventre, glisser sa langue dans son nombril, tout en lui pétrissant les hanches. Puis il poussa la jeune fille contre le mur et lui écarta les cuisses pour accéder à son sexe. Celui-ci était tout mouillé, ouvert sur une fleur rose qui ne demandait qu'à être cueillie. Alban y plongea son visage et la bouffa goulûment. Il aspira et mordilla les lèvres, fourra sa langue aussi loin qu'il le pouvait, puis saisit le clitoris et le suça sans douceur. Maryline ouvrit la bouche et lâcha des cris de plaisir mêlés parfois à une certaine douleur. Le black n'y allait pas de main morte. Il mordit même franchement dans la cuisse de la jeune fille, avant de retourner fourrer sa langue dans son vagin. Maryline cria et sentit un flot de cyprine lui échapper. Ses jambes se dérobèrent et elle glissa à terre. Alban en profita et de ses bras musclés il la retourna sur le ventre sans ménagement. Puis il lui souleva les hanches et lui écarta les cuisses. L'eau chaude leur coulait toujours dessus. Le garçon s'installa devant le cul offert de la pom pom girl. Il bandait comme un taureau. Il lui saisit les hanches brutalement, et la pénétra d'un coup en forçant son bassin vers l'avant et en tirant le corps de la fille à lui. Maryline laissa échapper un long râle, le sexe du black enfoncé en elle jusqu'à la garde.

     

     

     

    - Hooo, c'est bon, salope!

     

     

     

    Puis il se pencha sur elle, glissant un bras sous son ventre pour la maintenir contre lui, et l'autre main appuyée sur son visage écrasé par terre. La joue de la jeune fille rippa sur le carrelage de la douche lorsque le garçon commença ses va-et-vient. Il la baisait en ahanant, forçant pour la pénétrer profondément à chaque poussée. Elle criait au même rythme, douloureusement maintenue au sol.

     

     

     

    • Vas-y, prends ça!... Tu aimes, hein?... Ho ouais, c'est bon!...

     

     

     

    Michaël souriait alors que son copain parlait en pilonnant brutalement la petite black. Pierre, lui, avait pris le téléphone portable de son fils pour immortaliser la scène. Il souriait aussi, excité par ce coït brutal. Maryline était écrasée sous le poids de son amant, et glissait sur le carrelage mouillé. Alban devait lui relever les hanches d'un mouvement du bras lorsqu'elle s'affaissait trop. L'orgasme que la jeune fille n'avait cessé d'espérer depuis le matin montait à chaque coup de boutoir du jeune black. Et soudain, il explosa et la lycéenne cria de plus belle. Elle était encore secouée par les spasmes quand son amant se retira et lâcha de longues giclées de sperme qui coulèrent avec l'eau de la douche entre les fesses de la jeune fille. Elle se laissa tomber sur le ventre, allongée dans l'eau qui ruisselait vers la bouche d'évacuation. Alban était au-dessus d'elle, appuyé sur les mains et reprenant son souffle.

     

     

     

    • Ho putain!... souffla-t-il. T'es trop bonne, petite! Comment tu t'appelles, déjà?

    • Maryline, répondit-elle dans un souffle elle aussi.

     

     

     

    Le black se leva et aida la jeune fille à faire de même. Elle profita de la douche pour évacuer les traces de sperme entre ses fesses. Pierre avait cessé de prendre des photos, et Michaël retourna dans le vestiaire pour se sécher et s'habiller. Les deux blacks le suivirent, et Michaël fit un grand sourire à Maryline. Il avait l'air content d'elle, et elle lui retourna un sourire plus timide. Il lui passa sa serviette pour qu'elle se sèche. Les garçons se rhabillèrent, et Pierre se proposa d'aller chercher les affaires de la petite black dans l'autre vestiaire.

     

     

     

    • Tu viens à l'entraînement demain, Micka? Demanda Alban.

    • Ouais, bien sur! Répondit Michaël.

    • Hé Maryline! Ajouta le black. Tu seras là aussi j'espère. Je serai trop content de te voir, ma parole!

    • Je... je sais pas, fit la jeune fille complètement déstabilisée par tout ce qui lui arrivait.

    • Mais oui, tu viendras, ma belle! Lui confirma Michaël. C'est à quinze heures, demain. Je t'y attendrai. Ce soir, tu ne peux pas venir à la maison parce qu'il y a ma soeur qui vient dormir. D'habitude elle habite chez ma mère, mais de temps en temps elle vient chez nous.

    • D'accord, dit-elle sans émotion.

    • Bon, moi je vous laisse, dit Alban qui avait fini de s'habiller. Micka, ciao!

     

     

     

    Il fit un check d'au revoir avec Michaël, puis vint embrasser Maryline en lui attrapant une fesse. Il posa ses lèvres sur les siennes pour un baiser rapide.

     

     

     

    • A demain, p'tite! T'es super!

     

     

     

    Il sortit au moment où Pierre revenait. Celui-ci donna à la jeune fille son sac, sa robe et ses chaussures. Michaël était habillé lui aussi.

     

     

     

    • Maryline, il faut que je te demande, dit Pierre alors qu'elle enfilait sa robe... est-ce que tu prends la pilule?

    • Non! Répondit-elle surprise par cette question. Pourquoi?

    • Hé! On a pris nos précautions jusqu'à maintenant, mais il y a des fois où on aura envie de jouir en toi, expliqua-t-il. Il faut que tu sois prête à assouvir les désirs de toutes les manières possibles, et s'il y a le risque que tu tombes enceinte ça gâche franchement le plaisir.

    • Prête à...?

     

     

     

    La petite black ouvrit des yeux comme des soucoupes, comprenant que ses problèmes étaient loin d'être terminés.

     

     

     

    • Mais vous venez déjà... de me donner à Alban! Qu'est-ce que vous voulez de moi encore?

     

     

     

    Des larmes lui montaient aux yeux malgré elle, et pour éviter une effusion Michaël la prit dans ses bras.

     

     

     

    • On veut tout de toi, ma belle, lui expliqua-t-il d'une voix douce. Tu es à moi, et je veux disposer de toi comme je le veux. Ca signifie qu'il faut que tu prennes la pilule.

    • Je peux arranger ça avec le docteur Muller, dit Pierre. Il me fera une ordonnance et elle pourra commencer le traitement tout de suite. Elle n'a qu'à venir avec moi, et comme ça après je la dépose en voiture chez elle.

     

     

     

    Michaël caressa la joue de Maryline, et la regarda avec ses yeux noisette qui la faisaient fondre.

     

     

     

    • Tu as compris? Lui dit-il. Tu vas aller avec mon père. Tout va bien se passer.

     

     

     

    Elle hocha la tête.

     

     

     

    • Est-ce que tu as un portable? Demanda-t-il.

    • Non, répondit-elle. Je l'ai perdu il y a trois mois et je n'ai pas pu m'en racheter un.

    • OK, fit le jeune homme. Il faudra remédier à ça. Allez, mets tes chaussures, on y va.

     

     

     

    La lycéenne enfila ses escarpins plats et suivit les deux hommes. Ils quittèrent le stade et rejoignirent une voiture noire garée à proximité. Pierre monta à la place du conducteur, et Michaël ouvrit la portière passager pour Maryline. Elle déposa son sac à l'intérieur et s'assit, gardant les jambes serrées, mais regarda le jeune homme avant de les rabattre à l'intérieur du véhicule.

     

     

     

    • Tu ne viens pas avec nous? Demanda-t-elle d'un air triste.

    • Non, dit le garçon. Je dois rejoindre Alice chez ma mère pour lui dire bonjour, puis on rentrera ensemble à la maison.

     

     

     

    Il lui prit la jambe gauche et la rentra dans le véhicule, et les cuisses ainsi écartées la robe ne cachait rien de l'entrejambe de la petite black. Sa chatte était encore ouverte et luisante après la baise brutale d'Alban. Ils étaient dans la rue et n'importe qui pouvait passer à côté d'eux à tout moment. Maryline n'était pas rassurée. Michaël, lui, se passa la langue sur les lèvres.

     

     

     

    • Je veux que tu penses à la raser demain matin, dit-il à la jeune fille. Elle doit rester douce à tout moment. Je ne veux pas d'une chatte rapeuse, c'est compris?

     

     

     

    La lycéenne hocha la tête affirmativement.

     

     

     

    • Ca fera une règle de plus à te rappeler, ajouta-t-il. Et n'oublie pas les autres non plus, d'accord? Tout oubli entraînera une punition.

     

     

     

    Elle hocha la tête de nouveau, avec un air de chien battu. Michaël se pencha pour l'embrasser à pleine bouche.

     

     

     

    • Tu vas me manquer, ma belle! Lui dit-il.

     

     

     

    Puis il lui rabattit son autre jambe à l'intérieur et ferma la portière. Elle lui fit signe au revoir quand Pierre démarra la voiture. Ils parlèrent peu. Pierre téléphona chez le médecin pour vérifier qu'il était chez lui et le prévenir de leur venue. Le docteur Muller était le médecin attitré du club de football, et le père de Michaël le connaissait très bien. Ils se rendirent dans l'un des quartiers chics de la capitale, et montèrent dans un appartement de standing. Le docteur Muller les reçut chez lui. Il était en famille et Pierre ne voulait pas le déranger. Ils ne s'attardèrent donc pas. Le médecin les fit entrer dans un petit bureau. Pierre expliqua que Maryline était l'une des filles qui créaient le groupe de pom pom girls, et qu'elle lui avait fait part d'un problème car elle avait besoin de prendre la pilule. Il voulait que le docteur Muller lui rende ce service. Celui-ci posa quelques questions à Maryline pour lui faire la meilleure prescription possible, et rédigea son ordonnance. Il ajouta tout de même un petit mot gentil.

     

     

     

    • J'ai hâte de voir le numéro que vous allez nous préparer avec les pom pom girls. Je te souhaite plein de bonnes choses, mademoiselle!

     

     

     

    Il serra la main de la jeune fille, puis celle de Pierre, et ceux-ci le quittèrent. Il firent un détour par une pharmacie pour prendre le médicament, puis sur les instructions d'itinéraire de Maryline, Pierre la reconduisit jusque chez elle. Avant qu'elle ne sorte de la voiture, l'homme posa la main sur sa cuisse et remonta sa jupe. Il admira la chatte nue, et la caressa du bout des doigts.

     

     

     

    • Tu commences ton traitement dès ce soir, d'accord? Dit-il. Je ne sais pas encore si je serai au stade demain, mais on se verra bientôt. Allez, file!

     

     

     

    Maryline ne demanda pas son reste et sortit de la voiture. Lorsqu'elle entra chez son cousin, François était dans le salon avec un ami blanc qu'elle ne connaissait pas. Ils discutaient en consultant un ordinateur portable.

     

     

     

    • Tiens! Fit François sur un ton ironique. Mais qui arrive là? Je croyais que tu étais morte, moi.

    • Désolée, dit Maryline. J'ai pas pu te prévenir, j'ai passé la nuit chez une amie. Mais tout va bien, ne t'inquiète pas.

    • Tu aurais pu téléphoner, quand même!

    • Je sais, mais j'ai pas pu, je te jure.

     

     

     

    La jeune fille alla déposer son sac dans un coin. Les deux hommes la déshabillaient du regard, attirés surtout par son décolleté en V. L'ami de François lui parla tout bas. Elle n'entendit pas bien, mais il sembla à Maryline qu'il essayait de calmer les choses, disant à son cousin qu'il s'expliquerait avec elle plus tard. François maugréa, mais ne rajouta rien sur le sujet.

     

     

     

    • Bon, on allait dîner là, tu manges avec nous? Demanda-t-il à la jeune fille.

    • Heu... oui, je reste là de toute façon, répondit-elle.

     

     

     

    Elle donna donc un coup de main à son cousin pour dresser la table. Pendant le repas, elle fit la connaissance de son ami qui s'appelait Cédric. C'était un collègue de travail. François travaillait depuis quelques semaines à l'essai dans une boîte d'informatique. Cédric avait l'air ravi de la présence de Maryline, et voulut en savoir plus sur elle. Elle discuta avec plaisir, essayant de garder le plus possible ses bras devant elle pour dissimuler son décolleté, car elle voyait bien que cela attirait les regards. Mais c'était difficile alors qu'elle prenait son repas, et les deux hommes se régalèrent les pupilles. La jeune fille était fatiguée et aurait voulu se coucher tôt mais elle dormait dans le canapé-lit du salon, et devait donc attendre que Cédric parte. Ce qu'il ne fit qu'en fin de soirée, après avoir pris un café et discuté encore longuement avec François et sa jolie cousine. Enfin Maryline put se coucher, soulagée que son cousin soit fatigué lui aussi et qu'il remette leur discussion à plus tard. Elle pensa avant de s'endormir à prendre sa pilule, une habitude à laquelle elle devrait s'astreindre chaque soir.

     

     

     

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    Samedi 12 septembre

     

    La jeune fille avait besoin de récupérer et elle dormit profondément, heureuse d'être dans un lit. Son cousin la réveilla brièvement au petit matin pour lui dire qu'il partait pour la journée et lui rappeler qu'elle n'oublie pas de fermer la porte à clé si elle sortait. Elle se rendormit immédiatement après. Il était près de onze heures lorsqu'elle s'éveilla de nouveau. Elle se sentait ragaillardie et étrangement joyeuse. Elle prit son petit déjeûner puis un bon bain chaud. Elle passa du temps dans la salle de bain à prendre soin d'elle, pensant notamment à ce que lui avait dit Michaël. Elle passa un coup de rasoir sur son pubis et autour de son sexe, qui resta doux comme une peau de bébé. Seule dans l'appartement, elle n'avait soudainement pas envie de s'habiller, et resta nue. Cela lui rappela sa soirée chez Michaël et son père, et elle se sentait ainsi vaguement excitée. Elle se demanda pourquoi elle faisait ça alors que personne ne l'y obligeait. Ce n'était pas son habitude, mais elle en avait simplement envie. Soudain on sonna à la porte d'entrée, et Maryline ne trouva sous la main que son drap de lit pour se couvrir. Elle l'enroula autour de son corps et alla ouvrir. C'était un livreur qui délivrait un colis pour son cousin. Le jeune homme eut l'air un peu gêné, s'excusant de déranger la petite black. Elle le rassura en riant, il ne la dérangeait pas. Elle réceptionna le colis et eut tout le mal du monde à le déposer dans l'appartement tout en maintenant le drap de manière décente. Le livreur dut apercevoir une bonne partie de sa poitrine. Elle remonta le tissu pour se couvrir, puis dut signer sur un appareil électronique que tenait le jeune homme. Encore une fois le drap glissa, mais cette fois la petite black était juste face au livreur. Il eut une vision de ses tétons avant qu'elle ne put remettre de nouveau le tissu en place. Gêné mais souriant, le livreur la remercia et partit. Maryline souffla derrière la porte. Finalement elle n'avait pas besoin de Michaël pour se mettre dans des situations pareilles! Mais qu'est-ce qui lui arrivait? Elle décida de s'habiller à présent pour éviter de renouveler ce genre d'exhibition. Elle réfléchit sur ce qu'elle pouvait mettre. Les règles étaient qu'elle devait mettre une jupe, ou une robe, et pas de soutien-gorge. Elle avait déjà porté sa robe gris-violet deux jours de suite. Elle ne pouvait pas la remettre encore une fois. Il ne lui restait donc le choix qu'entre les deux jupes que lui avait achetées Michaël et qu'elle avait essayées devant Omar et Jérémy. Elle opta pour la jupe noire classique, la stretch beige étant trop moulante à son goût. Elle mit une culotte blanche simple et enfila donc la jupe, qui était coupé droit et lui arrivait un peu au-dessus du genou. Elle fouilla parmi sa petite garde-robe pour voir ce qui ferait l'affaire en haut. Elle voulait quelque chose de confortable et pas spécialement sexy. Elle choisit un sweat marine sans manches et à capuche, bien large. Le tissu était plutôt épais, et ses formes étaient invisibles. Il était impossible de dire qu'elle ne portait rien en-dessous. Elle se regarda dans un miroir et fut satisfaite. C'était tout sauf aguicheur.

     

    La jeune fille se réchauffa ensuite une boîte de ravioli qu'elle mangea devant la télé, assise avec ses jambes sur le canapé. Elle reçut un coup de téléphone d'une de ses copines, Carine, une black comme elle, avec qui elle discuta longuement. Elles parlèrent évidemment un peu garçons, et Maryline évoqua Michaël, mais sans entrer dans les détails. Lorsqu'elle raccrocha le téléphone, la petite black se rendit compte qu'il était déjà quatorze heures passées. Elle prit sa clé et de la monnaie qu'elle mit dans la poche ventrale de son sweat, puis enfila des soquettes et une paire de chaussures fermées. Elle ne retrouva pas sa parka et se souvint que Michaël avait du la garder. Elle le regretta parce qu'il ne faisait pas chaud pour la saison ce jour-là. Et il y avait un petit vent cinglant qui accentuait la sensation de froid. Maryline fut contente de rejoindre la chaleur du métro pour se rendre au stade. Sur le quai elle fut accostée par un jeune homme qui cherchait visiblement à la draguer. Elle n'entra pas dans son jeu et coupa court à la conversation. Elle n'avait pas besoin de ça maintenant!

     

    Elle arriva au stade alors que quelques joueurs s'échauffaient. Michaël discutait sur le bord du terrain avec un entraîneur. Il était encore en tenue de ville. Lorsqu'il vit arriver la petite black, il interrompit sa conversation en s'excusant et vint à sa rencontre.

     

     

     

    • Bonjour ma belle! Lui dit-il en l'embrassant. Je t'attendais. Viens, je vais me changer.

     

     

     

    Il la prit par la main et l'emmena au vestiaire. Il y avait un autre garçon qui finissait de s'habiller et qui serra la main à Michaël. Puis il s'approcha tout naturellement de Maryline et lui fit la bise.

     

     

     

    • Bonjour... mademoiselle Maryline, c'est ça? Demanda-t-il tout souriant.

    • Heu, oui... et toi? Demanda-t-elle. Excuse-moi mais je n'ai pas retenu les prénoms de tout le monde.

    • Laurent! S'empressa-t-il de répondre. Moi c'est Laurent.

    • Ok!

     

     

     

    Elle sourit mais ne poursuivit pas la conversation et se tourna vers Michaël qui se changeait. Laurent, habillé, fila vers le terrain.

     

     

     

    • On dirait que tu viens de te réveiller et que tu t'es habillée trop speed, dit Michaël en rigolant à la jeune fille.

    • Pourquoi tu dis ça? Fit-elle interloquée.

    • J'sais pas. J'ai l'impression que tu as juste pris les fringues que tu avais sous la main.

    • Ben!... J'ai quand même mis une de tes jupes, non?

    • Oui, ça c'est bien, admit-il en posant la main sur la cuisse de Maryline et en glissant le bout des doigts sous la jupe. Tourne-toi!

     

     

     

    Elle lui tourna le dos dans un soupir et le jeune homme souleva complètement la jupe pour voir ses fesses couvertes de son slip blanc.

     

     

     

    • Ha ouais, c'est ce que je disais! Fit-il moqueur. T'as pas fait dans le sexy aujourd'hui.

    • Mais je n'ai plus la culotte que tu m'as achetée! Se défendit la petite black. Sinon je l'aurais bien mise.

     

     

     

    Michaël lâcha la jupe qui retomba en place et continua de se changer.

     

     

     

    • Voyons si tu respectes bien les règles, dit-il. Tu as quoi sous ton sweat?

    • Rien, avoua Maryline en lui faisant face à nouveau.

    • Quand tu me dis quelque chose comme ça, il faut le prouver, tu sais bien!

     

     

     

    La petite black fit une mine contrite et souleva son sweat sans manches au-dessus de ses seins nus.

     

     

     

    • C'est un bon point, fit Michaël.

     

     

     

    Il enfila ses chaussures de foot alors que Maryline rabaissait son vêtement, puis ajouta:

     

     

     

    • N'empêche que ta tenue ne va pas du tout. Moi je sors ce soir avec un pote. Je pensais t'emmener, mais fringuée comme ça y a pas moyen.

     

     

     

    La jeune fille eut les yeux pétillants à l'idée de sortir le soir avec Michaël, et essaya de lui faire changer d'avis.

     

     

     

    • Sortir ce soir? Ho mince! J'aurais vraiment voulu! S'il-te-plaît... j'irai me changer, c'est tout!

    • Retourner chez toi pour te changer? Non, je te préviens, je t'attendrai pas.

    • S'il-te-plaît! Insista-t-elle avec son regard le plus suppliant possible.

     

     

     

    Michaël soupira.

     

     

     

    • Bon, je crois qu'on peut faire quelque chose. Après l'entraînement, on ira faire les boutiques pour te trouver une tenue correcte. Mais il faudra absolument que tu m'obéisses au doigt et à l'oeil, hein? Au moindre écart, je te virerai pour passer la soirée seul avec mon pote. Et puis, je balancerai aussi tout ce que j'ai à tout le monde: les photos, les vidéos. Tu comprends ça?

     

     

     

    Maryline fit oui de la tête, retenant un sourire de joie. Pourquoi avait-il besoin de la menacer? Elle avait trop envie de cette soirée de toute façon. Peut-être voulait-il seulement lui rappeler qu'il la tenait au cas où l'envie lui prendrait de se rebeller? Ou alors est-ce qu'il préparait quelque chose de pire que ce qu'il lui avait déjà imposé? La jeune fille en doutait. Elle avait déjà été obligée de baiser avec son père et avec son copain Alban. Mais avec qui sortait-il ce soir? Est-ce qu'il allait obliger la petite black à se donner à lui aussi? Elle n'eut plus envie de sourire, à cette idée, car ça lui paraissait fortement possible avec Michaël. Elle se demanda finalement si elle avait bien fait d'insister pour cette soirée.

     

    Le jeune homme sortit Maryline de ses pensées en l'emmenant par la main hors du vestiaire. Il portait sa tenue de football, haut de survêtement à cause du temps frais, short, chaussettes et chaussures. Il abandonna la jeune fille au bord du terrain en lui disant de rester là, puis rejoignit ses camarades à l'entraînement. La petite black avait froid. Quelle idée elle avait eu de mettre un vêtement sans manches! Elle alla s'asseoir sur un banc utilisé par le coach et les remplaçants en match, et serra ses bras contre elle. Elle suivait les exercices des garçons de loin, encourageant parfois Michaël d'un geste de la main. Elle vit aussi qu' Alban était là. Il lui fit un signe amical. Lorsque l'entraîneur fit une pause, la plupart des joueurs allèrent se désaltérer. Michaël vint voir la jeune fille, et lui demanda si elle n'avait pas trop froid.

     

     

     

    • Non, ça peut aller, mentit-elle.

     

     

     

    Le garçon était debout devant elle, et approcha entre ses genoux, la forçant à écarter les cuisses.

     

     

     

    • Fais voir ta chatte, lui ordonna-t-il.

     

     

     

    Il voyait déjà sa culotte blanche. Maryline était cachée du terrain par la large silhouette du jeune homme. Sans broncher, elle écarta donc le devant de son sous-vêtement, dévoilant sa chatte rasée.

     

     

     

    • Tu l'as rasée ce matin? Demanda Michaël.

     

     

     

    La petite black acquiesça.

     

     

     

    • C'est bien, fit le garçon en souriant.

     

     

     

    Sur ce, Laurent, le garçon qu'elle venait de rencontrer dans le vestiaire, vint la voir à son tour. Elle eut à peine le temps de remettre sa culotte en place et de resserrer les cuisses au maximum.

     

     

     

    • Pas la peine de cacher ta culotte, tu sais, lui fit Laurent en rigolant. Je t'ai vu te changer dans les vestiaires jeudi, alors ça...

    • Hé! Il a raison, ajouta Michaël. Alors pas la peine de faire ta pudique!

     

     

     

    Il écarta de nouveau les cuisses de la jeune fille avec ses jambes. Elle fut complètement ouverte, sa culotte indécemment exposée. Encore une fois Michaël l'obligeait à s'exhiber à quelqu'un qu'elle connaissait à peine. Elle se mordit les lèvres, morte de honte. Elle fut sauvée par l'entraîneur qui sonna la reprise des exercices. Les garçons repartis sur le terrain, elle put refermer les cuisses. Elle frissonna.

     

    Pendant le reste de la séance, l'un des entraîneurs, Jean, vint à ses côtés. C'était un monsieur qui devait approcher la cinquantaine. Il lui demanda si c'était elle qui faisait partie des pom pom girls, et lui dit que Pierre lui avait parlé de ce projet. Il était gentil et ils discutèrent un moment, jusqu'à la fin de l'entraînement. Là, il rejoignit le terrain pour aider au rangement. Maryline s'étonna un peu qu'Alban ne vienne pas lui dire bonjour, lui qui avait l'air si pressé de la revoir la veille. Mais elle en comprit la raison quand elle le vit rejoindre une autre fille de l'autre côté du terrain. Il l'embrassa... sans doute sa petite copine, et il voulait éviter de provoquer de la jalousie. Michaël emmena la petite black dans le vestiaire pendant qu'il se changeait.

     

     

     

    • Viens, il fait plus chaud à l'intérieur, prétexta-t-il.

     

     

     

    C'est là qu'Alban profita de l'absence de sa copine qui l'attendait à l'extérieur pour venir embrasser Maryline, directement sur la bouche. La plupart des autres garçons qui se changeaient en même temps l'avaient saluée en lui faisant la bise. Le black n'était pas gêné par la présence de Michaël, qui au contraire se réjouissait de voir la jeune fille attirer toutes les attentions. Celle-ci, au contraire, était toute intimidée de cette familiarité dans le vestiaire rempli de monde. Elle n'était pas au bout de ses surprises!

     

     

     

    • Alors, t'es toujours sans culotte aujourd'hui, p'tite? Demanda Alban en souriant à la petite black.

     

     

     

    Il avait dit ça sans aucune discrétion, et plusieurs regards se tournèrent brusquement vers eux. Maryline aurait voulu s'enfoncer dans le sol et disparaître.

     

     

     

    • Ben réponds-lui! Fit Michaël alors qu'il se déshabillait pour aller à la douche.

    • N... non, j'en ai une bien sur! Répondit-elle avec hésitation.

    • J'aimerais bien voir ça, dit Alban à moitié sur le ton de la plaisanterie.

     

     

     

    Mais Michaël ne le prit pas comme une plaisanterie, et fit un petit signe du menton à Maryline l'air de dire « Allez, montre-lui! ». Elle savait qu'elle ne devait pas discuter, mais faire ça dans le vestiaire rempli de garçons plus ou moins nus... L'angoisse la saisit à la gorge. Et pourtant, l'esprit dans le vague, elle fit ce que le garçon attendait d'elle. Debout face à Alban, elle souleva juste un instant le devant de sa jupe pour lui montrer sa culotte blanche. Instantanément des cris et des sifflets retentirent dans le vestiaire. Les garçons applaudissaient.

     

     

     

    • Wouaaaa! J'y crois pas! Fit Alban. Toi t'as peur de rien, Maryline!

     

     

     

    Et il tapa dans la main de Michaël en rigolant. Celui-ci alla sous la douche, et Alban s'assit pour se déshabiller et aller se doucher à son tour. La jeune fille s'assit, les genoux serrés, le regard vers ses pieds. Heureusement les garçons n'en demandèrent pas plus, et quand Michaël fut séché et habillé il salua ses amis et sortit en emmenant Maryline.

     

     

     

    • Je crois que tu leur as fait de l'effet, dit le jeune homme en arrivant dans la rue.

    • Et toi? Demanda Maryline. Je t'en ai fait de l'effet?

     

     

     

    Michaël s'arrêta devant la petite black et la prit dans ses bras.

     

     

     

    • Héééé! Ne crois pas que tu me fais rien, la rassura-t-il. J'ai terriblement envie de te sauter, même dans tes fringues de racaille.

     

     

     

    Il rigola, et cela fit rire Maryline aussi.

     

     

     

    • Mais là on va faire les boutiques. On verra, si on a le temps... peut-être que je te prendrai dans un coin.

    • Dans un coin? S'inquiéta la jeune fille. Mais on ne peut pas faire ça n'importe où?

    • Et si, bien sur! N'importe où, n'importe quand, c'est ma devise. Qu'est-ce qui nous en empêche?

    • Mais... et si quelqu'un nous voit?

    • Ben il se rincera l'oeil. T'es quand même pas moche à voir, surtout quand tu baises.

     

     

     

    Il rit de nouveau et repartit en tirant Maryline par la main. Elle le suivit sans rien ajouter, se demandant s'il était sérieux. Elle avait quand même une ride d'inquiétude sur le front.

     

     

     

     

    A suivre...


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    Michaël emmena Maryline au bord du lac faire une promenade dans cet agréable coin de nature.

     

     

     

    • On a du temps avant qu'on aille au foot, lui dit Michaël. Tu n'as pas oublié qu'aujourd'hui c'est ton premier entraînement de pom pom girl?

     

     

     

    La jeune fille lui fit non de la tête. Ils marchaient sur le chemin qui faisait le tour de l'immense plan d'eau. Le garçon tenait la main de Maryline, et elle en était toute émue. On aurait dit un vrai petit couple. Mais en étaient-ils vraiment un?

     

     

     

    • Tu verras, ma soeur est sympa, ajouta-t-il. Peut-être un peu distante au début, donc ne te fâche pas si tu la trouves un peu sèche. Elle a du caractère, ça doit être de famille.

     

     

     

    Un sourire ironique apparut sur son visage.

     

     

     

    • Mais elle est très motivée pour diriger le groupe de pom pom girls. Elle rêve d'être mannequin et c'est déjà un premier pas. Ha oui, elle n'a que seize ans, je t'ai pas dit?... Elle a visionné des vidéos, cherché des enchaînements et des chorégraphies... enfin, je crois qu'elle compte faire quelque chose de bien. Est-ce que tu as déjà fait de la danse ou quelque chose dans le genre?

    • Non... répondit Maryline.

    • Du sport?

    • Ben... à part ce qu'on fait au collège et au lycée, non, dit-elle un peu honteuse.

    • Ha... fit Michaël d'un air ennuyé. Bon... de toute façon ça ne peut te faire que du bien. J'espère juste que cette garce ne te mettra pas sur les rotules!

    • Ben tu sais, dit la jeune fille, je viens de faire deux heures de sport. Je crois que je suis déjà sur les rotules. Je ne sais pas comment je vais faire. Je serai morte avant ce soir!

     

     

     

    Ils rirent tous les deux de bon coeur, puis Michaël attira Maryline sur le bord du chemin. Il s'assit sur un banc et sur un signe la lycéenne s'assit à côté de lui. Il fouilla dans son sac.

     

     

     

    • Je vais te donner les jupes qu'on a achetées hier, j'ai pensé à les prendre ce matin, dit-il. Comme ça tu pourras les remmener chez toi.

     

     

     

    Il les donna à Maryline, la jupe stretch beige et la jupe droite noire. Elle les mit dans son sac.

     

     

     

    • Bon, tu veux bien me raconter ce qui t'es arrivé aujourd'hui, qui te perturbe tant que ça? Demanda ensuite Michaël en posant sa main sur le genou de la petite black.

     

     

     

    Celle-ci commença doucement à s'épancher sur ses malheurs de la journée. Elle raconta comment Omar et Jérémy avaient usé de ce qu'ils avaient obtenu la veille, sa culotte et des photos, pour introduire Maxime puis Thomas dans le secret et l'obliger à leur dévoiler son corps, et même faire davantage. Michaël lui demanda de décrire exactement tout ce qui s'était passé, s'attardant sur les moindres détails. Maryline était gênée de parler de la manière dont elle avait laissé les garçons lui tripoter les seins, et Tom lui lécher la chatte. Revenir là-dessus, se remémorer les images et les sensations lui fit un effet pervers. Elle sentit le bas-ventre la démanger, et elle rêvait à la verge tendue du garçon qui était à côté d'elle. Lui se délectait de son histoire.

     

     

     

    • Et ben! Tes copains de classe sont plus dégourdis que je l'imaginais, dit-il à la fin du récit. Ce qu'ils ont vu hier leur a donné envie de profiter de toi, et toi, tu leur as donné ce qu'ils voulaient. Tu es une belle salope, Maryline!

     

     

     

    Malgré le terme cru, il avait dit ça sans rancoeur et avec le sourire. Mais la jeune fille le prit forcément mal et tenta de se défendre.

     

     

     

    • Non, non! Moi je n'ai rien fait! C'est eux, ils m'ont forcée!

    • Peu importe la manière dont ça s'est déroulé, dit calmement Michaël. Tu as été une vilaine fille, c'est tout.

    • Mais non, je te jure! Tu penses bien que j'aurais évité tout ça si j'avais pu!

    • Je pense que tu aurais pu l'éviter, c'est vrai, ajouta-t-il en lui tenant le menton pour la regarder dans les yeux. Mais tu ne l'as pas fait.

     

     

     

    Maryline resta bouche bée, ses yeux plantés dans le regard électrique du jeune homme.

     

     

     

    • Je pense que tu étais trop chaude pour avoir envie de résister, dit-il encore. Tu avais tellement envie de baiser que tu étais trop contente de te laisser faire.

    • C'est pas vrai! Fit la lycéenne d'une voix larmoyante.

    • Tu te serais laissée tripoter par n'importe qui, continua le garçon. Tu te serais laissée baiser par toute la classe si tu avais pu. Et je parie que tu as joui quand ce Tom t'a masturbé et t'a léché la chatte.

     

     

     

    Maryline cessa de répondre, voyant bien que c'était inutile. Les larmes lui montaient aux yeux et elle ne voulait pas éclater en sanglots.

     

     

     

    • Je t'avais pourtant interdit de te masturber, même si c'était par la main ou la langue d'un autre. Je me fous que tous les gars du bahut te prennent, une fille chaude comme toi est faite pour le sexe. Mais je n'accepte pas que tu me désobéisses. Et tu sais ce qui se passe quand tu me désobéis?

     

     

     

    Il tenait toujours le menton de la petite black et avait rapproché son visage du sien. Elle hocha la tête doucement, les yeux humides, tremblotante.

     

     

     

    • Il va donc falloir que je te punisse. Et je sais exactement quoi faire. Viens!

     

     

     

    Il se leva, récupéra son sac et celui de Maryline, et la prit par la main. Il l'entraîna à grand pas vers un chemin qui s'éloignait du lac et sinuait entre les arbres. La jeune fille avait du mal à suivre sa cadence et trébuchait parfois. Ils arrivèrent un peu plus loin à un petit terrain de jeux pour enfants, coincé dans le bois clairsemé.

     

     

     

    • Là, il n'y a jamais personne, ça sera parfait, fit Michaël.

     

     

     

    Il s'assit sur un banc en bordure du terrain de jeu, posant les sacs à côté de lui. Il tenait toujours la main de Maryline.

     

     

     

    • Maintenant tu vas prendre ta fessée, ma belle! Lui dit-il sèchement.

    • Quoi?

     

     

     

    Mais elle n'eut pas le temps de protester, car le grand gaillard pencha la jeune fille avec force en travers de ses genoux. Ses « non! » n'y changèrent rien, Michaël la tenait fermement, un bras sur son dos. Elle agita les bras et les jambes. Le garçon rabattit le bas de sa robe sur ses reins, dénudant son cul voluptueux. Puis il la frappa du plat de la main, rapidement, sur les deux fesses, avec une telle force que les claquements résonnaient dans le bois.

     

     

     

    • Aïïïïïïeeeeee! Cria Maryline alors qu'elle ne put retenir une effusion de larmes.

    • Tu ferais mieux de ne pas bouger, sinon ça sera plus dur encore, lui dit Michaël en faisant une pause. Laisse-toi faire, accepte sagement ta punition, et peut-être que je la ferai durer moins longtemps.

     

     

     

    Maryline ne s'était pas pris une fessée depuis de longues années, et la douleur des coups lui était insupportable. Ses fesses la brûlaient déjà. Elle voulait que ça se termine au plus vite, et cessa de bouger, sanglotante.

     

     

     

    • C'est bien, fit le jeune homme. Tu vas te faciliter la vie si tu obéis et si tu acceptes les punitions sans broncher. J'ai encore vingt coups à te donner si tu es sage. Si tu résistes, j'en rajouterai. Et c'est toi qui va compter, comme ça tu sauras que j'ai fait juste ce qu'il faut.

     

     

     

    La petite black capitula. Elle essaya de ravaler ses larmes, mais elles repartirent de plus belle dès que Michaël abattit sa main dans un claquement sec. Il la leva pour un nouveau coup, mais attendit.

     

     

     

    • Alors? Demanda-t-il.

    • Un... un ! Dit Maryline en reniflant, d'une si petite voix qu'on aurait dit qu'elle était redevenue une fillette.

     

     

     

    La main s'abattit de nouveau. Les fesses charnues tremblotèrent, et l'on voyait qu'elles rougeoyaient malgré la peau noire.

     

     

     

    • Aïïïe!... deeeeux...

     

     

     

    Michaël poursuivait sa correction, et la lycéenne comptait. Le calvaire lui parut interminable. Le garçon frappait alternativement chacune des fesses ou les deux d'un coup, parfois vers le haut, parfois plus bas à la limite des cuisses.

     

     

     

    • Dix-neuf! Agggh... Vingt...

     

     

     

    Maryline avait les yeux gonflés par les larmes qui avaient coulé jusque dans son cou. Elle sanglotait encore, les fesses d'une couleur brun rougeoyant exposées sur les genoux du jeune homme. Celui-ci massa un instant la paume de sa main, rouge elle aussi, puis il caressa doucement le postérieur qui s'offrait à lui. La petite black eut un petit sursaut, craignant de nouveaux coups, puis elle se laissa aller à la caresse. Ses fesses étaient ultra-sensibles. Le garçon passa sa main affectueusement sur toute la surface des globes charnus. Puis il glissa sa main entre les cuisses pour les écarter un peu, et posa ses doigts sur la chatte de la jeune fille. Il en explora toute la fente, et y posa la paume.

     

     

     

    • Tu es toute humide, dis donc! Fit-il remarquer. Est-ce que ça t'aurait plu, par hasard?

    • Naaaaaan! Répondit immédiatement Maryline dans un sanglot rauque.

    • Pourtant, ta chatte me dit le contraire, dit Michaël d'un air réjoui. Elle m'appelle, elle est toute mouillée... Mais ce n'est pas d'elle dont j'ai envie maintenant: c'est de ta bouche. Allez, relève-toi, et accroupis-toi devant moi.

     

     

     

    La petite black obéit, ne prenant pas la peine de réajuster sa robe. Le jeune homme écarta les jambes et elle s'accroupit entre deux, les fesses à l'air et la chatte offerte à la vue de son partenaire.

     

     

     

    • Sors ma queue! Lui ordonna-t-il.

     

     

     

    Il avait une bosse évidente à son pantalon. Maryline regarda quand même derrière elle pour être sure qu'ils étaient toujours seuls. Puis elle ouvrit le bouton et la braguette du pantalon, et extirpa le pénis tendu du boxer où il était enfermé. Elle le regarda un moment, fascinée, en le prenant entre ses doigts. Il était très dur, et le bout du gland était humide. Elle y passa le pouce, et le garçon eut une inspiration pincée. Visiblement ça lui plaisait. La jeune fille approcha son visage en le regardant, et il hocha la tête pour l'encourager. Elle entrouvrit les lèvres et embrassa la hampe qu'elle tenait à présent plus fermement. Puis elle sortit la langue et la passa le long de la grosse veine qu'elle voyait gonflée de sang. Michaël savoura quelques instants, puis il prit la tête de la petite black à deux mains.

     

     

     

    • Ouvre la bouche! Commanda-t-il.

     

     

     

    La langue toujours sortie, elle ouvrit ses lèvres en grand, et le garçon y enfourna son gland. Il garda une main derrière sa tête, et l'autre se posa sur les doigts de la lycéenne autour de sa verge.

     

     

     

    • Voilà, suce-moi le bout, c'est bien, lui dit-il. Et là tu bouges tes doigts, comme ça, tu me masturbes en même temps, voilà.

     

     

     

    Il la guidait, lui montrait les mouvements qu'elle devait faire.

     

     

     

    • Mmmmm, ho oui, tu peux y mettre toute la main, oui. Serre un peu, même. Et suce toujours, aspire-moi la queue pour me montrer que tu veux mon sperme.

     

     

     

    La jeune fille faisait des va-et-vients de la tête, les lèvres serrées autour du sexe tendu, et des mouvements de plus en plus rapides de la main. Michaël ferma à moitié les yeux, gémissant doucement, et laissa faire sa partenaire, maintenant juste une main derrière sa tête. Voyant que ses efforts plaisaient au jeune homme, Maryline s'enhardit et accéléra la cadence. Elle le pompait avec gourmandise et le masturbait énergiquement. Il fallut quelques longues minutes rythmées par le halètement du garçon et les bruits de succion, avant qu'une première giclée de sperme ne jaillisse au fond de la bouche de la lycéenne. Surprise, elle recracha le sexe du garçon qui lui envoya une nouvelle giclée sur la pommette. Elle eut le réflexe de le reprendre immédiatement entre ses lèvres pour recevoir un troisième jet sur la langue. Elle garda alors le gland dans sa bouche, recueillant les dernières gouttes qui sortaient par intermittence.

     

     

     

    • Avale! Lui dit Michaël avec autorité.

     

     

     

    Elle déglutit pour tout avaler d'un coup, puis ressortit le pénis. Le garçon lui sourit et passa les doigts sur sa pommette pour recueillir le sperme qui s'y trouvait. Puis il enfourna ses doigts dans la bouche de la petite black.

     

     

     

    • Tiens, il faudrait pas que tu en perdes, ce serait gâché.

     

     

     

    Maryline eut un petit rire malgré les larmes qu'elle avait versées peu avant, et suça minutieusement les doigts du jeune homme. Il la releva ensuite pour qu'elle s'asseoit sur ses genoux; ce qu'elle fit après avoir rabaissé sa robe. Michaël l'embrassa dans le cou.

     

     

     

    • Je suis content de toi, ma belle! Lui susurra-t-il.

     

     

     

    Il déposa ses lèvres sur celles de la jeune fille, et celle-ci les entrouvrit. Le garçon y glissa alors sa langue, et y rencontra la sienne. Ils s'embrassèrent longuement, alternant entre baiser profond et bisou câlin. Maryline était conquise malgré le traitement que lui avait fait subir son partenaire. Ensuite ils parlèrent doucement de choses et d'autres, sur ce banc. La lycéenne était lovée contre la poitrine de Michaël, qui avait passé une main dans son décolleté pour lui dégager un sein et le caresser nonchalamment.

     

    Mais c'est bien lui qui brisa la magie un peu plus tard.

     

     

     

    • Il faut partir maintenant, dit-il. Ca va être l'heure de ton entraînement. Ca serait dommage d'être en retard pour une première. Et je veux que tu soies une pom pom girl exemplaire... Tu seras la plus bandante des pom pom girls!

     

     

     

    Maryline était sceptique sur ce dernier point, mais son partenaire semblait y croire, lui.

     

     

     

    • Et toi? Tu vas t'entraîner aussi? Lui demanda-t-elle en se levant.

    • Normalement non, les entraînements officiels sont le mardi, jeudi, et samedi, répondit le garçon en lui prenant la main. Mais les autres jours, il y a toujours deux ou trois potes qui sont là et on peut taper la balle un petit peu si on veut.

     

     

     

    Ils quittèrent l'espace de verdure qui entourait le lac pour aller prendre le bus. Dans le véhicule, Michaël voulut reprendre ses caresses et posa de nouveau sa main dans le décolleté de la petite black. Il y avait encore bon nombre de voyageurs à cette heure de pointe, mais cette fois Maryline se trouvait sur un côté du bus et faisait face à la vitre. Personne n'était devant elle. Devant l'insistance de Michaël qui plongeait sa main plus profondément, elle décida de ne pas opposer de résistance. Il lui attrapa donc un sein tranquillement, repoussant le tissu de la robe dans le même mouvement. La jeune fille se rapprocha de la vitre, essayant de se positionner afin de dissimuler au maximum ce qui se passait. Mais pour ceux dont le champ de vision allait jusque-là, seule la main large du grand gaillard habillait le sein de la lycéenne. Et comme il la caressa, même le plus discrètement possible, le globe de chair se retrouvait parfois dénudé. Maryline était morte de honte. Elle respirait mal, se sentait oppressée, et surtout elle avait très chaud. Michaël ne pouvait-il pas s'empêcher de l'exhiber ainsi? Il aimait ça, c'était certain. C'était sans doute la raison pour laquelle il ne s'était pas fâché quand elle lui avait raconté la manière dont elle avait du s'exhiber pour les garçons de sa classe. Sa décision de la punir était juste venue du fait qu'elle s'était fait masturber malgré son interdiction. Cela ne le dérangeait-il pas que d'autres garçons la touchent? Ces questions la perturbaient, mais elle était trop fébrile à ce moment-là pour trouver des réponses valables. De plus, elle remarqua que certains automobilistes qui passaient à côté du bus la regardaient à deux fois quand ils se rendaient compte de ce qui se passait. Mais elle préférait que ce fut eux plutôt que ses voisins voyageurs, et elle ne bougea pas. Elle sut qu'ils étaient arrivés à destination quand Michaël enleva sa main. Elle dut rabattre son décolleté in extremis pour ne pas rester dénudée. Puis elle suivit le garçon hors du bus en direction du stade. En arrivant à sa hauteur, elle essaya de lui parler.

     

     

     

    • Ecoute Michaël, lui dit-elle en essayant de suivre la cadence de ses pas, tu ne devrais pas me caresser devant tout le monde comme ça, et tu pourrais au moins éviter de leur montrer mes seins. Je veux dire, on peut faire ça chez toi, tu ne crois pas? Et tu sais que tu pourras même me faire tout ce que tu veux, non?

     

     

     

    Michaël s'arrêta net, et se tourna face à la jeune fille. Ils étaient sur un petit trottoir bitumé qui menait à l'une des entrées du stade, et qui était peu emprunté. Autour c'était un espace vert, avec quelques bancs et quelques promeneurs.

     

     

     

    • Ecoute-moi toi! Fit-il les sourcils froncés en pointant un doigt vers la poitrine de Maryline. C'est moi qui décide de ce que je fais, et tu n'as aucun ordre à me donner, ni même aucune recommandation à me faire. Je t'ai déjà dit que je ne tolère aucune discussion à mes ordres, et je ne tolèrerai aucune discussion sur ce que je fais non plus... à moins que la fessée de tout à l'heure ne t'ait pas suffi. Peut-être que tu en veux encore, après tout?

    • Non! Non!... s'empressa de répondre la petite black, qui avait encore les fesses toutes endolories. Mais...

    • Y a pas de mais! Articula distinctement le jeune homme en appuyant le doigt entre les seins. Je ne veux aucune discussion, aucune objection, aucune résistance, et pas même une seconde d'hésitation quand je dis ou fais quoi que ce soit.

     

     

     

    Il la regarda au fond des yeux en silence un instant, puis ajouta:

     

     

     

    • Est-ce que c'est bien clair?

     

     

     

    Maryline ne put même pas sortir un mot, et hocha simplement la tête. Elle se sentait si petite face au grand gaillard, et si vulnérable! Elle n'esquissa pas un mouvement lorsqu'il écarta d'un geste son décolleté pour dénuder ses deux seins. Il ne fit rien d'autre, restant devant elle à la regarder avec un air de défi. Il y avait quelques passants dans l'espace vert autour d'eux, pas tout près, mais apparemment certains pouvaient quand même voir ce qui se passait. La lycéenne n'osait pas bouger, consciente d'être seins nus dans la rue en plein jour, et morte de honte.

     

     

     

    • Tu dois comprendre que tu es à moi maintenant, continua Michaël. Je fais ce que je veux de toi. Tu es belle, tu as de beaux seins, et si je veux les montrer à la terre entière ou même te foutre complètement à poil dans la rue, je le ferai. Et toi tu n'as rien à dire.

     

     

     

    Il resta de nouveau silencieux un instant, et Maryline ne broncha pas. Elle entendit des gens discuter plus loin. L'avaient-ils vue? Parlaient-ils d'elle? Elle frissonna, envahie par l'angoisse. Puis Michaël referma son décolleté, et elle souffla.

     

     

     

    • C'est bien, dit le garçon. Tu commences à comprendre.

     

     

     

    Il la prit par la main et l'emmena dans le stade. Le terrain était quasiment vide. Seul un jeune homme noir tapait des ballons dans un but vide. Sur le bord du terrain, Pierre discutait avec deux jeunes fille, une grande blonde et une brune toute mince portant des tenues de pom pom girls, t-shirts à manches longues et ventre nu et minijupes droites. Elles tenaient des pom poms brillants bleus marine et ciel à la main. Michaël emmena Maryline directement vers eux.

     

     

     

    • Salut P'pa!... Ca va, Alice?

    • Salut fiston!

    • Ouais, ça va... et toi, frangin? Répondit la brunette.

    • Ca va, répondit Michaël. Alice, voilà Maryline. Maryline, c'est ma soeur.

     

     

     

    Les deux filles se firent la bise amicalement. Alice présenta alors sa copine blonde.

     

     

     

    • Elle c'est Laetitia, une copine qui veut essayer aussi le cheerleading.

     

     

     

    Laetitia fit aussi la bise à Michaël et Maryline.

     

     

     

    • Content de te voir, Maryline! Dit Pierre tout souriant. J'espère que ça va te plaire d'être pom pom girl... ou cheerleader comme dit Alice. Elle trouve que c'est plus cool de le dire à l'américaine. En tout cas, ça sera vraiment un plus pour le club. Essayez de nous faire un spectacle au top, les filles, il faut surtout que ça motive nos joueurs et que ça chauffe le stade!

     

    • Commence pas à nous mettre la pression, P'pa! Râla la brunette. On va faire ce qu'on peut, mais je te rappelle qu'on est débutantes.

     

     

     

    Elle fit une mimique d'agacement à l'intention de Maryline, et celle-ci sourit, amusée. Alice la prit alors par la main.

     

     

     

    • Bon, viens! Lui dit-elle. Tu vas te changer, comme ça on va commencer sans tarder. J'ai plein d'idées en tête, et on n'aura pas le temps de tout faire. Tu as tes tenues? Il faut que tu mettes la même que nous.

    • Heu, oui, je les ai, répondit Maryline. Mais... j'ai juste pas de chaussures de sport.

    • Pas de problème, je vais te chercher celles de la dernière fois, fit Michaël en partant au pas de course vers les vestiaires.

     

     

     

    Maryline avait omis de dire qu'elle n'avait pas non plus de sous-vêtements, n'osant pas en parler. Et pourtant... l'absence de soutien-gorge, ça pouvait passer, mais sans culotte... Elle commençait à angoisser en voyant comme la minijupe était courte sur les cuisses d'Alice et Laetitia. Michaël revint avec une paire de tennis blanches à la main, et les donna à Maryline. Il lui mit la main sur la joue.

     

     

     

    • Surtout tu écoutes Alice, et tu fais bien tout comme elle te dit, lui enjoigna-t-il comme s'il s'adressait à une petite fille. Tu lui obéis comme si c'était moi. Tu m'as bien compris?

     

     

     

    La petite black hocha la tête. Le message était très clair. Elle espérait juste qu'Alice ne profiterait pas exagérément de ce pouvoir que lui donnait son frère.

     

     

     

    • C'est bon! Le coupa justement Alice en prenant Maryline par la main. Ne t'inquiète pas pour elle, c'est pas une fillette, elle sait ce qu'elle a à faire.

     

     

     

    Elle fit un clin d'oeil à la petite black et l'emmena.

     

     

     

    • Allez, les filles! Au boulot! Maryline, je te montre le vestiaire, et tu nous rejoins quand tu es prête. On se mettra dans le coin du terrain, là-bas.

    • Mais, c'est pas là, le vestiaire? Demanda Maryline en indiqua le couloir qui menait au vestiaire où elle avait du se changer avec les garçons la veille.

    • Mais non! Objecta Alice. Là-bas, c'est celui des garçons. Nous, on a un local pour nous.

    • Ha, fit la petite black en comprenant qu'elle s'était fait rouler. Contente de le savoir.

     

     

     

    La brunette l'emmena dans un autre couloir et lui indiqua une petite pièce qui n'était sans doute pas un vestiaire à l'origine, mais qu'on avait aménagé simplement avec des chaises et des patères où des vêtements étaient déjà suspendus. Alice y laissa Maryline, qui ne prit pas beaucoup de temps pour se changer. Elle sortit de son sac la même tenue que ses camarades, puis ôta ses escarpins et sa robe. Nue, elle enfila alors le t-shirt à manches longues, qui lui maintenait la poitrine et s'arrêtait un peu en-dessous. Elle passa ensuite la minijupe. Le contact du tissu qui frotta ses fesses la fit sursauter. C'était encore sensible. Elle regarda son ventre nu et en fut un peu gênée, car il n'était pas plat comme ceux de Laetitia et Alice. Elle négligeait l'exercice physique. Mais le pire c'était que la jupe ne lui arrivait même pas à mi-cuisses. Elle se sentait affreusement nue, mais ne voyait pas comment faire autrement. Elle tira sur le vêtement pour le descendre au maximum, puis enfila ses chaussures de sport. Elle rejoignit ensuite les deux autres filles. Elles étaient dans un coin du terrain, leurs pompoms à la main, avec une minichaîne portative qui diffusait de la musique.

     

     

     

    • Chouette, tu es là! Fit Alice. On va pouvoir commencer alors. J'ai déjà préparé des pas de danse, et des petites chorégraphies avec les musiques que j'ai sur ce CD. On pourra essayer aussi quelques mouvements de gym pour voir ce qu'on pourra travailler. Et si vous avez des idées, il faut en parler! Ce que j'ai préparé n'est qu'un début et il faut l'améliorer. En attendant, vous me suivez au doigt et à l'oeil, je vais vous montrer.

    • Au doigt et à l'oeil, je sais, dit Maryline sur un ton ironique. Michaël m'a brieffée.

    • Ouais, parce qu'il te kiffe grave! Lâcha la brunette.

    • Quoi?

    • Ben oui! La manière dont il est autoritaire avec toi, c'est qu'il est fou de toi, quoi!

    • Ha... Tu crois? Fit la petite black sur un ton dubitatif.

    • Nan je crois pas, j'en suis sure. Il est comme ça, mon frangin. Quand une nana lui plaît, il faut qu'il la dirige à la baguette. Sinon il te calculerait même pas, il prendrait même pas la peine de t'adresser la parole. Il te kiffe, je te dis!

    • C'est n'importe quoi ce que tu dis, Alice! fit Laetitia d'un ton goguenard. Un type qui te donne des ordres pour te montrer qu'il te kiffe?

    • Bah écoute, Laetitia, répondit Alice, je sais bien que t'aurais préféré que ça soit toi qui l'intéresse, mais c'est comme ça, et là je crois que Maryline a une longueur d'avance.

    • C'est ce que tu dis! Fit froidement la grande blonde. Mais ça c'est parce qu'il a pas encore vu qui est la meilleure!

     

     

     

    Maryline ne dit rien, préférant se faire discrète. Laetitia avait l'air très jalouse d'elle par rapport à Michaël, et elle ne voulait pas s'en faire une ennemie alors qu'elle la connaissait à peine.

     

    Alice coupa court à la conversation pour commencer l'entraînement. Elle donna deux pompoms à la petite black, un dans chaque main, puis tapota sur la minichaîne pour caler la musique où elle le voulait. Et en fait d'entraînement, il s'agissait plutôt de danse, ou du moins c'est ce que se dit Maryline. Les trois filles s'était mises en ligne, la brunette au milieu, quelques pas en avant pour que ses partenaires voient bien ce qu'elle faisait. Et effectivement elle commença par quelques combinaisons de petits pas au rythme de la musique, en agitant les pompoms de droite et de gauche et de haut en bas. Ces premiers mouvements rassurèrent Maryline. Il n'y avait aucune chance que l'on voie sous sa jupe avec des chorégraphies de ce style. Par contre ses seins bougeaient assez fortement, ce qui la gênait un peu. Et même quand elle dut lever les genoux alternativement à mi-hauteur, elle n'y mit pas beaucoup de zèle et se dit qu'on ne voyait surement rien. Alice, elle, était dans son trip et mettait beaucoup de rythme dans sa danse. Elle attendait de ses copines qu'elles en fassent autant, et les fit recommencer plusieurs fois en les critiquant.

     

     

     

    • Allez, les filles! Il faut mettre plus de punch, là!... Allez! On ne faiblit pas!... Plus tonique, putain!... Allez, vous êtes molles, là!

     

     

     

    Maryline se dit qu'elle avait de qui tenir. Elle était aussi autoritaire que son frère. La noire et la blonde mirent donc un peu plus d'énergie dans leurs mouvements, et se prirent au jeu, même si pour la petite black la fatigue de la journée se faisait déjà ressentir. Plus loin sur le terrain, Michaël avait rejoint son coéquipier et ils jouaient au ballon ensemble. Pierre était debout juste devant l'entrée qui menait au vestiaire et regardait un peu ce qui se passait, les mains dans les poches. Mais ils étaient assez loin, et Maryline prit confiance, entraînée par la musique et l'entrain de ses partenaires. Puis Alice inclut dans sa danse un mouvement où, jambes écartées et tendues, les filles devaient se pencher en avant et écarter les bras pour agiter leurs pompoms. La petite black suivit le mouvement sans réfléchir, et sentit sa jupe se relever et un courant d'air frais lui caresser l'entrejambe. Et elle vit l'effet produit devant elle: la jupe d'Alice était remontée à la moitié de ses fesses, et dévoilait une culotte de sport blanche. Sans le sous-vêtement, c'est son sexe qui aurait été directement offert aux regards. Maryline souffla. Heureusement qu'il n'y avait personne derrière elle!

     

    Alice leur fit encore répéter longuement des séries de pas, incluant de temps en temps cette pose risquée, jusqu'à ce qu'elle soit satisfaite du résultat. Les filles purent alors faire une courte pause et aller se désaltérer aux toilettes, puis elle reprirent. La brunette leur proposa alors de travailler un autre aspect d'une performance de cheerleaders.

     

     

     

    • Parce que normalement les cheerleaders ne font pas que de la danse, expliqua-t-elle. Elles font une performance vraiment sportive, qui tient autant de la gymnastique que de la danse. Et c'est justement ce qui, je pense, fait la différence entre les « vraies » cheerleaders et les simples pom pom girls. Mon père n'a pas encore compris ça. Mais je crois que si on arrive à inclure ce côté plus spectaculaire dans notre show, on écrasera la concurrence. Seulement, c'est forcément plus difficile, et il va falloir travailler dur. Alors est-ce que vous êtes prêtes à essayer ça?

     

     

     

    Laetitia et Maryline se regardèrent un peu dubitatives, mais acquiescèrent.

     

     

     

    • Oui... On va essayer.

    • Bon! Fit Alice satisfaite. Alors je vais vous montrer un peu ce à quoi je veux qu'on arrive. Et ce n'est que le début, la base. Regardez!

     

     

     

    Elle recula de quelques pas afin d'avoir l'espace nécessaire, et fit une démonstration de quelques mouvements. Dès le début ses deux copines ouvrirent la bouche de stupeur, les yeux écarquillés. Légère comme une plume, Alice fit des roues, des roulades, des pirouettes, avec l'agilité et la grâce d'une gymnaste. Elle regarda ensuite la blonde et la noire en souriant, sure d'avoir fait son impression.

     

     

     

    • Alors? Fit-elle.

    • Tu... tu fais déjà de la gym ou quelque chose comme ça, toi? Demanda Maryline.

    • Oui, je fais de la GRS (*Gymnastique Rythmique et Sportive), confirma la brunette. Donc j'ai déjà pas mal d'entraînement. Mais ça s'apprend vite, faut pas vous inquiéter. Il faut juste être motivée. Vous verrez, vous y arriverez.

    • Je sais pas pourquoi, je suis pas sure que ça soit aussi facile, fit Laetitia en faisant la moue.

    • Mais si! Faut pas être défaitiste, dit Alice. Allez! Je vais voir si déjà vous pouvez faire quelque chose de simple: la roue. Vous savez faire la roue, non?

     

     

     

    Elle en fit une en démonstration, prenant un pas d'élan, posant ses deux mains avec leurs pom poms par terre en suivant une ligne devant elle, puis levant ses jambes pour décrire une roue la tête en bas avant de retomber debout de l'autre côté de ses mains. Evidemment sa jupe suivit le mouvement et glissa un peu quand elle était à l'envers, dévoilant sa culotte blanche, avant de retomber en place naturellement à la fin de la roue. Maryline resta bouche bée. Il était impensable qu'elle fasse ça!

     

     

     

    • Allez! A vous! Fit Alice en leur montrant le chemin de la main.

    • Je t'en prie Laetitia, toi d'abord, dit la petite black.

    • Merci! Dit la blonde ironiquement. De toute façon il va falloir y passer. Alors allez-y, moquez-vous bien. J'y vais!

     

     

     

    Elle se lança et fit une roue complète, mais le mouvement était moins gracieux que celui d'Alice. Elle portait une culotte rouge échancrée qui tranchait sur le bleu de la tenue de pom pom girl.

     

     

     

    • Hééé, c'est pas mal! Dit Alice en tapant des mains. Le mouvement est là. Il faudra juste affiner la technique, et surtout garder les jambes droites. Mais c'est bien! Allez, à toi Maryline!

    • Heuuuu, non ça va pas être possible, dit la petite black en secouant la tête. Je ferai ça une autre fois.

    • Mais tu rigoles! Fit la brunette. Allez, n'aie pas peur. On va pas se moquer, de toute façon on est là pour essayer et apprendre. Allez!

    • Nan vraiment, puis j'ai déjà fait du sport au bahut, j'ai mal partout, là.

    • Rho, l'excuse! Fit Laetitia. Je l'ai bien fait moi. Allez, fais pas ta chochotte!

     

     

     

    Maryline ne voyait pas comment esquiver ça, et décida qu'il valait mieux dire la vérité. Après tout, elles étaient entre filles.

     

     

     

    • Bon d'accord! Dit-elle finalement en soupirant. Je peux pas le faire, parce que... je... je n'ai pas de culotte.

    • Ha! On aura tout vu! Lâcha la blonde méchamment. Elle peut pas inventer autre chose?

     

     

     

    Alice soupira.

     

     

     

    • C'est bon Laetitia, arrête. Elle doit avoir la trouille, je sais pas pourquoi. Allez, Maryline! De toute façon, il faudra le faire, alors fais-le. Dois-je te rappeler que Michaël a dit que tu devais m'obéir? Ajouta-t-elle avec un sourire moqueur.

     

     

     

    Cet argument fit mouche. Maryline savait que si Michaël apprenait qu'elle avait refusé de faire ce que sa soeur demandait, ce serait une excuse pour qu'il la punisse à nouveau. Et ses fesses encore sensibles lui rappelèrent qu'il n'y allait pas de main morte.

     

     

     

    • OK, ok, mais je vous aurai prévenues, fit la petite black en soupirant.

     

     

     

    Elle se positionna sans oser regarder les filles, prit une inspiration, puis un pas d'élan. Elle posa les mains à terre et souleva ses jambes, droites et écartées, dans un mouvement tout à fait correct. Sa jupe glissa un peu laissant apparaître la fente de son entrejambe, puis elle retomba parfaitement sur ses pieds et la tenue reprit une position plus décente.

     

     

     

    • Ho la salope! C'est vrai! Lâcha spontanément Laetitia.

     

     

     

    Alice avait simplement mis une main sur sa bouche. Maryline, elle, lissait le tissu de sa jupe, ne sachant plus où se mettre. La brunette se mit alors à rire.

     

     

     

    • Ha ha! Je comprends mieux maintenant, dit-elle. Pas étonnant que Michaël ait flashé sur toi. Il adore les cochonnes dans ton genre! Tu vois, Laetitia, tu sais ce qu'il te reste à faire, maintenant. Cul nu, et Michaël s'intéressera peut-être à toi.

     

     

     

    Elle rit de sa bêtise, mais la grande blonde ne rit pas.

     

     

     

    • Pas question! Fit-elle. Je suis pas une perverse, moi! Elle a qu'à se le garder, son Michaël!

    • Ho, allez c'est bon, je plaisantais, dit Alice en la prenant par les épaules.

     

     

     

    Puis elle se planta devant Maryline en la jaugeant de la tête aux pieds.

     

     

     

    • Je crois que je vois aussi pourquoi mon père a insisté pour que tu fasses partie des cheerleaders. C'est un pervers dans son genre, lui aussi.

    • Nan mais... Faut pas croire, c'est la première fois que ça m'arrive, c'est pas ma faute, essaya la petite black pour se défendre.

    • Bien sur! Ta culotte est tombée toute seule! Ironisa Laetitia.

    • Bon, on s'en fout, de toute façon! Coupa Alice. Elle peut bien montrer son cul à qui elle veut, c'est pas notre problème. Nous, on a un numéro de cheerleaders à mettre au point. Ta roue était bonne, Maryline, ajouta-t-elle à l'attention de la petite black. Et de toute façon, je crois que même si techniquement tu étais en dessous, c'est toi qui remporterait la mise à l'applaudimètre!

     

     

     

    Elle rit de sa propre blague, mais elle fut bien la seule. Laetitia jetait à Maryline des regards qui montraient qu'elle l'appréciait de moins en moins, et la petite black se sentait profondément humiliée.

     

     

     

    • Allez les filles, on ne se déconcentre pas, on reprend! Fit la brunette en tapant des mains.

     

     

     

     

    A suivre...


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    Maryline attira beaucoup de regards des autres lycéens alors qu'elle entrait dans l'enceinte de l'établissement avec Michaël. Son décolleté en V et ses seins libres qui tressautaient à chacun de ses pas y étaient pour beaucoup.

     

     

     

    • Donne-moi mon sac s'il-te-plaît, demanda-t-elle à Michaël. Je dois quand même essayer de faire mes devoirs avant que les cours ne commencent.

    • OK! Viens, je sais où on peut se mettre, répondit-il.

     

     

     

    Il emmena la jeune fille près des terrains de sport. Il y avait peu de passage à cet endroit, et un muret qu'il désigna du doigt.

     

     

     

    • Tiens! On peut s'asseoir là, dit-il. C'est tranquille. Des fois, je viens fumer ici... ou alors faire des devoirs, comme toi, quand je suis à la bourre.

    • Tu fumes, toi? S'interloqua la petite black en attrapant son sac que Michaël lui tendait. Je t'ai jamais vu avec une clope.

    • Ca m'arrive de temps en temps quand je suis avec des potes qui fument aussi.

     

     

     

    Il s'assit à califourchon sur le muret, et Maryline s'assit face à lui, gardant les deux jambes du même côté du mur. Elle sortit des affaires de son sac, et chercha dans son agenda ce qu'elle avait d'urgent à faire. Elle se mit au travail rapidement, griffonnant sur un cahier. Michaël la regarda quelques instants, puis lui dit en souriant:

     

     

     

    • Assis-toi comme moi. Mets tes jambes des deux côtés.

     

     

     

    La jeune fille leva les yeux vers lui, soupira, mais ne rechigna pas. Elle jeta un coup d'oeil à gauche et à droite, puis leva une jambe pour la passer par-dessus le muret. Elle fit cela rapidement, et fit mine dans la foulée de rabaisser la robe qui était remontée sur ses cuisses. Mais le garçon la retint.

     

     

     

    • Non! Lui dit-il. Reste comme ça, tu es superbe.

     

     

     

    Avec la robe remontée et les cuisses écartées pour laisser les jambes de part et d'autre du muret, il avait une vue imprenable sur la chatte de la petite black. Celle-ci eut du mal à se reconcentrer sur son travail alors que Michaël avait les yeux rivés sur son entrejambe. Depuis la séance de rasage dans la salle de bain et son exhibition forcée dans le bus, la tension sexuelle était à peine retombée. Le jeune homme remarqua avec délectation que les grandes lèvres s'entrouvraient encore légèrement sur un filet rose et humide. Il tendit la main, interrompant Maryline dans son travail, et la glissa sous la robe pour poser directement ses doigts sur la fente.

     

     

     

    • J'ai fait du bon travail, fit-il avec satisfaction. Tu as une jolie petite chatte.

     

     

     

    La lycéenne aurait rougi si c'était possible. Elle se demandait comment elle devait prendre ce compliment, hésita à dire merci, et sourit simplement. Michaël, lui, tripotait la fente et y introduisit ses doigts, écartant les grandes lèvres pour jouer avec les petites. Il les chatouilla et la jeune fille reprit son souffle. L'excitation remontait à la surface, et elle se pencha en arrière en posant ses mains derrière elle. Elle vérifia que personne ne passait aux alentours, et se laissa aller sous les doigts agités de Michaël. Ceux-ci profitèrent de la lubrification grandissante de la fente pour s'introduire dans le trou qui les attirait. Deux doigts pénétrèrent jusqu'à la première phalange et caressèrent les bords du vagin. Puis le pouce vint se poser tout en haut des petites lèvres et massa à l'emplacement du clitoris. Maryline eut des spasmes dans le bas-ventre et se lécha les lèvres. Elle oublia l'endroit où elle se trouvait et voulait juste que ces doigts agiles l'amènent jusqu'à l'orgasme. Elle laissa échapper un gémissement au moment où la sonnerie de l'établissement scolaire retentit.

     

     

     

    • Ho noooooon! Geigna-t-elle alors. Pas maintenant!

     

     

     

    Michaël retira pourtant ses doigts, et les amena à la bouche de la jeune fille.

     

     

     

    • Et si, ma belle! Fit-il d'un air faussement désolé. Tu ne jouiras pas encore maintenant. Tiens, lèche mes doigts.

     

     

     

    Maryline eut un instant d'hésitation. Les doigts étaient humides de sa propre mouille, et jamais elle n'avait imaginé mettre ça à sa bouche. Elle ouvrit malgré tout les lèvres et le garçon introduisit alors directement ses doigts sur sa langue. Elle n'eut plus d'autre choix et les suça avec prudence.

     

     

     

    • Tu vas être très chaude en arrivant en cours, dis donc! S'exclama Michaël. Mais surtout je t'interdis de te masturber, hein! Pas sans mon autorisation... Tiens, d'ailleurs ça sera la prochaine règle. Tu ne dois jamais te masturber sans me demander l'autorisation d'abord. Même si je ne suis pas avec toi. Dans ce cas, tu me phones si c'est urgent.

     

     

     

    Il retira ses doigts de la bouche de la petite black, et celle-ci acquiesça d'un hochement de tête.

     

     

     

    • Allez! Dépêche-toi, on va être en retard!

     

     

     

    Il descendit du muret, et la jeune fille le suivit en récupérant ses affaires qu'elle bourra dans son sac. Puis ils se séparèrent pour rejoindre leurs salles de classe respectives. Maryline arriva juste à temps, avant que la prof ne referme la porte de la salle de cours. Elle se sentait encore toute oppressée par le désir d'orgasme. Elle aperçut les garçons au fond de la classe, Jérémy et Omar. Ils lui faisaient des signes de la main pour qu'elle vienne s'asseoir avec eux. Mais elle ne l'entendait pas de cette oreille. Dans l'état où elle était, elle préférait les éviter, d'autant plus qu'elle ne savait pas quelles étaient leurs intentions après la séance d'essayage au centre commercial. Elle alla s'asseoir à côté de sa meilleure copine Khedidja. Elles purent échanger tout bas quelques mots entre filles, mais rapidement les pensées de Maryline revinrent aux garçons. Elle n'avait pas oublié qu'Omar avait pris des photos, notamment quand elle était seins nus, et qu'il avait aussi gardé sa culotte rose. Michaël l'avait déjà piégée avec des photos telles que celles-là, et elle n'aimait pas l'idée que quelqu'un d'autre dispose aussi de photos d'elle à moitié nue. Jérémy était un garçon plutôt réservé et il pouvait sans doute garder un secret, mais Omar avait la tchatche, et la jeune fille se méfiait surtout de lui. Il faudrait donc qu'elle leur parle rapidement pour éviter tout malentendu.

     

    Cela arriva très vite, à la fin du premier cours, alors que les élèves transitaient d'une salle à l'autre. Les garçons, Omar et Jérémy, vinrent à la rencontre de Maryline, qui ne demandait pas mieux. Mais ils étaient accompagnés d'un troisième larron, Maxime, ce qui n'arrangeait pas la petite black. Elle ne pourrait pas parler librement devant lui. Jérémy et Omar lui firent la bise, et pour ne pas être en reste Maxime fit de même. Les trois garçons avaient l'air plutôt nerveux, trépignant sur leurs pieds. Ils emboîtèrent le pas à la jeune fille pour se rendre à leur prochaine salle de classe.

     

     

     

    • C'était génial cette balade au centre commercial hier, dit Omar avec les yeux pétillants. J'espère qu'on pourra s'en refaire une comme ça!

    • Je ne crois pas, non! Répondit Maryline sèchement pour couper court sur le sujet. Je n'ai pas spécialement apprécié, en ce qui me concerne.

    • Hoooo, allez! Ajouta Jérémy. C'était fun, quoi!

    • Pas du tout! N'insistez pas, ça ne se reproduira pas, c'est tout.

     

     

     

    Omar fouilla dans son sac, et en sortit un bout de tissu rose qu'il mit sous le nez de la lycéenne en riant.

     

     

     

    • Allez, fais-le pour Maxime, quoi! Fit-il. Il aimerait en avoir une comme ça lui aussi.

    • Ho oui, s'te plaît! Lâcha l'intéressé. Ca serait trop cool!

     

     

     

    Maryline, choquée qu'Omar sorte sa culotte dans les couloirs du lycée, essaya d'attraper le sous-vêtement mais le jeune beur la mit hors de portée. La jeune fille le prit alors par la manche pour l'attirer dans un couloir moins fréquenté. Les deux autres garçons les suivirent.

     

     

     

    • Ecoute! Fit la petite black face à Omar quand ils ne se retrouvèrent que tous les quatre. Rends-moi ça tout de suite. Michaël n'aurait jamais du te donner ça.

    • Te donner quoi? Dit le jeune homme d'un air faussement innocent. Ta culotte?

     

     

     

    Les trois garçons pouffèrent. Maryline n'avait pas osé dire le mot « culotte », s'imaginant que Maxime n'était pas vraiment au courant de la situation. Mais a priori, il en savait suffisamment et ça l'intéressait beaucoup. La jeune fille, entourée des trois garçons, se sentit soudain mal à l'aise, en infériorité, et le fait qu'elle se sentait encore toute chaude dans son entrejambe n'aidait pas à la décontracter.

     

     

     

    • Tu sais très bien de quoi je parle! Allez, s'il-te-plaît! Ajouta-t-elle d'un ton suppliant. Donne-la moi et oublie tout ça.

    • Nan nan! Fit le beur. Je peux pas oublier ça, tu rigoles?

    • Ecoute, dit Jérémy, on a promis à Maxime qu'il pourrait en avoir une lui aussi. Il rêve d'avoir une culotte... tu vois le truc, quoi, une culotte qu'une fille aurait portée et lui aurait donnée.

    • Non je vois pas, non! Fit Maryline en fronçant les sourcils. C'est vraiment pervers ce truc!

    • Tu m'avais dit qu'elle serait d'accord, Jérém'! Dit Maxime en écartant les mains, visiblement déçu.

    • Mais bien sur qu'elle sera d'accord, le rassura Omar.

     

     

     

    Puis il s'adressa de nouveau à la jeune fille.

     

     

     

    • Bon, voilà ce qu'on va faire: moi je suis d'accord pour te rendre ta culotte. Mais on a promis à Maxime, et une chose due est une chose due. Alors tu vas lui donner la culotte que tu portes aujourd'hui, et je te rends celle que j'ai. Ca me semble correct comme deal.

     

     

     

    Il prit un air interrogateur, attendant la réponse de sa camarade de classe. Celle-ci entama un signe négatif de la tête, mais avant qu'elle ne parle Omar ajouta:

     

     

     

    • Réfléchis bien, parce que de toute façon j'ai des photos. Il préfèrerait la culotte, mais s'il ne peut pas l'avoir je lui enverrai les photos. Qu'est-ce que tu choisis?

     

     

     

    Maryline sentit l'air lui manquer. La meilleure solution était sans doute d'accepter de lui donner cette foutue culotte et de récupérer l'autre. La situation resterait sensiblement la même, et Omar garderait ses photos. Mais il y avait un gros problème...

     

     

     

    • Heu... Bon, écoute, c'est pas que je veux pas hein, balbutia-t-elle. Mais j'ai un souci, là!...

    • Dépêche-toi! La poussa Jérémy. On va être en retard en cours, putain! Allez, c'est pas grand chose, donne cette culotte, on te rend l'autre, et basta.

     

     

     

    Les garçons voyaient bien que Maryline n'était plus aussi vindicative à présent, et cela leur donnait une assurance accrue. Jérémy surtout se découvrait une autorité qu'il ne connaissait pas. La lycéenne geignit et capitula.

     

     

     

    • C'est que... je ne peux pas... vraiment... j'en ai pas!

    • Quoi?? firent en choeur les garçons.

     

     

     

    Ils tendirent leurs visages vers la jeune fille qui répéta plus bas:

     

     

     

    • J'en... j'en ai pas.

     

     

     

    Omar leva les yeux au ciel.

     

     

     

    • Ha, c'est un peu facile comme excuse. Moi je demande à voir.

    • Ouais ouais, on demande à voir, ajoutèrent les autres.

     

     

     

    Les trois garçons se rapprochèrent de Maryline qui, cernée, aurait voulu se fondre dans le mur derrière elle. Tous trois étaient plus grands qu'elle et elle avait peur à présent. Ils l'encerclaient complètement, collés à elle, et ils avaient une curiosité lubrique peinte sur le visage. La jeune fille se sentit oppressée, et pour échapper à ça, elle commença à lever le tissu de la robe devant elle, doucement. Les mains des garçons l'aidèrent pour aller plus vite et sa jupe fut carrément soulevée, dévoilant son pubis rasé. Elle sursauta.

     

     

     

    • Wouaaaa! C'est vrai dis donc!

    • Ho la salooooope!

    • Pis elle est rasée, regarde!

     

     

     

    Les garçons s'extasiaient. Ils n'avaient pas du voir ça souvent. Maryline tenta de rabaisser sa robe, trouvant qu'ils en avaient déjà assez vu, mais ils retenaient le vêtement au niveau de son ventre. Omar tira même la lycéenne pour la décoller d'un pas du mur, et souleva le tissu dans son dos pour dévoiler ses fesses charnues.

     

     

     

    • Putain! Elle est cul nu!

    • C'est bon, les mecs, ça suffit maintenant, on va être en retard! tenta Maryline pour arrêter cette humiliation.

     

     

     

    Elle était complètement nue en-dessous de la ceinture, et trépignait sur place. Des mains vinrent se poser sur ses fesses et son bas-ventre et elle essayait de les en empêcher en vain. Contre toute attente, c'est Jérémy qui regarda sa montre et mit fin à la séance.

     

     

     

    • Merde! Il faut qu'on y aille, les gars, fit-il manifestement déçu. Je peux pas être envoyé en colle, mes parents me tueraient.

     

     

     

    Les deux autres se regardèrent, puis hochèrent la tête et laissèrent Maryline abaisser sa robe. Ils étaient dépités de devoir interrompre ce moment magique, mais souriaient de satisfaction. La jeune fille redevenue décente se râcla la gorge, puis tous reprirent le chemin de leur salle de classe. Ils n'ajoutèrent pas un mot, mais les garçons arboraient un sourire béat.

     

    Ils arrivèrent en cours deux minutes en retard, mais le professeur ne leur fit qu'une remarque verbale. Maryline n'eut pas d'autre choix que de s'asseoir avec les garçons sur le devant de la salle, c'étaient les seules places qui restaient. Il lui fut impossible de suivre le cours avec ce qui venait de se passer. Elle ressassait la scène, n'arrivant pas à croire qu'elle venait de montrer aux garçons sa chatte rasée et son cul nu. Elle soupira en réalisant avec soulagement qu'ils n'avaient même pas remarqué qu'elle était encore humide depuis qu'elle avait quitté Michaël. Ceux-là semblaient ne pas avoir autant d'expérience en matière de sexe, heureusement pour elle. Mais penser à tout ça n'aidait pas à ce que la tension retombe, et elle sentait un besoin terrible de revoir Michaël. Elle se surprit à rêvasser en repensant à leurs séances de baise de la veille. Elle avait tellement envie qu'il la pénètre maintenant, et qu'il la fasse jouir!

     

    A côté d'elle, les garçons n'étaient pas plus concentrés sur le cours. A sa droite, elle vit avec horreur qu'Omar et Maxime jouaient avec sa culotte sous la table en rigolant. Omar s'amusait même à la lever à son nez pour la renifler quand le prof avait le dos tourné. Maxime, qui était juste à côté de la jeune fille, commença à poser ses mains sur son bras, sur sa cuisse, sur sa hanche, puis il n'arrêta plus même si Maryline persistait à le repousser. De l'autre côté, Jérémy avait la main sur son entrejambe et caressait la bosse que formait son sexe visiblement tendu.

     

    A la fin du cours, profitant de la débandade pour aller en pause récréation, la petite black faussa compagnie aux trois garçons. Elle retrouva Khedidja et put passer un moment tranquille avec elle et d'autres copines. De retour en cours, elle évita encore les garçons et s'installa dans un coin de la classe avec sa copine. A côté d'elle s'installa également Frédéric, un garçon discret mais plutôt beau gosse qu'elle connaissait peu. Cette fois il voulut faire connaissance et bavarda longuement, interrompu plusieurs fois par le professeur qui leur demandait de se taire. Mais la petite black remarqua bien que Fred (c'est ainsi qu'il voulait qu'elle l'appelle) avait les yeux rivés sur son décolleté, d'où sans doute son soudain intérêt pour elle. Cela dit il était sympa et resta correct, et donc elle ne refusa pas qu'il reste avec elle et Khedidja au cours suivant. En plus la présence du garçon semblait dissuader Omar et ses copains de venir la voir, ce qui la satisfaisait. Khedidja était aussi plus que satisfaite et s'assit cette fois à côté de Fred, essayant de rattraper l'avance que sa copine avait pris dans ses faveurs. Maryline le lui laissa volontiers, ravie de pouvoir suivre enfin un cours tranquillement.

     

    A midi, Fred proposa aux filles de déjeûner avec lui, ce que Maryline allait accepter avec plaisir, mais à ce moment Omar et sa bande intervinrent. Ils étaient quatre cette fois, Thomas, le cancre de la classe, étant venu s'ajouter à Jérémy et Maxime. Omar décréta que c'était avec eux que Maryline déjeûnerait, et devant l'insistance du jeune beur et la force du nombre personne ne s'y opposa. De plus, Khedidja était trop heureuse de garder Fred pour elle seule. Elle adressa quand même un sourire encourageant à sa copine qui s'éloignait au milieu des quatre garçons. Maryline n'en menait pas large. Elle était sur le qui-vive, se demandant à tout instant si les garçons n'allaient pas profiter de la situation. Mais dans le réfectoire, au milieu de la foule, aucun ne fit allusion à la scène du matin, ce qui la rassura. Bien sur, elle sentait que les garçons étaient à présent plus familiers avec elle, n'hésitant pas à la toucher à chaque fois qu'ils lui parlaient, sur les épaules, les cuisses, les joues, etc... Même Thomas, le nouveau venu, faisait de même. Il faut dire que lui était naturellement extraverti, mais la jeune fille ne l'avait jamais particulièrement fréquenté. Elle se demanda s'il était au courant de « certaines choses », et, repensant à l'exemple de Maxime, elle se dit avec désespoir qu'Omar n'avait surement pas pu tenir sa langue. Elle chercha du regard Michaël, un peu comme une bouée de sauvetage qui aurait pu la sortir de là, mais elle ne le trouva pas au milieu de la foule des élèves.

     

    Le repas terminé, les garçons l'emmenèrent s'asseoir sur un coin d'herbe à côté du parking de l'établissement. Deux d'entre eux lui tenaient la main, plutôt fermement, de manière à lui faire comprendre qu'elle n'avait pas le choix. Elle s'assit avec les jambes repliées sur le côté, sure de ne rien divulguer de ses charmes. Les trois garçons s'assirent face à elle, la dissimulant presque totalement aux éventuels passants. Thomas sortit un paquet de tabac et roula une cigarette pour chacun, mais Maryline refusa poliment. Le garçon n'insista pas et rangea la cigarette restante dans sa poche. Puis il sortit un briquet et alluma celles de ses copains.

     

     

     

    • Faites gaffe hein, les mecs! Fit-il en tirant sa première taf. Si quelqu'un arrive, on planque ça vite fait. Je tiens pas à aller encore voir c't'enculé de proviseur.

     

     

     

    Chacun sirota ses bouffées de fumée comme du bon vin, et quand leurs cigarettes furent entièrement consumées Thomas ajouta:

     

     

     

    • Bon, j'ai fourni le matos. Maintenant j'attends ce que vous m'avez dit.

     

     

     

    Il regarda tour à tour Omar et ses copains, puis Maryline. Celle-ci fronça les sourcils, ne comprenant pas.

     

     

     

    • Bon, ma chérie, fit Omar en s'adressant à elle sur un ton condescendant, en fait c'est grâce à toi si Tom nous file des clopes. On lui a dit qu'en échange, et ben... tu lui montrerais tes nichons.

    • Quoi?

     

     

     

    La jeune fille faillit bondir sur ses pieds.

     

     

     

    • Tu... tu marchandes... mon corps comme ça! Bafouilla-t-elle, rageuse et incrédule. Tu m'en parles même pas avant!

    • Je t'avais dit que ça serait pas un problème, dit le jeune beur à Tom d'un air assuré.

    • Pas un problème? Enragea de plus belle Maryline. Tu rigoles? Je montre pas mes nichons comme ça, tu me prends pour qui?

    • Ben ce matin, t'as bien montré ta chatte, ajouta Maxime d'un air benêt, et ton cul aussi. Et tes nichons, j'aimerais bien les voir aussi. Je les ai pas vus non plus, moi... enfin si, en photo, mais c'est pas pareil.

    • Tu lui as montré les photos?

     

     

     

    Maryline allait de surprise en surprise.

     

     

     

    • Ben oui, dit Omar comme si c'était naturel. Après ce qu'il a vu ce matin, je me suis dit que t'étais plus à ça près.

    • C'est trop, là, je me casse!

     

     

     

    Le garçon n'avait pas tort, elle le savait. Maxime avait de toute façon vu pire que ses photos seins nus. Mais c'était la goutte qui faisait déborder le vase, et elle refusait de se laisser faire encore une fois. Elle posa une main à terre pour s'aider à se lever, mais les mains plus fortes de Maxime et Omar lui attrapèrent les bras et la forcèrent à rester assise.

     

     

     

    • On ne bouge pas! Fit Maxime. Tu ne voudrais quand même pas que Tom dise qu'on est des arnaqueurs, non? Il doit avoir son du.

    • Mais allez vous faire foutre! Éructa Maryline.

     

     

     

    Elle se débattit mais c'était vain. A deux, les garçons n'avaient aucun mal à la tenir.

     

     

     

    • Arrête tes conneries, ma chérie, lui dit Omar en la poussant vers le sol.

     

     

     

    Elle se retrouva allongée sur le dos, Omar et Maxime de chaque côté lui maintenant un bras à terre.

     

     

     

    • Fais ce qu'on te dit, ajouta-t-il. C'est juste Tom. Si j'avais voulu, c'est toute la classe que j'aurais invité. Tu t'en sors bien. Alors calme-toi, et ça va aller vite.

     

     

     

    Maryline eut envie d'appeler au secours, et ça aurait sans doute été la bonne solution. Mais elle se demandait si on la prendrait vraiment au sérieux habillée comme elle l'était, et qui plus est sans culotte et à présent toute mouillée. En effet, son bas-ventre réagissait étrangement à la situation dans laquelle elle se trouvait. Toute la tension sexuelle retenue depuis le matin ressurgissait d'un coup brutalement. Elle préféra donc ne rien faire. Elle se débattit encore mollement pour montrer qu'elle n'était pas consentante. Omar fit signe à Tom d'approcher.

     

     

     

    • Vas-y, fais le toi-même, on la tient, lui dit-il.

     

     

     

    Puis il s'adressa à Jérémy:

     

     

     

    • Jérém', surveille bien que personne ne vient.

     

     

     

    Jérémy acquiesça et resta en retrait, gardant un oeil vers l'établissement. Mais il regardait surtout la jeune fille, ne voulant rien rater du spectacle. Tom s'approcha, et Maxime se décala pour lui laisser de la place tout en tenant toujours le bras de Maryline. Le garçon se pencha au-dessus de la lycéenne qui tourna son visage pour ne pas avoir à le regarder. Ensuite Tom attrapa un pan du décolleté et l'écarta, dégageant un sein. Puis il fit de même avec l'autre. Les quatre garçons affichèrent un sourire lubrique, les yeux fixés sur la poitrine dénudée et les tétons saillants. Mais Tom n'était pas tout à fait satisfait. Il voulut écarter davantage les pans du décolleté qui se resserraient trop à son goût. Alors il dégagea la robe des épaules de Maryline, et la descendit le long de ses bras. Il put ainsi dénuder la petite black jusqu'au nombril. Celle-ci resta stoïque. Elle n'avait de toute façon pas le choix, maintenue comme elle l'était. Et elle ne réagit que par une brusque inspiration lorsque Tom posa les deux mains sur ses seins voluptueux et les caressa. Il les attrapa et les malaxa, puis il remonta jusqu'aux pointes qu'il serra entre ses doigts, avant de recommencer comme s'il cherchait à traire la jeune fille. Il refit ces gestes plusieurs fois, puis il lâcha l'une des mamelles et fit signe à Maxime d'y poser sa main. Celui-ci réagit immédiatement, trop heureux, et pelotta le sein. Tom fit signe à Omar qu'il pouvait s'attaquer au deuxième, et le beur se mit à l'ouvrage avec délectation. Tom les observa un moment avec satisfaction, puis se joignit à eux. Maryline se faisait maintenant pelotter par les trois garçons en même temps, et ses seins, ses mamelons, étaient triturés de tous côtés. Ils lui faisaient un peu mal par moment, mais cette douce torture raviva son désir et elle le sentit dans son bas-ventre. Elle sentait ses seins étirés, écrasés, ses tétons sucés... car les garçons utilisèrent ensuite autant leurs bouches que leurs mains.

     

    Puis tout à coup une main se posa à l'intérieur de sa cuisse, et elle les resserra vivement. Mais on les lui écarta de force.

     

     

     

    • Nooooon! Fit-elle mollement, mais son excitation se lisait dans sa voix.

     

     

     

    La main se posa de nouveau sur sa cuisse, puis glissa immédiatement sous la robe qu'elle remonta dans le même mouvement, pour se poser directement sur sa chatte.

     

     

     

    • Ho putain! Elle n'a pas de culotte! Lâcha spontanément Tom, à qui appartenait la main.

     

     

     

    Les autres rigolèrent. Ils le savaient, eux. Tom en profita et glissa la main tout le long de la fente de la jeune fille.

     

     

     

    • Ouais, puis elle est mouillée, la vache! Ajouta-t-il. T'aimes ça, ma salope!

     

     

     

    Maryline gémit et serra un instant la main du garçon entre ses cuisses, histoire de ne pas se laisser faire si facilement. Mais quand il lui écarta de nouveau les cuisses, elle offrit peu de résistance. Omar et Maxime continuaient de lui pelotter et lui sucer les seins. Jérémy faisait le guet tout en regardant la scène et en se frottant l'entrejambe. Tom s'agenouilla entre les cuisses de la petite black et approcha le visage de son sexe. Il enfonça sa bouche contre la fente mouillée et entreprit de la bouffer copieusement. Il embrassa et mordilla chaque partie du sexe de la jeune fille, puis enfonça sa langue pour lécher avidement avec des bruits de succion exagérés et des gémissements de satisfaction. Maryline ne peut empêcher son bassin de se soulever du sol dans un spasme orgasmique. Les autres garçons avaient arrêté ce qu'ils faisaient, fascinés par le cunnilingus que prodiguait leur camarade. Soudain Omar eut une idée et sortit son téléphone portable pour prendre des photos. Maryline voulut protester mais à ce moment Tom enfonça sa langue aussi loin qu'il le pouvait dans son vagin. Le contact délicat de cet organe arracha un petit ululement de plaisir à la lycéenne. Son partenaire continua de lui lécher l'intérieur un moment puis il reprit son souffle avant de plonger sur son clitoris. Il l'aspira et le suça, faisant danser malgré elle les hanches de la jeune fille. Pendant ce temps-là Omar mitraillait avec des « ha! » et des « ho! », n'arrivant pas à croire ce qu'il était en train de photographier. Maxime était hypnotisé, les yeux ébahis, et Jérémy avait enfoncé sa main dans son pantalon pour se masturber furieusement.

     

     

     

    • Stop! Fit-il soudain dans un cri étouffé. Quelqu'un arrive! Arrêtez!

     

     

     

    Les garçons mirent à peine une seconde à se remettre d'aplomb, Tom s'essuyant la bouche d'un revers de manche. Mais Maryline paniqua en essayant de remettre rapidement sa robe qui se retrouvait roulée autour de ses hanches. Elle ajustait son décolleté et lissait le tissu du vêtement quand un professeur apparut, qui allait vers un véhicule dans le parking non loin du petit groupe. L'homme lui jeta un regard interrogateur et la détailla des pieds à la tête. Puis il regarda ses camarades avec méfiance. Ceux-ci, afin de ne pas attirer davantage l'attention, se dirigèrent vers les bâtiments du lycée, Omar prenant Maryline par la main au passage. Ils arrivèrent dans la zone plus fréquentée de la cour et se posèrent à un endroit, s'asseyant au bord d'une sorte de trottoir où ils tentèrent de revenir à la réalité du lycée et discutèrent de choses et d'autres. Visiblement les garçons étaient aux anges et voulaient garder Maryline pour eux. Lorsqu'elle suggéra qu'elle allait retrouver sa copine Khedidja, ils l'en dissuadèrent, Tom allant jusqu'à lui tordre un téton. Elle poussa un petit cri.

     

     

     

    • Tu restes avec nous tant qu'on te le dit, lui intima-t-il.

     

     

     

    Son geste se mua en caresse, qu'il interrompit rapidement car ils étaient visibles de la foule des élèves dans la cour. Maxime posa sa main sur la cuisse de la jeune fille et la tint fermement pour appuyer les propos de son camarade. Jérémy, lui, se tenait toujours l'entrejambe, pas très discrètement mais ça ne semblait pas le gêner. Maxime chercha à passer sa main sous la robe pour remonter le long de la cuisse.

     

     

     

    • Non, pas ici s'il-te-plaît! Lui dit Maryline, suppliante, en retenant sa main.

     

     

     

    Elle fut soulagée que le garçon n'insiste pas. Omar regardait son téléphone portable, sans doute les photos qu'il venait de prendre, et faisait des mimiques expressives pour montrer qu'il en était content. Il les montra aux autres garçons, puis à Maryline. Elle porta la main à sa bouche, morte de honte. Certaines photos étaient prises en gros plan, et sur d'autres cadrées plus large on voyait son visage. Elle sut à ce moment-là que ces garçons la tenaient et qu'elle ne pourrait absolument rien leur refuser. Elle se demanda ce qu'ils voudraient d'elle, jusqu'où ils iraient. Omar, Jérémy, et même Maxime étaient encore de grands enfants et cherchaient à s'amuser avant tout, ils n'étaient pas méchants ni dangereux. Mais Tom lui faisait peur. On racontait des choses sur lui, qu'il avait déjà eu affaire à la police, qu'il fréquentait des gens louches. Elle n'osait pas imaginer ce qu'il pourrait lui faire. Une boule se forma dans sa gorge mais elle la réprima. Il était inutile de pleurer.

     

    Lorsqu'il fut l'heure de retourner en cours, le petit groupe récupéra ses sacs dans les casiers où l'on pouvait les déposer pendant la pause méridienne. Ensuite ils se rendirent au gymnase. Ils avaient cours de sport pendant deux heures cet après-midi, puis la semaine serait terminée. Maryline se rappela qu'elle n'avait pas sa tenue pour le sport. Ils devaient faire du volley-ball à l'intérieur du gymnase. La lycéenne se décida à demander aux garçons avant qu'ils ne se séparent pour aller dans leurs vestiaires respectifs.

     

     

     

    • Heu, les gars... J'ai un problème, j'ai oublié mes affaires de sport. Est-ce... vous auriez quelque chose à me prêter?

     

     

     

    Les trois se regardèrent en réfléchissant, puis agitèrent la tête négativement.

     

     

     

    • T'as qu'à faire le volley à poil, je suis sur que t'aurais du succès! Fit Maxime ironiquement.

     

     

     

    Et les trois éclatèrent de rire. Tom lui donna une tape sur les fesses, puis ils la quittèrent. La petite black retrouva les autres filles au vestiaire, et leur demanda aussi si on pouvait lui prêter une tenue. Mais aucune n'avait de vêtement adapté en rab. On lui proposa juste une paire de baskets une pointure trop grande. Ca fairait déjà l'affaire. Elle savait que Michaël lui avait mis sa tenue de pom pom girl dans son sac, mais elle se refusait à la mettre. D'une elle aurait l'air ridicule, et de deux il lui serait impossible de jouer au volley sans culotte sous la minijupe. Et même le haut était trop sexy. Le t-shirt était bien court et dévoilait tout son ventre. Elle décida donc d'aller voir la prof. Elle savait que celle-ci avait quelques vêtements de côté à prêter dans des cas comme le sien. C'étaient des fringues oubliés parfois dans le vestiaire et jamais réclamés. La prof la réprimanda gentiment pour son oubli, et amena la jeune fille dans un réduit où se trouvaient les quelques vêtements disponibles: quelques t-shirts, sweats, shorts, chaussettes et pantalons. Maryline n'eut que l'embarras du choix, la seule difficulté étant de trouver la bonne taille. Avec son petit gabarit, tout était trop grand pour elle. Elle finit par prendre un t-shirt et un pantalon de survêtement en espérant que ça irait, et retourna au vestiaire. Elle était la dernière à se changer, ce qui l'arrangea. Aucune fille ne verrait qu'elle était nue sous sa robe. Elle enfila le t-shirt et le pantalon, et sa crainte se confirma. C'était grand. Pour le t-shirt, ce n'était pas un problème, il était large et cela dissimulerait sans doute mieux sa poitrine libre que s'il était serré. Mais le pantalon ne tenait pas à la taille, et ce d'autant plus que le lacet qui devait permettre de le serrer avait disparu. Heureusement Maryline avait les hanches assez larges et des fesses bien en chair, et le vêtement ne descendait pas trop bas. Il faisait comme un pantalon taille basse, s'arrêtant à la limite de la raie des fesses. Si elle portait un string, il aurait dépassé largement. Elle n'avait plus le temps d'aller chercher autre chose qui ne lui irait pas forcément mieux, et elle rejoignit les autres élèves sur les terrains de volley. En trottinant et en s'échauffant, elle se rendit compte que non seulement son pantalon glissait vers le bas et qu'elle devrait le remonter toutes les trente secondes, mais aussi que ses seins bougeaient dans tous les sens. On voyait bien malgré l'ampleur du t-shirt qu'ils n'étaient pas maintenus. Les garçons n'arrêtaient pas de poser leurs regards sur elle; Omar, Tom, Jérémy et Maxime, bien sur, mais aussi Fred et tous les autres. Khedidja, en amie, lui demanda ce qu'elle avait fait avec ses fringues, et Maryline lui expliqua qu'elle avait oublié ses affaires de sport. Elle omit cependant de dire pourquoi ses seins étaient libres, et Khedidja ne le lui demanda pas. Enfin la prof constitua des équipes pour jouer des matches. La petite black se retrouva avec Khedidja et Fred, qui ne se quittaient déjà plus, ainsi qu'une autre fille, Sandra. Le reste de l'équipe était constitué de Jérémy et Tom. C'étaient des équipes de six, il y aurait donc cinq joueurs sur le terrain et un remplaçant qui tournerait à chaque point. Il y avait plusieurs terrains, et les équipes changeraient de terrain à chaque manche, de sorte que toutes joueraient au moins une fois l'une contre l'autre.

     

    Maryline essaya de jouer doucement. Elle voulait éviter de trop bouger, limiter ses mouvements de sorte que son pantalon ne risque pas de se retrouver à ses chevilles. Elle devait quand même le remonter régulièrement, et ses coéquipiers la regardaient souvent. Ses seins tressautaient à chacun de ses gestes, même les plus minimes. Jérémy ne pouvait pas s'empêcher de se toucher régulièrement l'entrejambe. Fred la regardait avec un sourire amusé, et Khedidja lui jetait plutôt des regards désapprobateurs. Tom, lui, profitait de chaque instant où il croisait la petite black pour lui pincer discrètement un téton ou lui donner moins discrètement une tape sur les fesses. Les autres remarquèrent au moins ce dernier geste et pour certains s'étonnèrent de la soudaine familiarité de Tom envers Maryline. Mais il le faisait avec un petit sourire mi sadique, mi moqueur qui faisait que cela pouvait passer pour de la taquinerie.

     

    Lors d'une pause entre deux manches où chacun allait aux toilettes se désaltérer ou faire ses besoins, Tom attrapa la jeune fille et s'adossa à un mur, la plaçant devant lui dos tourné.

     

     

     

    • Ne bouge pas! Lui souffla-t-il à l'oreille.

     

     

     

    Elle faisait face au gymnase, et le garçon put poser une main sur le bas de son dos à l'insu de tout le monde. Il voyait la naissance de la raie des fesses de la petite black, et y engagea sa main, se glissant sous le pantalon. Il s'insinua entre les deux globes de chair et les pétrit fortement tour à tour. Puis il continua plus bas, frôla son anus et continua encore pour se glisser entre les cuisses que Maryline dut écarter légèrement sous la pression du garçon. Celui-ci put ainsi accéder où il le voulait, c'est-à-dire directement à la chatte. Il la caressa avec le bout du majeur et s'y introduisit d'un coup. Il la doigta discrètement mais rapidement jusqu'à ce qu'elle soit de nouveau toute mouillée. C'est alors que leur équipe revint sur le terrain, et Tom dut s'interrompre. Il retira promptement sa main et rejoignit les autres. Maryline soupira, remonta son pantalon et retourna sur le terrain d'un pas mal assuré. Tom avait de nouveau ravivé son désir, et elle ressentait une fois de plus une folle envie de jouir, ce qui lui avait été impossible depuis le matin.

     

    La partie qu'ils reprirent était plus disputée que les précédentes, et la petite black qui ménageait toujours ses efforts se fit blâmer par ses partenaires qui lui reprochaient son manque d'engagement. Il est vrai qu'elle transpirait peu par rapport aux autres, et elle dut mettre un peu plus de punch dans son jeu. Elle courut davantage pour attraper la balle, dut sauter parfois, et du coup sa poitrine dansait comme jamais. Ses coéquipiers l'encourageaient, d'abord pour gagner ce match, mais pour les garçons c'était autant pour le spectacle qu'elle leur offrait.

     

     

     

    • Allez Maryline!... Vas-y, c'est bien!... Plus vite!

     

     

     

    En plus son pantalon ne tenait plus en place. Après chaque course de quelques pas elle devait le remonter, et quand elle sautait c'était pire. A la retombée, c'est le haut de ses fesses qui surgissait, et si elle n'avait pas été rasée on aurait sans doute vu apparaître des poils en bas de son ventre. Khedidja lui jetait des regards de plus en plus noirs alors que Fred avait plus d'yeux pour sa copine black que pour elle. Certains joueurs des terrains adjacents étaient plus concentrés sur ce que faisait Maryline que sur leur propre match. Soudain elle dut sauter le plus haut qu'elle put pour contrer un smash au filet. Elle réussit à renvoyer le ballon dans le terrain adverse, mais en retombant son pantalon tomba à mi-fesses et elle perdit l'équilibre. En essayant de rester debout, elle marcha sur le bas du vêtement qui traînait par terre et tomba lourdement à plat ventre. Elle amortit sa chute avec ses bras mais le mal était fait. Cette fois le pantalon avait passé la partie la plus charnue de son postérieur et glissé dessous. Elle avait complètement le cul à l'air!

     

    Des sifflets et des cris fusèrent, et il fallut une seconde à Maryline pour qu'elle récupère ses esprits et se rende compte de la situation. Elle remonta alors son pantalon le plus rapidement possible, avant de se relever. Les rires et les remarques moqueuses pleuvaient de tous côtés, mais seuls les élèves les plus proches avaient eu le temps de voir quelque chose. Les autres se renseignaient pour savoir quelle était la cause de ces effusions, impatients de pouvoir en rire à leur tour. Même la prof tourna son regard vers Maryline, mais voyant que celle-ci était debout et qu'il n'y avait rien, elle ne s'en préoccupa pas. Le jeu reprit, mais le mot se répandit sur ce qui s'était passé, et beaucoup d'élèves pouffaient en en parlant. La petite black, échaudée par cet incident, reprit un rythme de jeu plus doux, au désarroi de ses coéquipiers.

     

    Quand les deux heures de sport furent passées et que chacun retourna aux vestiaires, Maryline ne fut pas pressée de se changer. Elle préférait que personne ne la voie se rhabiller. Elle profita donc d'un moment où aucune fille ne regardait ce qu'elle faisait pour se déshabiller et filer sous la douche. Elle n'eut même pas l'occasion de discuter avec Khedidja car celle-ci lui jeta un regard froid et quitta les douches au même moment. Maryline haussa tristement le épaules et passa un long moment sous le jet d'eau chaude réparateur. Elle n'en ressortit que lorsqu'elle fut sure que toutes les autres filles étaient déjà parties. Elle s'essuya avec le t-shirt prêté par la prof, puisqu'elle n'avait pas de serviette. Puis elle enfila sa robe et ses chaussures. Elle alla remettre sa tenue de sport dans le réduit d'où elle venait, puis quitta le gymnase avec son sac sur l'épaule.

     

    A l'extérieur, sur le chemin qui reliait le bâtiment au corps principal du lycée, Michaël l'attendait. Sans qu'elle comprenne pourquoi, elle eut les larmes aux yeux. Jamais elle n'avait été aussi heureuse de le voir. Elle courut se jeter dans ses bras. Il eut un rire de surprise.

     

     

     

    • Et ben! Fit-il. Moi aussi tu m'as manqué, ma belle! J'avais une furieuse envie de te baiser toute la journée.

    • Tu ne peux pas savoir ce qui m'est arrivé, dit-elle en sanglotant. Reste avec moi, s'il-te-plaît.

    • Ne t'inquiète pas, je suis là. Tu me raconteras plus tard. Tu as fini les cours?

     

     

     

    Elle hocha la tête.

     

     

     

    • Bien! Moi aussi, dit le grand gaillard. Viens, partons d'ici.

     

     

     

    A suivre...


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    • Tu m'as excité, ma salope! Dit Michaël quand son père eut refermé la porte. Laisse-la moi, P'pa! Il faut que je me la fasse maintenant.

     

     

     

    Pierre le laissa attraper Maryline par le bras et l'emmener dans le salon. Il allongea la jeune fille sans ménagement dans le canapé, sur le dos. Puis il dégraffa son pantalon, et le baissa en même temps que son boxer. Son sexe surgit, raide comme un piquet. La lycéenne ne se faisait aucune illusion sur ce qui allait se passer, mais elle n'osait pas bouger. Elle avait plus ou moins déjà pensé à ce moment, et faire l'amour avec Michaël ne lui déplaisait pas. Mais les circonstances étaient particulières, et pour le garçon était-ce un acte d'amour ou seulement du sexe? Elle n'eut pas le temps de penser davantage à tout ça. Le grand gaillard lui souleva une jambe et la cala au creux de son coude, puis il abattit tout le poids de son corps sur elle. La petite black, comprimée, laissa échapper un râle d'étouffement et se sentit écartelée alors que son genou était ramené à hauteur de son épaule. Son râle n'eut même pas le temps de se terminer qu'il se transforma en cri de douleur et de plaisir mêlés. Le pénis du jeune homme venait de s'enfoncer avec force dans son vagin. Elle sentit son ventre soudainement rempli de la virilité de son partenaire. Celui-ci, tout excité, ne resta pas inactif. Il bougea immédiatement, se retirant presqu'entièrement pour s'enfoncer de nouveau jusqu'à la garde. Maryline cria encore une fois, cette fois-ci plus de plaisir que de douleur. Le garçon recommença ses mouvements, une fois encore, puis encore. Il bougeait de plus en plus vite. A chacun de ses coups de boutoirs, tout le corps de la petite black était bousculé sur le canapé. Elle était toute petite par rapport à lui. Son visage était collé à la poitrine du jeune homme, et elle sentait l'odeur de sa transpiration dans sa fine toison. Elle gémissait maintenant au rythme des mouvements de son partenaire et de sa respiration, qui s'harmonisaient. Michaël se mordait les lèvres. Il mettait toute son énergie lorsqu'il projetait ses hanches en avant, comme s'il voulait transpercer la jeune fille. Il voulait prendre son pied car l'image de cette fille qui se masturbait sur le pas de sa porte l'avait excité au plus haut point, mais il voulait aussi que cette séance de baise soit exceptionnelle pour elle et qu'elle lui fasse oublier ce qu'elle avait pu connaître auparavant. Lorsqu'il sentit qu'il ne tiendrait plus très longtemps et qu'il allait éjaculer s'il continuait, il arrêta ses mouvements. C'est à ce moment qu'il remarqua que son père avait pris l'appareil photo. Celui-ci fit un mouvement circulaire du doigt sur le côté de l'appareil, et Michaël comprit que ce n'était pas des photos qu'il prenait, mais qu'il était en train de filmer. Maryline le vit aussi et fut sur le point de dire quelque chose, mais elle fut soudain soulevée du canapé comme une plume. Le garçon la portait contre lui, debout, son pénis toujours fiché en elle, et il la laissa peser de tout son poids afin qu'il aille au plus profond d'elle. La petite black s'accrocha à lui et gémit la bouche grande ouverte comme si elle allait manquer d'air. Michaël voulut la soulever de nouveau un petit peu, mais il manquait d'équilibre. Il alla alors plaquer la lycéenne contre un mur. Il la tint par les fesses et là il put la pilonner de nouveau de toute sa force, soulevant tout son corps à chaque coup de boutoir. Son père ne manquait rien de la scène, filmant leurs ébats en petites séquences de quelques secondes. La petite black criait à chaque coup de bite qu'elle recevait. Elle jouissait et chaque pénétration prolongeait son orgasme. L'envie d'éjaculation du jeune homme revint rapidement, mais il ne voulait pas jouir dans le vagin de Maryline. Il la souleva alors un grand coup et se retira d'elle. Puis, les jambes fléchies, il la tint quasiment assise sur ses propres cuisses. Et là, son pénis dressé devant elle, il éjacula. La première giclée de sperme atteignit le menton et la poitrine de la jeune fille, et la deuxième son ventre. La troisième n'avait plus assez de puissance et coula le long de la verge. Le garçon laissa alors la petite black glisser jusqu'à terre, et elle se retrouva assise sur les fesses. Elle était pantelante. Elle se retrouva soudain avec le gland humide de Michaël contre ses lèvres, et levant les yeux elle rencontra le regard pénétrant du jeune homme. Elle devinait ce qu'il voulait et ouvrit la bouche, obéissante. Le gland s'enfonça entre ses lèvres et elle sentit le goût salé du sperme mélangé à sa propre mouille. Elle n'avait pas une grande expérience de la fellation, n'en ayant fait que deux ou trois fois à son ex-petit copain. Elle ne sut donc pas vraiment quoi faire, et suçota le gland comme un bâton de glace.

     

     

     

    • Lèche bien! Nettoie-moi la bite! Lui dit Michaël pour la guider.

     

     

     

    Epuisée par cette séance de baise acrobatique et avec un sexe dans la bouche, Maryline ne chercha pas à discuter. Elle fit tourner sa langue tout autour du gland, puis le retira de sa bouche et entreprit de lécher le sperme qui avait coulé le long de la verge. Elle ne se posa pas de questions et l'avala petit à petit. Elle descendit jusqu'aux bourses et en lécha la base, là où quelques gouttes avaient terminé leur course.

     

     

     

    • Oui, ça c'est bon, lâcha le jeune homme d'une voix plus rauque. Suce-moi les couilles, ma belle, vas-y!

     

     

     

    La petite black obéit et goba un testicule qu'elle suça bruyamment tel un bonbon à la menthe. Puis elle prit l'autre de la même manière. Elle suça alternativement les deux bourses, et Michaël respira bruyamment, gémissant presque. Maryline leva les yeux et sourit, satisfaite de voir qu'elle donnait du plaisir à son partenaire. Celui-ci la regarda à son tour, et lui caressa les cheveux.

     

     

     

    • C'est bien, lui dit-il. Est-ce que tu as déjà sucé beaucoup de bites?

     

     

     

    La jeune fille fut surprise par l'audace de la question, et elle répondit en hésitant:

     

     

     

    • Non... non!

    • Ca se voit, dit le garçon. Je t'apprendrai comment il faut s'y prendre, ce qu'on veut nous les garçons. Tu deviendras la meilleure suceuse qu'on aie jamais vue.

     

     

     

    Pierre se fit soudain entendre en se râclant la gorge.

     

     

     

    • Hem! Désolé d'interrompre cette conversation passionnante, dit-il, mais maintenant que vous vous êtes bien amusés, moi j'aimerais bien qu'on s'occupe du repas.

     

     

     

    Les deux jeunes gens avaient presque oublié que le père de Michaël était là. Maryline se releva, et fut envahie de honte en se rendant compte dans quel état elle était, avec des filets de sperme qui lui coulaient sur le ventre et la poitrine. Michaël, lui, alla ramasser son pantalon et l'enfila directement à même la peau.

     

     

     

    • Maryline, tu vas t'occuper de la cuisine avec moi, ordonna Pierre en posant l'appareil photo sur l'étagère d'une bibliothèque. Mais d'abord va prendre une douche, je ne voudrais pas de cet assaisonnement dans mon assiette.

     

     

     

    Michaël rit à la blague de son père, et fit signe à la lycéenne de le suivre.

     

     

     

    • Suis-moi! Je vais te donner une serviette.

     

     

     

    Elle put ainsi prendre une douche, et resta longuement sous le jet d'eau bien chaude. Lorsqu'elle eut terminé, elle s'enroula dans la serviette et alla trouver Michaël. Il s'était assis dans le canapé devant la télé et buvait une bière.

     

     

     

    • Je peux avoir ma robe s'il-te-plaît? Lui demanda-t-elle.

     

     

     

    Il faillit s'étouffer en avalant une gorgée de bière.

     

     

     

    • Tu rêves! Fit-il. Ta punition n'est pas terminée. T'en as pour toute la soirée. Et puis t'es trop bandante à poil! D'ailleurs, t'as pas besoin de ça.

     

     

     

    Il attrapa un coin de la serviette et la lui arracha d'un coup sec. La petite black se retrouva de nouveau complètement nue. Pierre, qui sortait de la cuisine où il était affairé, ajouta:

     

     

     

    • Michaël a raison. C'est bien plus agréable que tu restes nue. J'aimerais bien trouver une aussi jolie femme nue à chaque fois que je rentre chez moi.

    • Tiens! Mais ça me donne une idée, ça! S'exclama Michaël. On va instaurer une nouvelle règle.

    • Une nouvelle règle? S'interrogea tout haut son père.

    • Oui, P'pa! Je vais t'expliquer, j'ai mis au point certaines règles avec Maryline. C'est un peu comme un code de conduite qu'elle est obligée de suivre. La règle numéro un, c'est qu'elle doit oublier les soutien-gorges où tout sous-vêtement qui couvre ses nichons. Maintenant elle n'en met plus.

    • Je vois, acquiesça Pierre. Tu as raison, une poitrine qui se tient bien toute seule n'a pas besoin de ça.

    • La deuxième règle, c'est qu'elle ne doit porter que des jupes ou des robes. Pas de pantalon, de caleçons, de collants, ou de choses comme ça.

    • C'est intéressant.

    • Et donc, je vais ajouter une troisième règle, dit-il en fixant Maryline dans les yeux. A partir de maintenant, dès que tu viendras dans cette maison, tu devras y être nue.

     

     

     

    La jeune fille soupira intérieurement, un peu soulagée. Elle avait craint le pire, mais cette règle n'était pas si terrible. Après tout, elle était déjà nue.

     

     

     

    • D'accord, s'empressa-t-elle de dire afin de montrer sa bonne volonté.

    • Super! S'exclama Pierre en souriant. On devra t'inviter très souvent alors!

     

     

     

    Lui et Michaël éclatèrent de rire. La petite black rit aussi, mais de moins bon coeur que les deux hommes.

     

     

     

    • Allez viens, Maryline! Ordonna Pierre. On a un repas à préparer.

     

     

     

    Elle le suivit dans la cuisine. Le père de Michaël voulait préparer un plat de pates avec une sauce aux petits légumes, et il se mit sérieusement au travail en donnant ses consignes à la jeune fille. Celle-ci se sentait mal à l'aise de travailler en cuisine complètement nue, mais ça ne semblait pas choquer Pierre. Au contraire, il était tout enjoué et en profita pour lui donner des petites tapes sur ses fesses rebondies. Maryline sursauta la première fois, puis elle s'y habitua. Alors qu'elle épluchait et coupait les légumes en petits morceaux, les tapes se transformèrent en caresses. Une main s'arrêtait sur ses fesses, puis une autre venait empoigner un sein. Pierre ne pouvait s'empêcher de toucher la jeune fille toutes les deux minutes. Celle-ci s'en accomoda et fit comme si de rien n'était.

     

    Quand le repas fut prêt, Pierre lui fit dresser la table. Michaël se leva enfin de son canapé, et remercia la lycéenne en l'embrassant dans le cou et en lui pelottant les fesses. Tous trois s'assirent à table et dînèrent en regardant la télé. Michaël et son père discutèrent de choses et d'autres, principalement de football. Maryline participait de temps en temps d'une phrase ou deux, mais elle ne se sentait pas assez à l'aise pour discuter normalement. Lorsqu'ils eurent fini de manger, Pierre lui demanda de débarrasser la table et elle obtempéra. Ils firent la vaisselle à deux, et le père de Michaël eut de nouveau les mains baladeuses, mais cette fois elles étaient mouillées, et la jeune fille se retrouva avec de l'eau sur tout le derrière, ainsi que sur les seins et même sur le bas-ventre et les cuisses. En effet, Pierre n'hésitait plus à la caresser à ces endroits, en finissant toujours par glisser une main vers son entrejambe. Maryline avait eu un premier mouvement de recul, mais un regard ferme de Pierre lui avait fait comprendre qu'il ne valait mieux pas qu'elle joue les sainte nitouche. Et du coup, les caresses de ses mains humides qui allaient jusqu'à la fente de son sexe commençaient à produire leur effet, et la petite black se sentit vaguement excitée.

     

    La vaisselle terminée, ils allèrent s'asseoir dans le canapé pour regarder la fin d'un film, la jeune fille lovée entre les deux grands gaillards. Michaël remarqua qu'elle était mouillée de partout.

     

     

     

    • Ha! Qu'est-ce qui s'est passé? Demanda-t-il en ricanant. Il y a eu une inondation?

    • Mmmm, pas vraiment, mais peut-être qu'elle avait chaud la petite? Répondit Pierre.

    • Ouais, je vois ça, fit Michaël d'un air narquois.

     

     

     

    Il visita de ses mains les endroits humides du corps de la petite black, et lui écarta les cuisses pour accéder à son sexe. Il laissa échapper un sifflement quand il vit les grandes lèvres mouillées entrouvertes sur une intimité toute rose.

     

     

     

    • Ha ben oui! Là c'est clair, elle avait très chaud. Et je crois que ça ne va pas s'arranger, ajouta-t-il en posant la main sur la toison pubienne luisante d'humidité.

     

     

     

    Sous le regard bienveillant de son père, ses doigts glissèrent vers la fente rosée et en parcoururent toute la longueur. Puis il s'amusa à tapoter la petite chatte. Maryline était gênée et se mordillait la lèvre inférieure. Elle n'osait pas regarder Pierre qui se délectait de voir cette jeune fille nue se faire caresser par son fils. Celui-ci s'attardait à présent sur le clitoris, massant doucement à l'endroit où il se trouvait, cherchant à le faire sortir de sa cachette. La petite black commençait à onduler imperceptiblement du bassin. Puis le jeune homme descendit de nouveau entre les petites lèvres, y glissant son majeur. C'était abondamment lubrifié, et lorsqu'il arriva à l'entrée de la cavité vaginale, son doigt y entra naturellement. Il en explora l'intérieur, en fit tout le tour, s'y enfonçant davantage, et Maryline laissa échapper un gémissement. Il sortit alors presqu'entièrement son doigt, mais ce ne fut que pour son index puisse le rejoindre. Il entra les deux doigts d'un seul coup, ce qui fit bruyamment sursauter la lycéenne. Elle s'appuya un peu plus dans le canapé, et son bassin glissa vers l'avant, à la rencontre de Michaël. Il comprit le message et enfonça ses doigts autant qu'il le put, caressant les parois du vagin. Puis il fit quelques va-et-vient rapides qui arrachèrent des gémissements aigüs à la jeune fille, et un flot de cyprine lui inonda la main. Maryline releva les jambes pour appuyer les cuisses contre sa poitrine, ouvrant ainsi plus grande son intimité. Le jeune homme en profita pour insérer un troisième doigt. Ce fut un peu difficile, mais le passage s'écarta et il put reprendre ses mouvements, juste un peu moins vite. La petite black ferma les yeux, gémissant maintenant au rythme saccadé des doigts de son amant. Elle sentit à peine la main de Pierre qui attira une cuisse vers lui pour les écarter encore plus. Michaël la fouilla vigoureusement à l'intérieur, massant les parois du vagin et écartant les doigts par intermittence. Puis il se retira soudainement, et la petite black ouvrit les yeux, le regard implorant pour qu'il continue.

     

     

     

    • Retourne-toi, lui dit-il avec autorité.

     

     

     

    Ce que fit Maryline, s'agenouillant à terre et se mettant à plat ventre de travers sur le canapé. Le jeune homme dégraffa son pantalon et sortit son sexe en érection, puis il écarta les fesses de la lycéenne et guida de la main son pénis vers l'orifice vaginal. Puis il donna un grand coup de bite qui enfonça le visage de la petite black dans le canapé. Son cri fut étouffé, et Michaël la baisa vigoureusement, sur un rythme rapide. On entendait le claquement de sa chair contre les fesses de sa partenaire, et le clapotis de la chair humide. Il la besogna ainsi pendant de longues minutes puis, haletant, il ralentit la cadence, et enfin se retira pour répandre un filet de sperme chaud sur le haut des fesses de la jeune fille. Mais celle-ci n'eut pas le temps de souffler, que déjà un pilon de chair s'introduisait de nouveau dans sa chatte et la baisait. Le rythme était plus lent mais à chaque pénétration le membre s'enfonçait profondément en elle. Il était bien dur et la remplissait et la petite black se demanda comment Michaël pouvait encore avoir autant de vigueur alors qu'il avait déjà joui. Elle sentit elle-même les spasmes de l'orgasme l'envahir alors, et elle cria son plaisir par de petits jappements aigüs. Son amant continuait ses va-et-vients, plus rapidement à présent, et Maryline laissait échapper un râle continu de plaisir alors que son orgasme se prolongeait par vagues. Lorsque son partenaire se retira brusquement, elle tourna la tête et ne put retenir un cri de surprise. C'était Pierre qui était là, la queue à la main, et il envoya un jet de sperme sur son dos. Michaël était à côté de lui, l'appareil photo en main, immortalisant l'instant. La jeune fille était encore sous le coup de l'orgasme qu'elle venait d'avoir, mais elle ressentit tout de même une honte immense et des larmes lui montèrent aux yeux. Elle enfonça son visage dans le coussin du canapé pour sangloter en silence. Le père de Michaël, lui, essuyait son gland sur les fesses noires, essayant d'en extirper les dernières gouttes de sperme.

     

     

     

    • Et bien, j'en avais vraiment besoin! Dit-il avec un air de soulagement. Tu es très excitante, ma belle, et je n'aurai pas pu passer la soirée sans visiter tes charmes.

     

     

     

    Il se rhabilla, et lui et son fils se rassirent dans le canapé. Maryline se leva. Elle avait ravalé ses sanglots mais ses yeux étaient encore humides.

     

     

     

    • Va te nettoyer les fesses, lui dit Michaël. Le film n'est pas terminé, et si tu veux voir la fin, tu ne peux pas t'asseoir dans cet état. Tu vas salir le canapé.

     

     

     

    Lui et son père partirent d'un éclat de rire. La jeune fille sentit les sanglots revenir de plus belle, et elle partit précipitamment dans la salle de bain. Elle y resta longuement, à la fois pour reprendre une douche mais aussi pour faire le point sur ce qui lui arrivait. Elle se sentait anéantie. Que Michaël lui fasse l'amour, ce n'était pas désagréable et elle pouvait même dire qu'elle en avait eu envie; que son père assiste à leurs ébats, là ça devenait carrément glauque mais elle avait pu en faire abstraction malgré sa honte; mais que celui-ci la baise à son tour, malgré elle, sans rien lui demander, c'était quelque chose qu'elle ne pouvait pas imaginer, et pourtant ça venait de lui arriver. Que pouvait-elle faire? Michaël avait menacé de montrer ses photos intimes au lycée. Est-ce qu'il aurait mieux valu le laisser faire? Quitte à être la honte de ses camarades, celle qu'on aurait surnommé « la pute du lycée »? Elle avait voulu discuter avec Michaël, et voilà où ça l'avait menée à présent. Et maintenant, il avait bien plus que des photos d'elle à poil... quand elle y pensa, elle se prit la tête dans les mains. Des films où il la baisait contre un mur et où son père la prenait par derrière sur le canapé! Et elle avait eu des orgasmes! Elle se demandait même comment c'était possible. Avait-elle pu aimer ça? Elle était complètement désorientée.

     

    Quand elle retourna au salon, le film était terminé, et la télé éteinte. Les deux hommes étaient affairés dans leurs chambres. Maryline approcha de leurs portes respectives, et Pierre sortit à sa rencontre. Il la prit par la main et sur le pas de la porte de l'autre chambre, il demanda à son fils qui était nu et sortait des vêtements d'un placard:

     

     

     

    • Michaël, qu'est-ce que tu fais d'elle?

    • Je vais la prendre dans ma chambre, répondit-il. Elle dormira là.

     

     

     

    La jeune fille eut un hoquet de surprise.

     

     

     

    • Je... Je ne peux pas rentrer chez moi?

    • Ha non, tu restes là pour la nuit! Dit Michaël sur un ton qui n'amenait aucune discussion.

    • Très bien, fit Pierre. Je vous laisse tous les deux alors. Bonne nuit!

     

     

     

    Il fit entrer la petite black dans la chambre de son fils et ferma la porte derrière elle. Maryline se sentait encore plus perdue. Elle avait espéré pouvoir se rhabiller et retourner chez son cousin. Elle ne l'avait même pas prévenu. Si elle était rentrée dans la soirée, il n'aurait rien dit. Elle était déjà sortie pour parfois rentrer un peu tard. Mais jamais elle n'avait découché. Elle ne savait pas comment il réagirait. Ce n'était pas son père, mais elle vivait sous son toit et il était un peu responsable d'elle.

     

    Michaël avait étalé des vêtements sur le dossier d'une chaise, et interrogea du regard la lycéenne.

     

     

     

    • Tu es prête à dormir dans mon lit cette nuit? Mais je te préviens, il y a une condition.

     

     

     

    Maryline se frottait les pieds l'un contre l'autre, mal à l'aise.

     

     

     

    • Une condition? Laquelle?

    • Je vais te baiser encore une fois, mais cette fois... dis-moi, est-ce qu'on t'a déjà sodomisée?

    • Que... Qu'est-ce que tu veux dire? Demanda la petite black avec un air effrayé. Tu ne comptes quand même pas...?

    • Je t'ai posé une question, réponds-moi avant toute chose.

    • Non, on ne m'a jamais... fait ça.

    • Et ben ce sera une première alors! Fit Michaël avec un grand sourire.

     

     

     

    Il s'assit sur le lit et tapota du plat de la main à côté de lui.

     

     

     

    • Viens à côté de moi, ma puce!

    • Non, non! Non, je ne peux pas! S'exclama Maryline en secouant la tête. Vraiment, c'est déjà beaucoup pour ce soir, mais ce que tu me dis, là... la sodomie, non vraiment, je ne peux pas!

     

     

     

    Elle était de nouveau au bord des larmes. Elle ne s'était pas attendue à ce que lui demandait Michaël, et c'était la goutte qui faisait déborder le vase. Elle avait déjà eu de nombreuses émotions dans la journée, et elle n'était pas prête à accepter ça en plus.

     

    Le jeune homme avait un air grave, et la jeune fille se demanda ce qui se passait dans sa tête. Allait-il la forcer? Il pouvait l'y obliger.

     

     

     

    • Bon, je vois, dit-il. C'est vrai qu'aujourd'hui je t'ai fait accepter beaucoup de choses. Il ne faut peut-être pas aller trop vite. Mais tôt ou tard, je me ferai ton cul, il est trop attirant.

     

     

     

    Maryline soupira de soulagement, même si la dernière phrase n'était pas encourageante.

     

     

     

    • En attendant, ajouta-t-il, c'est quand même un refus d'obéir. Et ça, c'est obligatoirement une punition. Tu l'as bien compris, maintenant! Donc, puisque tu me refuses ce que je veux, tu n'auras pas le droit de dormir dans mon lit.

    • Où je vais dormir alors? Demanda la lycéenne en haussant les épaules.

     

     

     

    Il désigna le sol du doigt.

     

     

     

    • Par terre, là... juste à côté du lit.

     

     

     

    Maryline se demanda s'il blaguait ou s'il était sérieux.

     

     

     

    • Heu, mais... il y a le canapé, ce serait pas mal aussi! Proposa-t-elle.

    • Ho, tu essaies encore de discuter mes ordres? Fit le jeune homme d'un air faussement outré. Bien! Je sais comment on va arranger ça.

     

     

     

    Il se leva et Maryline eut un pas de recul, mais il ne vint pas vers elle. Il chercha en bas de son placard, puis en sortit une paire de rangers. Il en défit méthodiquement les lacets. Puis il vint vers la petite black et lui attrapa le poignet.

     

     

     

    • Viens te mettre là!

     

     

     

    Il la força à s'asseoir à terre, juste au pied du lit. Puis il lui attrapa les deux mains et commença à enlacer ses poignets avec les lacets de chaussures. La jeune fille bougea, essaya de l'en empêcher.

     

     

     

    • Hé! Mais qu'est-ce que tu fais? Demanda-t-elle avec une pointe d'angoisse dans la voix.

    • Ne bouge pas! Ou je serrerai encore plus fort, dit le jeune homme en serrant les dents.

     

     

     

    Il maîtrisa sans difficulté la petite black, qui renonça rapidement à lutter. Elle se retrouva avec les deux poignets saucissonnés l'un contre l'autre. Puis Michaël attacha les bouts de lacets qu'il avait laissés libre au pied du lit. Il les doubla et les serra suffisamment pour que Maryline n'ait pas de marge de manoeuvre. Elle était coincée.

     

     

     

    • Voilà! Fit le grand gaillard d'un air satisfait. Comme ça il n'y a aucune chance que tu ailles te réfugier dans le canapé pendant la nuit.

     

     

     

    Au mieux la jeune fille pouvait s'asseoir, mais elle ne pouvait sûrement pas se lever. Pour dormir, elle devrait trouver une position qui ne soit pas trop inconfortable. Heureusement il y avait de la moquette sur le sol, mais elle songea qu'elle aurait peut-être un peu froid malgré tout. Des larmes perlèrent aux coins de ses yeux. Michaël eut tout de même l'attention de lui déposer un doux baiser sur les lèvres, mais cela la réconforta à peine. Puis il alla se coucher dans le grand lit chaud et éteignit la lumière.

     

     

     

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    Vendredi 11 septembre

     

    Maryline avait eu énormément de mal à s'endormir. Elle n'avait pas réussi à trouver une position qui ne lui cause pas de douleur ou d'engourdissement, et la nuit avançant elle avait de plus en plus froid. Elle avait fermé les yeux par intermittence, et n'avait sombré dans un sommeil profond qu'au petit matin. Elle eut l'impression d'avoir à peine fermé les yeux quand elle fut réveillée par des tiraillements dans les poignets. Michaël était en train de la détacher. Il était habillé, et une timide lumière du jour éclairait la chambre.

     

     

     

    • Allez, lève-toi ma belle! Tu as assez dormi. Il y a de quoi te faire un petit déj' sur la table du salon: des céréales, du pain de mie, de la confiture, Nutella et autres... Tu as aussi de l'eau et du lait chaud, avec du chocolat, café ou thé; comme tu veux. Mais dépêche-toi, sinon on va être en retard. Je t'ai laissé dormir trop longtemps, et on a encore quelque chose à faire avant d'aller au lycée.

     

     

     

    Il aida la petite black à se lever. Elle avait encore les yeux pleins de sommeil et les membres courbaturés, et ne tenait pas assurément sur ses jambes. Le jeune homme la mena par les épaules jusqu'au salon, où il lui tira une chaise pour qu'elle s'asseoit. La table était en effet bien garnie, et Maryline se servit un café au lait et se prépara une tartine de Nutella. Cela lui remit les idées en place et lorsqu'elle fut totalement réveillée elle remarqua que Michaël avait sorti des affaires d'école et faisait des devoirs sur un coin de table. Elle se frappa le front.

     

     

     

    • Merde! Moi non plus j'ai pas fait mes devoirs!

     

     

     

    Michaël la regarda d'un air navré.

     

     

     

    • T'auras pas le temps pour ça, on a autre chose à faire. T'auras qu'à les faire au bahut, avant les cours.

    • Et en plus, j'ai sport cet aprèm'! Se plaignit-elle de nouveau. J'ai même pas mes affaires dans mon sac!

    • Tu as ta tenue de pom pom, je l'ai mise dedans, dit le garçon avec une pointe d'ironie.

    • Hin,hin! Très drôle! Tu me vois faire sport en jupette de pom pom?... Putain! Nan, franchement, la journée s'annonce galère.

     

     

     

    Elle essaya de terminer son petit déj' sans se projeter vers les ennuis qui se profilaient. Lorsqu'elle eut terminé, elle alla laver sa vaisselle dans la cuisine, puis vint à côté de Michaël.

     

     

     

    • Où est ton père? Lui demanda-t-elle.

    • Il est déjà parti au boulot, répondit-il en travaillant un exercice de maths. Il prend la voiture et il part tôt à cause des embouteillages.

     

     

     

    Il tourna la tête vers la lycéenne.

     

     

     

    • Va prendre ta douche, lui ordonna-t-il. Tu laisses la porte ouverte, et après tu te brosses les dents et tu m'attends. Je vais m'occuper de toi.

     

     

     

    Ses derniers mots intriguèrent Maryline, qui n'osa cependant pas demander d'explication. Elle alla à la salle de bain et prit une douche chaude qui fit beaucoup de bien à son corps endolori. Puis elle s'essuya et se brossa les dents. Elle ne s'enroula pas dans la serviette de peur de contrarier Michaël et l'attendit donc comme il l'avait demandé, nue. Lorsqu'il eut terminé son travail et aperçut la jeune fille par l'encadrement de la porte, le lycéen la rejoignit. Il étala une grande serviette à terre.

     

     

     

    • Allonge-toi ici, sur le dos, dit-il fermement en pointant le doigt par terre. Et tu plies les jambes et écartes les cuisses. Ton entrejambe doit être bien dégagé.

     

     

     

    Il prit une bombe de mousse à raser et un rasoir, qu'il passa sous l'eau chaude. Puis il s'agenouilla entre les jambes de Maryline lorsque celle-ci eut pris la pose demandée.

     

     

     

    • Que... Qu'est-ce que tu veux faire? Demanda-t-elle timidement bien qu'elle en eut déjà une idée assez précise.

    • J'avais dit qu'il faudrait tailler un peu cette jungle, dit-il en passant ses doigts dans la toison pubienne de la petite black. C'est ce que je vais faire. Et t'as pas intérêt à bouger si tu veux pas que je te fasse mal.

     

     

     

    Maryline se mordit les lèvres. Il lui était déjà arrivé de raser les poils qui dépassaient de sa culotte, ce n'était pas le problème. Mais elle se demandait jusqu'à quel point le jeune homme voulait « tailler ». Il n'avait sans doute pas les compétences d'une esthéticienne.

     

    Malgré tout, celui-ci se débrouilla plutôt bien. Il fit ça rapidement, le temps pressant, étalant la mousse puis donnant des coups de rasoir énergiques et précis. Il retira beaucoup de poils et la lycéenne s'inquiéta du sort de sa toison. Le jeune homme prêta particulièrement beaucoup d'attention à la région entourant les grandes lèvres, s'assurant que la peau serait complètement glabre. Il descendit jusqu'au sillon entre les fesses, enlevant les quelques poils qui s'y trouvaient. Finalement, il ne laissa qu'un fin sillon vertical sur le pubis, taillé très court. Il appliqua un baume après-rasage sur toute la région où il avait passé les lames, massant doucement du bout des doigts. Ce traitement eut pour effet de détendre les chairs de la jeune fille, et celle-ci se mordit de nouveau les lèvres, mais cette fois c'était parce qu'elle sentait que son sexe s'humidifiait. Le jeune homme le remarqua, bien entendu, et sourit. Il appuya alors son massage et passa carrément sur les lèvres, et même entre elles lorsqu'elles s'ouvrirent pour l'accueillir. Il massa de haut en bas et de bas en haut, puis s'arrêta sur le capuchon du clitoris qu'il prit entre ses doigts pour le faire rouler. Maryline eut un spasme qui décolla une seconde ses fesses du sol, et lâcha un gémissement aigü. Michaël croisa son regard avec une lueur de prédateur dans ses yeux électriques. Puis il stoppa subitement son massage en regardant sa montre.

     

     

     

    • On doit y aller! Fit-il comme s'il s'affolait. Il est déjà tard.

    • Ho non! Nooooon! Supplia la jeune fille.

     

     

     

    Elle voulait jouir à présent car le garçon l'avait laissée dans un état d'excitation extrême. Celui-ci lâcha un rire graveleux et lui donna une claque sur la cuisse.

     

     

     

    • Allez debout, ma belle! Dit-il en se levant lui-même. Je vais te donner tes fringues.

     

     

     

    Il quitta la salle de bain, et la petite black poussa quelques soupirs. Elle glissa une main vers sa chatte et la caressa doucement. La chaleur était toujours là. Elle était très humide. Elle accéléra sa caresse. Peut-être pouvait-elle se faire jouir rapidement avant de partir? Son autre main rejoignit la première, et elle se masturba alors furieusement, ne cherchant pas à faire durer le plaisir mais juste à atteindre rapidement son orgasme. Soudain Michaël réapparut à la porte de la salle de bain et hurla.

     

     

     

    • Non! Arrête!!

     

     

     

    Il attrapa les mains de la jeune fille et les éloigna de sa chatte. Elle gémit de contrariété.

     

     

     

    • Je ne t'ai pas autorisée à te masturber! Cria-t-il très en colère, lui tenant les deux mains dans son poing serré. Tu jouiras quand je l'aurai décidé!

     

     

     

    Il tourna la tête dans tous les sens d'un air agacé.

     

     

     

    • Putain! J'ai encore beaucoup de choses à t'apprendre!... Mais ça va être dur parce que t'es lente à comprendre. Ce que tu as fait, là, ça mérite encore une punition! Mais t'as de la chance, on est à la bourre. Ca attendra plus tard. Mais ne t'en fais pas, je n'oublierai pas!

     

     

     

    Il mit la jeune fille debout en la soulevant d'une main. Elle tomba lourdement sur ses pieds et il la traîna dans le salon. Sur le dossier du canapé était posée sa robe gris/violet. Maryline reprit ses esprits, et pour apaiser la colère de Michaël, elle enfila rapidement la robe. Elle était tout de même contente de pouvoir enfin se couvrir, en dépit du décolleté profond. Cependant, elle chercha malgré tout autre chose du regard.

     

     

     

    • Heu... Michaël, tu n'as pas sorti une culotte? Demanda-t-elle timidement.

    • Non, excuse-moi, fit le jeune homme sur un ton ironique, je n'ai pas de culottes de femme chez moi.

    • Mais comment je vais faire? S'exclama la lycéenne, affolée. Je peux quand même pas aller au lycée sans culotte!!

    • Pff! Et pourquoi pas? Ta robe n'est pas courte, on ne verra rien. Et si tu savais le nombre de filles qui n'ont rien sous leurs jeans...

     

     

     

    Maryline lui jeta un regard dépité.

     

     

     

    • Comme tu dis, sous leurs jeans... Moi c'est une robe, et regarde! Dit-elle en tirant sur le tissu. Même en la baissant au max, elle m'arrive à peine aux genoux!

    • Et ben on verra tes genoux, il n'y a rien d'exceptionnel, conclut Michaël en mettant son sac au dos et en prenant celui de la jeune fille. Tiens! Mets tes chaussures, il faut qu'on y aille maintenant.

    • Et merde! Maugréa-t-elle en soupirant. La journée s'annonce encore pire que prévu.

     

     

     

    Elle enfila ses escarpins plats et demanda, alors que le jeune homme allait déjà vers la porte d'entrée:

     

     

     

    • Et ma parka?

    • Pas besoin, assura Michaël. Il fait assez beau aujourd'hui. Et je crois que t'es assez chaude comme ça, non?

     

     

     

    Il rit et ouvrit la porte. La petite black le suivit de mauvaise grâce et il referma à clé derrière eux. Comme l'avait dit Michaël, il faisait plutôt beau temps. On était au mois de septembre et la température était douce. Cependant Maryline frissonna en mettant le pied dehors. Elle se sentait plus nue que jamais avec sa seule robe pour couvrir son corps. Michaël marchait vite, et il lui semblait que ses seins allaient se projeter hors de son décolleté alors qu'ils ballotaient au rythme de ses pas.

     

    Dans le bus, ce fut encore pire. Au petit matin en pleine période de pointe, le transport en commun était bondé, et la jeune fille n'avait aucun espace intime. Elle était serrée entre des silhouettes toutes plus grandes qu'elle. Michaël était contre son dos, et elle sentait son sexe grossir lentement, écrasé contre ses fesses. Il avait une main posée sur son flanc gauche, et avec ses doigts il attrapait doucement le tissu de la robe. La lycéenne ne se rendit pas compte de ce qu'il faisait jusqu'à ce qu'elle baisse les yeux. Elle fut choquée de voir que son décolleté s'élargissait à mesure que le garçon tirait la robe vers l'arrière. Quasiment la moitié de son sein gauche était à l'air libre! Elle tenta, dans l'espace exigü dont elle disposait, de retirer la main de Michaël de sa robe. Mais ce fut lui qui attrapa la main de la jeune fille et la serra pour lui signifier de ne rien faire. Maryline leva alors les yeux. Elle tomba sur un homme en veste et chemise qui lui faisait face mais dont le visage était tourné sur le côté. Il n'avait rien vu. Mais Michaël reprit son manège, et tira franchement sur la robe alors que son autre main venait se poser sur le bas -ventre de la petite black. Celle-ci vit avec horreur que le décolleté se rapprochait dangereusement de son mamelon, et que l'on voyait même le début de l'aréole. L'homme face à elle le remarqua aussi soudainement, et il eut un mouvement de sourcils exprimant sa surprise, puis un sourire complice à l'attention de Maryline. Il croyait qu'elle le faisait exprès pour l'aguicher! La jeune fille tourna les yeux avec une moue embarrassée. Elle n'y était pour rien! Elle serra le bras sur son flanc pour gêner la maneuvre de Michaël, mais même s'il ne parvint pas à en faire plus, le mal était fait. Le voyeur se régalait de la poitrine quasiment dénudée qui s'offrait à lui. La lycéenne n'osa pas affronter son regard de tout le reste du voyage, et fut heureuse lorsqu'enfin ils arrivèrent à leur arrêt. Elle profita de la descente du bus pour remettre son décolleté en place de manière plus décente. Elle n'osa rien dire à Michaël au milieu de tous les autres élèves qui se rendaient au lycée, mais lui lança un regard désapprobateur alors que lui arborait un sourire amusé.

     

     

     

    A suivre...


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